Jardins > Pureté Sacrifiée !

Auteur : Gnihton
29/05/07 23h13 | 29 Volcan 3725

Galactica et ses plaines, non loin des centaines de Building colossaux que comptait la corporation, un homme marchait, il semblait répéter quelque chose pour lui même. Il se déplaçait avec l'allure d'un spectre, d'un mort, cela semblait à la mode, s'habiller en noir se prendre pour un vampire et bien d'autre chose le culte de l'apparence et la destruction du mental; voilà ce qu'était cette mode.
Non rien ne semblait diriger cet homme qui se déplaçait pourtant bien quelque part, il ne pouvais marcher sans but. Et pourtant l'homme ou plutôt la chose errait véritablement, sans but, entre les herbes folles non tondu de cette clairière bien ombragé sous quelque arbres qui avait vu les plus jeunes des générations Shadowsong. Et c'est là qu'il s'assit, il creusa la terre, et y déposa quelque chose qui ressemblait à des mèches de cheveux.

Il sortit ensuite une petite flute, et il commença en jouer, un air monotone il semblait en deuil. Il se leva pour jouer. "c'est à ce moment qu'on le vit, un homme grand avec des cheveux châtain mi long qui ressemblait à de la soie, il portait un chapeau noir qui cachait partiellement son regard, deux yeux bleus gris cela dépendait de la luminosité. Il atteignait avec peine le mètre soixante dix et il arborait un grand manteau en cuir noir qui semblait daté, malgré son physique moyennement arrangeant il avait quelque chose d'attirant, était ce sa musique ? Non c'était bien avant, peux être que ce mystérieux personnage appelait a être connu et reconnu justement.

Il jouait de plus en plus vite, mais cette fois ci c'était un air gaie et classique, qui était connu sur Galactica, il jouait la symphonie de Volcan, elle ouvrait le plus souvent le fête de la nature sur Vertana, pour annoncer le début de ce mois chaud et beau. Gnithon perdu dans sa musique semblait bien perdu, isolé, brebis égaré sans état, sans préoccupation matériel, sans connaissance du voile, sans préoccupation immatérielle. Il bougeât et entonna le Requiem le plus triste de son répertoire, un Requiem qu'il avait composé, que le vent lui avait inspiré, et sans savoir, il jouait l'air des Wizard, car le vent qui lui avait porter ce chant, n'était autre que Coriolis, connu ici sous le nom de Zéphyr.

Une bourrasque de vent semblait lui répondre se prenant dans les feuilles qui étaient déjà tombé des millier de fois, ou elles avaient renforcée la terre de leur vitalité si vite détruite par le vent, pour que leur force serve de vie a l'arbre. Dans cette clairière aujourd'hui Gnihton n'avait pas fait qu'enterrer de simple cheveux, c'est son passé qu'il enterrait pour recommencer.
En partant de Rien.

Il se leva et en tournant le dos à cette tombe au souvenir il commença a réciter un poème.


Je veux juste dormir
N’avoir plus qu’un soupir
M’éteindre dans la nuit,
Égal, a cette pluie

Qui coule sur mon âme
Tel ce sang putréfié
Qui coule sur ma lame.
Pureté Sacrifiée !

Je ne suis qu’un pantin.
Expertes sont ces mains,
Qui me manipulent

Dans le crépuscule
Qui emporte ma vie.
Et jusque dans mon lit.

Auteur : Gnihton
18/07/07 01h10 | 3 Desertan 3725

Les feuilles virevoltaient, le vent entamait son propre Requiem, et effaçait les traces de Gnithon, il ne laissait Rien, Son passage ici, comme dans l'histoire de Galactica, serait vite oublié, dés la prochaine génération, voir avant. Pourtant ce jeune homme n'avait demander qu'à être connu, reconnu pour son talent ! Il ne savait pas faire grand chose, mais avait le gout d'apprendre. Et pourtant il n'était Rien, une poussière dans un univers, Rien, un artiste raté parmi tant d'autres, Rien, un homme qui se croyait née deux siècles trop tard.

Il marchait à nouveau comme un spectre, mais de son visage ruisselait des larmes, il le savait, il le sentait, il n'était pas un grand musiciens, il ne valait pas mieux que quatre vingt dix pour cent de la population.

Gnihton ne serait jamais comme ces grands, dont on racontait les exploits, Dame Kalyso, Shingaz, Warren Shadowsong, Fusion d'Aelia-San, Histugaya Jin. Lui ne serait jamais comme eux, et même les choses qu'il aimait ne l'aiderait pas a être connu de la masse de poussière Galactique.

Le spleen était une arme d'autodestruction redoutable, Neir Gnihton le savait pertinemment et c'était le but. Il avait be*u jouer au milieu de la foule, personne ne le remarquait, il se lançait dans la cours des grands et était tout simplement ignoré...

C'était le moment au bord de cette falaise, qu'il avait choisit d'expulser ses rêves, de renaitre, ou de mourir :


JE VEUX VIVRE ! Les larmes affluaient sur ses joues, et il savait que personne ne viendrait l'aider. Car personne ne le voyait.
Pourquoi les gens qu'il admirait ne pouvait pas être des gens normaux, ou alors des gens avec des valeurs simples ; Non Rien ne pouvait l'empêcher d'idéaliser, de ne pas voir le mal, d'aimer ce monde malgré que lui, lui refusait l'asile qu'il demandait depuis ses 17années. Personne ne voulait de lui, il devait se cacher derrière son masque de perfection, car dans ce monde, ou la beauté du corps, la perfection du mental, et la pureté de l'âme sont trois chose indispensable les personnes l'aisé dans l'une des matière n'avaient aucun avenir. Neir n'était pas un battant, enfin si, il avait été, mais comme le roc dans l'eau il s'était émousser, pour devenir un banal pantin humain. Une marionnette dirigé par son Puppet Master...

Un morceau de viande sans âme ; Rien !

Auteur : Kalyso
18/07/07 02h04 | 4 Desertan 3725

JE VEUX VIVRE.

Ce cri, empli d’une sincérité désespérée, avait résonné dans le cœur de la jeune femme qui promenait ce qu’elle se plaisait à appeler ses restes sur la rive de sa prison.

Depuis trois mois elle était passée du statut d’enfant à celui de vieille femme, lasse, et aigrie. Et si son enveloppe respirait jeunesse et santé, elle était vide, à l’intérieur. Même ses larmes s’étaient faites sèches, puis avaient cessé de couler le long de ses joues décharnées.

Elle affectionnait ces longues balades qui occupaient à présent ses mornes journées, et où elle ruminait ses lourdes pensées, attendant d’accepter enfin l’idée que le départ pourrait être bref.

Et aujourd’hui, un cri, quelques mots, un appel, semblaient être un défi lancé à ses convictions forgées par le vécu. Aujourd’hui elle soupirait de voir que quelqu’un était aveugle au point de … à quel point, en réalité ? Baissant les yeux, elle voulu se détourner. Mais le vent souffla, l’écume joueuse éclaboussa ses souliers vernis, le crachat marin s’écrasant sur ses lèvres lui évoqua le goût des larmes qui depuis longtemps ne coulaient plus.
Soulevant sa robe grise, elle peina à fuir les vagues, et alla s’asseoir sous la falaise, quelques mètres sous cet homme que déjà elle maudissait. Son murmure plein de rage tenta de couvrir le vent colérique.

Si tu veux vivre, étranger, goute à mon existence. Et si encore tu implores le ciel de t’offrir quelques heures, alors je t’en ferai don. Mais cesse de narguer ma haine qui ne demande qu’à fendre l’air pour ouvrir tes yeux juvéniles.

Et seule, misérable et mécréante, elle se serra contre la roche froide comme si elle voulait en sentir battre le cœur.

Auteur : Gnihton
21/07/07 23h49 | 7 Desertan 3725

Gnihton Neir se tenait sur le haut de la falaise, coucher contre la roche, il sentait son contact froid sur sa joue blanche qui semblait craindre le soleil. Il entendait le bruit des oiseaux, de l'eau, et du vent battant sur la falaise. Gnihton voulait descendre, voir cet eau avant..., mais avant quoi ? Il sortit sa flûte et tournant sur lui même pour voir si un autre chemin que l'escalade était possible mais ne vît rien. Alors il entonna une petite mélopée.

« Je suis ton émotion
Je suis l'enfant qui ment
Qui sanglote en dedans

Je suis le corps à corps
je suis l'accord le désaccord
Je suis la foule qui scande ton nom

Je suis l'entaille au cœur
Je suis l'entaille au cœur
Ce qui te bouffe à l'intérieur

Je suis l'entaille au bras
Je suis l'entaille au bras
Je suis la plaît non, qui ne guérit pas

J'ai envie d'avoir mal
et d'avoir pire encore

Je veux revoir la lumière,
Juste une fois, Quitter cet enfer,
Quitter cette sphère
Je peut revoir la lumière. »


Pendant cette chanson Neir dansait en haut de la falaise, mais l'érosion du temps, avait accomplit son œuvre un morceau de la falaise se décrocha entraînant Gnihton, il vît sa flûte tomber au prêt de soulier humide, mais aucune force mystique n'intervinrent, il n(avait pas de super pouvoir, un adolescent comme les autres ou presque... Aucune ailes d'albâtres ne s'ouvrirent, ni même d'animal ne vînt l'aider, il tomba sur le flanc dans un sable qui lui semblait très dur pour la douceur de ses souvenirs. Il vît quelqu'un, mais son regard se troublait, et il tomba dans une rêverie, ou il voyait ses héros le sauver, et l'emmener avec lui et lui faisait vivre mile et une aventures. Mais Rien ne se passait comme ça, si on en le soignait pas il allait mourir...

Certain vœu ne devrait jamais être formulé !


(c)Les textes utilisés pour la chanson, son la propriétés des groupes Ex Nihilo Vox, et Oxygen.

Auteur : Gnihton
23/07/07 01h03 | 8 Desertan 3725

Une vie ce n'est rien de plus, qu'une seconde, puis une seconde, le temps érode tout, la conscience, la mémoire, la beauté, et surtout le volonté, on devient vieux, on pense que plus jeune on avait des projet tu te rappelle d'une chanson, ou plutôt un hymne qui t'avait fait rêver, « toi t'en rêve » ce jeune qui avait lui osé bouger.

Tout ça Gnihton ni pensais plus, il avait ce qu'il voulais, il voguait avec ses propres ailes d'albâtres, au gré des courants d'air chaud, il voyait la mer d'Aquablue, et en faisait le tour. Que c'était beau il passait dans les nuages, sentait le vent sur son visage, tombait en chute libre, plongeait, allait au fond de cet océan des âges et voguait vers d'autres rivages. Il nageait, et la seconde d'après se retrouvait parmi des gens qu'il ne connaissait pas, mais il savait qu'ils allait sauver une planète de l'insurrection, ou peut être de leur soumission, de toute manière c'est la même chose, la seule différence n'est que la cause.

Puis il se réveillait dans un lit, se disait que ce n'était qu'un rêve, et des gens en tenus religieuses venait le chercher pour lui faire subir un jugement étrange, dans une langue qu'il ne comprenait pas, un détruisait son idole, une sorte de serpent multicolore, on voulais tuer son enfant ...

Et quand tout était finit, il se retrouvait vieux, solitaire, marchant au soleils couchants vers la tombe de sa descendante, ayant des pensées spleen, romantiques, et se perd dans ses contemplations.

Une fois finit, il était un autre, et il se trouvait avec une femme, son nom sonnait doux, Jeanne, son patronyme sentait la nature, Duval. Elle était belle et de riche encolure, elle qui rit a la mort et nargue la débauche, dans ses jeux destructeur a pourtant respecté la rude majesté Mahométane. Et changeait encore se retrouvant marquis, et débaucher sadique qui ne pensent qu'à la perversion, derrière sa prison dorée.

Et finissait dans la beau d'un jeune libertin au service d'une marquise bien désabusé qui lui intimait un amour pervers, que seul des liaisons dangereuses pouvaient le satisfaire, ses même liaisons qui le firent mourir lui et son seul vrais amour.

C'est a ce moment que Neir ouvrit les yeux voyant la jeune femme, elle n'était pas belle, mais dans ce moment même sa laideur lui semblait être la beauté d'un ange, et cet ange ne semblait soit pas le voir, soit vouloir le laisser mourir, Gnihton avait enfin ce qu'il voulait, il savait maintenant que l'humain malgré l'altruisme de certain était condamnée à une fin bien funeste, car le principe simple d'aider son prochain n'était plus jamais respecté. Il avait mal, c'est ce qui le tenait encore en vie ...