Siège de la Corporation Galactique > Prise de contrôle du Siège de la Corporation Galactique

Masse hurlante de vent à l’assaut du Siège de la Corporation Galactique, folle tempête, rageuse bise glacée, s’insinuant en tout endroit non clos, emportant tout ce qui n’était pas solidement ancré au sol de Galactica. Le centre nerveux du Système Galacticain était pris dans un maelstrom d’une puissance sans équivalent, à l’effigie du souffle tout puissant s’abattant sur chaque état, chaque empire, chaque faction, chaque alliance, ou presque.
Au cœur de ce chaos d’air se tenaient fièrement huit personnes, avançant droit vers le Siège. Toutes étaient vêtues de la même manière : une tenue stricte, noire, un blason vert et noir ornant leurs poitrines. Les seules choses qui les différenciaient étaient leur taille, et leur sexe. Tous étaient là dans le même but, pour le même objectif, à l’unisson. A l’entrée, un garde du Siège les fit arrêter, et leur demanda leurs noms. Tour à tour, les huit répondirent :

« - Lidhyle Nalashadd
- Théran Azhar
- Histugaya Jin
- Larmes de Béryls
- Tsuribé Sandénoï
- Soul of Alastor
- Nivaria Kenthar
- Dame Kourai, Princesse d’Anyrian. Un blanc s’ensuivit, et elle ajouta : Nous venons prendre le contrôle du Siège de la Corporation Galactique. »

Le garde s’affola et attrapa son dispositif d’alerte. Trop lentement pour Kourai. Elle frappa de son talon dans la nuque du pauvre homme qui s’écroula sur le sol marbré, inerte.
A l’intérieur du corps de Kourai se trouvait encore son âme originelle, elle observait, pleurerait si elle le pouvait, et tentait de se libérer de ses chaînes pour arrêter cette folie, en vain…
L’alarme avait été sonnée, les caméras de vidéosurveillance avaient enregistré la scène. D’autres gardes et des grands conseillers allaient certainement arriver.

Pendant ce temps, un message d’alerte était diffusé en boucle : « Le siège de la corporation est pris d’assaut. Veuillez en sortir par les issues de secours en attendant que le Grand Conseil règle la situation. »

A l’entrée du bâtiment, une foule de gardes était apparue, menés par le Grand Conseiller m4x. Kourai sourit, elle déclara à l’intention de ses alliés :
« Occupez vous des gardes, j’ai une revanche à prendre sur cet homme. »
M4x rétorqua :
« Dame Kourai… Je vous ai déjà vaincue, je le referais. Quand à mes collègues, ils ne tarderont pas, ne connaissez vous pas la puissance du Grand Conseil ? Êtes vous si sûre de vous ? »

Pas de réponse, mise à part la création d’une boule de feu dans chacune des paumes des huit. Elles furent lancées simultanément sur les employers du Siège. M4x esquiva , les mages parèrent, mais l'un d'entre eux ne fut pas assez rapide. Il périt sur le coup, traversé par le projectile, sa chair fumant encore. S'ensuivit le combat... Chaos et désordre d'énergie pure, mais la garde n'avait réellement aucune chance. M4x, quand à lui, se défendait bien mieux. Mais celui qui possédait Kourai connaissait son style de combat, et avait donc un avantage certain. Kourai se déplaçait avec vitesse et élégance, et enchainait les attaques à distance avec une telle vivacité que m4x ne pouvait qu'esquiver ses coups, et non riposter. De telles déflagrations avaient créé un épais nuage de fumée, et m4x ne pouvait plus faire confiance à sa vue...

Noir...

Douleur... Froid... Le ventre de m4x était transpercé par une lame acérée. Il tomba à genoux, et découvrit la hampe d'une lance, et Kourai qui le maintenait fermement. Son regard était cruel, et son sourire avait quelque chose de démoniaque. Elle retira la lame du corps de son adversaire vaincu et lui cracha ces paroles :

« Maintenant, Conseiller, va annoncer ta défaite et la perte du Siège de la Corporation à tes collègues. »

Vaincu, le conseiller s'exécuta, et, marchant vers la sortie, versa une larme. Non pas pour la mort de ses collègues achevés par les sept autres, mais pour sa défaite, par orgueil... Au dehors, la tempête s'était calmée. Il remarqua une foule de chefs d'états entourés d'hommes en arme. " Ils ont bien prévu le déroulement des choses ", se dit-il... Et il parti en direction de la tour du Grand Conseil.

A l'intérieur du Siège de la Corporation, les troupes des huit, aux couleurs vertes et noires, s'empressaient de prendre le contrôle du bâtiment. Ils avaient ouvert la plus grande salle du Siège, fermé toutes les autres, et l'avaient aménagé selon les désirs de leurs supérieurs. Neuf trônes étaient disposés en hauteur, bien en vue de tous, et les huit y prirent place. Le trône du milieu, le plus majestueux, était vide. Ceux qui avaient pris le contrôle du Siège de la Corporation Galactique attendaient quelqu'un.

Les dirigeants d'états arrêtés plus tôt par les soldats des huit étaient maintenant pressés dans la salle. Des dispositifs de caméra étaient disposés un peu partout dans la salle, ainsi, les huit veillaient à ce que leur message sera transmis sur les cinq planètes. Kourai se leva, imposant le silence. Tous la contemplaient, pressés de savoir de quoi il en retournait. Ceux qui la connaissaient pouvait déceler des changements en elle. Ses yeux étaient cernés de noirs, ses joues plus creuses, ses cheveux avaient perdu leur superbe couleur platine, et son teint avait pâli. Sa voix aussi avait changé, son intonation était plus sombre, elle semblait ne pas être réelle, ou venir d'outre-tombe.

« Mesdames, messieurs. Nous souhaitons nous excuser du dérangement engendré par cette agitation, mais c'était là une nécessité. Nous avons deux choses à vous communiquer en ce jour.

Comme vous l'aurez certainement constaté, nous avons pris le contrôle du Siège de la Corporation Galactique, mais là aussi, c'était une nécessité.

Je m'explique... En tant que chefs d'état, vous aurez remarqué l'Hégémonia Bultéria. En effet, pour un ordre nouveau, l'Oracle Maudit, l'ARM et les Sombres Croisades - et tous mes collègues ici présents en sont des représentants - ont prit le contrôle de l'espace. Nous avons instauré une limite d'espace qu'aucun état n'a l'autorisation de franchir, mis à part nos alliés. Cette prise de contrôle n'a pour but que d'assurer l'Ordre au sein de notre univers.

Passons maintenant aux conséquences. A partir de maintenant, nous déclarons que le Grand Conseil n'a plus aucun pouvoir en ces lieux, et que ses membres en sont bannis. Secondement, toutes vos doléances sont à nous adresser ici même, en public. L'Oracle Maudit, l'ARM et les Sombres Croisades se feront un plaisir de vous aider dans vos moments de peine. Bien entendu, si vos demandes vont à l'encontre de nos principes, de nos valeurs ou tentent de mettre fin à notre souveraineté, nous sévirons.

Vous aurez libre accès au Siège de la Corporation Galactique, mais les sujets abordés seront sévèrement contrôlés, et vous encourez les mêmes sanctions en lançant un débat contre l'Hégémonia.

Je pense pouvoir cesser l'introduction à cette nouvelle ère. Vous êtes suffisamment informés sur la situation. Je cède donc la parole à qui désire la prendre... Bientôt, une autre personne arrivera pour vous exposer le second point de notre venue. »

Ainsi, c'était officiel, une nouvelle ère commençait. L'ère de l'Ordre Suprême.

Ainsi donc, tout a commencer?

une voix Glacial s'était élevé du fond de l'immense salle, alors que toutes les têtes se tournèrent vers son point d'origine. Une femme se tenais là, elle arborait elle aussi les Couleurs Noir et verte des Wizards. Lorsque tous enfin comprirent qu'il s'agissait de la 9eme, dont le Trône était encore vide, une allé se fit entre les Dirigeants des états, qui se poussèrent pour laisser passer l'illustre Inconnu.

Alors qu'elle avançait, les regards la suivaient, et elle dévisageait certaines des têtes qu'elle avait connu, au temps Jadis. Ces quelques personnes baissèrent la tête, comprenant soudains ce qu'étais le deuxième point que Kouraï avait volontairement laisser pour compte. Personne ne se souvenait, cependant, que cette femme était morte, tuée de la main de Fusion.

Une Gohla, être réssusité d'une main Kenthar. C'est ainsi qu'ils s'appelaient, ces êtres dont l'âme avait été rappeler par un membre de la Ligné Rivale a celle des Shadowsongs. La femme inconnu était arrivé au bout de cette allé fantomatique, qui croulait sous un silence de mort. Elle salua les Wizards, d'un aire amusé. et se retourna, face a l'assemblé.

Elle dit:

Bonsoirs a tous. Il manque des chaises.

Elle fit apparêtre une rangé de chaise, qui faisaient dos aux Wizards. elle reprit;

ici, seront installé les Zephyriens, ceux qui ont participé a ce brillant projet mais qui ne l'ont pas sortie de leurs esprit. ils sont peux nombreux, mais leur Honneur est tel qu'ils sont aussi des Gardiens de la Paix.

Bien. Maintenent, passons au choses sérieuses, concernant les explications. Je Suis Eïko D'Aelia-San, Ancienne dirigeante de l'Osghiliath, état disparue depuis longtemps. Je suis morte dans les Jardins il y a de cela quelques Années, et Nivaria, Wizard Ici présente, a eut la bonté de me faire revenir par chez vous. Inutile de précisé que pour se faire, le voile a encore été un peut plus affaiblie, mais cela, tout le monde s'en moque.

Bref, je suis là pour vous expliquer ce qu'est le deuxième but des Wizards... Ce but ne sera pas dur et long a expliquer, puisque vous en Aurez reconnu la Methode. Notre but est de faire revenir a la vie L'Edar Shadowsong, et de lui permettre d'Acomplire le chant des Ombres.

Aussi, je vais me permetre de vous expliquer rapidement la Hiérarchie Wizard. A ma droite, Nivaria, Mahaï. A ma Gauche, Theran, Maître Spirituel.

Je n'ai rien de plus a ajouter. Je vais donc m'assoir.

Elle s'executa, et tout les Wizards s'assirent avec elle.

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Quelque part dans la salle

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Artha se trouvait au milieu de la foule. Nivaria avait déjà due le voire, mais il restait là, observant avec un resect Imance, les actions des Wizards. il n'avait pas eut tors de faire confience a la Mahaï du Zephyr, elle ne l'avait pas déçut. Il aurait a la fois Le Shadowsong et les Wizards. Des vies puissantes ne seraient pas perdue Inutilement, c'était une bonne chose.

Dans une gerbe d'ombre, il disparue, on ne sait où, il lui restait a organisé la résistance anti Wizards.

Au moment même où la sphère de métal fût citée, elle se mit à briller un peu plus fort, passant d'un gris sombre à un gris beaucoup plus vif, comme si elle tentait d'empêcher quelque chose de passer, encaissant de multiples chocs la mettant à rude épreuve.

Cette réaction n'étonnait personne, ce n'était pas la première fois qu'une sphère réagissait de cette manière et nul ne savais vraiment de quoi cela venait. Théran continua donc son discours comme si de rien n'était.

Voyant ce spectacle, beaucoup restait émerveillé devant les sphère malgré la situation, et ce fût dans un brouhaha continuel que ce termina ce discours. Ce bruit ne s'arrêta pas, certain parlaient de ce magnifique spectacle, d'autre était totalement figé par la peur, ne sachant comment réagir face à ces personnes,...

Après cinq bonnes minutes, une personne vint briser ce silence, la jeune femme courait en criant à l'assassin en direction de Kouraï, mais elle fût arrêter bien plus tôt par plusieurs hommes sage et d'un âge avancé, sachant quel sort lui réserverait ce monstre féminin. Elle se débattait, réussissant à se libérer un bras ou une jambe par moment. Voyant qu'elle ne pourrait rien faire elle s'agenouilla par terre, affaiblie par ses précédents efforts.

Cette scène avait rétablit le silence parmi l'assemblé. C'est alors qu'une autre scène pour le moins étrange se déclencha, la sphère à présent au mains de Kouraï s'illumina, et s'éleva dans la salle. Quelques images apparurent dans cette sphère, elles étaient flou, on ne pouvait distingué clairement ce qui s'y trouvait dessiné, mais certains crurent apercevoir un être à la peau bleuté.

La sphère ce mit d'un coup à parler:

Je suis Kyriak ... executez le ... le chant vous donnera ... puissance ... bien être ... l'utopie ... possible ...

La sphère reprit son éclat habituel.

La jeune femme avait profité de ce moment pour reprendre ses esprits.

Pensez-vous vraiment que le grand conseil vous laissera faire? Pensez-vous qu'il suffit de le décider pour prendre le pouvoir? Vous, avec la sphère grise, je n'ose même pas citer votre nom, celui-ci me répugne, vous me répugnez, vous n'êtes rien, vous avez remporté une victoire mais pas la guerre, vous n'intimidez personne ici. Vous avez devant vous l'une de vos plus grandes opposante, tuez moi s'il vous chante, je reviendrais vous hanter, vous montrerez à tous votre nature, la raison pour laquelle tous doivent se dresser contre vous. Je ne sais quand les conseillers interviendront mais je demande à tous ici de leur faire confiance

La jeune femme s'approcha de Kouraï, surement niaise, pensant que celle-ci ne fera rien. Fera t-elle quelque chose d'ailleur? Elle voulait montrer qu'il ne fallait en aucun cas se plier aux règles dicter par ce petit groupe de personnes.


[hrp]Une petite explication s'impose: pour Kyria (Kyriakos de son vrai nom) il suffit d'aller lire "En des temps immémoré" dans Lievanta, c'est un vieux sujet traitant du chant des ombres. Nul ne sait comment il parle à travers la sphère (il est surement mort depuis tous ce temps ^^), et moi non plus, je ne sais pas non plus à quoi il va servir par la suite (peut être à rien) mais l'idée m'est venu de le faire intervenir donc ça peut ouvrir quelques pistes pour la suite sachant que c'est le premier executant du chant des ombres (entre autre)[/hrp]

« JEUNE SOTTE ! »

Après avoir renvoyé la sphère du métal dans son lieu d'origine - en Anyrian - Kourai s'était levée, dominant Tira. D'un revers de la main, elle la gifla en plein visage. Tira ne broncha pas, et même si la marque rouge sur sa joue la cuisait, elle continuait de défier la Wizard d'un regard d'acier.

« - Prosterne toi à mes pieds.
- JAMAIS ! »

Pauvre folle... Kourai lui donna un coup de pied à l'arrière de la jambe, et la jeune fille tomba à terre, à genoux, les mains plaquées sur le sol, de rage et de douleur.

« Sache, petite inconsciente, que seuls les idiots ne changent pas d'avis. »

Tira fut relevée par deux gardes, et emmenée plus loin. elle allait certainement être soignée, et sa rage n'en serait qu'accrue. Mais qu'importe. En revanche, sa voix fluette avait peut-être eu un impact sur l'auditoire. Il ne fallait négliger ce genre d'actions sous aucun prétexte... Kourai ajouta alors, vers l'assemblée :

« N'ayez aucun espoir sur la venue du Grand Conseil. Aucun n'a le pouvoir de lutter face à nous. De plus... Avez vous déjà vu le Grand Conseil lutter pour vous ? Le Grand Conseil a-t'il déjà commis des actions favorables pour la survie du Système ? Ma foi, JAMAIS ! Par Arathil, que quelqu'un me cite un exemple d'une grande action du Grand Conseil, une seule et unique action qui a fait que vous puissiez vous sentir en sécurité ? Cette sécurité, nous, les Wizards, l'Oracle Maudit, l'ARM et les Sombres Croisades, nous vous la proposons ! Obéissez tous aux ordres sans opposer de résistance, et vous aurez un avenir paisible. Rebellez vous contre le système que nous instaurons, et vous périrez ! Nul ne pourra compromettre l'avenir de Galactica ! »

Des échos... Certaines personnes semblaient doucement comprendre qu'il fallait remplacer un système défaillant par un plus performant. Malheureusement, ce n'était pas là le cas de tout le monde... Cela ne saurait tarder, Kourai savait convaincre les gens.

Soul Of Alastor qui était là depuis le début, vis le combat entre M4x et Kouraï.
Lui qui avait connu personnellement Kouraï plus tôt, avant cette "transformation" voyait la différence. La beauté extérieure dont elle faisait preuve rejaillissait sur son cœur. Mais ce temps était révolu, à présent la noirceur de son âme l'avait rendu laide. Horriblement laide -sauf si l'on aime les femmes toutes noires aux cheveux blanc avec des lèvres qui en ferait pâlir plus d'un. Avec une poitrine beaucoup moins opulente et attirante.

Quoi qu'il en soit, bien que sa beauté était discutable, il n'en restait pas moins que son agilité au combat n'en étais pas réduite. Sa grâce au combat non plus d'ailleurs. Après avoir asséné le premier coup sur le garde on senti que l'action allait enfin se faire sentir. Le plan ne possédait aucune faille, du moins pour le moment. Le contrôle magique des huit était bien supérieur à ceux de la garde. Et ce n'était pas un conseiller qui pourrait arrêter huit "terroristes" entraînés....

Les boules de feu n’avaient au départ aucunes velléités meurtrières, mais elles servaient uniquement à affoler l’ennemi tout en produisant une épaisse fumée qui gênerait M4x dans son combat.
En attendant que tout se passe comme prévu il fallait se battre afin d’éliminer la garde Corporatiste. Pendant que Kouraï se chargeait de radier le Grand Conseiller les 7 autres Wizards eux se chargeaient de cette armée plus que dérisoire.

Ils auraient pu utiliser leurs nouvelles magies, liées aux sphères élémentaires, mais cela ne valait pas la peine d’être révélé. Leur pouvoir cumulé avec la puissance des Wizards donnerait de nouvelles horizons encore inexplorées.
En effet, ils pourraient utiliser une magie encore inconnue, tout du moins par les seigneurs de Galactica. Seul Shingaz aurait la probabilité de le savoir, car il est celui qui possédait jusqu’alors la plus grande connaissance des arts magiques.
D’après les nombreuses recherches effectuées par les Wizards ils savaient que la lutte contre les conseillers ne serait pas d’arme égale à égale. Bien que les Grand Conseillers soient nombreux et puissant et possédant à leur botte toute l’armée Corporatiste, il n’en suffisait. Les Wizards les extermineraient comme ils le souhaiteraient.

Le pouvoir des sphères…..
Ils le sentaient couler dans leurs veines depuis peu.
La grande Arathil règnera sur le Conseils.
Toutes les décisions seront dorénavant prises dans la chambre 46.
Parmi les Wizards il y avait bien sur les Seigneurs les plus puissants de galaxie, depuis le temps qu’ils se préparaient ils ne pouvaient échouer. Si les Huits jouaient leur rôle comme il était prévu de le faire, alors Galactica connaîtrait un sérieux cataclysme interplanétaire.

Bien evidemment la bataille entre les Soldats de base de l’armée et les « Huits » ne fut pas très longues, et les sorts de boules de feu lancés par les Wizards eurent enfin l’effet escompté. M4x fut brouillé et il n’en fallait pas plus à Kouraï pour en saisir l’opportunité.

Une fois M4x battu, le contrôle de la salle ne se fit pas attendre. Les « Huits » prirent place sur leurs fauteuils respectifs et attendirent le début de la retransmission pour qu’ils puissent chacun intervenir.
Déjà Dame Kouraï avait pris la parole et avait annoncé la couleur dès le départ. L’Hégémonia Bultéria n’était plus des idées en l’air, ca y est le projet était lancé.

Ensuite vint le tour de Eiko qui présenta ses alliés et amis. En ennoncant le but primaire ou secondaire, cela avait peux d’importance puisque Edar Shadowsong reviendrait à la vie.

Théran Azhar lui, pris ensuite la main pour donner quelques infos interessantes sur le fonctionnement interne aux « Huits ». Chacun possédait une sphère à son effigie. Elles n’ont pas été décernée au hasard, puisque ce sont les sphères elles-mêmes qui ont choisi leur propriétaire.
Aussitôt présenté l’on pu constater avec nos propres moyens la véritable puissance des sphères. Tout du moins une partie de leur pouvoir.
Kouraï du se « battre » avec sa propre sphère avant qu’il ne puisse la recontrôler.

Ce n’était pas si aisé de les garder sous influence, car même après avoir choisi leur propriétaire, elles ne se soumettaient pas à n’importe quel ordre.
Il fallait une bonne dose de mental et une grande confiance en soit pour arriver à les maitriser. Bien que ce fut tout nouveau pour eux les Wizards savaient ce qu’ils avaient a faire, ils savaient en théorie comment garder la suprématie sur celles-ci. En théorie car en pratique cela s’avérait ne pas être si simple.

Quoi qu’il en soit ce fut au tour d’Alastor de se présenter. Il se leva, fit léviter sa sphère. Arrivé à mi-hauteur elle se mit a briller de mille feux. Créant une sorte de boule de feu autour. On avait baptiser cette évènement le mur de Flamme. En référence à l’élément qu’elle engendrait. Chacune de ses sphères possédait un mur élémentaire, c’est ce qui les caractérisaient.

Une fois la sphère stabilisée, Alastor baissa le bras et le remis le long de ses hanches.

- Bien le bonjour à vous mécréant. Je suis Soul Of Alastor. Pourquoi je porte ce nom ? Car je suis un mangeur d’âme, et comme mon rôle au sein de cette unité je serait le Faucheur Enflammé, celui qui colportera la mort par les flammes autour de nous. Un retour aux sources de l’enfer. Nous sommes une entité, les Wizards ne font qu'un. Regit par la Puissance du Zéphyr qui est notre seule façon de penser.

Nous sommes pour lui ce que les Sphères sont pour l’Edar. Un élément indispensable dans sa revendication du mal. Et en échange de quoi il nous accorde sa clémence et ses pouvoirs.

Certains se demandent à quoi peuvent bien servir les sphères élémentaires ? Il n’est de mon ressort de vous le dire, seul « lui » le peux. Vous verrez de qui je parle lorsqu’il apparaîtra sous vos yeux.

Quoi qu’il en soit je suis le Maître de la sphère de Feu, et c’est point chose fatale. Cela a été choisi par « lui » directement. Je suis le Détenteur de la Flamme d’Arathil, Flamme sacrée débordant la déflagration Déifiée. Mon moi intérieur, mon caractère de feu, ma patience très limité et ma soif de sang m’ont permis d’arriver où j’en suis. J’éradiquerait quiconque se dressera entre nous et l’Edar.
Je ne permettrait à personne de tenter de contrecarrer la puissance des Wizards et de l’Hegemonia Bultéria.
La sanction tombera, et si ce n’est de ma main, ca sera d’un de mes frères.

Je suis être et néant. Je serais dorénavant un prêcheur de l’Apocalypse s’ « il » me le demande. Nous agirons de façon réfléchie, et nous agissons de façon réfléchie. Personne ne nous arrêtera jusqu'à ce que Warren soit revenu.
Comme l’ont si bien dit mes amis, nous ne voulons pas de bagarre inutiles. Pourquoi perdre du temps à écraser des moustiques, futilité….. Restez tranquille et nous ne feront rien. Respectez les clauses qui vous sont imposées et vous ne craindrez rien. En revanche je vous déconseilles fortement de défier l’autorité des « Huits ». Contre moi vous ne pourrez pas grand chose, contre les Nous encore moins.

Tout ça pour vous faire comprendre que nous prenons d’assaut le Grand Conseil, qu’a parti d’aujourd’hui les décisions seront prises ici, et nul part ailleurs. Tant que nous existeront, le Grand Conseil ne dirigera plus.
D’ailleurs je vous conseille d’écouter ce que vous as dit le Théran, Maître de la sphère élémentaire de Conscience. Le combat est gagné d’avance. Commencez dès à présent à suivre les directives si vous ne voulez pas finir comme ce bon vieux M4x.

Je crois avoir tout dit, si toutefois j’avais omis quelques principes de bases, mes amis se chargeront de vous le rappeler. Mais prenez garde…. « Il » vous surveille ! ! !

Le Mur de Flamme disparu, l’éclat scintillant de la sphère devint terne. Elle se dirigea en direction de la Poche de Soul, qui aussitôt mis sa main dedans comme pour s’assurer qu’elle y était toujours.

Soul se rassit tranquillement, et attendit le reste du Festin.

Foutaise, qu'il vienne directement se présenter au lieu de se cacher continuellement.

Tira n'avait pas dit son dernier mot, mais elle avait profité de la prise de parole de Soul of Alastor afin d'affiner la sienne et de peser chacun de ses mots. Malgré la précédente scène, elle ne souhaitait pas mourir maintenant, cette mort aurait été inutile.

Oui, je connais déjà votre réponse, « il viendra en temps voulu », le temps n'est-il pas venu? Cette prise de contrôle est parfaite et vous nous avez à tous montrer votre grande puissance ... Bien que très, quoi que vous en disiez, face à une armée de grands conseillers.

Elle regarda à présent Kouraï dans les yeux, s'efforçant de ne pas les baisser afin de ne pas montrer sa faiblesse. Une goutte de sueur dévala le haut de son front jusqu'au sol. Ce regard était empli de haine, encore plus qu'à la première confrontation à cause de l'humiliation qu'elle venait de subir. A genoux devant Kouraï? Plus jamais, pas sans devoir utiliser la force. A genoux devant personne d'autre même.

Vous nous demandez quelques actions des conseillers. Par où dois-je commencer? Bien qu'une très faible poignée y ait participer, je peux vous citer le renforcement du voile par l'archimage Terluan à l'aide, au péril de leur vie, de Lord Thayll et de Lord Yu. Vous en voulez d'autres? Ce sont les garants de la paix, chacune de leurs actions sont réfléchies, bien qu'un peu trop longuement par moment, je vous l'accorde. Avez-vous déjà vu un quelconque génocide dans la corporation? Une mort massive de civiles? Les avez-vous déjà vu laisser s'enfuir un meurtrier sans chercher à le rattraper? Dois-je vous rappeler l'arrestation de Sandrock ? Croyez moi, ce n'est pas huit ou neuf pecnots en robe qui vont changer ces lois certe imposées, mais juste, par le grand conseil. Vous n'avez qu'un semblant de pouvoir en ces lieux, bientôt vous n'existerez plus, un autre mangeur d'âmes viendra déguster les votre. Ce jour là, je serais là pour le regarder, là pour l'encourager à ne pas en laisser une bouché, vous regardant partir pour l'infini néant.

Elle s'arrêta là, restant loin de Kouraï afin de ne pas trop flirter avec la mort incarnée par cette personne. Elle espérait ainsi garder les personnes les plus forte moralement du coté du grand conseil, que celui-ci ne se trouve pas perdu à jamais.

Kourai Kourai Kourai…

L’Assemblée silencieuse s’écarta pour laisser passer une jeune femme, vêtue d’un large pantalon de lin blanc et d’un haut près du corps de la même couleur.
Ses cheveux emmêlés tombaient librement sur ses épaules dénudées. Elle allait pieds nus, ses bras entourant son corps, d’un pas las. Seuls ses yeux gris semblaient en réalité éveillés. Ils allaient malicieusement d’un visage à l’autre, semblant rire de la situation.

Il m’est désagréable très chère de vous revoir de sitôt. Mais si la situation l’impose…
Je vous prie de pardonner ma tenue, j’étais en train de dormir - pourquoi les prise de pouvoir ne se font elles jamais à une heure décente ?

Elle regarda sa montre en souriant.

Bon, peut être que je n’ai pas un rythme de vie exemplaire non plus…

D’un mouvement de la main, elle envoya voler deux gardes qui s’approchaient d’elle, et leva un index vers son ennemie comme si elle voulait la réprimander.

Attendez ! Pas la peine de perdre des hommes pour moi, je pars dans un instant. Laissez moi juste m’exprimer.
Déjà, vos macaques là, à l’entrée du Siège, choisissez les mieux. Ils sont un peu lourds, et si vous souhaitez réellement bannir les Conseillers…ils ne feront pas l’affaire. Je suis persuadée que si je n’avais pas eu envie de m’échauffer un peu les mains, j’aurais pu les corrompre…autrement. Manière que vous connaissez très bien, n’est il pas, Princesse d’Anyrian ? Que de grands yeux vous ouvrez là… MINUTE ! Je n’ai pas fini… Je déteste qu’on me coupe la parole ainsi…

Se disant, elle avait tapé du pied sur le sol, créant une vague de force qui se propagea dans la salle, ne touchant que les gardiens en mouvement et les huit…qui ne semblèrent pas affectés.

Votre magie ne sera pas efficace contre nous, Dame Kalyso.

Je m’en doutais, cher Soul of Alastor. Heureuse de vous revoir, d’ailleurs. C’est drole comme nous nous croisons toujours dans ce genre de situation. J’ai même l’impression d’avoir rêvé une autre vie où tout était identique, le lieu mis à part.... mais ce n’est pas le sujet…

Elle s’étira et attrapa ses mains derrière son dos, se balançant sur la pointe de ses pieds.

Hmmm, ça sent la guerre. La bataille. C’est triste à dire, mais tout cela me manquait un peu. J’en ai assez de courir après l’invisible ou de moisir dans un siège de velours.

Elle sauta sur l’estrade, manquant de perdre l’équilibre, et ri comme une petite fille.

[b] Pardonnez mon engouement, mais je trouve la situation assez drôle. Vous avez réussi à organiser tout cela….Je suis épatée, bravo.

Elle se mit à applaudir et se tourna vers la foule. Quelques courageux firent de même, mais très vite le silence se fit de nouveau.

Alors, vos projets ? Prise de pouvoir, paix, domination,... C’est d’un … basique !
Mon Dieu, j’en ai vu tant, d’hégémonie. J’en ai entendu tant, de promesses de changement, d’avenir… J’ai moi-même participé à l’une, vous rappelez vous ? Douloureux souvenir, je vous l’accorde.

Abrégez, Kalyso, nous n’avons pas de temps à perdre…

Pardonnez mo, amère Princesse.
Et bien et bien et bien…Félicitations, à vous tous. Vous avez évolué d’une magnifique façon. Je pense notamment à Théran qui m’impressionne. Vous avez aussi su trouver des perles aussi. Quel dommage que Larmes de Béryls ou encore Lady Nalashadd ne se soient tournés vers le bon côté… Mais comme vous le dites si bien Princesse, il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis… je n’attend d’ailleurs aucun changement d’idées de votre part…
TOUT CA POUR DIRE QUE - je n’ai pas terminé ! Pour dire que vous pouvez compter sur les Grands Conseillers. Et ils ne seront pas seuls.
Très chers, une fois de plus, je vous félicite, et vous souhaite d’aller plus loin que je n’y suis moi-même parvenue dans la destruction, domination, ou quelque soit votre but (je vous en prie, ne me parlez pas de paix. Cette excuse est si simple et bien trop grosse). Nous nous reverrons. Et puisque ce sera une guerre de Magie…

La jeune femme plongea une main dans une poche de son large pantalon et en sortit son poing fermé. Lorsqu’elle l’ouvrit, une lumière brillait dans la paume de sa main.

Le… le cœur ?? Je le croyais disparu !

Lievanta renferme encore bien des secrets…

Et elle sauta à bas de l’estrade où elle se trouva entourée de garde. Avec un sourire, elle s’élança, sauta par-dessus la foule et atterrit sur ses pieds. Elle se retourna à moitié vers le huit, et exécuta un petit salut militaire en souriant, puis sortit en courant. Dans le couloir se firent entendre des explosions et les cris des gardes.

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Dans les sous sols du Siège de la Corporation.

Kaly, ce n’était pas une bonne idée de leur montrer.

Que veux tu qu’ils fassent ?

La jeune femme avait retrouvé les Grands Conseillers et s’habillait en parlant avec eux.

Alors ? Que fait on ? Depuis mon passage, je pense qu’ils vont renforcer la surveillance. Yu, tes caméras ? Ont-elles toutes été détruites ?

Ca ne saurait tarder… Et dans tous les cas, la Tour ne sera bientôt plus un lieu sur pour nous autres…

Et tu n’aurais pas un moyen de créer, je ne sais pas moi, une connexion ? Mais ou traîne donc Archane ?

Elle chargea un pistolet et rentra un petit poignard dans sa botte.

On dirait que tu te prépares au combat. Et ça a l’air de te réjouir.

Depuis la guerre Escouade Chaotique/Néon Génésis, je ne me suis battue qu’en mon propre nom. Je dois me rattraper maintenant. Et je t’avouerai, cher m4x, que j’ai été élevée en guerrière…

Je croyais que…

Oui bon, ça faisait classe de le dire.

Gamine.

Elle lui tira la langue.

Alors ? Qui fait quoi ?

Et bien je ne sais pas pour vous, mais moi je vais aller faire un petit tour par Hritia.

C’est loin…

Je sais, Bugs. Mais on sait la bas d’où viennent les sphères. Et on sait peut être comment les contrôler.

Et le cœur ?

La jeune femme ressortir la petite sphère lumineuse et la tendit à Yu.

Si l’un de vous pouvait aller chercher la maîtresse du cœur…

Elle est morte, non ?

Autant que Kronotos…

Le Conseiller acquiesça.

Bien. Et bien je pense que nous nous reverrons dans … un petit moment maintenant.

Fais attention à toi ma grande.

Je pars en vacances comparé à ce qu’il vous attend. Ne les laissez pas s’approcher de ma chambre dans la Tour, je n’ai pas eu le temps de cacher tous mes jouets.

Elle éclata d’un grand rire, les salua tous et plongea dans un conduit d’aération.
Quelques secondes après, elle en ressortit.

Ca mène aux toilettes par ici…
Ah, pendant que j’y pense… si quelqu’un pouvait trouver le Chapelier et faire un petit tour au Centre… Les Démons nous seront d’une aide précieuse.
_____________

Dans la foule, on craignait, on s’interrogeait.

Mais que va-t-il se passer maintenant ?

Dame Kalyso a-t-elle perdu la tête ?

Même quand c’est arrivé, nous avons pu compter sur elle.

Oui, et Tira a raison, les Conseillers ne nous décevront pas.

Moi j’ai plus confiance en les promesses des huit.

….

______________

Sur les toits de Galactica, Elle se tenait. Le cœur s’était éveillé, et le sien se remettait à battre. La promesse d’un nouveau chant et une rencontre l’avait sortie de sous la terre.

Tel un vent souffle sur les plaines désertes, dévêtues de reliefs, de végétations, de vies humaines.. Le Seigneur Obscure se joignit à cette assemblée, un Zéphyrien, Gardien de la paix. Tous ses frères, Wizards étaient présents, seul son maître manquait encore à l’appel, retenu dans l’Iwachika ? L’avenir nous le dira..

Il alla se placer proche de Sir Théran, derrière lui, dans l’ombre, son apparence était celle de l’ancien Gouvernant qu’il était, pour faciliter sa reconnaissance, celle de Cris..

Bonjour à tous, Wizards.. Seigneurs.. Inconscients..
Des présentations me semble dérisoires, car tout le monde me connaît sous cette apparence, vous pouvez m’appeler Cris pour faciliter le dialogue, vous, ancien, me connaissiez mieux sous ce nom, chef de l’Oracle Maudit, mais Zéphirien avant tout..
L’Ombre Maudite du Nécrolia rejoint donc son camp pour y apporter force et soutient.

Dame Kalyso, nous nous sommes croisés il y a peu.. trop peu, un sujet moins important que ce présent, mais tout aussi compromettant, cette fois votre rôle de Grande Conseillère se trouve être un défaut majeur chez vous.. Vous interposez à nous ? Pourquoi, vous le savez, les forces de notre triade ne sont pas immortelles mais belles et bien invincibles, comment faire face à des armées d’hommes qui ne ressentent pas la peur ?

Son bras droit reprit sa forme initiale, un nuage de magie pur, rougie de haine, de colère et par la chaleur des enfers,

Vous voyez, je n’ai plus de corps et la puissance de mon maître et de moi-même est dévouée à Théran et à sa terre Nécrolienne. Nous le suivront où il y ira, telle est notre destin d’Ombre Maudite..
Théran souhaite faire accomplir le « Chant des Ombres », comme tel est son désir, nous éliminerons tout opposant, même si cela doit nous coûter la vie, peut m’importe, sans Théran, ma vie n’a aucun but, on ne peut pas vivre sans but, une âme sans vie n’a pas sa place dans ce monde, je dévouerais donc mon âme au grand Théran.

Son bras reprit l’apparence qu’il avait au début de son arrivé..

Partez Dame Kalyso, votre sang ne doit pas nourrir ces sols, cela en serait inutile, l’ordre reviendra avec ou sans vous..

Les choses se faisaient. Elles paraissent parfois stagner pendant un temps long à supporter pour certains, jusqu’à ce qu’un changement vienne perturber ceux qui s’étaient conforter dans leur train-train habituel.

La plupart des gens n’aiment pas le changement, car il amène un tas de nouvelles données à analyser, et ces gens là n’aiment pas devoir s’adapter.

Ils devraient se rendre compte que la qualité propre à la race humaine est pourtant cette facilité d’adaptation. Ils peuvent se faire aux choses, mais ne le souhaitent pas car ont peur des risques que chaque grand changement peut entraîner.

Une jeune femme avait assisté de loin à tout ce qui venait de se passer. Elle n’était pas du côté des gardes, mais plutôt de la prise de contrôle de la corporation. En effet elle faisait partie des chefs d’états de l’alliance des trois. Elle était une Sombre Croisée et était venue pour voir comment se déroulerait les événements. Elle avait été étonnée de voir avec quelle rapidité et avec quelle démonstration de puissance les lieux avaient été investis.

Son pouvoir à elle était prêt à être utilisé en cas de besoin. Sa robe et son teint, tous deux d’un blanc à la limite de l’effroyable, juraient avec les couleurs des Wizards. Mais ce regard froid qui était le sien ne trompait pas, elle était bien de ceux qui étaient présents afin de voir le chaos s’insinuer et se reformer en un ordre prévu pour le bien de tous.

Mya Espheme n’était plus le mage qu’elle avait été auparavant. Son cœur s’était refroidi au cours d’un autre événement récent. Personne ne pouvait se douter de ce qu’elle avait vécu. Personne ne pouvait savoir, à part elle, que quelqu’un dans cette foule qui gardait ses distances en observant le grand écran extérieur montrant la salle où tout se mettait en place, la contemplait avec un regard noir. L’homme qui la regardait ainsi était resté fidèle à celui qu’elle avait vu tomber, qu’elle avait aimé, son fils.

Elle ne se soucia pas de cet homme et entra d’un pas lent dans le bâtiment de la Corporation. Certains gardes qui s’étaient échappés ne voyaient à présent l’entrée que de loin et pouvaient pourtant déceler en elle un froid bouleversant. Un sentiment glacé qui ferait reculer le commun des mortels. Elle continua son avancée et arriva dans la salle où se déroulaient les discussions prévisibles de ceux qui veulent faire comprendre qu’ils agissent pour le bien de tous, et de ceux qui n’ont pas encore accepté que le changement était déjà là, s’étant installé sans demander d’avis, car la plupart des gens ne savent pas vraiment ce qui est bon pour eux.

Les yeux sans expression de Mya se posèrent alors sur chacun des intervenants, à mesure qu’ils intervenaient. Les tensions faisaient de l’ambiance, une atmosphère riche en adrénaline. Mya avait remarqué cela, car c’était palpable dans l’air, mais elle ne pouvait plus ressentir de telles choses et elle n’avait plus de quoi le regretter. Elle s’avança petit à petit et prit la parole quand elle estima qu’il était temps pour elle de la prendre.

- Bonjour à tous. Je me présente, Mya Espheme. Je gouverne l’état du même nom et suis là en tant que membre des Sombres Croisades, et également partisane de l’Hégémonia Bultéria. J’aimerais pouvoir convaincre ceux qui ont déjà dans l’idée de faire appel aux armes contre nous, que ce qui est en train de se passer est en effet nécessaire à tout le monde.

Quand un futur doit voir le jour, le présent se voit plonger dans la nuit. Il ne peut en être autrement car c’est une loi de la nature avec laquelle nous avons appris à vivre. Nous voulons tous une paix digne de ce nom mais pour que cela arrive, il faut d’abord que les choses changent, qu’elles soient sous le contrôle de ceux qui permettront ce passage par une phase de chaos.

Vous ne le savez peut-être pas, mais ceux qui essaieront de nous barrer le chemin ne trouveront que la mort. Ces paroles peuvent faire réagir de façons différentes et j’entends déjà certains en dire que la violence n’engendre que la violence et que la paix ne peut naître de cette manière. Le fait est que notre violence ne s’abat que parce que personne ne nous aurait laissé faire. A cela vous vous demanderiez qui nous sommes pour proclamer que nous seuls pourrions instaurer cette paix...

Mya laissa s’échapper un petit rire qui n’avait rien de joyeux. Son sourire paraissait être celui d’une statue de cire qui aurait subi les intempéries d’une forte chaleur.

- Nous sommes la réponse. Nous sommes la puissance indéniable qui a le pouvoir de mettre en place ce que vous n’osiez à peine espérer. Si les Sombres Croisades interdisent à tous ceux qui ne sont pas nos alliés de posséder plus de 750 000 unités d’espace, c’est bien parce que peu sont véritablement capables de gérer un état si grand. Plus il y a de monde sur un état qui s’agrandit démesurément et plus il y a de chances de voir sa population se faire corrompre par la jalousie de la richesse gouvernementale. Ceux qui sont aux sommets connaissent les secrets qui font d’un chef, le symbole de la grandeur. Car le peuple d’un état, ainsi que son armée, font la force de celui qui les gouverne. Ainsi un grand état, en parlant là de sa taille, qui brillerait de par son instabilité mettrait grandement en danger cette paix qui nous conduira tous sur le chemin de la quiétude.

Les conseillers me traiteraient certainement volontiers de naïve, de prétentieuse, de petite idiote qui ne connaît rien de la vie... Car c’est toujours ce que ce genre de personnes pense de ceux qui osent ne pas être d’accord avec eux. Je suis ce que vous voulez, conseillers, car je me fiche de votre opinion. Puis je considérerais facilement votre ton dédaigneux et moqueur comme une conséquence de votre propre ego qui ne veut pas voir la réalité en face, celle de votre déclin.

A présent je laisse la parole aux autres chefs ici présents, et vous rappelle que moins de résistance il y aura, moins nombreux seront les morts.

Mya jeta un regard circulaire à l’assemblée et alla s’asseoir à un des sièges encore libres. Son discours avait peut-être soulevé des questions auxquelles elle répondrait sans détour.

Elle attendait maintenant la suite avec patience.

Oh toi mouvement de rébellion, n’insiste pas car nous ne voulons ta mort qu’à cause de la mauvaise voie que tu as prise...

La sphère de Force, Jin ne comprenait pas pourquoi, cette sphère ne le représentait pas totalement, enfin peux importe. Jin se leva, et tendit a min pour prendre la sphère qui rayonnait devant lui. Elle était entourer d'un champ de magie pur. Histugaya Jin mit sa main au dessus, puis bloqua la sphère, a ce moment ses yeux devinrent Gris, mais au lieu de les avoir gris partout il n'y avait que l'iris pas comme lorsqu'il a les yeux bleus sur bleus. Un grand vent brisa les fenêtres, les portes se fermèrent violemment, les gens commencèrent a s'affoler dans la pièce. Donc Jin prit la parole, mais avec une voix double, comme s'ils étaient deux.

Je me présente a vous, Génie Histugaya Jin, Investigateur des Wizard,
vous pouvez voir deux sabre a mon côté, l'un représente la Force d'Arathil, l'autre sa sagesse, ce sont deux sabre en Thorium forgé par notre Déesse, et a présent je les met a disposition de Nivaria Kenthar, devant vous tous, je vous prend pour témoin.

A présent, vous êtes satisfaite Tira, "Il" vous a montré sa puissance, veuillez a présent ne plus jamais outrager notre Dieu. Je vais donc maintenant vous dire une chose, nous ne voulons pas votre mort, comme la dit Mya, si vous n'opposez pas de résistance l'Ordre arrivera sans mort, ce qui serait be*ucoup mieux.
Et nous aussi voulons sauver le voile, car cette tache est dans l'intérêt commun, c'est pour cela que nous avons besoin de l'Edar Warren. Notre quête est noble, donc je vous demanderait de la respecter, sinon des châtiments serons prit.


Avec vous il n'y aura que la MORT !

Un homme armé ce jeta sur Jin, il esquiva le premier coup, puis un mur de feu vînt devant les 8 Wizard, Soul les protégeait, Jin fit un signe au garde de le laisser faire. L'homme attaquait Jin avec toute sa véhémence, il fendait l'air et quand Jin atteint le mur, il lança une contre attaque, il utilisa sa main pour arrêter un coup. Tous était étonné, mais ce qui sentait le mana, savait qu'il utilisait du mana pur pour empêche la lame de fendre sa chaire.

Shoï

Ce cri libéra l'énergie magique, et la lame de l'agresseur fut détruite. Ce même agresseur reçu un bout de métal dans la joue droite, il s'appelait Majis, et Jin décida de l'épargner pour montrer que les Wizard ne sont pas de anime*ux comparé a d'autre. Il alla se rassoir.

Un cuirassier approchait de la corporation Galactique: l'étandard du Pacifica.

Bellone qui avait été envoyé par son Empereur pour y effectuer une mission de dernier recours, atterit sur une plate-forme un rien éloignée du bâtiment, car toutes les autres aux alentours de la Corporation, étaient déjà occupées.

Activez le champs de force autour du vaisseau Capitaine. Ainsi personne ne pourra pénétrer dans celui-ci, même pas ces idiots de sorciers à la noix

Bellone sortit du cuirassier et se dirigea avec 2 gardes vers le bâtiment.
A son approche il sentit quelques nervosités et agissements inhabituels, mais grâce aux informations de "l'ami", aucunes surprises: il savait qui était là et pourquoi.

Bellone entra dans le bâtiment, passa aux côtés des gardes sans se soucier de ceux-ci et traversa l'immense couloir avant de se rendre par les passages secrets que "l'ami" lui avait indiqué, pour enfin arrivé devant cette salle qui connut en ce moment même de biens tristes moments.

La porte claqua d'une violence innouïe et il pénétra dans la salle.

Ne vous vous dérangez pas pour moi! restez assis et écoutez

Je suis Bellone, un officier de ce que fut Pacifica et mon Empereur m'envoit en ces lieux pour vous déscerner un message, à vous, fous, qui avez investit ces lieux pour promulguer une ére nouvelle.

D'abord sachez que je n'ai que faire de ce que vous pensez du fait que nous ayons choisi de quitter le système.
Ensuite, nous avons que foutre du fait de ce que vous pensiez du fait que nous utilisons une technologie prohibée, qui soit dit en passant, n'a^pas influencé en quoi que ce soit ce système, du moins pas encore!

C'est d'ailleurs la raison de ma venue:
Vous les fous, c'est à vous que je m'adresse, L'Empereur bien qu'il ait quitté ce sysytème pour des raisons déjà évoquées, ne pouvait pas rester indifférent à l'appel de "l'ami", et a décidié d'agir;

Vous avez exactement 24 heures pour replier bagages et rentrer chez vous, sinon, vous pourrez le regretter amèrement et croyez moi, ces paroles ne sont pas veines! nous ne prendrions pas le risque de revenir vous avertir, si nous ne disposions pas de quelque chose qui pourrait fortement contrecarrer vos projets.
Alors soyez raisonnable. Et me tuer ne ferait qu'aggraver les choses.

Je fais appel à vous Dame Kouraï, vous qui semblez avoir perdu la raison, mais L'Empereur et vous partagiez des idées communes autrefois

Que vous est-il arrivé?

Quant à vous bandes de vermines de l'Oracle Maudit, vous portez bien votre nom. ET ne venez pas avec votre litanie habituelle du style "venez vous battre"....on viendra, croyez moi, mais rien qu'une seule fois, cela sera amplement suffisant.

Il régna soudainement un calme bien étrange dans cette salle, bien surprennant, car Bellone pensait d'abord devoir entendre des remontrances habituelles, mais rien.... on verra...

Et d'où venait cette assurance ? Mystère qui sear bientôt divulgué

Le siège attaqué, encor une foi. Comme la foi précédente, Agreian était dans les locaux du siège comme représentant de l’orbe pour la guerre face aux AD, guerre qui se prolongeais par un cessé le feu entendu entre les deux partis.

Lorsque l’alerte avait retenti, Agreian ne s’était pas levé pour se mêler à la foule de gens paniqué. Il savait, il savait que s’il tentait de fuir avec les autres diplomates, son infirmité s’en ferait ressentire d’emblée et il risquerais bien vite de se retrouvé à terre et hors de porté de Ridan qui ne pourrait l’aider et qui s’en voudrait à vie. Ensuite, il savait qu’il n’avait rien à craindre des attaquants, il n’avait rien à craindre de son propre frère.

Les cris finirent par n’être plus qu’un brouhaha lointain. Agreian sut qu’il était temps de bouger, il fit signe à Ridan qui était resté à sa gauche, légèrement en arrière comme à son habitude.

-Viens Ridan, allons le rejoindre, nous n’avons rien à craindre de lui.

Ridan n’était pas très alaise mais restait fidèle au poste et il rempli sa fonction comme d’habitude avec brio. Ils parcoururent les longs couloire du siège en silence, seul le bruit de leur pas et celui de la canne d’Agreian se faisait entendre. Au loin, un brouhaha incertain ponctué de silence et de ce qui semblaient êtres des discours. Ils suivirent le bruit et arrivèrent rapidement au lieu dit.

-Ridan ?

-Oui seigneur ?

-Où est mon frère ? Où est Théran ? Décris moi la pièce.

-Neuf trônes occupe le mur du fond, ils sont occupé par Lidhyle Nalashadd, Dame Kourai, Histugaya Jin, Larmes de Béryls, Tsuribé Sandénoï, Soul of Alastor, Nivaria Kenthar et Théran Azhar. Le neuvième trône est au centre des autres, il est vide. Thé est à sa droite. Devant les trônes, ils y quelque sièges dont une est occupée par le Gouvernant Cris et une autre par Mya Espheme. Devant ces sièges, il y a la foule et finalement nous. Voilà ce que je vois seigneur.

-Merci Ridan, comme toujours tu t’acquitte de ta tache avec brio.

-Merci seigneur.

-Aide moi à le rejoindre.

-Bien seigneur.

Ridan prit les devants, il s’adressa à chaque personne se trouvant devant lui avec la courtoisie élémentaire. Il dégagea rapidement un chemin assez large dans la foule et Agreian le suivait de près. Il souriait, son esprit était joyeux, ils allaient enfin se retrouver, les Azhar allaient être réunit.

-Agreian !

-Théran !

Théran descendit de son trône, contourna les sièges et arriva au devant de la foule lorsque son frère y arriva aussi. Tout deux restèrent silencieux, l’un en face de l’autre et puis ce fut les grandes accolades. Tout deux riaient, se tapaient dans le dos, les larmes de joie coulaient. Ridan avais la main à sa ceinture, près à intervenir au cas où quelqu’un dans l’assemblée tenterais d’intervenir et heureusement, personne ne tenta rien.

Les deux frères se regardèrent et prirent ensuite le chemin de leur place respective, Théran sur son trône, Agreian sur un siège, juste devant Théran. Le grand veillait sur le petit et la situation retourna à sa gravité originel.

Comme a son habitude, ces six pomme de hauteur permetez à l'Impératrice de se fofiler un peu partout. L'impératrice Henrietta se tenez a l'entrer de la salle, avec un regarde de colère, car l'Impératrice en avez plus qu'assez de se qu'il se passé, plus qu'assez des tonnes et des tonnes de sornettes qui ont été dites.

<<Monsieur, ce n'est pas la peine de crier sur ces personnes, elles ne comprennent rien et juste pour se donner la conviction qu'elles fond la bonne chose, elles n'écoutes pas les autres.
Il ne faut pas crier sur cet personne, il faut en rire, ils ne font que dire le contraire de ce qu'ils sont, et ne voie même pas ce qu'ils sont.>>

L'impératrice avanca près de pacifica qui venait de parler en lui adressant quelques phrases en regardant les personnes toute autour.

<<Dites moi, voyez vous un quelconque intérêt a parler avec ça, on ne peut qualifier ça, je me garderais a m'abaisser a insulter les personnes ca ne sert strictement a rien comme votre soit disant paix car les personnes que vous ne voulez pas voir naitre, sont naient>>

L'imperatrice Henrietta meta sa main sur son front avec un aire d'être désespéré.

<<Votre paix n'est pas une paix, c'est une tyranie, rien que dans le fait qu'on ne doit pas dépaser 750 000 unité d'espace. Pensez vous que tout le monde soit aussi bêtes que vous pour tomber dans le piége de la grosse tête? Vous êtes juste aveugles, vous ne voulez pas que des personnes prennent la grosses têtes de part la puissance qu'il ont? Mais vous ne voyez pas que vous êtes ce genre de personnes. Oui vous êtes des tyrans qui ont la grosse tête et qui se crois tout permis car ils ont la puissance. Vous voulez la paix, alors que vous causer la guerre, et vous ne voulez pas de personnes qui attrapent la grosse tête, mais vous êtes ces personnes.
Vous freinez vous même les Etats à ne pas se déveloper en leur mettant une limite, c'est grotesque. Vous voulez faire bouger les choses? et si tout le monde n'étaient pas stupide et que tout simplement tout le monde respectaient cette regle. Que se passerait -il? Vous ne pourriez plus attaquer qui que se soit et vous vous retrouverez comme au debut, a vous ennuyer mais là encore plus. A quoi cela sert a consacrer du temps a une chose qui sera détruite? A rien alors croyez vous que beaucoup vont vous défier, pfffff, que nenie. On va juste vous énerver a ne rien faire et a vivre comme des fermiers juste pour vous embeter et a vous faire redescendre de votre nuage invisible.>>

L'Impératrice Henrietta enleva sa main et parla calmement.

<<Maintenant faite ce que vous voulez de toute façon mon Etat ne subit que mon autoriter pas celle d'ânes qui se croient être des chevaux de courses. Rasez moi si vous le souhaitez, qu'est ce que ça peut faire, ca prouvera a quelle point vous êtes des idiots car dès qu'une persone parle et à raison , vous lui frapper dessus. Si le monde des chroniques doit devenir aussi pourrie, qu'il en soit ainsi. Moi je vie selon mes regles qui sont "Fermier tu sera, aucune armée tu élévera" Si je viens a subir un gourou injuste, je ferrais que quitter le monde, devenu merdique, des chroniques que vous avez instauré. Si un chef instaure des régles qui ne sont pas appliquées, alors ce n'est pas un chef car il n'est aimé de personne, Ce n'est qu'un megaloman egocentrique.
Et dans ces dires, il n'y a rien de lache relative à la fuite face aux régles, faut juste être réaliste et ne pas suivre des régles injustes et tyraniques inutilements.>>

L'impératrice retourna près de la porte en attendant que quelqu'un réponde des phrases qu'ils veulent dire quelque chose et pas encore des phrases répetitives qui évoqueriaent encore la supérioté ou la vanité de ces personnes arogantes et égocentriques.

Pacifica passa pour une personne qu'il n'est pas lors de son discours, aux yeux des Seigneurs Wizards, ce dirigeant de pacotille passa pour une "grande gueule", une de plus parmi tant d'autres, pourquoi vient t-il jusque ici pour essayer, et oui, uniquement essayer de les faire reculer.. ? Ce pauvre fou se prendrait t-il pour un dieu.. Essayer de rabaisser l'élite avec ses mots dérisoires, c'est lamentable..

Le Seigneur Obscur.. Cris.. Sortit des tribunes dans lesquelles il était assit et descendit à une vitesse excessivement lente, était-ce son corps qui le faisait prendre une telle allure, ou simplement les âneries que racontait ce misérable insecte.. ? Son regard était vide, une absence totale de lucidité s'y faisait ressentir, Ses yeux blanc comme dénudé de pupille, arrivait-il a distinguer là où il mettait les pieds?

Vous, pour qui vous prenez vous donc ? Seul les dieux pourrait juger l'Oracle Maudit, seul quelqu'un de supérieur aux Maudits peut ce permettre de telle immondice, pas vous misérable insecte !

Levant la tête vers ce haut plafond décoré de toutes sortes de peintures décolorées par le temps..

Pourquoi donc vous morfondre sur cette alliance, je sais qu’elle engendre beaucoup de jalousie, mais au point de la blâmer pour essayer de vous donner de l’estime, ça en devient ridicule.. Mais vous savez, nous avons réfléchit longuement, très longuement pour la rendre aussi parfaite qu’elle l’est, victoire après victoire nous l’avons améliorée, nous l’avons rendu plus forte, plus soudée, ne critiquez plus cette alliance par jalousie, critiquez la pour c’est défaut si vous êtes capable dans trouver qui ne sont pas chez vous misérable alliance..

Les tribunes commencèrent à devenir plus bruyantes, chaque personne parlait avec son voisin,

Silence

Les bruits s’atteignirent mais quelques imprudents continuèrent à bavarder,

Silence insectes, gardes, faites les sortir !

Je sais, vous cherchiez un défaut à cette alliance, et non, être parfait n’est pas un défaut, malgré ce que vous pouvez en penser.. Non, la puissance non plus n’est pas un défaut..
Apprenez donc à vous construire un avenir, des alliances ne deviennent pas puissantes seules, elles le deviennent avec des alliés, solidaires, se battant main dans la main et triomphant inlassablement, ne choisissez pas vos alliés par leurs puissances mais par leurs fiabilités, je sais notre cas n’est pas un bonne exemple, nos alliés sont à nos cotés, les plus puissants, mais quand cette alliance s’est formée, nous n’avions pas une telle puissance, l’Oracle Maudit, les Sombres Croisades et l’ARM ont commencé comme toutes les alliances, au stade le plus bas, mais simplement avec quelques peu de, excusez moi l’expression, mais avec un peu de « jugeotte » nous sommes passés au stade d’élite.. L’Ediloria menée a l’époque pas moi-même et le Seigneur Danta de l’E-Den connut ce même chemin, sauf que ses défauts étaient plus important, il nous manquait un élément, Théran..

Maintenant nos forces sont une fois de plus réunies, pour notre coup ultime, rétablir l’ordre, n’importe qu’elle opposition sera inutile, vos chances sont minimes voire inexistantes depuis que les sphères sont notre !

Cris remonta vers les gradins, laissant un regard inquiet vers l’enfant aillant fait son entré..
Il s'approcha de Théran et lui murmura quelques mots à l'oreille et Théran eu un méchant sourrir, un sourrir de soulagement, un sourrir d'impatience..

Mon maître est en direction de la salle, il approche et .. il n'est pas seul.. le vent des morts l'accompagne..

Il se posta à l'entré de la salle, en attendant son vénéré maître..

Quels fous...

Masque d'acier, maintenu à même la chair, chapeau recouvrant le reste de son crâne, longue cape noire dissimulant son corps entier, et gants de velours recouvrant ses mains puissantes. Le voila tel quel présent dans la salle. Son nom ? Personne ne le savait, et lui même semblait l'avoir oublié. Une seule indication sur son identité, le chiffre IV imprimé sur le menton de son masque.

Lui, IL s'était relevé. Amère personne... Quelques gouttes de sa personnalité dans ce mélange rendrait certainement la chose meilleure. Il s'était retourné vers la foule de dirigeants d'états. Sa voix forte et rapide parcouru l'assemblée, s'imprégnant au fond des esprits.

« Mes amis. Vous qui représentez tous et chacun un peuple, une nation. Quelle folie êtes vous en train de commettre ? Ne vous rendez vous pas compte ? Avez vous seulement écouté les paroles de nos hôtes ? Si Dieu vous a donné l'intelligence, c'est pour que vous vous en serviez, pas pour que vous répondiez bêtement par des menaces à ceux qui représentent la force brute ici même !

Qu'espérez vous en jouant à ce jeu ? Vous faire passer pour des martyrs ? Plan astucieux, je vous l'accorde, mais qu'est donc un martyr si tous autour de lui ne sont que martyrs ?

Ne croyez vous pas plus sage d'obéir ? Quitte à organiser une rébellion face au pouvoir en place, faites le de manière censée ! Ce n'est pas en menaçant à tour de bras que vous pourrez faire avancer les choses ! En menaçant ces êtres, vous ne leurs fournissez qu'un prétexte supplémentaire pour vous éliminer. Respectez leurs règles, et il ne pourra rien vous arriver, ou alors, vous pourrez effectivement passer pour des martyrs !

Je vous le répète, moi qui apparemment serais le seul à user de mon appendice encéphale ici, agissez avec intelligence !

D'autre part, qui êtes vous pour critiquer un système dont vous n'avez pas encore souffert ? Combien d'entre vous ici, qui se plaignent de subir une tyrannie violente et virulente, en exercent une sur leur peuple ? Ah, oui, c'est vrai, ce n'est pas une bande d'esclaves qui est aujourd'hui la victime, mais vous. En attendant, qui êtes vous pour critiquer ce système ? L'idée de ce système en elle même n'est pas mauvaise, laissez donc à son auteur le soin d'appliquer ses dires. Quand à vous, voyez si les partisans de l'Hégémonia Bultéria vont tenir parole, et faire venir la paix en ce monde. Si ce n'est pas le cas, vous aurez une raison LEGITIME de vous venger. Je vous le dis et vous le répète, n'agissez que dans la légitimité, pour votre intérêt à tous. »

Ceci dit, il se tût brusquement, et se rassit à sa place.

Enfin,

Le pouvoir, le pouvoir ultime, le vent des morts mêler au vent du zéphyr,

Enfin la prophétie accomplie, la corporation, détrônée, le diable détrôné, le voile, un trou, les morts, de retour sous les ordres du Seigneur Noir.

La quête, achevée, grâce au pouvoir des deux, il a perdu, le diable est mort et son successeur tout puissant....est né…

Corps de magie pure,corps brûlant tout sous ses pats, corps immortel de couleur rouge tel l’enfer, il règne à présent dans les abysses et en est le seul maître mais en est lié à jamais et ne pourra jamais s’en délié…

Il avait réussis, dans leur quête du pouvoir ultime et après avoir suffoqué en enfer pendant des millénaires qui dans la galaxie ne représente que quelques jours, il en était ressortit vivant et bien plus puissant, à vrai dire.

Qui pouvait le détruire aujourd’hui ? Les sphères ? Non, elles sont ses alliés à présent, la magie ? Non il en est la source même. La mort ? Non, il en est le seigneur…. Qui ? …

Le vent est à présent tout puissant…

L’Ombre Maudite était enfin de retour en terre mortes d’Iwachika Sakazusa . Enfin, il revenait à ses origines, enfin il allait pouvoir à tous leur montrer, leur montrer la vraie puissance de ce monde…. Les Wizards avaient joués leur rôle et s’étaient dévoiler, comment le savait-il ? Son frère revenu avant lui, lui avait dit. Comment ? Mais ils sont liés, et de l’un ne peu se séparer l’autre…

Le Seigneur Noir devenu couleur rouge feu se déplaçait plus vit que tout en ce monde, pour lui le temps ne se faisait que part l’intermédiaire de l’enfer, autant dire qu’il avait le temps de faire le tour de la galaxie, de vous tuer, vous juger en enfer, le temps que l’œil batte d’un cil…

Il était dans son palais, mais celui-ci ne lui plaisait plus, levant une main, il le rasa, poussière tu fut poussière tu redevient…
Leva la deuxième main et du sol jaillis un palais à son envergure… que dir d’autre… un palais comme il n’en existe encor, un palais fait de chair et de sang, un palais cré par la magie des enfers elle-même, telle était sa puissance aujourd’hui…

Il le savait son arrivée à la corporation était attendu…. Il sourit, comment avait-il put penser vaincre ? Les wizards avaient affirmés leur position et leur pouvoir légitime, mais le destin du Seigneur même s’il les suivait était à présent tout autre, il était lié à jamais aux basses profondeurs de l’enfer, et rien ne pouvait l’en détourner. Pourtant, il connaissait ses alliés et à présent allait leur apporter leur soutien….

Le Vent des Morts….

Au siège de la Corporation….

Devant les portes gardées par les soldats des wizards, apparurent de vastes nuages dans le ciel, des nuages noirs, des nuages annonçant la fin, des nuages d’une noirceur mortelle, et en leurs seins, une odeur…
Les gardes observaient ces nuages qui semblaient se déployer à toute vitesse au dessus de leur têtes, un vent se mit doucement à souffler, puis pris de l’ampleur, il se mit à souffler beaucoup plus fort, venant du ciel lui-même, il créait des tourbillons de fumées noires, il engendrait la peur, celle-ci commença à s’insinuer dans l’esprit des deux gardes qui petit à petit commençait à reculer, se préparant à entrer en toute hâte dans le Siège lui-même.

Soudain venu du ciel se propagea un cri, un cri retentissant dans tout le système, un cri de milliards d’âmes, des âmes mortes, des âmes venues de l’enfer, des âmes damnées sous l’effigie de leur maître…Un brouhaha laissant sortir telles de goûtent des êtres apparaissant de partout, des fantômes, de partout, ils étaient partout, envahissant la corporation, ils passait au travers des murs, au travers des corps, ils détruisait ce qui pouvait rester de rébellion, il détruisaient avec eux toute espérance…toute espérance de rébellion…

Et au milieu de tout cela, au milieu de touts ces morts venu d’outre tombe il apparut, se dépliant de toute sa hauteur, il apparut lui, le nouveau roi des ténèbres, le nouveau né de l’enfer, d’un corps de magie pur, d’une puissance incommensurable, il apparut dans un tourbillon de mort… Le Seigneur Noir arrivait, et l’armée des Morts le suivait...

NOUS Y SOMMES …

A peine ces mots prononcés, les âmes se ruèrent au seins de la corporation, franchissant les barrières magiques sans difficultés, ils se placèrent en tout point de la corporation, chaque espace, chaque millimètre était surveillés par ces milliards, cette marée d’âmes… des âmes mortes, des âmes qui même détruites reviendraient toujours du voile.

En ce qui pour beaucoup ne semblait même pas un centième de seconde et qui pour lui parut quelques heures le temps de faire le tour, le Seigneur Noir vint se placer devant les wizards…

Ils furent surpris, surpris de le voir, lui qui était noir et déjà puissant était aujourd’hui rouge et surpuissant, son pouvoir, ils ne pouvaient le mesurer, il n’était plus de ce monde pour pouvoir être comparé d’ailleurs, derrière lui, les pierres en fusions sous ses pats, ils brûlait, son corps, tout brûlait, sa magie, il la contrôlait pour ne pas tout détruire, et dans une reverance majestueuse venant de sa part pris la parole :

Wizards … je vous salut

Je viens comme promis apporter mon soutien, mais ne peu pour vous accomplir votre mission… Néanmoins un petit présent… pour vous aider et faire de vous le pouvoir légitime…

Ces mots prononcés, le Seigneur Noir leva une main, et la salle qui d’extérieur resta similaire, d’intérieur vis apparaître en son seins la place même dans laquelle les deux ombres avaient combattu le diable, une place faite de milliards de kilomètres carrés, une place d’où les flammes jaillissait un peu partout et de cette place, apparut l’Armée des Morts.
Des millions, des milliards, une infinie marrée d’âmes rangées les une à cotés des autre n’attendant qu’un ordre de leur nouveau Seigneur pour tout envahir.

Cette, armée, je vous l’offre, avec elle, aucune armée n’est en mesure de vous résister, aucune magie ne peu la détruire et aucun sort l’anéantir, elle est votre et par celle-ci notre destin ensemble scellé.

Très cher Wizards, je ne peu rester car les profondes abysses de l’enfer ou grâce à vous de nouvelles âmes arrivent me demandent, j’en suis le nouveau maître et par ce fait ne peu me libérer de cette obligation. Cependant, prononcés mon nom et pour vous je viendrais dans ce monde détruire quiconque s’opposera à vous.

Le Silence battait son plein dans cette salle devenu enfer, un homme se leva et cria. Il n’eu pas le temps de finir ….

Que les vent des morts et du Zéphyr mènent les Wizards à la victoire….



Mon armée reste à vos ordres....

Le Seigneur Noir venait de laisser son empreinte et la salle qui avait laissé place un court instant aux enfers même repris sa forme initiale. D'un mouvement de main, le Seigneur fit apparaitre au coup du Maitre et régeant du nécrolia une petite pierre bleu luisante...


Par celle-ci je te confie l'armée des morts ...

Lidhyle sortit enfin de l’ombre. Car il était dans sa nature de rester à l’écart, de ne pas réagir, de ne pas prendre part. Elle laissait faire, elle laissait couler, mais rien ne lui échappait. Et malgré sa position reculée, elle prenait beaucoup sur elle-même pour ne pas faire d’erreurs. Elle avait toujours été comme cela, elle ne changera pas. Elle est fébrile, car elle est jeune, et elle a peur. Mais qui a dit que sans peur, le courage n’existait ? Qui a expliqué que tout, pouvait un moment ou un autre se retournait, dans le bon ou dans le mauvais sens. Il ne suffit guère que de savoir se maîtriser. Guère… Ce fut dure, mais elle y est arrivée aujourd’hui, et les différentes aventures qu leur permirent de récupérer les sphères ne furent pas de trop…Elle avait appris sur elle-même, elle avait appris ce qu’elle valait réellement. Et si autrefois, c’était tous ces orgueilleux, tous ces monstres, Warren ou un même Terluan qui lui faisait peur, c’est maintenant la vérité, la solution de tous les problèmes, mais trop vite. Découvrir en quelques semaines l’inventaire de tels pouvoirs était trop important pour elle. Alors elle prenait encore et toujours sur elle. Et tout cet effort lui rongeait ses rêves, ses envies, sa vie. Car il faudra du temps avant qu’elle ne désire apprécier de tels enseignements, qu’elle puisse enfin vivre dans une liberté total, et une acceptation naïve de soi-même….
Elle sentait, au plus profond d’elle, que la tension montait, et que comme ils l’avaient prévus, quelques mécréants ignorants s’en prendraient à elle. Alors, par pur précaution et non par fierté, elle se concentra, et de son esprit jailli un ordre. Ordre énorme qui longeait ses rouleaux à l’intérieur de ses terminaisons nerveuses, qui reliait son organe dominant à la future puissance. En quelques secondes, les molécules du bras droit de la jeune Wizards se transformèrent en atomes de méthane, qui au contact de l’aura de magie verte, réagirent et formèrent une matière presque indestructible… Le long de son coude jusqu’à l’extrême bout de ses ongles, un immense muscle d’acier venait se dessiner, laissant court Lidhyle à un immense bonheur, un bonheur rassurant. Elle ordonnait, et le métal pourtant dur comme du roc, bougeait sous son impulsion, nerveuse et magique. Il était un arme, elle ordonnait, il exécutait, machine infernale… L’Ir Akiarnom, tel était son nom, et elle était seul à pouvoir utiliser le produit de leurs oncles nécromanciens… L’Ir Akiarnom…

Autour d’elle, telle un satellite autour de sa lune, tournoyait sa sphère, comme en orbite. Lidhyle ne l’avait pas encore remarqué, elle qui fusionnait totalement avec sa maîtresse. Personne ne l’avait aperçu, elle allait trop vite, pourtant, Lidhyle lui parlait et elle répondait, sans même la voir. Elle sentait sa présence bienfaisante, car elle aussi était heureuse. Délivrée d’on ne sait qu’elle piège ou aventure, la sphère de la Terre dansait autour de son possesseur, l’emportant dans son éternel rituel… Alors la jeune femme décollait, dans un monde complètement annexe, où elles étaient seules, comme deux muses d’un autre monde. Elle dansaient toues les deux, comme si elle avaient ainsi fait durant des centaines de milliers d’années. A l’unisson, elle gesticulait magnifiquement. Bien que leur corps soit différent, l’esprit est le même, et c’est comme si elles avaient été deux sœurs, deux amis, car lorsque l’une changeait, l’autre suivait, afin de regagner la teinte artistique qu’elles dégageaient lorsque elles avaient commencées. On aurait dit que rien ne pouvait les arrêter. Et, il est vrai, elles auraient pu continuer durant des siècles entiers, laissant le monde à leur propre destiné, mais elles ne pouvaient pas effacer tous ces sentiments qu’elles ont agrémentés pendant toute leur vie.

Car, devant la salle du palais où tous les Wizards, l’Ombre Maudite et alliés comme ennemis, tous étaient postés "là", là où toutes les minutes un nouveau discours se prononçait. Et elle ne voulait manquer cela pour rien au monde, même une danse avec sa sphère, dans un monde plus qu’extraordinaire ne suffisait pas… Et pourtant, en regagnant cette terre, le dégoût fis place, l’amertume et la violence remplacèrent l’envie et la joie. Nostalgie… Tous ces fils de seigneurs, qui n’amènent que pleurs et souffrance !

* Nous nous fichons pas mal de vos histoires et de vos contes. Nous avons assez luttés pour être capable de maîtriser les limites de notre expérience. Alors qu’ils nous laissent, laissent jouir de ce pouvoir que pendant si longtemps nous avons préparé. Ils ont été prévenus, ils n’ont rien écouté, alors qu’ils meurent dans notre haine, par le feu de l’armée des morts, par les tortures de l’Orbe Maudite. *
* Allons Lidhyle, ma chère, ne laisse pas la violence s’emparer de toi. Tu ne mérites pas de plonger dans l’éternelle souffrance, tu ne crois pas ? *
* Ne souffre-je pas, rien qu’aujourd’hui ? Je ne suis plus bonne à vivre. Alors je n’ai plus rien à perdre. La folie ne me fais pas peur, elle me répugne c’est tout. Mais si je dois passer par là un jour, alors je n’hésiterais pas. *

Elle pleurait, car elle savait qu’elle avait tort. Mais toutes ces émotions la rendaient encore plus fébriles, et dans son esprit il n’y avait alors plus qu'hésitation.
Alors elle ordonna. La sphère réagit lâchant son éclat mauve, et Lidhyle s’enfonça dans la terre. Elle réapparut à quelques pieds d’un hommes. Elle se précipita sur l’inconnu qui avait osé proposer son point de vue sobre et inerte. Elle leva la main, cette main d’acier, qui sur son ordre laissa passer entre l’index et le majeur une longue lame, fine et plate, qui se pointait vers la gorge de l’adversaire. Pas de réactions, pas de ripostes, qu’avait-il à faire ?

Un regard, un bref coup d’œil suffit. Théran l’avait épié, il avait sûrement deviné. Mais c’était tout. Son regard valait mieux que n’importe quel discours d’un spécialiste, thèse ordonnée d’un professeur de physique ou de philosophie. Il disait tout, et il apportait les solutions, rien que par ce bref changement d’axe de ses pupilles.

* Tu avais raison, mon amie, ma protectrice, rien ni personne ne mérite tel sentence. *
* Eux, peut-être … *
* Non, eux, ils méritent pire ! … *

Le druide se resservit un verre d'hydromel. Le liquide, doré à souhait, presque ambré, coula lentement dans sa corne de vermeil, superbement ouvragée, ciselée de façon à rapeller les formes tumultueuses des branches d'un arbre. Respirant une seconde les exhalaisons sucrées de la boisson, le Vindilis-ror soupira d'aise, puis porta le liquide à ses lèvres, appréciant d'avance le contact avec l'alcool sirupeux.

-Très bien. L'heure est venue.

En face du siège du druide, un écran géant transmettait une image de la princesse Nalashadd. Resplendissante dans sa tenue pourtant sobre, elle venait de lui annoncer que ça commence.

Le druide leva son verre en l'honneur de la princesse, ne pouvant s'empêcher de se rappeler d'une certaine nuit, il y a déjà quelques temps... Il bût son verre d'un trait, le reposa puis se leva pour aller activer le système qu'il avait imaginé depuis quelques semaines... C'est LUI qui s'était chargé de la formation du groupe d'inquisiteurs qui sème la panique chez les mages de toute sorte, au sein du Siège de la Corporation. De ce fait, ces inquisiteurs constituaient, officieusement, une sorte de garde personnelle du druide... Il en fît immédiatement la preuve, en les rappelant tous. Dans quelques minutes à peine, ils seraient tous réunis dans leur quartier, attendant la suite des évènements. Laissant libre cour à la magie...

-C'est fait, Lidhyle. Vous pouvez venir. Je désactive également les systèmes d'impulsion électromagnétique, si ils s'enclenchent, vous pourriez avoir des problèmes.

Le précieux code d'annulation des sécurités, conservés jalousement par les membres du Conseil, fût rapidement tapé sur le clavier du centre principal de la sécurité du Siège.

-Que la fête commence ! Ne vous occupez pas de moi pour l'instant, je vous laisse faire... Pour plusieurs raisons, je dois encore conserver les apparences. Peu savent que le Vindilis va intégrer les Sombres Croisades... Et c'est tant mieux, pour l'instant.

Lidhyle... Nous reparlerons, une fois cette agitation passée, d'accord ?

Sans attendre l'éventuelle réponse de la jeune femme, il éteignit le transmetteur. Encore quelques manipulations, comme l'ouverture impromptue des portes sécurisées, et le Siège serait livré aux Wizards comme un paquet cadeau.

Le druide enjamba le corps inerte du garde qu'il avait du neutraliser, puis retourna s'assoir sur son confortable fauteuil. De là, grâce aux écrans de sécurité, il pourrait voir tout ce qui se passe, en étant à l'abri.

il se resservit un verre d'hydromel, bien décidé à apprécier le spectacle.

Endymion assistait au débat, il sentait la puissance des Wizards qui oppressait son visage, cette puissance, il ne savait pas comment et d'où elle venait mais elle ne lui faisait pas peur, il n'avait rien montré jusque là mais une rafale d'énergie le frappa si fort qu'il ne pue s'empêcher de montrer une petite émotion sur son visage. Il était obligé de prendre part aux discussions mais le moment n'était pas venu, les pistes qu'il voulait explorer devaient être lancé bientôt mais personne n'y avait encore pensé. Son corps se raidissait pourtant d'heure en heure, en effet, la puissante magie qui émanait des pores de la peau de chacun des Wizards le rendait malade, lui, l'Aquablusien, l'homme de l'eau et des machines, lui qui n'avait jamais vécu en présence de la magie. Son visage en disait pourtant long sur sa faiblesse passagère, il avait les zygomatiques crispés, les lèvres pincées, les yeux plissés et son buste était d'une rigidité déjà impressionnante. Il avait le regard vague mais il ne fallait pas s'y fier, ce n'était pas une absence mais bien une profonde preuve de présence. Il avait enregistré tout ce qui avait été dit auparavant et avait analysé chaque phrase pour en connaitre les sens cachés, cet effort intellectuel l'avait énormement fatigué mais il tenait debout et c'était l'important. Il s'entretenait avec un homme en noir, un homme qui n'avait jamais été vu précédemment mais qui avait toujours été présent, cet homme était un vieillard nommé Malgerant, il avait été Colonel dans l'armée de la prémière Hégémonia. Leur conversation étais audible par le jeune commandant Nadja de l'Hégémonia 1 qui avait été téléporté devant le siège au début de ce débat:

<<Ils ne peuvent pas être aussi fort qu'ils le prétendent, dit Malgerant, je connais le jeu de ces gens là, ils aboient tel le Morfal d'Est-indra mais ils ne mordent pas.
Que tu dis, rétorqua Endymion, ne ressens tu pas cette féroce énergie qui caresse ta peau puis te tort les boyaux? Moi je la ressens jusqu'au plus profond de mes entrailles et je pourrai en mourir si je n'avais pas mon protecteur vitale.
Il est difficile pour moi de juger de la situation, je ne pensais pas qu'ils iraient jusqu'à prendre le siège d'assaut...ils sont vraiment mégalo et fou!
C'est peut-être seulement de l'ambition?...
De l'ambition? Mieux vaut que tu parles de démesure, ils vont connaitre la foudre des dieux s'ils continuent!
Oui, tu dois avoir raison mais une chose trotte dans mon esprit depuis quelques minutes, j'ai senti comme un déflagration d'énergie tout à l'heure...comme si la magie n'avait plus aucune bride...comme si...elle avait été lachée complètement...mais que fait le grand conseil, je pensais qu'ils étaient capable d'arreter un tel fléau...je me serai trompé sur leur compte? Je ne sais plus quoi penser, nous savons tous que nous vaincront et que nous les terrasserons mais j'ai l'impression qu'il se moque de tout ça...comment atteindre un personne qui sait ce passer de tout...?
Il faut lui créer un besoin, un besoin qui le poussera à la faute. Sans ça, nous sommes foutu...!
NE DIT PLUS JAMAIS CA DEVANT MOI TU ENTENDS???!!!
Très bien, je voulais simplement dire que seul nous n'y arriverons pas, il faut être plusieurs dizaines...mais comment faire pour en trouver autant? Comment faire pour contrer une attaque...je ne sais plus rien, la douleur m'attriste...>>

La discussion s'arreta net quand une nouvelle vague d'une puissante plus forte que la précédente n'attaquasse Endymion. Le commandant n'entendit plus rien et la conversation coupa court.

Une âme, deux âmes, cent âmes, milles âmes, des millions d'âmes, une marrée d'âmes circulait de partout dans le siège de la corporation, le Seigneur Noir en était le dirigeant et en tant que tel même en enfer sur son trône il entendait et voyait tout par les yeux de cette ensemble, créant en lui une sensation, quelle sensation? La puissance? Non, il n'avait pas besoin de cela... la connaissance, oui, c'était bien cela, grâce aux yeux et oreilles de toutes ces âmes, ils savait tout ce qui se disait, il savait de quoi était habillées chaque être dans la corporation, il entendait chaque chuchotement, chaque parole prononcées et au milieu de ce flot inscécent de mots, ils les entendis, les mots d'une rébellion...

A peine avait-il entendu ces mots qu'il revint dans le monde des mortels, franchissant le passage qu'il avait lui même créé dans le voile afin de faire parvenir l'armée des morts dans le monde réel, il apparut sans bruit derrière deux hommes...ceux la, parlaient beaucoup trop à son goût…. Pour les calmer et leur faire comprendre sans que personne ne le remarque et que cela ne sème le désordre au seins des sièges face aux wizards, il lança un petit sort de niveau un, un rien, mais un rien qui multiplié par la puissance de la noirceur du maudit était bien trop puissant pour passé inaperçu… L’onde de choc magique qu’il avait produit stoppa net la discussion entre ces deux petits êtres si frêles, il envoya voler les occupant de sièges voisins qui se retournèrent sans rien voir… le Seigneur Maudit s’était permis un petit passe passe le rendant invisible aux yeux de simple mortels et par ce fait ne pouvait être aperçu…. Mais tous avaient compris que l’Ombre était à présent omnipotente, rien ne pouvait lui échapper, des profondeurs des enfers ou de sa terre natale de Volcano et grâce à ses âmes, il savait tout ce qui pouvait ce passer…

Quel fou pouvait aujourd’hui prétendre à se dresser face à lui, le déclencheur de l’hégémonie, quel fou pouvait se dresser face à la puissance qu’il avait mit en place avec ces alliés ? Et si morts ils étaient, qui dirigeait à présent les enfers ? Qui était jusque la le seul capable de les faire revenir sur un mot du monde des morts ?

A nouveau règne nouvelles règles, le dirigeant du Nécrolia bannit à jamais par un sceau des enfers…. Il était aisé pour ce nouveau souverain du mal de faire sauter le sceau et alors ? Alors, il pouvait donc mourir, les portes de l’enfer lui étaient de nouveau ouverte mais derrières ces portes, tous sans exception ne semblaient avoir compris que s’était lui qui dirigeait à présent le monde des morts du bas, c’était lui qui était le juge de chaque personnes venant à périr dans le monde réel, s’était lui qui choisissait et les wizards, ils les rendrait immortel en leur octroyant le retour à la vie perpétuel… n’avaient-ils toujours pas compris, compris qu’ils étaient trop tard pour une rébellion ? N’avaient-ils pas compris que même en réussissant à les tuer, lui, l’Ombre Maudite, serait la pour les ramener de chez les morts ? Et même si ils réussissaient à tous les tuer, comment pourraient-ils vaincre l’armée des morts ?
Le Seigneur Noir avait été agacé par ces paroles futiles mais il ne décida pas de la mort de ces deux impotents et pourtant il en mourrait d’envi, les emmener avec lui en enfer, leur faire goûter les délices suprême du mal, les faire cuir des millénaires à crier simplement pour distraire ces oreilles qu’il n’avait plus….

Mais Théran lui, lui avait pu le voir, il avait compris la puissance de son allié, il savait que grâce à lui l’hégémonie serait mise en place, il savait qu’il réussirait à prendre la place au centre du trône en enfer pour lui ouvrir les portes, il savait tout cela avant tout le monde et c’est en cela qu’aujourd’hui le Seigneur Noir avait une dette, parmi tous ces hommes qui se disaient tous amis, un seul avait su réellement voir dans le cœur et l’âme de l’ancien Subim, un seul d’ailleurs le voyait à cette heure, dirigeant des morts, il était le seul hormis l’ Ombre à pouvoir diriger l’armée des morts et cette armée, personne ne pourrait jamais la vaincre !Comment tuer des morts ?

L’onde de choc sema quelque peu la zizanie au seins des rangs mais rien de bien grave et Théran eu un sourire quand il vit une Ombre Rouge feu la créer déçu de ne pas immédiatement tuer ces deux imbéciles qui ne voyaient toujours pas…. Théran l’avait regardé mais son regard avait sourcillé lorsqu’il croisa les orbites vides du Seigneur Noir…

Le Signe, signe de ne pas encor agir…. La voix dans son cerveau magique parlait… laisse les, ils ne sont que faibles et ne peuvent que parler….

Il se retira donc mais toujours présent, il entendit ailleurs d’autres vois et cette fois, des âmes allaient venir rôtir avec lui en enfer

Assez ! Assez assez assez !
Mais n’en avez-vous pas assez de tout cela ?

La voix qui venait de parler appartenait à une jeune fille, seize ans tout au plus. Elle se tenait dans la foule, les yeux fermés. Ses longs cheveux blonds ondulaient sur son dos bronzés. La pauvre tenue de paysanne qu’elle portait ne retirait rien à son charme et à sa majesté.
Elle se tenait appuyée sur une canne, les bras tendus. Sous ses mains aux doigts délicatement repliés, il y avait une boule de couleur ambrée qui se fondait en un bâton de bois dur. Le bout du bâton, posé sur le sol, était taillé en pointe.
Elle éternua.

Excusez moi.
J’ai fait un si long voyage. De ma courte vie, j’ai connu bien peu de choses. Mais vous tous… vous me répugnez. Je suis si fatiguée. J’ai fait un si long voyage…

S’avançant de quelques pas, elle trébucha sur sa canne et tomba sous les rires hésitants de la foule. Sa tête heurta le sol, et la boule d’ambre lui écho.
Le corps de la malheureuse ne bougea plus, les rires se turent.
Et nul n’osa se pencher, craignant découvrir la mort d’un petit oiseau innocent.
Un homme, enfin, prit la parole.

Il faudrait une équipe d’aide. Un brancard, des infirmiers.

Elle est morte.

A la voix de Jin répondit une petite lueur. La boule d’ambre sembla s’animer. Un rayon de lumière en sortit et caressa doucement le front de l’enfant.
Et celle-ci sembla s’éveiller d’un simple rêve. Elle s’étira doucement et chercha à tâtons son appui, gardant toujours les yeux fermés.
Et tous se sentir ragaillardis, comme s’ils venaient d’assister à un miracle. De voir un moment privilégié. Comme s’ils pouvaient croire de nouveau.
Et sa petite voix, triste, douce, transparente. Oui. Elle était transparente. Le fantôme d’une jeunesse oubliée.

Vous avez ri, n’est ce pas ?
C’est tellement simple.
Les enfants riaient aussi, avant de savoir.
Quand on m’appelait l’enfant de traînée, et que j’annonçais la mort de ma mère, le silence se faisait toujours, et je ressentais la compassion, la tristesse, ou la pitié. Pourtant je n’ai jamais rien recherché de cela.

Elle ouvrit les yeux.

Moi ce que j’ai toujours souhaité, c’est de ressentir le bonheur.
Pas le mien. Non, le mien je le connais. Celui que je recherchais, c’est celui des autres. De vous autres.

Son yeux étaient pâles. Tantôt verts, tantôt bleus, tantôt d’or, brillant à chaque fois de l’éclat d’une pierre précieuse que lui offrait le changement de lumière. Ils étaient d’une pureté et eux aussi d’une transparence qui semblait annoncer la couleur de son âme.
Car je suis la translucide. L’enfance oubliée. Car je suis souillée à chaque fois qu’un sentiment nouveau s’imprime en moi. Et égoïstement, je ne veux que le bonheur des autres, pour que mon corps soit lisse de bonnes pensées.
Et je viens ici, en ce jour, rechercher une lumière que je souhaite offrir. Et je me retrouve dans cette pièce où j’entends l’annonce d’une destruction à venir.
Une destruction qui apporterait la paix.

Elle ri doucement d’un rire cristallin qui rappelle à certains celui d’une autre jeune femme.
Et ses yeux se promènent dans la pièce, sans jamais se poser sur aucun visage.

Assurer la paix par la guerre. Essuyer le sang par les larmes.
Je ne sais si je dois rire de l’idée, ou pleurer de l’avenir.
Je crois qu’une fois de plus je me suis égarée.
Je cherchais juste la lumière qui nous éclairerait tous.
Rangez les armes tant qu’il n’est trop tard. Appelez la paix en vous rendant innocent.
Vos idées sont si brouillées que j’ai mal.
Vous-même vous y perdez, n’est il pas ?
Vous-même ne pourrez expliquer vos buts. Vous-même n’êtes que des enfants à la recherche d’une mère.

S’avançant vers les trônes, effleurant le sol de sa canne, elle trébucha de nouveau.
Quelques rires fusèrent mais se turent vite lorsqu’elle se tourna vers eux, une larme bien marquée bordant ses yeux invisibles.
Tous avaient compris. Plus personne ne s’amusait.

Je n’ai jamais recherché la pitié. De grâce, ne me l’offrez pas. Expliquez moi juste.

L’enfant était aveugle.
Et son corps malade dégageait une douloureuse pureté.

Une bourrasque de mana, qui venait troubler la quiétude des Wizard, un allié ? Ou encore un ennemi D'Arathil, de l'Ordre ? Ce ne fut qu'un passage, puis arriva une fillette, 17ans a peine, que venait elle faire ici ? Elle trébucha, son coeur s'arrêta, Jin le sentait,

Elle est morte.

Jin avait dit ça froidement, de façon à ce que tous ne le crois pas non plus trop gentil, car depuis la prise de pouvoir, lui le chef légitime par le faite qu'il avait créer les Wizard avec l'autre Adorateur D'Arathil sous les autres de la sainte Eiko d'Aelia-San. Il passait pour trop gentil, il devait être froid et inquisiteur, dommage d'ailleurs que la Grande Conseillère Kalyso était partie comme al voleuse qu'elle est, il avait quelque mot a lui faire savoir.

Il se leva, et sauta d'un bond empêcher la fillette de tomber une nouvelle fois, il était sans défense, et tous pouvaient voir qu'il avait laissé ses sabres sur son siège. Il remonta la jeune fille, elle était plus belle qu'il n'y paraissait. Il entendit encore une fois des rires des quelques derniers abruti de la pièce. Cette fois il leva la main d'un geste impératif pour stopper les rires. Puis ses yeux devinrent rouge, le rouge du démon.

Silence, que je revois jamais les visages des personnes qui rient ici, sinon ils encourront une mort lente et douloureuse, les Wizard son ici pour faire respecter les lois, les lois que nous imposons, Les yeux d'Histugaya Jin redevinrent Bleue sur Bleue si impénétrable.

Nous avons du employer la force pour détruire le matériel militaire des autres États, La limite constitue une force pour empêcher ce qui ce passe déjà, et donc, un pillage intensif des États plus faible, nous lutterons contre les infamies et les guerres sans queues ni têtes, ici nous Ferons régner l'Ordre, et si la Force peut être évité nous l'éviterons.

Moi en tant que Génie Histugaya Jin, Affirme devant les représentant d'États ici que jamais une injustice ne sera proféré a l'encontre de l'Ordre, et que chaque fois que la Diplomatie pourra être employé nous l'emploierons !

Regardant une dernière fois la jeune fille aveugle, il se détourna, trop jeune pour ce vieux de Jin, déjà marié avec sa fille qui naitra au moi de Vertan. Il fit un signe a Nivaria et Eiko, l'une d'elle devait prendre la parole, ils se connaissaient si bien tous les trois que les mots ne servaient plus a rien, elles avaient comprit et se questionnaient mutuellement pour savoir qui irait faire écouter sa Voix.

Des Gens se promenaient un peut partout, dans l'ombre de la Lumière dégagé par les 9. Mais rien de bien inquiétant. Rien d'aussi inquiétant que ce qui avait été anticipé par Théran, qui avait crut bon de mettre en place toute une stratégie d'auto-défense. Nivaria Croyait en la paix, en la liberté. Elle était là pour ça, et pour le Chant des Ombres. Et tout ce qui se passait a côté était Aussi utile que de se soucier de l'eau.

Nivaria Kenthar tenais a la main son Sceptre, sertit du Saphir, qui représentait la puissance de la ligné Kenthar. elle tenais a la main l'objet qui lui permettait d'utiliser la puissance de toutes les mères de sa ligné, elle tenais a la main le Sceptre qui donnerais une puissance incommensurable a son enfant. Elle était debout a présent, ayant compris le message du Genie, aux yeux bleu sur bleu, qu'elle seul arrivait a traverser de son regard.

Elle se leva, ne s'étant pas encore présenté, tous pensèrent que c'était son tour. La bande de bambin remplie d'eau inutilement gaspillé était là, face a elle. Elle les admirait pour leur Hydrophilité, en dévisageant certain, attardent son regard sur la jeune fille... aveugle.

Mesdames, Messieurs. Je lis dans vos yeux la même peur qui pourrait corrompre vos coeur. Je lis dans vos coeur, la même peur qui pourrait influencé vos actions. Je lis dans vos actions la même peur qui pourrait vous noyer dans les eaux de la mort.

Ne voyez vous dont rien? Certains ce cache derrière une recherche du bonheur, que nous ne vous offrons pas tel que vous l'avez imaginer, mais le Sentier d'Or s'ouvre déjà devants vous. Certains sont las de vous, de vos esprits belliqueux. Croyez vous que le Grand Conseille vous aidera? a part dame kalyso, que nous avions d'ailleurs souhaité chez les Wizards, aucun de ces Grands Conseillé ne vous aidera jamais, et ne vous a jamais aider.

Souvenez vous donc un peut. Jamais le Conseil n'a travailler pour vous. il n'a toujours fait que dans ses intérêts, jusque dans la clôture d'une salle. OUI, nous sommes Tyranniques. OUI nous avons pris le contrôle par la force, mais pensez vous réellement que le conseil nous aurait laisser leur prendre le Siège, si nous le leur avions demander?

OUI, nous avons usé de la censure, ici même, mais pensiez vous réellement que nous vous aurions fait entendre notre voie Autrement? Aujourd'hui nous utilisons la Voix pour vous. une tyrannie d'un jours, pour une liberté de toujours!

certes, nos méthodes paressent peut scrupuleuse, mais dans un monde où l'habitude est au bombardement, un bombardement n'est pas vue comme si affligent, on s'y habitue. Dans un monde, où tout les jours, un tyran exècre un pouvoir Autoritaires au servisse du peuple, le tyran n'est pas si mal venu.

Aujourd'hui, nous vous offront sur un plateau, le miroir aquatique de la liberté. Refusez le, et renversser nous, en quel cas, nous auront réussi a vous unifiers, et notre quête n'aura pas été veine, ou accepter le, et vivez Libre demain!

Un sage a dit un jours " nous n'héritons pas de la vie de nos parents, nous empruntons celle de nos enfants. " Pensez a eux, qui pourront vivre dans la quiétude.

Nivaria se tut, sur cette conclusion, observant la jeune aveugle d'un oeil froid, et retourna a sa place.

Le siège de la corporation, un lieu bien hostile en ce moment…

Je ne ferais pas attention a la situation, ces paroles furent envoyées par Sima Yi qui étais dans un croiseur accompagné de 4 de ses Maîtres mages et 2 de se Envoûteurs : une simple mesure de précaution.
Combien de temps encore avant d’arriver ? demanda Sima Yi au pilote
-2 minutes et 25 secondes a peu près. Rétorqua le pilote
…..
-Nous arrivons, vous pouvez vous préparer a descendre.
-J’irais seul, vous protègerez le vaisseau.
-Mais c’est une zone hostile et dangereuse !
-Je suis capable de me défendre et je suis du coté des grands vainqueurs.
-Vainqueurs, on ne le sais pas encore…quoique.
…
le vaisseau se posa avec une douceur exemplaire.

-A tout a l’heure, protégez bien le vaisseau, je ne souhaite pas rentrer a pied.

Un léger sourire sortit de la bouche de Sima Yi.

Sima Yi approcha rapidement du siège, une fois arrivé a quelques pas de la porte, il remarqua les gardes au sol…il détourna alors le regard ain de se diriger droit a la salle ou étaient ses alliés.

Dès qu’il aperçut les 9 sièges, il s’approcha avec un sourire grandissant. Une fois devant eux, il se mit a genoux et fit part de ses dires.

-Bonjour a vous, je me présente, Sima Yi, Chef de l’Etat Lénupio. Je suis un membre de l’ARM, je souhaite tout d’abord vous présenter des excuses :
tout d’abord parce que je choisis mal le lieu et le moment et aussi car ce n’est que maintenant que je viens me présenter a vous. Je suis le dirigeant de cet état depuis quelques heures…avant, c’étais le désastre mais nous nous sommes repris en main et nous avons beaucoup travaillé aujourd’hui alors acceptez ces excuses s’il vous plait.

Je ne suis bien sur pas venu seulement pour ça : Sachez que je viens pour vous apporter mon soutien, je suis a vos cotés pour tout…demandez moi ce que vous voulez, je le ferais au plus vite. Je souhaite faire parti de ce projet et vous apporter mon aide.

Je suis maintenant un des représentants de l’ARM et suis au service de l’Ombre maudite.

Permettez moi de quitter la salle, un de mes soldats va venir afin de me prévenir en cas de besoin.


Merci de votre attention.

Il se releva puis se retourna le sourire a la bouche puis sortit pour rejoindre ses troupes.

Le bonheur… Mais quel est il, le bonheur ?

L’enfant eut un sourire auquel ses yeux sans regard ajoutèrent une part de r

Moi je ne puis que vous parler d’un bonheur vrai, pur. Celui d’exister.

Elle reprit appui sur sa canne et sourit à Jin, qu’elle devinait près d’elle.

Voyez vous, je suis comme une page vierge. Je n’ai pas eu le don de voir, comme vous tous.
Ou plutôt si, à ce que l’on dit, je l’avais. Je ne m’en rappelle pas. Mais mon histoire n’importe pas.
Je suis comme une page vierge, car, comme je vous le disais, sur moi s’imprime tout ce que ressentent les êtres. Ce que je ne puis voir, je le vis. Et vous tous, là, vous me dégouttez, dant le mensonge qui se dégage de vous me répugne. Vous ne vous tournez pas vers votre intérêt, mais vers l’assurance de la continuité.
Qu’importe que vous soyez heureux. Vraiment heureux je veux dire. Tant que vous êtes en vie.

C’est à ce moment là que Lanido fit son intervention.
Après qu’il eut parlé, la jeune fille secoua tristement la tête.

Alors c’est ça, ce monde ?
Un groupe charismatique, une démonstration de force, une promesse, et l’odeur de la peur dégagée par toute une foule….
Et ça y est ? On se plie ? Pour l’illusion que tout va bien ?
Vous emprisonneriez la liberté pour … pour ça ? Pour vivre une paix illusoire et éphémère ? Car croyez bien que, même si ces….ces êtres atteignent leur but, ils seront tôt ou tard renversés. Et vous, tous autant que vous êtes à vous plier aujourd’hui, vous plierez demain pour continuer. Non pas car les idées seront les votre, mais car vous aurez peur de nouveau.
C’est si triste.
Et si vrai.
Au moins les futurs maîtres de ce monde sont libres de leurs pensées.
Et bien sachez que mes forces sont faibles, mais que je lutterai. Même quand je serais seule, je garderai ma liberté. Je ne serais souillée par ce que je refuse.
Et je tenterai d’apporter le bonheur vrai pour rester pure à jamais.

La jeune femme fut coupée par un grésillement.
Un pan de mur s’abaissa, laissant apparaître divers écrans, claviers, micros,…
Un projecteur holographique s’alluma et se leva, tandis qu’une lampe éclairait un point sur le côté de l’estrade.
On vit se dessiner des pieds, des jambes, le corps, le buste, et enfin le visage de Kalyso.
Celle-ci tendit un bras qui passa au travers de Kourai et ri.
Puis elle fit quelques pas, restant à la même place, se pencha, tapota sur un clavier invisible, faisant trembloter son image puis lui donnant un aspect plus solide, et enfin se recula, comme un artiste regarde son tableau, et s’appuya dans le vide, croisant les pieds.

Bien. J’adore le réaménagement du Siège. Par ici Kourai, faites coucou à la caméra !
Génial. Comme ça je suis parmis vous, sans l’être. Et je peux voyager en même temps ! Super ! Encore mieux que l’invention du téléphone !
Alors, quoi de neuf chez vous ?

Une immensité de personnes. Une foule incomparable. Une salle pleine à en faire trembler les murs. Beaucoup de gens s'intéressait à ce nouveau sujet mais guères n'avaient le choix. Les nouveaux gardes habillé des mêmes couleurs vertes et noires que celle de leurs maîtres avaient obligé la foule à s'installer dans cette salle, pour sans doute un long moment. Les portes n'étaient pas close et certains arrivés tous de même à aller et venir en soudoyant les gardes de quelques monnaies que disposaient les dirigeants souhaitant sortir.

Tout grand système dispose de failles, aussi compliqués qu'elles peuvent être, chacune d'entre elle existe et mène un jour tous les espoirs fleurissants, à un déclin ahurissant. Tous le monde essayé chacun de son coté de faire croire qu'il arriverai à éliminer se pouvoir en expansion qu'était devenu les Wizards. Les présentation tour à tour de chaque personnages ayant pris place dans se conseil donnait goût à s'intéresser à eux. Ils n'étaient pas si dénués d'idéaux, et encore moins sanguinaire et irréfléchis puisqu'ils avaient pensé à se présenter à la foule de dirigeant pourtant coléreux envers eux. Peut-être était-ce une manière de tenir un peu plus de temps leur siège en ces lieux. La présentation leur permettrait peut-être d'attirer la sympathie de quelques fous présents parmis tous.

Qui aurait osé contre carrer leurs plans ? Y avait il réellement des personnes pouvant mettre fin à cette ineptie qu'était devenu la prise du siège de la corporation ? Toutes ces questions abonder dans les cervelles des plus écervelés dirigeants maintenu ici. Combien ? Pourquoi ? Quand ? Comment ? et Où ? Bien trop de question en suspend sans réelle réponse. Les Wizards parlaient encore en leur nom propre et non pas au nom de leur alliance. Que représentait-elle réellement à part comme dans beaucoup de mythologie des dieux souvent annoncé comme irréductible et invincible, par leur simple non présence dans le royaume des vivants. Une explication devait être faites mais peut-être était-ce encore pour allonger leur temps de présence en ce lieu sacré qui leur avait permis de survivre pendant des temps immémoriaux.

Le siège de la corporation qu'ils jugeaient d'inutile et sur lequel ils avançaient des propos de non présence dans la vie intergalactique n'avait-il pas aussi c'est petit secret et ne gardait-il pas nombre de ses manoeuvres dans le secret pour ne pas montrer sa propre force au gens. Pour ne pas montrer le monde environnant peupler de pilleur, de destructeur, et de saccageur bien plus gros et surtout bien plus important que tous les 9 Wizards réunis. Connaissaient-ils réellement le monde autre que celui des chroniques qui les entouraient et seraient-ils vraiment capable de maintenir l'ordre comme ils l'annoncent, tel la fait et le fait toujours le grand siège de la corporation tenu par plus de vil petit conseiller se croyant grand par leur titre que par leur utilité réel.

Un conseiller n'est-il pas plus se qu'il fait que ceux que l'on lui fait croire qu'il est. Un traître ne peut être nommé conseiller, et déserté tel l'on fait nombre de ces soi-disant "grand conseiller" ne peut que montrer leur utilité qualifiable risiblement d'inutile. Une personne si inutile peut-elle réellement savoir se qui se passe en c'est lieu et toute les décisions prise à leur dépend. Croire tous savoir n'est que l'idéaux le plus recherché par tous, mais savoir croire est le ressentiment d'une possibilité encore non envisagé. Ne serait-ce pas cela que recherche encore les Wizards parmis tout ce cafouillage. Leurs gestes peuvent être qualifié de la manière que chacun le désir mais les qualificatifs ne sont-ils pas tous amplifier par les points de vues de chacun. Tous différents. Variants d'un entendement mutuel inexploité.

les locaux étaient de plus en plus brillant et personnes n'osaient parler des futurs conflit qu'ils essaieraient de mener, craignant un retour du seigneur noir, nouveau possesseur des enfers, dirigeants des âmes. Trop de qualificatif pour un seul homme, inutilité lexical menant à des tromperies inenvisageables. Un homme voulu se présenté devant les Wizards, afin de développer son discours préparé depuis un certains temps dans se brouhaha inintelligible. Un garde l'arrêta net et lui demanda sèchement se qu'il souhaitait présenter. Le sujet fut mit en cendres en quelques instants, les dizaines de feuilles de cet homme, enflammé par le garde, ne souhaitant voir cette homme parler. Le garde se retourna et lui annonça que s'il connaissait se qu'il voulait dire qu'il parle maintenant ou se taise à jamais. Certaines rire de cette fin de phrase synonyme de bonheur utilisé pour faire régner le chaos. Personnes ne s'avait plus que faire et tous se trouvaient rendu inutile en c'est lieu dans lequel ils devraient pourtant siéger pendant un nombre de jour qu'il leur étaient indéterminés.

Soudain on vit Pamir la foule un écartement de toute part. A côté du seigneur DuDuche qui s’était mêlé à la foule ne sachant réellement que faire, se trouver un petit homme. Petit et trop jeune. Trop jeune pour savoir faire se qu'il faisait. Il avait la tête baisser en direction du sol. Son crâne était dégarnis et ses yeux clos. Il n'était vêtu que de vêtement pour esclave se qui surpris encore plus chaque personnes en son entourage. Ce petit homme avait de graver un symbole sur son crâne, signe d'aucun réel clan ni alliance connu. Il ne culminé qu'a une hauteur d'un mètre cinquante et pourtant on commencer à voir se symbole dépasser de la foule. Il lévitait. Il s'élevait tous doucement au dessus de tous. Les gardes s'ameutèrent sur lui essayant de le tiré vers le bas, sans succès; Ils étaient cinq maintenant; Qu'elle spectacle navrant, l'incapacité de ses gardes devant un si jeunes enfant. Les 9 dirigeants s’étaient levés, ne comprenant comme tout le monde rien à cette situation bien trop particulière. Jamais un enfant n'avais réussi à s'élevé, seul la connaissance et la sagesse acquis durant de longues années permettait cela et aucun des Wizards ici présent ne possédaient eux même se talents. Quelques mages envoyaient contre cette enfant tentèrent de rendre sa magie obsolète, mais rien ni fit, la fatigue les gagnèrent tous un par un et il s'allongèrent sur le sol épuisaient de cette manoeuvre qu'il ne pouvaient qualifier. DuDuche s'interposa en demandant de laisser parler ce jeune en sachant pertinemment que la magie n'arriverai à rien. La sagesse s'imprégnait petit à petit, au fur et à mesure du temps dans les longues allées de capillaires menant toute au cerveaux que composé l'anatomie du seigneur DuDuche. Il savait que la réflexion donnait lieu à de bien meilleur résolution plutôt que de se hâter. Cette enfant faisant place au calme et à une réflexion grandissante de la part de tous, n'apportais que plus de questionnement. il n'était connu de personnes et son but encore moins, laissant place à une incertitude certaines.

Parle ! Cria quelqu'un dont tous le monde avait l'air de se désintéresser . Ne sais tu point faire autre chose que te léviter ? Aurait-tu l'intention de nous faire peur ?

Ignorant !

Enervé par le simple fait de ne rien comprendre, on vit des sorts lancé de part toute la salle, donnant lieu à une floraison de couleur se dirigeant droit vers le jeune homme. Tous à coup les yeux de chacun ébloui par ces couleurs devinrent rempli de bonheur. Le petit être en lévitation n'avait rien eu, le symbole gravé sur son front c'était imprégné de ces sorts lancé et étincela de plus en plus fort. Tous dans la salle envoyèrent sans connaissance avançait des remerciements vers ce que certains qualifié déjà de divin. Il y eu un cesser le sort, signe d'impuissance mais prolongeant la sagesse. Puisque de simples sorts ne venaient à bout de lui, il fallait en savoir d'avantage et connaître ses réelles motivations.

Que veux tu ? Entendit tous le monde ne laissant leur regard fixer que sur lui.

Le jeune homme ne disposant pas de bouche pris le seigneur DuDuche en tant que interlocuteur. Il serait à présent la bouche de ce jeune homme. Comment lutter, personnes ne savaient que faire et on pouvait voir maintenant les lèvres du seigneur DuDuche se déplaçait au fil des pensés de cette être illustre.

Ne vous inquiétais pas pour la personnes dans laquelle je me suis installé je ne lui ferai aucun mal, mon apparence ne me permet nullement de me faire comprendre de vous, être inférieur et sans réel moyen de communication intelligent. La parole n'est qu'une infirmité que vous ne savait combler. Je vais pourtant avoir recours à celle-ci pour me faire comprendre de vous. Je n'ai nul besoin de me présenter, je ne compte pas m'éterniser dans un lieu aussi peu intéressant, j'ai beaucoup d'autre chose à faire. Je crains qu'il y est un problèmes qu'il m'est du de résoudre. Vous qui ne pensez qu'au pouvoir, sachez que vous n'êtes que trop faible et que la corporation dirige en des lieux qui vous sont encore bien inconnu et qui le seront sûrement encore plus. La puissance ne réside pas seulement dans la force visible, l'apparence de l'incapacité n'est que le reflet de l'impossibilité. Qui veux, peux. Je suis ici pour vous démontrer ses théories. Votre pouvoir n'est que fébriles et je crains de devoir vous le montrer pour que je n'ai à revenir en c'est lieu. Je ne souhaite pas vous faire une démonstration de force, juste vous prouver que vous m'êtes trop inférieure et encore plus au siège de la corporation. Je suis en c'est lieu pour vous prouvez que vous ne valait que ce que l'incrédulité veux faire croire. Votre prise de pouvoir à votre niveau peut être qualifié d'exemplaire, mais je ne suis pas ici pour vous féliciter, seulement pour donner une once d'espoir à tous ses dirigeants affolés, ne pensant qu'a la force et non à l'intelligence, à la puissance d'un groupe. Un seul personnage au pouvoir est suicidaire, neuf, vous laisses à tous ici présent neuf fois plus de chance de gagnés. La victoire ne réside pas dans le nombre mais dans la faiblesse que distribue chacun d'eux ou alors eux en entier.

Le symbole qui était devenu sombre, ré étincela au couleur de chaque sphère qui s'élevèrent une à une, même celle déjà loin d'ici avait était rapporté en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Toute lévitaient autour de l'inconnu. Les personnes outré, devenu un peu plus faible ne sachant que faire, firent continuer le discours à ce personnage qu'il considérait déjà comme méprisable et qu'il souhaitait voir mort.

Vous voyez comme votre pouvoir ne mets pas réellement un problème de contrôle. Vous tous ici présent ! Arborait l'espoir des états que vous dirigeaient et menaient à la victoire vos opinions même si vous ne vous pensaient que trop faible. Organisait-vous tel l'on fait ces personnages pour reprendre se qui vous appartiens... Votre liberté.

la foule se mit à l'acclamer et d'autres lui demander déjà comment faire ? Allait-il les aider ? L'énervement se laissait voir sur les visages des Wizards tous soumis à cette puissance incommensurable, lorsque soudain un dirigeant tenta à l'aide de la bague d'appeler les ténèbres au dépend de son possesseur qui ne pu rien y faire, souhaitant inconsciemment tenter cette opportunité. Pas même un bronchement, les âmes s'approchant de trop prés étaient envoyé dans un monde parallèle n'étant en aucun cas tué car impossible, mais mis en échec dans le néant. Les âmes furent rappelées afin qu'il n'y ait pas plus de pertes pour la soirée. Tous resté bouche baie sauf le seigneur DuDuche dirigé encore, ne pouvant rien faire que de transmettre un message qui laisserai des traces. Il fut relâché et tomba au sol, relevé tous de suite par certains de ses amis et alliés.

Les sphères retournèrent à leur place et ce petit personnage redescendit lentement vers le sol. Puis d'un coup il disparu et tous entendirent la même phrase traversant leur esprit.

Montraient qu'à lui seul l'union permet la force et la réflexion la réussite ; battez-les !

Un murmure, un cri, la peur, une disparition, tout se chamboulait en enfer, des âmes, des âmes disparaissaient tout simplement de la vision du Seigneur Noir, de l’Ombre Maudite, assis sur son trône, trône tailler dans la lave, trône de tout le pouvoir des morts, trône depuis des millénaires irremplaçable, existant sous sa forme primaire, trône de toutes les souffrances, trône aujourd’hui, trône demain…
Les âmes, disparu du système mais non de l’enfer toute chose doit retourner à son point de départ, il en ai de même de la vie, retourner à la mort, il en ai de même des paroles nées des pensées et retournées en pensées, il en est de même du jour et de la nuit, des rivières et des océans, des bâtiments et de la terre, tout a un point final.

Un pentacle, un pentagone, un cercle parfait, de la magie, quelle dérision, toute magie retourne à la magie, tout être retourne à la terre, il en ai ainsi.

Noir, devenu rouge, Ombre, devenu Maudit, Seigneur, devenu Diable, vivant devenu mort vivant, neutre, devenu magie….

Les âmes sont de retour, de retour à leur place, le Seigneur toujours présent mais son Ombre, toujours omnipotente…
Les âmes reparties… ou ? Partout, le système en est envahi, la magie se trace tel les ordinateur de Kalyso qui se croit intouchable devant son poste mais toute chose à une source, elle l’apprendra à ses dépend, quand ? Bientôt…

Tracé la magie peu l’être, disparu, impossible, elle est de partout, se répand, s’étend, un homme la possède, il est aisé pour un homme fait de magie de remonter à la source de celle-ci, il ai aisé pour lui de l’enfermé, l’aspiré…. Comment se croire supérieur lorsque l’on reste mortel, comment se croire supérieur alors que tout à une fin, et tout un début…

La colère, la haine, l’interrogation, l’amour, la dérision, la peur, des sentiments, quels sentiments tenir face à celui qui avait osé toucher aux âmes de l’enfer, quel sentiment mais quel châtiment ?

La mort, inévitable, jouer avec le feu et l’on se brûle, jouer avec la magie, et l’on en meurt.

Un sauveur, comment sauver lorsque l’on se sauve sois même, comment sauver lorsque l’on ne sait comment sois même se sauver…

Il a osé, le sacrilège est fait mais à sacrilège dis sortilège, il à disparu mais lors de sa disparition, lors de sa transition dans l’espace, lors de son passage à l’état de particule que lui est-il arrivé ?

Qu’arrive-t-il à qui se frotte au Diable même ? Disparu oui mais aspiré. Comment ? il a lui-même fauter, toute chose à un début et une fin, il suffit de partir de la fin ou de début pour remonter à l’inverse, il en ai de même pour les particules…

En disparaissant il a fauté, et sous estimer les alliés…

Il est réapparu oui mais ou ? La ou seul un être règne, lequel celui que tous parmi les vivants et morts connaissent, il est le seul à avoir ce pouvoir, le seul à pouvoir remonter la source, comment ? Si facilement… lorsque l’on est source même…

Réapparut face à lui, le fameux élus des pingouins, ayant osé touché aux âmes, doit subir son châtiment, chaque acte à des répercutions, chaque pensées entraîne un acte et toute chose retourne finalement à la pensée…

Touchés au monde des morts et les morts vous toucheront…

Il était la, face à lui, forme rouge feu indistinct, assis sur son trône. Aucune peur ne se sentait dans cet être, il savait déjà quel était son châtiment pour avoir ainsi défier la mort…

Il ne parlait pas, il attendait, enfermé par la main de l’Ombre Maudite dans un cercle, une sphère parfaite. Intouchable par la magie peu être, mais pas inentamable ni intouchable par la main des morts. La sphère lentement s’approcha du Seigneur Noir, lentement elle se posa face à lui. Il se leva et traversa celle-ci d’un pas assuré. L’homme en son centre n’émettait aucun sentiment de peur de haine rien. Il savait déjà, il savait ce qu’il arrivait à qui touchait aux âmes. Lentement le Seigneur Noir leva la main, tendit un doigt de feu et sur sa marque sur son crâne, traça une figure.

La magie retourne à la magie et aujourd’hui celui qui fut un élu devint un déchu. Par la main des enfers il périt, dans la torture il finit et son image à jamais bannis engloutit par les milliards d’âmes attendant celui qui les avait expulsé en les offensant…

Bellone avait suivi le discours du Gouvernant Cris et des autres et ils n' avaient pas compris. Soit....

Bellone se leva et se dirigea vers le pupitre, lorsque son communicateur se mit a biper...

Les autres dirigeants surpris par ce bruit strident, se retournerent sur lui et le regarderent avec curiosite.

Le communicateur etait une petite sphere d'apparence metallique. Apparut un visage, celui de "l'ami".

Ne perds plus ton temps avec ces fous Bellone, reprends ton vaisseau et dirige toi vers le point de rendez-vous. De la, nous allons proceder au preparatif de notre mission. Arrange toi pour amener le plus de monde possible pour que nous puissions preparer au mieux celle-ci et de plus arrange toi pour amener les membres legitimes de la Corporation avec toi pour que nous discutions de tout ceci. Fin de la transmission

Bien, je quitte ces lieux pour y revenir dans un futur proche, vous n'avez rien compris a ce que je vois. Que tous ceux qui veulent combattre ces nouveaux seigneurs me suivent. Laissons-les ici, pour qu'ils profitent de leur courte nouvelle ere. Dame Kalyso, je vous invite a me suivre, pour le bien de la corporation. Je vous expliquerais en route. Faites moi confiance.

........

Dans le coin de la pièce éclairé par l’holo projecteur, Kalyso n’avait pas bougé. Elle fronçait les sourcils, fixant un écran que l’on devinait devant elle. Enfin, elle soupira et se releva d’un coup de rein.

Hum. Pacifica ?

Elle sourit à l’interpellé qui passait la porte et tendit un bras qui traversa un des trônes disposé non loin d’elle.

Je vous suivrai volontiers mais….

Elle lui adressa un clin d’œil et un sourire avant de baisser les yeux. Son expression changea du tout au tout tandis qu’elle relevait le visage, et plongeait son regard dans ceux des derniers intervenants.

Alors c’est ça ? Vous êtes tous les plus beaux, les plus forts ? Vous êtes tous ces invincibles guerriers que rien ne touche et rien n’atteint ?

L’image eut un nouveau froncement de sourcil.

Je vous regarde, tous, et je ne sais comment réagir. Sourire ou soupirer ?
Warren, le voile… Mais laissez donc les choses se faire. Oubliez donc tout cela. Vivez ! Vivez vos vies et vos histoires, laissez partir ce qui n’est plus.
Et vous y croyez ? Vous avez je ne sais comment réuni les douze, et vous avez la prétention de croire que vous l’éveillerez…
Et bien, chers enfants - car c’est ce que vous êtes, des enfants. Des enfants qui touchent à ce qu’ils ne connaissent pas avec une assurance qu’ils ne devraient avoir - je reviens sur mes mots : Eveillez Warren, et je serais plus que mêlée à tout cela.

Tout à coup, la jeune femme sembla perdre l’équilibre, et son image grésilla. On entendit ne voix mécanique annoncer l’approche de vaisseaux ennemis. Kalyso sembla lutter pour garder son équilibre et disparut.
Lorsqu’enfin son image réapparut sur l’estrade, elle tenait son poignet gauche serré contre sa poitrine et un fin filet de sang coulait de son front.

Le changement de Galaxie n’est pas toujours agréable.

Elle eut un petit sourire tandis que Nivaria tressaillait.

Vers où te diriges tu, vipère ?

Ah nous nous tutoyons maintenant ?

Où vas-tu, Kalyso ?

Loin. Mais n’ai pas peur, je reviendrai bientôt.

Le voile t’est infranchissables sans le Chapelier.

Le voile ? L’autre côté n’est pas ce qui m’intéresse le plus pour le moment.

Tu ne trouveras pas la planète originale.

Qui ne tente rien n’a rien.
Pourquoi trembles tu ainsi très chère ? Malgré la distance je pourrais ressentir la haine qui coule dans tes veines.

La petite aveugle prit alors la parole, pointant son bâton vers la voie de Kalyso.

Vous battre, encore ! Vous êtes femme !

Ce n’est pas toi qui défendait la liberté, il y a un instant ? Et bien c’est ma liberté de me battre.

Mais en serez vous plus heureuse ?

Petite fille… Voilà bien longtemps que le bonheur ne rime plus à rien pour moi. Rentre chez toi, tu n’as rien à faire en ce lieu trop pervers. Rentre chez toi et vis ton bonheur. Apporte le à ceux que tu aimes et ne te soucies de rien.
La douceur et la sensibilité n’ont rien à faire en tel monde, et un oiseau, si beau et frêle qu’il soit, termine toujours en cage.
Tu es un ange parmi les hommes et les démons. Ne te laisse pas salir comme nous tous le fûmes. Ta faiblesse est ta force. Ne l’oublies pas. Si tu cherches à comprendre toutes ces choses, il t’en pâtira.

Qui êtes vous donc madame pour parler ainsi de tout cela, pour condamner ce monde ?

Moi ?

Sa voix se fit murmure.

Je ne suis personne.

Et pourtant vous ressentez. Si fort même que, sans être dans la pièce - car je ne sens pas votre corps près du mien - je puis vous vivre, et j’ai mal avec vous.

Voilà longtemps que j’ai cessé de souffrir aussi. Rentre chez toi gamine, avant de devenir adulte. Toi-même les condamnes tous. Reste trop près d’eux et tu seras pareille.

De quel droit pouvez vous les juger ?

De ce même droit qui m’impose de n’être personne de plus que ceux que j’abjure.

L’enfant se retourna vers la foule.

Vous ne croyez plus en rien, et c’est ce qui vous perdra. Tous.

Et merci à Renaud, Georges Brassens, et Olivia Ruiz...:)


Etonnant comme les choses changent. Après tout, il n'y a pas si longtemps encore, aux yeux du monde entier, le Shadowsong n'était qu'une vieille légende que l'on racontait aux enfants lorsqu'ils ennuyaient leurs parents...
Et aujourd'hui, chaque tête - ou presque - est hantée par de douloureux souvenirs de court règne de Warren.

Mais, c'est toujours la même chose...même histoire, même parcours. Même mots, même causes, et à semer ce que l'on a toujours semé...L'on récolte ce que l'on a toujours récolté...
Ces hommes sont pleins d'une suffisance qui les perdra ; à chaque fois que le Grand Conseil s'est vu bafoué, il a réaffirmé ses droits, et cette fois ne fera pas exception.
MERCI OLIVIA RUIZ !A chaque fois voilà, c'est r'parti pour un tour...
Amusant comme l'Histoire se reproduit encore et sans cesse...
A croire que la nostalgie est presque dénuée de raison d'être, puisque tout le passé sera retrouvé dans l'avenir...

Jusqu'à ce qu'on atteigne le jugement ultime, bien sûr : après ceci, il n'y aura plus d'avenir, du moins, pas sur Galactica...

Thorin se tenait quelque part dans la salle ; méconnaissable.
Il s'était razé sa barbe, avait élagué ses sourcils, et ses cheveux ne dépassaient maintenant plus quelques centimètres de longueur.
Il s'était manifestement aussi débarrassé de sa canne.

La religion peut apporter beaucoup de choses à un homme ... !
Thorin avait été, avant, MERCI RENAUD !fatigué...fatigué d'espérer, fatigué de croire, en ces idées brandies comme des étandards, et pour lesquelles tant d'hommes ont connu l'abattoir... !

Il réagit presque instantanément aux dernières paroles de la petite aveugle ; elle l'avait sorti de ses méditations. Toutefois, il ne se pressa pas pour se lever et répondre.

Bonjour à tous ,

Vous êtes, hum, stupéfiant ! Oui, c'est le mot.
Vous accumulez, tout autant que vous êtes, sottises sur sottises, mais d'un aplomb toujours plus grand, vous passez d'une à une autre....toujours plus grande.
Et lorsque l'on croit que vous avez enfin atteint le summum du ridicule, vous vous décortiquez toujours pour trouver mieux !

Cette attitude, bien que marrante au commencement, commence à virer au pitoyable. Et bientôt, elle sera franchement suicidaire.

Jin, pour commencer ; vous osez menacer de mort l'ensemble des personnes ici présentes...allons donc, je ris : ahahah, tuez-moi lentement, maintenant, puisque je vous ai défié ; je ris haut et fort de cette petite aveugle maladroite !
Pour je ne sais quelle lâcheté, vous ne me tuerez pas, non seulement vous me laisserez la vie sauve, mais en plus, vous ne me réduirez pas au silence.
CECI EST UN ORDRE, FAIBLE WIZARD.

vous êtes drôle. A la limite du franchement pittoresque, soit dit en passant, si vous me permettez... ? oui, vous me le permettez, puisque encore une fois, C'EST UN ORDRE.

Petit être suffisant et arrogant, vous vous permettez de menacer et de détruire, au nom de l'ORDRE.
Mais cet ordre, vous seul l'avez demandé ; comme il est agréable qu'un monde soit dirigé autoritairement par un quelconque groupe....lorsque c'est nous le chef du groupe, n'est-ce pas ? comme il est jouissif de prétexter la paix et la justice pour aller à l'encontre du droit des peuples à se diriger eux mêmes !


Et puis, vient Nivaria ; nous assistons maintenant à un typique duo machiavélique. Le premier, Jin, a usé de tout le ridicule qu'il avait en sa possession afin de distraire l'assemblée, tandis que la seconde, Nivaria, elle, a profité de ce que l'assemblée ne ferait guère attention à ses inepties pour se jeter dans l'arène, et s'essayer à la belle langue. Que de style dans ses paroles !
Mais hélas, rien d'autre que du style. Oui, parce que ce qu'elle dit n'a aucun sens ; elle a sans doute parié avec elle même, avant de parler, d'essayer de faire les phrases les plus jolies possibles, sans se soucier une seule seconde de leur contenu.

Oui, Nivaria frôle avec détermination le burlesque. Elle se rattrape de peu par son étonnant sérieux, qui la fait plonger dans la simple connerie.
Elle commence d'abord par une magnifique figure de style, très jolie. Elle nous parle d'une peur...d'une peur dangereuse....qui pourrait nous tuer...
Elle a à ce moment toute notre attention.
Les yeux rivés sur elle, l'auditoir se demande quand est-ce qu'arrivera la chute de cette histoire drôle.
Mais il n'y a pas de chute, car en fait, Nivaria use de tout son verbe pour nous effrayer, mais ne nous dit même pas ce qu'est cette peur que nous éprouverions... !
On sait juste qu'on a peur ; enfin, on sait...disons plutôt qu'elle doit tenir de la divinité vivante, car c'est elle qui nous apprend que nous avons peur, mais ne daigne pas nous expliquer de quoi nous avons peur.

Mais ce n'est que partie remise ! on nous parle ensuite d'un magnifique Sentier d'Or - quelle belle expression, est-elle de vous ? - mais sans nous expliciter de quoi il s'agit !

Et là encore, personne n'a tilté ?
et bien, lorsque l'on vous parle, Dirigeants de Galactica, EN ECOUTEZ-VOUS LE MOINDRE MOT ?

Non, bien sûr, vous êtes trop occupés à comparer la taille de votre armée avec celle de vos voisins, oui, c'est marrant "ahahah, je peux te tuer, nananananèreuh !"


ensuite, nous apprenons avec effroi que le Grand Conseil nous aurait manipulé, et ce, depuis des siècles !
Nous avons peur, nous, auditoir des Wizard, nous demandons avec effroi jusqu'à quel point nous avons été manipulés.
MAIS QUE NENNI, notre chère Nivaria ne daigne pas nous donner un seul exemple. Elle veut apparemment nous montrer le chemin de la vérité, mais sans jamais nous dire clairement où l'on s'est trompés !

Et ensuite, argument de choc : si les Wizard avaient demandé l'autorisation, ils ne l'auraient pas eue...!
Mais naturellement !
Ceci est une si belle justification, qui est, je vous la traduis A VOUS, EMPEREURS QUI N'ECOUTEZ QUE VOTRE NOMBRIL, QUI PARTICIPEZ A DES DEBATS SANS PRENDRE LA PEINE DE REFLECHIR A CE QUE LES AUTRES DISENT !
En fait, Nivaria nous explique que :
"si on avait demandé aux garants de la sécurité interplanétaire l'autorisation de répandre le mal absolu sur le système galactica, ils n'auraient pas voulu !"

Cet argument, deja bidon, vient en plus contredire ce que vous venez idiotement de dire...
Que le Grand conseil n'eut pas voulu que vous preniez le pouvoir montre bien qu'ils travaillent pour notre intérêt...
Je comprends pourquoi vous ne citiez pas d'exemples tout à l'heure : vous étiez bien en peine d'en trouver !

Ensuite, vient l'aveu de l'hégémonie qu'ils tentent d'installer, je ne reviendrai pas dessus...

Et puis, Nivaria continue à tisser son discours d'imbécilités.
D'abord, elle dit que finalement, ce n'est pas si grave s'ils prennent le pouvoir : on est déjà habitué à être gouverné par des abrutis.

Et ensuite, elle nous propose le plateau de la liberté.
Comme c'est beau, magnifique, et lyrique à souhait.
Le plateau de QUELLE liberté ? en quoi n'avions-nous pas de liberté avant ?
On nous propose le plateau de la Liberté, sans nous expliquer en quoi nous serions plus libres ensuite.

Je crois bien que j'ai fini de parler de ça.

Venons-en à des personnes légèrement -légèrement - plus censées.

Allons, ma chère aveugle - quel est votre nom ? - comment pouvez-vous prétendre que la simple existence constitue le bonheur ?
L'existence est une CHANCE, mais pas un bonheur.
De quoi naît le bonheur ? pourquoi ressens-tu le bonheur ?
Tout simplement parce que tu connais le malheur.
L'existence est une chance : une chance de connaître le bonheur, en ayant foi en ce que le monde peut être.
L'existence est aussi une chance de connaître le malheur, comme Kalyso, et de s'y enfermer à jamais, sans vouloir réellement connaître, ou connaître à nouveau le Bonheur, par peur de le predre encore une fois,...

Oui, petite aveugle, il faut croire. Mais pas bêtement croire en la vie...
Le bonheur, n'est pas d'exister. Le bonheur, c'est tout simplement de se sentir accompli.
Peu importe si l'on l'est réellement. L'important, c'est de se croire accompli, et alors, les portes du bonheur s'ouvrent à toi.
Et toi, petite aveugle, le bonheur, tu ne le connaitras pas, car tu ne souhaites vivre que par procuration ; tu ne souhaites vivre que par les autres ; tu ne souhaites pas vivre de toi même. Quand bien même tu verrais les autres devenir heureux, que tu vivrais dans la crainte qu'ils ne le soient pas éternellement.

Cessez vos guerres et vos meurtres ; cessez de tenter de combattre le mal par le mal ; cessez de tenter de justifier l'injustifiable ; si vous faites le mal, faites le bien, et ayez l'honnêteté d'avouer que vous n'êtes mû que par une sauvage envie de destruction.
AUCUN de vous ne veut réellement rendre les choses meilleures.
Tout ce que vous désirez, c'est marquer l'histoire, et diriger.
Vous ne voulez que tenter votre chance.

L'histoire est un éternellement recommencement...

Cessez de vous prendre pour des dieux.
Savez-vous ce qui arriva, la dernière fois que l'homme voulut devenir l'égal de Dieu ? Dieu répandit les langues sur la Terre, afin de semer la discorde parmi les hommes, pour qu'ils ne puissent plus s'unir et tenter de le dépasser.

Alors, voici ce que je dirai.
Entre les empereurs qui ne s'écoutent plus entre eux, et parlent à leur miroir ; entre les wizard qui tentent de prendre le pouvoir sans même parler réellement avec les empereurs ; entre les flottes ennemies qui se massacrent sans savoir pourquoi.
Dieu a sacrément bien réussi son coup, non ... ?

Acceptez la vérité : vous n'êtes que des larves ; moi compris.

Mais moi, j'en suis fier.

Alors, messieurs, mourrez pour vos idées !
MERCI BRASSENS !Mais s'il est une chose amère, désolante, en rendant l'âme à Dieu, c'est bien de constater qu'on a fait fausse route, qu'on s'est trompé d'idée !
Alors, mourrez pour des idées, d'accord, mais de mort lente...

Et surtout, n'entraînez personne dans votre chute...

Sur ces quelques paroles, Thorin se rassit. Il ne regardait plus personne. Il avait parlé pour tous, mais se doutait bien que les quelques qui lui répondraient ne l'auraient pas écouté, et ne changeraient jamais leur attitude, et continueront de venir à la Corpo, soi-disant pour débattre, alors qu'ils continueront de se borner à venir, parler, et partir, sans s'être remis en question...
Il savait qu'après avoir crié son désespoir envers ses empereurs nombrilistes, il aurait déorénavant MERCI BRASSENS ! la mauvaise réputation...qu'il se démène, ou qu'il reste coi...Il n'a pourtant fait de mal à personne, en n'écoutant pas le clairon qui sonne...mais ces braves empereurs n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux...non, les braves gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux...

L'Impératrice Hnerietta accouder a la porte, qui étais presque a sauter les discution fut interpelé par cette ernière phrase prononcé par cette fille aveugle.

<<Croire en quelque chose, c'est déjà si dificile de croire en nous même. De croire que cette bataille est perdu. On ne peut croire en quelque chose, toute est si frangile......si versatil, les amitiés ne tienne plus...... les amours son perdu..........la confiance s'évanouie. Plus rien ne tiens debout.
Comment pouvons nous croire en des choses si insaisisables............. si polymorphes..........si abstraites, que les sentiments.>>

L'Impératrice se tourna vers la fille aveugle.

<<Vous qui demander a croire en quelque chose, en quoi devrions nous croire? Croire en la victoire? Croire en nous même? Le désespoire est partout et ne partira jamais qu'il en vous ou en moi, il y aura toujours une part qui doutera de vous même, cette face cachée qui vous dit "Tu n'y arrivera pas". Faut pas toujours croire que tout est faissable.
Je suis conciente qu'il faut toujours garder une lueur d'espoir au fond du coeur mais savez vous, que le vraie potentiel de l'être ne se dévoile qu'au moment où il mourir ? Quand l'être a conscience de sa mort, il se réveille, a ce moment il peut faire des chose qu'il pensait ne pourvoir jamais faire. des choses extraordinaires.>>

L'Impératrice montra les dirigenant de l'Oracle Maudit, est pencha sa tête vers le coté droit.

<<Regardez ! Voici des personnes qui ont gouté à cette chose insaisissable qui est l'espoir. Completement détruit, au moment de leur mort il ont........réssucité de leur cendre et se sont rebatie et devenu grand. Alors peut être devrions nous croire en notre reconsruction non? >>

L'Impératrice regarda le sol et en balancant son pied qui rasait doucement le sol pour ne pas érafller ses jolies petites chaussures.

<<Après il faut savoir si vraiment cet événement extraordinaire va se passer. Et ne pas devenir mauvais quand la personne retrouve ses pieds.>>

L'Impératrice tourna la tête en souriant vers la fille aveugle

<< On vera ce que nous réservra le temps, il est si cruel et on ne peut rien contre lui, on ne peut le prévoir et tout peut arriver si soudainement>>

Sur ces mots l'Impératrice se tue et alla se réacouder à la porte d'entrer.

Toute la corporation avait été prise d’assaut et était tombé sous le coup des Wizzards. Kétanolan les connaissait tous. Il avait malheureusement des amis dans les deux camps formés aujourd’hui. Il avait bien entendu fait son choix. Il arriva avec une lourde escorte au siège de la corporation et déclina son identité aux gardes qui le laissèrent entrer. Il rentra, armé, avec son premier officier et 3 soldats Atlantes. Désormais les armes pouvaient entrer dans la corporation puisque les capteurs avaient été détruit et les alarmes coupées. Il était donc impossible de croire que le siège ne serait pas contrôlé intégralement. Et pourtant. Il était certain qu’il ne l’était pas totalement. Sinon ou serait ces Grands Conseillers ? Lorsque Kétanolan atteignit la chambre 46, deux gardes lui ouvrirent la porte. Il entra et tout le monde se tut. Il regarda les Wizzards qui lui montraient des regards amicaux mais déterminés. Pour certains des regards presque vide qui redevint très furtivement joyeux. Il s’approcha et contempla le reste de l’assemblée et commença :

Bonjour à tous. Mes Seigneurs, je vous salut. Tout d’abord les Wizzards alliés comme vous Lidhyle Nalashadd ou encore Théran Azhar, vous pour qui j’ai tant d’estime et d’amitié. Ensuite, mes amis. Dame Kouraï il la salua en baissant la tête de façon révérente puis refit de même pour les autres.
Grand génie Histugaya Jin,
Larmes de Beryls,
Soul Of Alastor, mon cher,
Nivaria Kenthar que je connais moins qui a déjà toute ma confiance et mon estime.
Et enfin le plus jeune d’entre eux Firuba Sendenoï. Je suis désolé mon cher je n’écorcherais pas votre nom. Votre oncle serait si heureux et fier de voir à quel point vous avez évolué en si peu de temps. J’en suis très fier aussi. Mon père vous salut aussi.

Kétanolan après tant de politesse s’avança vers les chaises dont certaines étaient occupées par Cris ou encore Agréian. Il se mit devant l’un des sièges et continua :

Ce siège que voici, je vais m’y asseoir. En effet, je me rallie aux Wizzards. Les Atlantes se battront pour eux. Maintenant, certains se seront sûrement dit, l’Atlantica nous aidera nous pouvons la ramena à la raison. J’affirme catégoriquement que cela n’arrivera pas. Mes forces ne vaincraient pas l’orbe Maudite mais peuvent malgré tout faire très mal. Mais ces forces serviront les Wizzards car leur but sont pour moi d’un intérêt très important. Le chant des ombres n’a jamais été exécuté et nous ne savons pas du tout ce que cela peut nous apporter. Je vous propose de le découvrir avec nous. Suivez notre volonté et vous en bénéficierez aussi. Maintenant cette domination qu’elle soit sous cet ordre ou sous un autre existe déjà. Ne soyez pas fou au point de vous y opposer. Je vous propose de prendre votre siège et de l’ajouter aux autres ici présent. Venez gonfler nos rangs. Maintenant pour ceux qui seraient tentés de s’opposer à nous, sachez que désormais la Flotte Atlante est renforcée et la magie n’a plus de secret pour elle. Nous saurons faire face à toute force opposante. Le sacrifice ne sera jamais considéré comme vint au passage. Longue vie aux Wizzards. Je fais ici le serment de les aider jusqu’au bout de leur quête.

Kétanolan fit un signe à ses gardes qui se postèrent devant l’entrée de la Chambre 46 afin d’en contrôler l’entrée et de démunir les entrants de toutes armes. Quant à lui, il s’assit aux côtés de Kemeth, Cris et Agréian et attendit de nouveaux intervenants.

Quelque part sur l’état Hell :

***Le siège de la corporation… Pris d’assaut… Mais qu’est ce que cela signifie… Le symbole de l’ordre imposé sur galactica par la corporation est tombé… C’est de bonne augure. L’hégémonie commence, les nouveaux maîtres sortent de l’ombre et dévoilent enfin leurs plans, leur but. Et ils ne font pas dans la demie mesure. Les grands conseillés plus ou moins battus et bannis, le siège occupé par une gigantesque armée d’âmes, et finalement les Wizards qui trônent sur de grands trônes… Décidément, tout dans la démesure. Si leurs autres actions dans la galaxie sont d’une telle démesure elles aussi, ils l’auront méritée leur hégémonie. Rien ne leur résistera.

Je suis heureux d’être parmi eux, de participer à cela, même si ma contribution reste maigre. Leurs idéaux de paix imposée par la force est ce que je recherchais en intégrant les sombres croisades. Ce n’est malheureusement pas en restant à la tête des templiers que j’aurais pu faire cela. Je pense avoir fais le bon choix au bon moment. Même si je suis loin de diriger ce projet, je suis fier de pouvoir y participer.

Mon expérience en tant que chef des templiers m’a bien prouvé qu’obtenir la paix par la simple diplomatie, en tentant d’établir de bonnes relations avec toutes les alliances de la galaxie n’est pas faisable. Nous avons tenu un certain temps et puis… Nous avons faillis. Les conflits, la guerre, les destructions, tout cela fini par l’emporter. Il est dans la nature de l’homme de détruire et de se détruire, alors pourquoi aller à l’encontre de notre propre nature ? Détruisons, massacrons, et imposons la paix en utilisant notre propre nature, en détruisant. Détruisons ceux qui détruisent. Détruisons pour le bien de tous. Détruisons pour dominer.

Et pourtant… quelques doutes subsistent… Une telle paix est-elle réellement possible ? Après tout, si on en croit la parole des Wizards, si tout les états se plient à leur volonté, il n’y aura plus aucune bataille ? Donc nos armées deviendront inutiles… Je n’ai pas rejoint les sombres croisades pour qu’au final mes troupes restent en hangar… Mes hommes vont s’ennuyer… Et si il n’y avait que cela… J’imagine mal des états comme le Jumi ou le Corélya ne pillant plus… Comment imposer la paix en continuant à piller… Et qui dominera cette triple alliance ? Chacun voudra sa part du gâteau, chacun en voudra de plus en plus. Et finalement, les tensions prendront le dessus, puis les alliances prendront les armes les unes contre les autres, et cette paix qu’elles veulent imposer… elle disparaîtra…

Et le retour de l’Edar, le chant des ombres… Pfff, je me souviens de mon entrain à lutter contre lui, contre le Shadowsong… J’étais jeune et naïf… Je voyais le mal partout, mais peut être avais-je tord… Peut être que ce chant des ombres peut réellement modifier notre galaxie… La plupart d’entre nous ont plus à y perdre qu’à y gagner… mais après tout, pourquoi pas…

Après tout, c’est peut être comme cela que doivent aller les choses… monter au plus haut pour redescendre au plus bas, et inversement… Les charognards viendront manger nos restes et deviendront les nouveaux grands de cette galaxie. Seront-ils mieux ou moins bien que le sont ceux de maintenant ? Resterons nous comme des tyrans ? Des bienfaiteurs ? Anonymes ? Nan, pas anonymes. Les Wizards sont en train de marquer l’histoire de cette galaxie d’une encre indélébile. Mais nous, pauvres petits états noyés par ces grands, que laisserons nous ? Je dois montrer qui je suis, je dois graver le nom de mon état parmi les plus grands. C’est mon objectif depuis toujours, et je m’y tiendrais. Je mettrai le temps qu’il faudra, mais j’y arriverai. Et mon entrée dans les sombres croisades, cette hégémonie, c’est un bon moyen d’y arriver, en soutenant les croisés du mieux que je peux. Je dois aller au siège pour leur montrer mon soutient.***


Deathscythe se leva et fit préparer son croiseur. Il prit la direction du siège de la corporation. Quand le siège fut en vue, peu de choses semblaient avoir changées. Il y avait peut être un peu plus de monde qu’à l’accoutumée, et la présence de vaisseaux de guerre armés qui indiquaient ce qui s’était passé ici. Le croiseur fut autorisé à accoster et Deathscythe pu rejoindre la salle 46 ou se tenait les Wizards. Il entra et alla droit face aux trônes des nouveaux maîtres des lieux. Il s’arrêta à quelques pas d’eux.


Deathscythe : Moi, Deathscythe, chef suprême de l’état Hell et membre des sombres croisades, je vous suivrais, je vous soutiendrais de tout mon possible. Nous vaincrons ensemble, ou nous tomberons ensemble. Je m’en remets à vous.


Il s’inclina respectueusement, le poing sur le cœur, puis il alla prendre place auprès de ses compagnons d’armes.

Ils n'écoutaient rien, personne ne voulais admettre que le siège était prit, les Wizard avait le tord de la bataille, mais a présent qui se plis sans guerre. Les Wizard veulent seulement la paix, ce monde n'est plus que destruction et absurdité. Thorin a bien raison, même si lui aussi est absurde, sa tentative restera vaine. Le siège et son contrôle n'avait rien d'attrayant, voilà surement pourquoi les Grand conseillés n'avais pas cherché a le reprendre. Enfin cette guerre aussi viendrait, mais Jin ne serait plus la.

Hey tu nous fait quoi Jin ? Je veux me battre moi ...

Histugaya ton heure viendra, pour le moment patience, tu l'aura ton combat, enfin si tu n'abime pas notre corps, car j'aimerais vivre encore un peux pour voir ma fille grandir.

Ne t'en fait pas Jin, Kalyso ne devrait pas posé de problème, et je ne veut pas la tuer, elle ne le mérite pas, mais elle tourne trop les Wizard en ridicule, c'est une question d'honneur...

Histugaya chacun voit midi a sa porte.

Les yeux de Jin devinrent gris, quand il se leva pour prendre la parole des rires absurde se firent entendre, Thorin en était-t-il responsable ? Peut importe, ce qui n'est pas blessant ne peut pas toucher l'être. Il avait préparé un discours et puis merde, marre d'être gentil, ils pourrons dire ce qu'il veulent.

Mara Jade, Mon lieutenant, prendra ma place sur ce siège je doit m'absenter, je vous informe aussi que Chaque Wizard a un lieutenant. Il seront considéré comme chaque Wizard.
Moi des affaires importante m'appellent je vous serez gréer de vous passer de moi mes chère collaborateur. Il regarda Nivaria, qui maintenant était la plus ancienne des Wizard ici présent.

Jin partit dans la foule, un homme, petit et mince voulu lui sauter dessus avec une lame finement cacher, l'homme perdit un bras dans sa tentative, et gagna 5ans de prison pour tentative de meurtre. Jin regagna son vaisse*u et partit sans plus s'encombre.

Fusion était seul, dans la salle du Grand Conseil, au sommet de la tour. Tout avait été évidé, et détruit. Tout se que le conseil avait mis tant de temps a mettre en place, tout. Les Wizards, Créé de la main de Eïko, avait mis à mal la totalité du monde, et cela prenait effet depuis que la censure était le Maître mot au Siège de la Corporation Galactique. Fusion, le Dragonnoïde. Lui qui avait été le premier a s’opposé aux armée du Démon Edar Warren Shadowsong, avec Adam Kadamon, Lui qui avait soutenu Kalyso, l’ancienne Parjure, Aujourd’hui la Paria de la liberté, Fusion était là, assit, seul, sur la table ronde du Grand Conseil.

Il avait aider les Wizards a se mettrent en place, les avaient curent bon, mais jamais il n’avait entre aperçu une tel prise de contrôle. Il avait aider Nivaria Kenthar a entré chez les Wizards, il avait aider Artha, un ombre du Shadowsong, pour quoi ? Pour une prise de contrôle pathétique et juste assez bonne pour être identique a toutes les autres. Nivaria avait eut raison d’enfermer le Dragonnoïde dans la salle du conseil, car s’il avait put sortir, il aurait régler le problème en deux temps trois mouvements, a coup de missiles.

Mais la salle du conseil était vide, et close… Close par la magie Kenthar, et Fusion avait depuis longtemps appris a redouter leurs puissantes magie. Il lui fallait trouver de l’aide. Il devait contacter les personnes qui avaient déjà lutter contre de tel risque, contre le Shadowsong, et la clôture de la porte, si puissante soit elle, n’empêcherait pas le dragonnoïde d’atteindre le voile. Et sa destination était précise : son esprit.

Apres tout, Sevoh~Thar et Beliãl n’avaient-elles pas toutes les deux luttées contre le Shadowsong ? Après tout, Fusion n’était il pas la clef qui protégeait le Siège de la menace de l’Edar maléfique ? Jamais, lorsqu’il avait créé les Wizards, il n’avait voulu le retour de Warren. Jamais, il n’avait voulu d’hégémonie. Les Wizards auraient due être les Gardiens de la liberté, et pas la vouer au néant. Fusion devait trouver des réponses, et ils les trouveraient chez ses trois mères créatrices.

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Dans un lieu, qui n’en est pas un.

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-Bonjours a vous trois.
-Nous savons pourquoi tu es là, Fusion. Et la réponse se trouve en Nivaria.
-Comment, Beliãl… Comment cette Saleté de Kenthar pourrait elle me servir ?
-Mais tu es toi-même comme elle, Fusion.
-Tu Délire, Laila. Je suis un Aelia-San moi.
-Par Aelita, tu es un Aelia-San. Par moi, un Ombre. En cela, tu peux utilisé la puissance de ta ligné, mais aussi de celle qui l’accroît.
Pardon ?!

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Plus tard, dans la salle du Conseil

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« Kalyso, je sais que tu entendras cette pensé. Tu es partie à la recherche de réponses et d’aide, moi, je suis enfermé dans la salle du grand Conseil. L’un des Grands Conseillé a aidé les Wizards. Je ne sais pas encor qui mais je trouverais. Aucun d’eux ne me tiendras prisonnier ici, et je me rends dans la salle 42, où se tiens le Congrès annuel des boulets en manque d’affection des chevilles enflé. Je vais y faire régner l’Ordre. J’ai créé un lien entre nos deux esprits, par le voile. Tu peux donc me contacter. Je ne sais pas en quel conseillé l’on peut encor avoir confiance, et donc il n’y a que nous deux qui sommes unis via se lien.

Je vais essayer de sortir de cette prison de marbre, au grilles d’argiles, je te contacterais plus tard, tiens moi au courent. Bonne chance. »

Fusion, maintenant concentré, se tenais face à la porte du Conseil. Nivaria l’avait imperméabilisé à toutes tentatives de passage en force, et elle avait créé un lien qui lui indiquerait toutes destructions sur cette dernière. Fusion ne pourrait s’échapper sans qu’elle ne soit au courent.

BAAAMMMM

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Salle 42, Siège des Wizards

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Nivaria eut un choc. Elle appela les deux gardes de la salle dans son interphone. Pas de réponse. D’un aire inquiet, elle regarda le Dirigent du Nécrolia, et son Ombre. C’était impossible, Fusion n’aurait put forcé son Sceau des Ombres de la sorte. Elle qui d’habitude n’était pas marqué par des expressions humaines, se laissait gagner par l’inquiétude, qui se lisait clairement sur son Visage. Si le Mahaï Fusion, Grand Conseillé venait ici, les Wizards auraient du sousi à se faire.

Dans la salle, des personnes commençaient a prendre conscience de l’inquiétude de la Kenthar. Un Ombre apparut à côté du Lieutenant du Génie, Artha, qu’il s’appelait. Il lui chuchota quelque chose à l’oreille, et les yeux bleus sur bleu de Mara devinrent d’un rouge flamboyant, et inquiet. Dans leur pensé, les Wizards se communiquèrent de ne rien changé a leurs projets, aucun espoir ne pouvait être donner a leurs ennemis.

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Au même moment, dans la tours du Conseil.

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Beliãl n’avait pas mentit. Rien qui se faisait de la main de Nivaria ne lui était une barrière. Leurs magies étaient les mêmes. Les deux gardes a sa portes tombèrent au sol dans un bruit mate avent même de comprendre, leur vie s’envolant grâce au pouvoir de la sphère opposé. C’était démoniaque. Fusion descendit les escaliers de marbre blanc de la tour du Conseil, et se rendit tout droit vers la seule salle du Siège encor ouverte. Alors qu’il poussait les portes, un vent de liberté souffla dans la Salle. Il était le seul Maître du Zéphyr, le seul à qui répondait son appelle.

Alors qu’il avançait vers les 9, un chemin s’ouvrait devant lui. Ses yeux rouges commençaient a brillé légèrement. Ses cheveux Flamboyant se dressaient sur sa tête, et sa toge tombait vers le sol, mais pas verticalement, comme soulevé par une légère brise feutré. Fusion jeta un bref coup d’œil vers les trônes, cherchant le regard de son allier, il le trouva rapidement. Un sourire se dessinait sur la bouche du Dragonnoïde, alors que Soul of Alastor préparait déjà une boule de feu, prêt à Anéantir toutes formes belliqueuses de résistance du Dragonnoïde.

Et là, tout doux, mon petit Wizard.
Fusion leva la main, alors que disparaissait les flammèches dans celle du Wizard, Maître du Feu.

Comment ?!

Etonner, dame Nivaria Kenthar ? Allons bon… le simple pouvoir d’une Sphère pas encor assez maîtrisé ne m’atteindra pas moi, Vous devriez le savoir…

Je croyais que l’on devait se tutoyer, Fusion le Dernier Dragonnoïde ?

Ça, c’était avent que je ne m’aperçoive que vous étiez une traîné, dame Kenthar.

Dernier Dragonnoïde ? Plus pour Longtemps !

Eïko s’était levé, prête a combattre. Fusion la regarda droit dans les yeux. Elle y vit le regard d’un Aïlu… D’un Aïlu qui lui avait déjà pris la vie. Comme refroidie, la Wizard se rassit.

Je croyais que l’on avait le droit a la parole, ici, Wizards. Je vous ai regroupé, et je vous ai montré la voie de la liberté, que vous deviez protéger. Vous avez préféré vous rabattre sur vous-même et prônez le Shadowsong. Mais pour ce dernier, il vous manque quelque chose de taille, et vous le savez. Neuf, pour 8 Sphères. La vautres, Eïko, ne serais-ce pas celle du Zéphyr, la Sphère du vent ?

A ces mots, fusion montra sa paume, et il y apparut une sphère, alors que le vent commençait a souffler dans la salle. Fusion observa, en délectant sa soudaine vengeance.

Nivaria Kenthar… Grâce a vous, je peux utilisé la puissance de chaque Sphère. Vous êtes liée aux Wizards autant qu’a moi. Merci, d’ailleurs pour cette nouvelle puissance que vous me donnez là. Vous deviez vous allier au Conseil, par le Radié. Vous deviez amener la liberté, par la faire retourné au néant. Vous deviez ramener la paix à la vie, pas l’Edar Shadowsong. Je reprendrais les Rênes du Noldor, soyez en sur !

En Kenthar que je suis-je m’opposerais a vous, quoi qu’il advienne. A oui, Théran, inutile de vouloir me tuée, vous tueriez la Gemme de la vie, en même temps… et donc, toute espoir pour le chant des Ombres… Vous croyez ne rien avoir a apprendre des Wizards, ni de moi-même ? Lourde Erreur, votre esprit est pour moi comme un livre ouvert.

Leurs tournant le dos, Fusion retourna vers l’entré. Il vit apparaître par magie, une deuxième estrade, face a celle des Wizards. Et sur celle si, il y avait une 15enes de sièges. Sur le plus grand des 15, au centre, était Gravé Lord Yu, en lettre d’or. Fusion s’instala sur son siège, en attendant l’arrivé de ses collègues, un grand sourire a la bouche. Il Dit d'un ton guilleret:

Nivaria, ma Soeur, tu oublie biens trop Vite!

dans son esprit, là ou personne n'entand:

" Kalyso? sa y est, la salle est reprie, le grand Conseil pourra y siégé en paix. Ce n'est pas encor ce que nous espérions, mais au moins, nos vie ne sont plus directement en dangé. Bonne chance."

[hrp] Pour comprendre, lire "Au fil de l'eau" dans les jardins [/hrp]
[hrp] les Mentats comme mara ou norari, quand elle son inquiette et en manque d'épice, on les yeux rouges[/hrp]

Cela faisait quelques temps que Bugs était au courant de la prise de contrôle du siège de la corporation, mais des affaires de toute importance avait monopolisés toute son attention. C’est ainsi qu’il revint au siège, il ordonna au pilote de le déposer le plus prés possible de l’entrée, après tout, le vaisseau portait le cigle du CEI.
Une fois le vaisseau à terre, Bugs descendit rapidement de celui-ci et d’un pas pressé se rendit à l’entrée du siège. D’abord stoppé par les gardes, ceux-ci, après une courte discussion finirent par le laisser passer.
Direction, salle 42. Beaucoup de bruits, de voix mêlées dans un chahut inaudible, ce devait bien être la.
Les gardes ne vérifièrent pas s’il était armé ou non, il n’avait rien sur lui de toute façon.

Bien le bonjour à tous, je ne monopoliserais pas votre attention par quelques artifices extravagants mais j’aimerais être écouté de vous dans le calme et l’attention.
Je me présente, je suis Bugs, élu à la tête de la Duanratie, état qualifié de « fictif » dont le siège se tiens à Volcano. Je suis également l’un des chefs fondateur du Consortium Economique Interplanétaire, et enfin, un membre du Grand conseil.

Bugs se tourna vers Kourai.

Vous comprendrez ainsi la délicate position dans laquelle je me trouve. Ainsi, après avoir pesé les différents points pouvant faire pencher la balance, tel que l’alliance entre le CEI et les Sombre Croisade, j’ai décidé de suivre la politique du CEI.

Bugs regarda Fusion quelques secondes puis se plaçât doucement au milieu de la salle, regardant tout autour de lui.

Je vais vous expliquer plus précisément les décisions que j’ai prise. Le CEI restera définitivement neutre, nous ne jugeons pas les idéaux, mais nous sommes la pour vous aider à les réaliser, ainsi, nous offrirons nos services à tout ceux qui le désire. Il est imposé à tout les Etats du CEI de conserver cette neutralité. Cependant, le CEI ne sera pas responsable si un dirigeant d’un de ses Etats membre, en tant que personne, prend l’un ou l’autre partie.

Bugs replaçât ses lunettes. Le petit homme frêle n’avait pas l’habitude de discourir devant tant de personne de cette importance.

Pour ce qui est de moi, non en tant que représentant de la Duanratie, mais en tant que personne et membre du grand conseil… Je ne suis pas un guerrier… Et ne pourrais donc prêter ma force à personne. Je ne suis pas un politicien, et je ne pourrais donc prêter ma voix et mes arguments à personne. Je ne suis pas quelqu’un, hors du statut que me confèrent mes postes. C’est pourquoi, hélas, je ne pourrais pas faire grand-chose, peut-être tenter quelques dialogues malgré la délicatesse de ma position.

Bugs se tourna vers Fusion. Et s’approcha pour prendre place dans l’un des sièges à l'extremité des 15 sieges crées par Fusion. Et regardant le grand conseiller.

Désolé Fusion… Mais j’ai les mains liées…

Endymion regardait encore tout autour de lui comme il en avait l'habitude. Il aimait bien voir les visages, les gestes et les expressions des personnes. Il pouvait ainsi déceler n'importe quel sentiment ou émotion qui émanait des agissements de ceci. Il ne fallut pas longtemps pour voir que certains étaient animés d'une profonde haine envers l'Orbe Maudite mais il constata non sans effroi que nombre étaient ceux qui se rallieraient à cette alliance dans le seul but de ne pas se faire massacrer. Ceci n'était pas blâmable mais le dégoutait un peu. Ils savaient très bien que ces hommes qui massacraient parce qu'il ne voulaient plus d'état gros producteurs se servaient des plus faibles de leurs alliances pour se procurer ce dont ils avaient besoin, ils leurs étaient nécessaire et la prise de la Corporation n'en était qu'une nouvelle preuve, preuve de cette recherche du pouvoir mégalomaniaque qui a pour seul but d'asservir les états faibles ou moins fort. Endymion sentait que la majorité des dirigeants ici présent étaient hostiles à l'Orbe et que la révolte grondait. Il se leva donc pour seulement prononcer une phrase:

<<Souvenez vous, membres de l'Orbe, Wizards et autre bestioles de nos contrées, vous êtes maîtres aujourd'hui mais sachez qu'un maitre sans esclave n'est plus un maitre>>

Son regard était celui que tous refoulé, le regard des vainqueurs.

Bugs venait de s'exprimer sur la position du CEI. Oui, pensait Ulo Logas, c'est un peu compliqué.... neutralité de l'alliance contre sentiments de ses dirigeants...
Lui aussi c'était longtemps posé la question, puis il avait fait son choix.

Ulo ne pouvait pas en rester là. Ce coup de force avait pris une tournure bien trop contradictoire qu'il se devait maintenant d'intervenir.

- Alors ça y est ! Vous avez décidé de prendre le contrôle de Galactica..........

Une longue pause se fit.

........alors que vous l'aviez déjà. Excusez-moi, mais je ne comprends pas votre attitude. Voyez-par vous même.

Un petit hologramme se matérialisa au centre de la pièce.

1 Iwachika Sakazusa ARM
2 Erathia Sombres Croisades
3 Ygdrasil Ames Damnées
4 Duduche Oracle Maudit
5 Nécrolia Oracle Maudit
6 Corélya Oracle Maudit
7 Adétios Ames Damnées
8 Jumi Oracle Maudit

10 Anyrian Sombres Croisades
11 Atlantica Sombres Croisades
12 auxman Oracle Maudit

16 Shadow ARM
17 Galinéas ARM
18 Odysseus Sombres Croisades
19 Nostromo Ames Damnées
20 Oasis Oracle Maudit
21 Ucatsu Sombres Croisades
22 Aschlarane Sombres Croisades
23 Konoha Oracle Maudit
24 Noldor Sombres Croisades
25 Mirage Oracle Maudit
26 Asa Sombres Croisades
27 Kashyyk Oracle Maudit
28 Earthian Oracle Maudit
29 E-den Oracle Maudit
30 Cosa Nostra Sombres Croisades

Des 30 Etats les plus puissants de ce système seuls 4 ne correspondent pas à vos idéaux. Autant dire rien... Et je ne parle même pas des nombreux chefs d'Etat qui vous ont rejoint par la suite.
Alors autant dire aussi, que cette prise de contrôle n'en est en réalité pas une. Les grands conseillers ont perdu de leur pouvoir et de leur soutien. Cela n'a pas du être très difficile de les battre.
Désolé mais je le redis : votre union ne fait que confirmer ce qui existe déjà.

J'en viens alors à poser les questions qui me brûlent les lèvres car tout ceci n'a aucun sens.

Pourquoi ce coup de force ? Quel est votre intérêt ?
Il n'était pas nécessaire de le faire... D'ailleurs, vous auriez pu justement profiter de ce que personne réagisse quand vous étiez encore à l'écart, pour accroitre votre pouvoir.....

Une nouvelle pause se fit.

.....à moins que vous vous sentiez menacés... mais alors par qui ? et pourquoi ? auriez-vous peur de quelque chose ?

Ulo Logas, Maître de la Raison, avait un petit sourire en coin, car il voyait aussi quelques sourires dans l'assemblée qui se reconnaissait en lui.

Dans les sous-sols...

m4x et Yu avaient réussi tant bien que mal à bidouiller le système de surveillance qui donnait sur la salle où règnaient les neufs. Ils y virent la présentation de Fusion, ébahis...

" - Eh bien, mon ptit Yu, il est bien parti pour leur rétamer la gueule tout seul, le Fusion.
- Ouais...
- Je me demande quand même d'où il la chie, cette puissance. On le croirait plus fort que le Shadowsong, on le croirait capable de tout détruire d'un clignement d'oeil.
- ... "

Lord Yu était absorbé par l'écran, il se faisait absent. m4x n'ajouta pas un mot, et continua de regarder la scène. Eiko qui se lève de manière agressive, et qui se rassieds comme un petit chien, la queue entre les jambes. Nivaria, apparement elle aussi toute puissante, elle aussi aussi puissante que le Shadowsong, qui n'arrive pas à égratigner Fusion. Et m4x, qui parle seul devant l'écran, comme regardant une série sur-réaliste :

" - Mais allez, bourrine leur leur gueule merde ! "

Blanc...

Fusion repart, fier de lui, content d'avoir montré qu'il était le plus fort, sans plus, sans rétablir la paix dans cette foutue baraque qu'est le siège de la corporation.

" - Qu'est ce qu'il fout ce cake ?! "

Aucune logique dans ces actions, aucune raison le poussant à rester passif, il avait l'air de contrôler la situation, et même de pouvoir devenir maitre du monde d'un battement de cils, et il les laisse là, ceux qui posent tant de problèmes au grand conseil. Puis, Ulo Logas qui se lève et qui prend la parole. C'en était trop pour m4x, il s'adressa à Yu de manière claire et concise :

" - Yu, tu te démerdes avec Fusion. Lui qui a l'air si bourrin, il n'a qu'à les rétamer, ces idiots. Moi, j'me tire, je sais pas encore où, mais je vais pas aider des gens qui n'ont pas besoin de moi. A dire vrai, Fusion suffirait à les exploser, mais il fait le con, alors tant pis. Je vais p'tet aider la résistance, mais c'est pas encore sur, y parraitrait qu'il y a aussi des grosbills là-bas... A plus ! "

Pas le temps pour Yu de rajouter un mot, m4x était parti au travers des sous-sols du Siège de la Corporation.

Te rappelles tu encor ?

Te rappelles tu encor des ces combats grandioses, de ces hommes et Seigneurs en armures d’or, te rappelles tu encor ces contrées lointaines, ces forets sans fin, ces montagnes de feu et leurs Dragons Majestueux ?

Il fut un temps ou l’homme était maître de ces rêves, un temps ou l’homme se battait pour de grands idéaux, de grands sentiments….

Ou est passé ce temps ?

L’Ombre Maudite, le Seigneur Noir était revenu en terre Mortes de l’Iwachika Sakazusa.
Après avoir réglé quelques problèmes dans les basseurs du monde, il était revenu afin de terminer la tache que son destin lui réservait, apporter avec lui le vent mortel du Zéphyr, de l’Hégémonie.

Les Wizards avaient réussis à prendre le control de la corporation et l’Ombre avait apportée son soutien grace à l’armée des morts, armée implacable et immortel. Mais la ruse est de partout et les idées fusent afin de renverser ce nouveau pouvoir en place. Les idées mais aussi les complots, plus vil les uns que les autres, beaucoup d’hommes, trop d’hommes on oubliés et reniés leur passé, un passé glorieux, un passé fait de comptes et légendes, un passé fait de magie et pureté, trop ont choisis une route sinueuse.

Il est temps que tout cela change….

Le vent apporte en son sein des nouvelles fraîches, le conseil reprend du pouvoir, le conseil veut reprendre ce pouvoir volé, ce pouvoir pris de force et sous la menace des armes.

Est-il bon que je m’en mêle, est-il honnête que je prenne réellement par a ce conflit au seins du siège de la Corporation ?

Le Seigneur Noir ne savait trop que faire, appuyer le pouvoir des wizards ou regarder ? Il avait juré de les aider si besoin était mais le besoin était-il réel…

Le Fusion était puissant, il avait réussis à reprendre sa place de conseiller, L’Ombre Maudit savait qu’il étais en mesure de le soumettre lui aussi mais à quoi bon ? A quoi bon soumettre un homme d’une tel envergure ? L’enfermer, le bannir à jamais du monde des vivants était chose aisé, mais qu’est ce que cela apporterait ? Un remplaçant rien d’autre… Tous un jours se soulèveront et ce jour la, ce sera à moi de jouer, ce jour la, ce sera a moi de les renvoyer en enfer, rôtir tel des canards fumés, moisir dans les caves infernales des mondes souterrains…

Le Seigneur Noir…. Devait-il, ne devait-il pas ?

Je ne peu me mesurer à de simples mortels, cela pourrait changer la face du monde, alors que faire et comment faire ?

Une onde se fit sentir, un vent, un cri de haine et de colère, une onde de plus en plus puissante, l’onde de la haine, l’onde de la mort…

L’Ombre se téléporta à la surface des terres du Royaume de l’Iwachika et resta la, sombre forme qui observait, écoutait, sentait les nouvelles, les nouvelles de tout un univers apporté par toutes les effluves des vents magistraux.
Passé quelques minutes, il se retourna et se retrouva face à un homme loup égaré sur les chemin menant au centre de recrutement, cette entité moitié humaine moitié loup resta figé quand, relevant la tête, se retrouva face à celui dont le nom suffisait à vous faire fuir et trembler.

Le Seigneur Noir le toisa de haut en bas puis sans mot dire disparu… le loup était sauf, mais une flaque jaune s’était créée à ses pieds…

Devant les portes de la Corporation.

Une fumée noirâtre se créa laissant apparaître en son sein une Ombre, Une Ombre venu rappeler à l’ordre un trop grand nombres de personnes et, tous savaient qui sortirais de cette fumée, en particulier les gardes, deux Ombres mortes figées dans les murs laissant passé à guise qui le souhaitait mais toujours prêt à intervenir si besoin était.

Le Seigneur, le nuage dissipé se déplia de toute sa hauteur et regarda avec un œil assez amusé les environs… des carcasses, de vaisseaux, d’humains, créant ici même un aspect quelque peu similaire aux Hautes terres mortes de l’Iwachika. Son regard pénétra alors les murs de la corporation pour atterrir directement sur la salle souhaitée, la salle de beaucoup de débats en ce moment, la salle ou le Fusion avait cru bon de se sentir puissant….

Un nouveau téléport et il y était, apparition soudaine devant les sièges des wizards, dévisageant tous les êtres présents, il semblait sourire… Un sourire mortel, un sourire froid, non amical, un sourire comme il peu s’en lire sur le visage des berserkers au moment de combattre…

Laissant le silence s’installé et la magie dégouliner de son corps tel du pue infestant la surface du sol, il attendait…

Un homme qui depuis son arrivé semblait angoissé, regardant à droite puis à gauche, se leva soudain et cria de tous ces poumons en se ruant vers le Seigneur Noir :

A MORT LE DIABLE

Il n’eu pas le temps de faire une quatrième enjambée, que le Seigneur était déjà sur lui, la main de feu englobant son visage, il le souleva à quelques pieds du sol et regardant la foule choquée, fit par un mouvement de main, explosé le crâne du pauvre Rebel qui finit par être sortit de la salle les pieds devant…

L’Ombre était exaspérée, énervée, et cela se sentait à chacun de ces mouvements, cela se sentait dans l’effluve magique qu’il dégageait malgré lui…

Enfin, dans un silence absolu il prit la parole…

Cela fait bien longtemps Seigneurs de touts les continents. Bien longtemps que tout cela dur … et pourquoi donc à la fin, entendre vos gémissements et pleurnicheries…

Des voies outrées ce firent entendre dans l’assemblée quand l’Ombre cria du plus profond de son corps et entrailles en en faisant trembler les murs :

SILENCES INFECTES INSECTES QUE VOUS ETES

Reprenant son calme et sa voie froide et mortel,

Vous ne valez rien !
…
Je ne suis pas représenté en cette prise de pouvoir, et ai juste donné ma contribution car je ne suis plus autorisé à en faire partie par les lois régents le royaume des morts. Je ne suis pas autorisé à envoyer sur vous l’armée des morts, je ne suis pas autorisé à me mettre au pouvoir au cotés des Wizards.

Mais je suis autorisé à tous vous tuer ! Tous un par un, enfants par enfants, femmes par femmes, mortels par mortels. Pourtant, je ne porte le vent qu’en dehors de se siège….

Je ne comprends pas, et cela fait bien longtemps que je n’ai pas parlé ouvertement, je ne comprend pas et ne peu si longtemps resté à écouté ce flot de paroles incessantes, agaçantes, strientes et stridentes, je ne peu tolérer les mascarades de beaucoup ! Et l’odeur qui se dégage de chacun de vos faits et gestes, chacune de vos paroles est nauséabonde…

Alors que des murmures se faisaient entendre parmi les Seigneurs occupant les sièges placés face aux Wizard, un groupe de rebel au pouvoir en profitât.

Six hommes ensemble se levèrent et tous ensemble se mirent à inquanter ou plutôt psalmodier à une rapidité phénoménale des runes ancestrales. Ils furent aussitôt coupés par les Ombres des morts resté jusque là figés dans les murs et envoyés par la tête dans le royaume des morts.
Le Seigneur Noir exultât de toute sa rage, et se retourna brusquement pointant du doigt Noldor du Fusion

Vous Seigneur Fusion qui venez narguer ceux que vous connaissez si bien, vous qui vous permettez ainsi de remettre en question les autres, vous êtes vous remis vous-même en question ? Avez-vous songez réellement à ce que signifie le mot renouveau ? Tous ici et autant que vous êtes ne savez relevez la tête plus haut que votre menton. Ecoutez, et si vous n’écoutez pas les paroles des porteurs du message alors, écoutez le message lui-même :

Par le vent du Zéphir naîtra le renouveau

Voila ce qu’est ici la venue de ces hommes fidèles, loyaux, combattants, valeureux, possédant en eux les traits des grands de ce monde, n’entendez vous pas les rumeurs, les comptes et légendes qui se sont formés, ne voyez vous pas l’histoire et ne voyez vous donc que les sombres et sobres mots de :

Le Seigneur Noir était face au Fusion du Noldor, il était face à un homme qui avait omis de penser, et d’écouter la vérité, la réalité, …
Le monde était-il devenu si horrible ? Ne voyaient-ils tous pas ce que l’empreinte de l’hégémonie ? Ils ne voyaient que la guerre et les morts ?
Il était face à lui et se mit à dicter

Armées
Guerres
Sang
Morts
Rebel


Avaient-ils oublié les mots :

Renouveau
Naissance
Paix

Le Seigneur Noir Semblait grossir de plus en plus, s’en sana apercevoir, sa colère le nourrissait, il se retourna encor et pointa du doigts tous les Seigneurs réunis:

Vous, dont beaucoup que je connais pour avoir écrasé sous mon joux, ne voyez vous donc pas ?

J’entend d’un coté comme de l’autre des arguments, j’entend d’un coté et de l’autre des idéaux se mettre en place, je vois de nouveau noms, de nouveaux hommes, de nouveaux Seigneurs apparaître, je vois beaucoup de choses et pourtant au milieu de celles-ci je vois un endroit vide, vide de pensées de jugements. Je vois encor trop de serpents, trop d’hommes sans foies ni lois !

Croyez vous qu’il soit aisé de tuer un ami d’enfance ? Croyez vous qu’il soit bon de tuer femmes et enfants, de détruire bâtiments et récoltes ?

Non, vous, vous ne le croyez pas….

Il y a les dits, les non dits, il y à les hommes et les non hommes, il y a les idéaux et les faut semblants !

Je ne suis pas la pour me montrer d’un œil de mort mais je juge que trop d’entre vous ne savent s’exprimer, ou ne savent de quoi ils parle !

Mais vous, au vous, Noldor du Fusion ! Vous osez ! Vous oser défier ceux que vous connaissez et beaucoup plus mais la mais n’est pas le sujet !

Si l’autorisation j’avais, vous qui pensé maîtriser les éléments, je vous ramènerais très vit au silence… je ferais de vous un, esclave aux bas des enfers, je vous montrerais ce qu’ai l’honneur…. Et Osez vous dressez face à moi et vos ridicules pouvoirs se retourneraient à coup sur contre vous.

Je ne suis pas un dieu, loin de la ! Mais j’ai acquis le pouvoir par le temps, par la force des armes et de la diplomatie, j’ai combattu des êtres tels peux peuvent s’en vanter, et pourtant je ne juge pas, j’argumente par des actes et des faits !

Vos paroles sont à la mesure de votre courrage, parler et s’asseoir ! Voila qui illustre bien ce que vous êtes et qui vous êtes !

Mais osez ici et maintenant vous levez et par ma main sur Salsarus je vous réduis en poussière…

L’Ombre répandait autour de lui une zone de non vie, il dégageait de par ces sentiments un effluve de magie transpirant de toute part et absorbant en son sein toutes les ondes externes pour les réduire à leur plus simple expression, le silence.
Il cessa de se dresser face au Fusion reculé dans son siège sous la pression exercée par cette zone, par cette puissance que le Seigneur Noir n’osait laisser aller sous peur de tout réduire à néant…

Il se recula et se plaçant devant les Wizards sembla vouloir dire une dernière phrase mais préféra s’en abstenir et disparu laissant derrière lui un froid, un froid mortel….

La jeune aveugle s’était assise, elle n’écoutait plus, elle semblait songer, les yeux fermés.
En effet, elle songeait, elle songeait que peut être a-t-elle eu tort de croire que tout pouvait être changé. Elle se sentait lasse aussi d’avoir cru en la force réelle des hommes, qui était la modération de leur fantaisie et de leurs fantasmes d’invincibilité au profit d’une réalité certes plus douloureuse mais … réelle.

A vous, la femme qui avez parlé avec la fois d’enfant. Pardon mais votre nom m’est inconnu, aussi, si nul ne le prononce je ne puis vous déterminer que comme celle qui n’est Kalyso.

Si c’est à moi que vous vous adressez, alors je suis Henrietta.

Oui, c’est bien votre voix.
Chère Henrietta…. Je ne vous demande pas d’être crédule, naïve. Je vous demande de trouver la force d’admettre les choses, et de les changer.
Voyez vous, vous me semblez avoir la mentalité d’une adolescente - que vous êtes sûrement -une adolescente qui ne connaît de la vie que…que toutes ces choses futiles qui démontrent par deux plus trois que le monde est pourri jusqu’à la moelle, qu’il n’est aucun dieu parce que des guerres existent.
Vous me demandez en quoi croire ?. Croire que le bonheur est accessible à tout un chacun et pas seulement de façon artificielle. Pas seulement croire pour être heureux. Se rendre compte que l’on croit, et comprendre en quoi l’on croit, et obtenir ceux en quoi l’on croit.

Elle se tourna ensuite vers là d’où provenait la voix de Thorin et sourit.

Enfin quelqu’un dans cette salle digne d’intérêt. Je cherchais des réponses, il semble que vous m’offriez un point de vue. Et quel point de vue…
Alors vous êtes de ceux qui pensent que le bonheur est illusion ? De ceux qui pensent que le bonheur à l’état pur est aussi rare qu’une émeraude de Volcano?
Il m’est triste de vous voir si peu confiant en vous-même. Ne sont larves que ceux qui se refusent ainsi. Admettez votre impuissance et pliez vous. Et là vous serez réellement forts ? Comme le dit Dame Kalyso, votre faiblesse est votre force ?
Quel abandon de soi… quel égoïsme…

Le bonheur naîtrait selon vous de la connaissance du malheur ?
Et que dites vous du premier sourire d’un enfant ? Que dites vous de la beauté d’une fleur qui vient d’éclore ? Que dites vous de cette part de nous même dont nous ignorons tout mais qui nous fait chaud au cœur ? Rien de tout cela n’a connu le malheur et pourtant tout est léger d’allégresse. Mais je vous invite à continuer cette conversation en un autre lieu, je doute que cette salle soit appropriée. Bien. Messieurs dames, n’ayant obtenu qu’une esquisse de réponse qu’aurait pu me donner n’importe quel être au courant qu’une prise du Siège se trame quelque part et qui devine les banales intentions des preneurs d’otage…
Ainsi, je vous souhaite à tous une belle histoire, et vais poursuivre mes buts propres.

Et sans plus de cérémonie, elle partit, claudicante, vers la porte qu’elle passa. Le silence s’installa, accompagnant la musique de la canne sur les dalles froides du Siège.


L’holo image de Kalyso toussota doucement et les visages se tournèrent vers elle.

Tho, je ne m’enferme nulle part, et ne crains pas la perte du bonheur. J’ai juste certaines idées extrêmes et … assez peu complexes en réalité …sur cette question dont vous faites un dérisoire problème.
Contrairement à notre anonyme amie, je ne discourrai pas à ce sujet. Appelle cela de la peur si tu le veux. Moi, je vais vivre mon histoire. Je suis déçue de n’avoir point obtenu de réponse concrète, assistant au lieu de cela à de virils mais inutiles monologues et spéculations.
Ainsi je me retire de la scène, au même titre que pour la petite Aveugle, cette histoire n’est pas la mienne. Plus aucune histoire n’est mienne dorénavant. Je vous souhaite une bonne quête, et d’intéressants retournements de situation.

Et, tout doucement, l’image s’estompa, laissant un vide incertain dans la pièce, qui fut vite comblé par le brouhaha habituel de ce genre de réunions.

Nivaria était assise dans l'ombre... Elle écoutait, observait autour d'elle, et rien ne changeait. Chaque camps restaient sur ses positions n'ayant que faire des arguments des uns et des autres. La Mahaï observait comme tout foutait le camps... Elle apprenait qu'elle avait un frère, et se que cela impliquait. Elle apprenait a l'instant que se frère fut jadis son maitre, et se que cela impliquait. Elle observait, silencieusement, les moindres fait et gestes du grand Conseillé, qui avait été le seul a venir les affrontés, de face.

"Une goute d'eau qui fait débordé le vase". Quelqu'un c'était encore plein de l'hégémonia Bulteria. Cela devenait asser lourd, toutes ces poules en culottes courtes qui venaient défier la toute puissance des Wizards. Nivaria en avait asser de ces chiens galeux qui ne voyaient pas la belle vie qui leur été offerte, ou presque. Elle en avait asser vue, asser entendue.

Des gens parlaient ça et là, et des rébéllions s'organisaient probablement sous leur nez, ou sous leurs pieds. Mais cela n'avait aucune importance, tout rebelle se verrait tué, pour avoir tanté de détruire l'ordre suprême. Nivaria se leva, calme, seraine d'aparence, mais aussi énervé qu'une guenon femelle qui venait de se voir voler son mâle par un coq homo.

Du calme, s'il vous plaie, du calme. Et même s'il ne vous plaie pas d'ailleurs. Merci.

Nous vous avions donner le choix. Le choix d'être avec nous, ou contre nous. Nous vous avions prévenu du Jihad Bulterrien. C'est même Fusion, ici présent qui l'a annoncer, et vous lui avez rit au nez. Maintenent il se rit lui même au nez.

Et bien soit. A partir de se jour, il n'est plus nécessaires de vous plaindre. A partir de se jour, et de cette heur, personne ne sera autorisé a dire quoi que se soit qui puisse aller a l'encontre de nos divines pesonnes. Vous ne vouliez pas nous accepter? nous nous feront accepter par la force. maintenant, VOS GUEULES!

Hé, Nivaria, et si tu nous montrais comment la fermer, par ta divine providence?

Du fond de la salle, une voie s'était élevé. Fusion était maintenant debout en son centre, face a la pucelle effarouchée. Au creux de sa main brillait une petite sphère de mana. D'un revers de main, il envoya une vague de mana vers sa soeur, qui vola tout droit contre le mur. Téhéran devait sentir la sphère de l'esprit s'agiter, s'il en était le maitre: Autour de Nivaria, l'ombre était naissante. En réalité, tout devenait ténèbres.

Les Wizards, les 8 autres, se levèrent, et se préparèrent au combat, mais trop tard. Alors que fusion était déjà loin, avec Nivaria, le siège était totalement privé de toute magie, tant que l'un des deux Kenthar seraient en vie. (hrp: merci de lire avent de parler de gros bille.)

Dans un lieu où l'on ne voyais ni sol ni plafond, Nivaria recommença a trouver le contrôle de sa vue. Elle ne savait pas comment, puisque sans lumière, on ne peut voir, mais elle voyait. Elle se rendit rapidement compte que Soul of Alastor et sa gemme de feu lui donnait la lumière. C'était donc vrai. Chaque Wizard avait entre ses mains les pouvoirs des autres. Elle serait heureuse de le leur apprendre a son retour.

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Dans un lieu où l'on ne voyais ni sol ni plafond, Fusion observait avec attention la Mahaï du Zéphyr, et attendait le meilleur moment pour abatre se qui unissait encore le Grand Conseillé a ces chiens Wizards. il l'observait trouver enfin l'usage de la puissance de ses frères d'armes. Elle était efficace... trouver cela seule.

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Ils s'observaient maintenant. Plus aucun retour en arrière ne leur était permis, et l'un des deux devrait mourrir.

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Dans la salle, tout le monde se posait des questions, les Wizards aussi. personne ne comprenait plus pourquoi il était impossible d'utilisé la magie. Tant que Fusion ou Nivaria serait en vie, cela sera impossible.

Soudain, un choc fit tremblé la salle. les attaques magiques des wizards partirent et tuèrent une 10ene d'inconnu dans le publique. la magie était réutilisables, ils étaient mort.

Bugs se frotta la tête. Puis après quelques secondes de réflexion il décida de se lever.

Bien…Hum, j’ai des responsabilités en Duanratie et au CEI qui m’impose de ne pas perdre mon temps.
Au revoir messieurs, dame.

D’un pas vif il sorti pour rejoindre son vaisseau.

Ulo Logas sentait la feinte dans les paroles de Théran Azar. Voyant s'en aller Bugs, il lui fallait réagir et vite.

- Je ne comprends pas votre attitude, mon cher Théran... et vous noyez le poisson pour ne pas répondre à mes questions... qui semble gêner tout ceux qui ont pris la parole pour montrer comme vous leur domination...

Ulo Logas fit quelques pas et créa un faisceau lumineux sur son visage.

- Mesdames, messieurs, ne voyez vous pas que tout cela est un dupe !!!
Ce ne sont que des faux-semblants d'union qui trahissent une réel divergence d'opinion. !!!

Membres de l'Orbe Maudite, je m'adresserais à vous tout d'abord. Ne voyez vous donc pas que le seigneur noir vous manipule comme des moins que rien. Ils profitent de vous, vous exploitent, vous donnent l'impression que vous jouez un rôle dans cette affaire, alors qu'en réalité il n'a cure de vous. Pour lui vous êtes des êtres méprisables qui ne sont que des "esclaves maudits".
Oui, je vous le dit, il est temps pour vous de réagir. Ne vous laissez pas faire face à ce tyran totalitaire et impérialiste. Vous a t-il donné le moindre signe de compassion, de fidélité, de courage ?
Réfléchissez, et vous verrez que sa politique qu'il a mené pour vous recruter n'a servi que sa cause au détriment de la vôtre et de votre peuple. Il ne respecte rien, pas même votre dévouement !

Membres des Sombres Croisades, voila une digne et belle alliance. Mais vous aussi, vous laisserez vous corrompre face à ce seigneur vil et sans scrupule. J'espère que vous garderez vos distances, car il en va de la survie de vos nations. Ne croyez pas qu'une fois atteint son but d'anéantissement pour un monde meilleur et pacifique, il vous épargnera. Non, car vous représenterez une menace bien trop évidente et trop noble pour lui, surtout que vos idéaux n'ont rien de semblables. Vous voulez la paix après une guerre, mais vous avez encore des régles et des lois. Vous ne voulez pas d'un système despotique contrairement au chef de l'Orbe Maudite. Pas plus tard qu'il y a quelques jours, un de nos Etats, Féérune, s'est vu balayé comme si de rien n'était par ce seigneur noir alors même qu'ils étaient en très bon terme entre eux, et même d'ancien alliés. Oui, je le répète : il ne respecte rien, pas même ses alliés !!!

Enfin, je terminerais par vous, membres de l'Oracle Maudit. Oui vous avez ce que vous voulez... mais cela est de courte durée. Très bientôt, si vous continuez à profiter de petites nations indépendantes ou membre d'une faction, votre réputation va s'en retrouver grandement abaisser. Vos chefs vous poussent à la guerre car ils veulent maintenir leurs places, leurs influences, leurs pouvoirs. Je vous le dis sincèrement : vous n'avez aucune place dans leur projet, et c'est pourtant sur vous qu'imconbent toutes les responsabilités. Vous êtes en quelque sorte, si je puis m'exprimer ainsi, les "dindons de la farce" ; vous appartenez en effet à l'alliance la plus puissante, mais sans jamais accéder à cette puissance, alors même que vous faîtes tout pour maintenir la grandeur de votre alliance, ou plutôt de vos dirigeants !

Ulo Logas prit son air le plus farouche.

Cette hyper-alliance n'est qu'un leurre pour nous faire croire que nous sommes complètement emprisonnés, et assujetis à jamais. En vérité, seuls les dirigeants de chaque alliance sont vraiment dans le coup et vont en profiter au détriment de nombreux autres même ceux qui auront pourtant oeuvrer à cette mascarade.

Au beau milieu de cette salle pleine de magie dans tous ses états, sortit un grand tableau blanc, le lumière s'atténuèrent et laissa place à une obscurité prématuré en plein journée, un rétroprojecteur situé au fond de la salle afficha sur ce tableau, un texte d'alliance, l'Oracle Maudit..

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Charte : Paragraphe A°) : Avis Général Interne : Les Buts Alinéa Premier : Nous ne nous axerons plus sur le développement militaire et la domination qui en découle. Notre but premier sera de prendre du plaisir à diriger nos états. S'il le faut nous riposterons par les armes. Nous n'excluons pas de temps à autres des interventions préméditées envers des ennemis de longues dates. Mais nous prendrons constamment le temps de bien évaluer l'ampleur de nos actes. Alinéa Second : Nous nous axerons particulièrement sur le développement et la bonne entente à l'intérieur même de nos locaux. Notre petit nombre favorisera la collaboration et la compréhension commune pour des décisions prenant en comptes l'avis de chacun d'entre nous. Alinéa Troisième : Il nous semble primordial de vivre au travers d'un Commerce fructueux, surtout axé sur des économies en Crédit Galacticain servant directement au développement de chacun des Seigneurs Maudits. Les vivres utilisées pour ces boostes rudimentaires seront prélevées sur l'impôt global de l'alliance qui tournera en permanence autour de 5 - 10%. Paragraphe B°) : Avis Général Interne : l'Organisation Ministérielle Alinéa Premier : Le Noyau, regroupement privé de l'Oracle Maudit, correspond à l'ensemble des ministres et chef(s) de l'Alliance. Chacun d'entre-eux sera responsable d'un grand trait de l'Alliance, tous supervisé par le Chef et l'Assistant Ministériel. Hestios du Mirage sera reponsable du grand Ministère de la Défense ; Fenril de l'Arnor sera le Recruteur en Chef ; Masaki du Jumi sera notre Ministre de l'Economie ; Azath Seigneur d'Antioch sera le Ministre des Affaires Etrangères ; L'Empereur Danta de l'E-Den sera l'Assistant Ministériel de notre gouvernement ; Cris Jending du Cristalin sera promu au poste de chef ; je serai moi-même Théran Azhar du Nécrolia le Chef suprême et Créateur Grand Oracle Maudit. Alinéa Second : -- Le Ministère du Recrutement, dirigé par Fenril de l'Arnor sera chargé de faire passer différents tests à nos futurs membres. Cependant le recrutement se promet très drastique. Il n'y aura aucun questionnaire, nous établirons nous même vos caractéristiques, si vous ne répondez pas à nos attentes, alors ne vous faites pas d'illusions. Nous ne voulons que des membres de choix et de confiance. Vous serez libre de nous fournir ce que bon vous semblera sur votre personne, car tout influera sur notre avis, qui est libre d'évoluer au court de l'éventuelle admission. -- Le Ministère de la Défense, dirigé par Hestios de l'Aegir sera chargé de nos rares manipulations militaires. Il fera aussi de réguliers inventaires sur les forces dont disposent les Seigneurs Maudits et notre Alliance. Il s'occupera encore de l'organisation défensive de chacun des membres de l'Alliance, il travaillera en partenariat avec le ministre de l'économie pour subvenir aux besoins militaires des Seigneurs Maudits. -- Le Ministère des Affaires Etrangères, dirigé par Azath de l\'Antioch sera chargé de nous exposer les propositions et ruptures de pactes éventuels. En cas de désir quelconque à notre égard, il vous est conseillé de lui adresser vos divers demandes (excepté pour le Recrutement, voir ci-dessus). Il travail en corrélation avec le Ministre de la Défense afin de trouver réponses aux éventuels offenses reçues par les membres de l'Alliance et répertoriées par le Ministre de la Défense. -- Le Ministère de l'Economie, dirigé par Masaki du Jumi sera chargé de la gestion de notre Marché et de notre Bunker privé. Il sera chargé de surveiller les directions économiques de chacun des membres afin d'assurer une économie optimale au travers de toute l'Alliance. Il devra également calculer les coûts de chacun des projets généraux des Seigneurs Maudits. -- L'Assistant Ministériel ; L'empereur Danta sera chargé de soulager les ministères dont la demande en travail dépasserai les possibilités de son ministre respectif. Il n'aura aucun droit à la décision cependant il sera membre du noyau et siègera au Secret. -- Cris sera mon seul bras droit. Il aura droit à la décision et sera charger de faire régner l'ordre dans le Sanctuaire. Il aura le droit à la décision, et sera au même titre que chacun de nous Seigneurs Maudits, mais aussi membre du Noyau. Il sera le seul à avoir, avec moi, accès aux Archives de l'Oracle Maudit et à sa bibliothèque. -- Le Chef Suprême, moi-même, serai chargé de superviser chacun des ministères. Je représenterai l'alliance entière à chacune de ses interventions à la Corporation, dans le cas où je défendrai mon avis personnel, je le préciserai. Paragraphe C°) : Avis Général Interne : Elaboration d'une Décision Commune Alinéa Premier : Lors d'une proposition de recrutement aucun vote ne sera organisé dans un premier temps. Il y aura d'abord de longues heures de débats avec des demandes de confirmation, des demandes de précisions quelconques. Tout cela ouvert à tous les membres officiels de l'Alliance, sans la majorité absolue aucun état ne sera accepté. Le Ministre du Recrutement et le Chef de l'Alliance ont le pouvoir de refuser un membre même si toute l'Alliance est en accord avec son adhésion. Alinéa Second : A la même manière qu'avec le recrutement chaque Pacte éventuel sera longuement évalué par la totalité de l'Alliance. Le Chef et le Ministre des Affaires Etrangères, auront le pouvoir de refuser un pacte ou une guerre même dans le cas ou toute l'alliance était pour cette mention. Alinéa Troisième : Tout projet économique et militaire sera soumis à la même enseigne avec leur ministre respectif. Paragraphe D°) : Avis Général Externe : Dispositions Economiques et Militaires Alinéa Premier : Le Marché de l'Oracle Maudit sera privé. Aucun autre commerçants de la galaxie ne sera libre de vendre dessus, dans le cas où nous apercevrions une vente étrangère, elle sera saisie sans sommation. Seul les membres de l'Alliance, nos alliés et les rares à avoir obtenu un pacte Commercial seront autorisés à entreposer librement leurs ventes quelconques à n'importe quel prix pendant une durée indéterminée. Alinéa Second : Nous sommes des Dieux Déchus ne cherchant qu'à s'amuser. Il s'avère que le mercenarisme nous amuse. Nous sommes donc des pseudos mercenaires. Nous n'aurons aucun prix de bases, et chaque cible sera à négocier ainsi que les prix, nous resterons très abordables. Cependant nous refusons de rompre un pacte d'Alliance pour un simple acte de vil mercenaire. Alinéa Troisième : Nous tenterons dans les mesures du possible de limiter les espions internes à notre Alliance. Nous nous engageons à ne pas espionner nos Alliés. Mais pour ce qui est de toute autre confrérie Neutre, Hostile ou en Pacte de Non-Agression, nous ne garantissons pas l'absence d'un espion éventuel. Paragraphe E°) : Avis Général Externe : Disposition et Négociation Diplomatique Alinéa Premier : Nous sommes très peu ouverts aux négociations étrangères. Nous nous engageons cependant à respecter pour longtemps les rares pactes signés. Alinéa Second : Nous nous engageons à limiter les déclarations de guerre, et à limiter les actions de grandes ampleurs lors des époques de neutralité, à moins bien entendu que la victime nous ai fâchée par un quelconque moyen. Une missive automatique justifiera chacun de nos rares actes d'ampleur.

Cris se leva et prit une baguette de bois sur le coin de la table et visa Ulo Logas, il le regarda d'un air joyeux, comme si la chance lui sourriait..

- Cher Monsieur, vos propos sont infondées !!
- Menteur !!
- Non, je ne ment pas, dans bien d'autre circonstance je mentirais, mais là, le besoin n'en est pas nécessaire, je vais utilisé le Paragraphe D second alinéa pour répondre à vos paroles..

Il dirigea sa baguette des écoles primaires vers le tableau blanc,

- Comme vous le voyez, tous membres adhérents à l'Oracle Maudit est au courant de nos actes et de nos façons de faire.
- Mais..
- Laissez moi finir et taisez vous, tous membre est libre dans pensé, tous membre d'agir, d'attaquer, et de contrôler ses flottes, en aucun cas !
- Pff.....
- j'ai bien dit en aucun cas, nous ne donnerons d'ordre à nos membres, nos les guidons, nous les recommandons mais moi même et Théran ne les contrôlons pas !

Cris retourna à sa place et dans geste de la main, le rétroprojecteur s'éteint, la lumière de ralluma et le tableau blanc disparu..

-- Non ça ira Agre. J'y vais. Il s'adresse à mon personnellement.
-- Mais Thé. A qui correspond cet individu ? Sa vue m'est inconnue.
-- Il me semble qu'il est le nouvel Oceano Pacifior. Enfin le régent du Pacifiora.
-- Un allié donc. Étonnant qu'il réagisse ainsi.
-- Non, rien d'étonnant.

Théran se leva lentement. Poussant principalement sur ses bras, et négligeant volontairement ses jambes, qui allait déjà dépenser une dose énergétique suffisamment grande lors du déplacement jusqu'au micro. Ses mains, gantées de soie noire, effleurèrent le coup de son frère, avant de le tapoter sur le haut du crâne. Il approchait du micro, et déjà un soupire résonna dans toute la salle. Raz le bol d'oublier... De négliger.

Bonsoir Ulo Logas.

Je ne vous ai pas écouté. En effet, je ne venais répondre à vos questions, je venais simplement faire une mise au point. Je m'en excuse.

Pour en répondre à ce que vous venez avancer. Je vais reprendre paisiblement les propos de Cris.

Alors, je vais entamer avec une petite remarque. Vous êtes comme d'habitude en retard d'un wagon... Tout comme votre développement militaire, votre réactivité au siège et votre régularité, vous êtes tardif a en devenir maladif. Encore une fois, vous lisez le mensonge alors qu'il s'est évanouis. En effet j'ai été un menteur, un traître, un être des plus malintentionné qu'il soit. Mais ceci n'était que mensonges, le passé n'était que foutaises. Manque de véritable nécessaire à l'opération d'aujourd'hui à l'élaboration, et à la réalisation des scènes d'aujourd'hui. Aujourd'hui je suis franc, sérieux, sous mon véritable visage.
Sentez comment mon ton, monotone ne traduit plus cette fausse colère, sentez comment je dompte avec une déconcertante facilité la sphère d'Esprit. Sentez comment vos propos s'égarent de la vérité à chacune de vos syllabes...

Bien que vous soyez complètement à l'Ouest de ce qui nous réunis ici aujourd'hui. Je vais prendre le temps de vous exposer la situation une nouvelle fois.
Les Sombres Croisés ; L'Orbe Maudite et l'Oracle Maudit forment la triade. Triade dirigée par les Wizards. Wizards amenant avec eux l'ultime quête de notre Djihad Butlérienne. C'est aussi simple que ça. Des alliances, aux buts concis et clairement exprimés, tous coïncidant avec les nécessités de la Djihad Wizards. Ils sont tous volontaires. Et tous sont là parce qu'ils l'ont choisis. Ils servent certes, mais vous plus que quiconque devez comprendre que servir ses buts est louable, et que peu importe le prix on s'y range sans doute, aucun. Vous vivez vous et votre chère peuple pour le bien commerciale et la stabilité dans une galaxie que vous réprimandez. Alors je vais vous éclairer, en vous disant que, nous réprimandons, nous en avons le pouvoir, et vous vendez, pour le bien de la communauté, vous confortez, nous rangeons. Dans l'ordre cela fait, nous casons vous améliorez les cases. Simple et efficace, c'est pour cela que que vous nous êtes alliés.

Alors parlez convenablement, et évitez de remettre en question ce qui enrichit votre entreprise.


Pour conclure, un petit résumé, afin que vous ne veniez me déranger avec d'autres "vous n'avez pas répondu professeur". J'ai jusqu'ici mentit. Je ne mens plus car j'atteins mon rêve. Je ne vais donc pas me retourner contre mes alliés pour le plaisir de les guerroyer. Je ne vais donc pas nuire à mes amis, et membres et je resterai fidèle à la cause Wizards.

Votre esprit est-il apaisé ? Et êtes vous certain d'avoir assez vécu et vu pour porter de telles accusations ? Je pense que non, car tout vous échappe. mais prouvez moi le contraire.

- Oui Théran, tu exprimes de mieux en mieux tes pensées... je dois bien l'admettre... mais cela ne signifie pas que tu es dans le droit chemin!

Ulo Logas avait écouté attentivement les paroles de Théran. Comment était-il possible que cet homme si habile et intelligent est pu être détrompé ? pensait-il. Ulo se devait de lui venir en aide.

-Regardes toi, Théran. Tu es obligé de t'asservir et d'obéir pour maintenir ton rang. Trouves-tu cela comme conforme à tes idées et à tes valeurs ? Penses-tu que les Wizards ne puissent pas être corrompus ? Es-tu sur que tu peux leur faire confiance ? Non crois-moi, un seul parmi vous a la main mise sur ce qui se passe et dirige vraiment cette coalition : le Seigneur Noir !
Je suis au regret de vous dire que pour lui vous n'avez aucune valeur réelle... et dès qu'il le voudra, il vous anéantira d'un simple commandement.

- Non, Théran, je ne réprime pas cette supra-alliance, mais je vous met en garde pas seulement à vous Théran, mais à tous ceux qui y participent. Je veux vous montrer que si vous croiyez avoir un jour le fruit de votre courage et de votre vaillance, vous vous trompez. Vous courez vers votres propres désastres...
L'Etat Iwachika est un danger extrême qui a déjà commencer à déplacer ses premiers pions dans l'échiquier. Mais je suis sur que vous êtes encore capables de vous en rendre compte et que vous ferez le nécessaire pour ne pas vous laisser obscurcir par son esprit maléfique...

Il était la, face à cette construction massive et resta bouche bée devant les gigantesques portes de la Corporation! Jamais en dehors des Terres de l’Iwachika, il n’avait pu observer une telle architecture. Une perfection de beauté et de magie en soit même. Le jeune homme resta un instant comme hébété devant cette puissance puis, sentant un courrant d’air froid et mortel lui parcourir le dos, il compris qu’il n’avait pas le temps de s’extasier devant un pareil monument.

Engageant le pas, il se dirigea au centre des deux grosses portes massive d’ou une voix non chalante se fit entendre :

Identifiez vous !

Le jeune homme mesurant quelques 200cm et de stature imposante sembla hésiter à faire demi tour. Il était un guerrier aguerrit mais était d’un naturel timide et n’osait s’imposer.
Pourtant, prenant sa respiration, il cria au et fort :

Je suis le colonel Kramer, porteur d’un message de la part du Grand Seigneur Noir, Ouvrez !

Les hommes qui gardaient la porte ne savait que penser et hésitaient lorsqu’ils sentirent dans leur dos un vent froid et mortel qui les glaça sur place et leur fit comprendre que le jeune homme devant les portes ne plaisantait pas…

Les portes s’ouvrir immédiatement et, validant une carte que son Seigneur lui avait remis entra dans un bâtiment magnifique ! Une architecture comme il est aujourd’hui rare de voir, des plafonds immenses, des salles et couloirs à perte de vue, tout ici semblait fait pour être fait en grand… Il sortit de sa poche un petit papier gribouiller qu’il avait dans la poche de son pantalon hippique, nouvelle mode chez les Généraux, et lis à haute vois la direction à suivre pour atteindre son but.

Après s’être trompé plusieurs fois, il finit par arriver devant une salle qui sentait d’ici la rance écœurante des foules regroupées depuis trop longtemps…

Hésitant à pousser les lourds battants pour entrer, il resta sans bouger plusieurs minutes devant les portes avant que celles-ci ne s’ouvrent brutalement laissant sortir deux hommes habiller des soies les plus chers qui soient. Cet événement impromptu le surpris et le força à s’engager dans la salle par peur de paraître ridicule face aux deux hommes. Il poussa donc les battants des portes dans le sens inverse et avançant lentement vers les sièges des dits Wizards sentait que tous les regards un à un se posait sur ce jeune mais imposant homme inconnu de tous ces Seigneurs.

Arrivé devant les Wizards, il se courba et se présenta :

Seigneurs Wizards, le respect de mon maître,
Je me présente, Colonel Kramer des Armées de l’état d’Iwachika Sakazusa sous les ordres de son Seigneur Noir et portant ici une lettre de sa part.



Se tournant face aux Seigneurs présents dans la salle, il se mit a lire :

:

Seigneurs, J’ai par mon Ombre entendu certaines phrases, certains mots, quelques peu troublants et gênants. Ici, dans la salle ou mon messager vous lira cette lettre, ce trouve des hommes dont les paroles ne valent les actes ! Des hommes dont les actes ne sont à la hauteur de leurs dires ! Depuis le début de mon retournement vers mes origines, mon coté obscure, je n’ai su laisser l’emprise du bien disparaître totalement ! Comment en dire l’inverse moi qui est toujours prévenu que j’allais créer l’Hégémonie, créer l’étincelle qui la réveillerais, je m’étais mis avec mes membres seuls contre tous afin de réveiller en vous tous Seigneurs vos dont naturels a survivre pour finir par vivre, évoluer, vous libérer ! Moi, Seigneur Noir vous avaient tous prévenu que le vent allait souffler, tous n’avez cru mes dires, tous vous êtes moqués de moi de l’hégémonie ! Aujourd’hui vous vous plaignez alors que dans le mal j’ai toujours gardé une part d’humanité, une part de respect, d’idéaux, de codes, une part de bien JAMAIS je n’ai caché mes intentions ! L’ARM vous avait prévenu mais vous avez cru bon rester dans votre somnolence, vous avez cru qu’il était bon de laisser parlé un jeune Seigneur divagant et se croyant maître du monde ! Vous auriez pu me contrer, contrer Notre Hégémonie ! Car malgré vos dire cher Seigneurs, mes membres sont aujourd’hui plus que cela, ils sont devenu de véritables amis, des amis pour qui je sacrifierais ma flotte, des amis pour qui je combattrais encor et encor comme de par le passé la mort ! J’ai évoluer depuis tout ce temps, dans une direction qui depuis le début était annoncée et aujourd’hui par cette présente Seigneur Ulo Logas je vous défie de venir me dire en face vos mensonges et calomnies abominables sur moi ! Pauvre fou ! Croire que vos paroles seront crues ! Mes membres et alliés connaissent ma valeur en tant que Seigneur, ils savent quel importance je leur donne et je vous le dit, vos paroles ne sont que venin ! Vous pleurez de l’état Féérune mais est-ce parce que votre rôle est de servir de banque à l’univers que tous les droits vous sont acquis ? Croyez vous que vous puissiez impunément venir vous engallardir devant tout le monde de devenir un grand Etat alors que tout cela n’est que vent et mensonges ! A quoi si vous joueriez votre rôle de banquier vous servirait une flotte comme en avait une l’état de Féérune ? Un banquier garde-t-il une armée dans ses coffres forts ? Venir vous dire du coté des bons alors qu’autour de vous des hommes subissent des pertes en vies en bâtiments monstrueuses et vous qui faite du commerce avec les états dit Tyrans ! Avant de parler Seigneur, tournez votre langue et apprenez à vous remettre en question et non dénoncer d’autres personnes sans fondements ! Ne jette pas la première pierre à un homme si tu ne veux pas qu’on t’en jette dessus un jour ! Je ne me déplace pas pour vous tuer personnellement de vos dire calomnieux et injurieux de ma personne car je n’ai le temps d’accorder de l’importance à un soit disant prêcheur de morales de pacotilles ! Vous ne valez rien et c’est grâce et seulement grâce à mes alliés que je respect, que tout le CEI n’est pas poussière ! Venir me défier ainsi vous qui vous dite en PNA ! Je ne sait trop pourquoi je me retient, mais il es sur qu’un homme ayant le venin et la stupidité aussi facile que vous ne mérite pas que je me déplace de ma personne ! Quand à nos dires, à moins Petit Seigneur que vos grandes oreilles ne soient sourdes, ils sont très clair depuis le début ! Mais peu être que votre grand cerveau n’est pas encor assez gros pour comprendre ce langage!

Lorsque les derniers mots furent dit, le jeune homme se tourna de nouveau vers les Wizards et leur dit d’une voie haute et forte :

Le Seigneur Noir vous demande de bien accepter ses excuses de ne pat être venu de lui même mais il m’a dit de vous dire que tout ce qui avait été prévu marchait parfaitement !

Une fois dis, comme si de rien était, il reparti de la ou il était venu…..

Dans l'immense Corporation Galactique les heures se promettaient éternelles. Personne ne semblait généreux de prendre ses responsabilités. Tout ceux qui en avaient se limitaient à les bâcler. Les autres demandaient des devoirs qu'ils n'assumeraient quoi qu'on leur accorde. Dehors la pluie s'était estompée. Le froid glaciale qui venait sculpter les parterres Galacticains de leur glace bleutée avait anéantit les doux espoirs du ciel de pouvoir par on ne sait quelle intempérie vouloir rendre un semblant de chaleur à cette taciturne tournure que prenait les évènements.

Plus profond, dans la salle centrale, plutôt dans le lieu le plus adorablement détesté de tout Galactica, se projetait la même scène que partout... La même scène que nulle part. Parce qu'une fois de plus elle était, comme beaucoup de climat politique la simple et pâle copie du ridicule extérieur. Une inutilité chronique dans un univers chronique... Bien qu'aujourd'hui se veuille exceptionnel, il tourne au mélodrame continuel... Différentes têtes joyeuses... Différentes mines désastreuses. Mais aucune véritablement déterminée à rendre ce aujourd'hui plus... Demain que d'habitude !

Toujours la même disposition, les Wizards, leurs alliés de l'Hégémonia. Puis le reste de l'assemblée parmi laquelle se dessinaient différents visages, tous plus ou moins joyeux, préoccupés, je-m'en-foutistes, et même dormants... Puis l'un d'entre-eux se leva. C'était Lord Théran Azhar, régent Nécrolien et second dirigeant Wizards depuis la mort de Nivaria Khentar.

****** ?! On y va. Ce bata*d de Théran Azhar m'a enlevé le nom de ma mémoire ! Je suis désolé, ne me virez pas... S'il vous plaît ? Bon j'ai encore le droit de finir ce passage, on voit ensuite ? Merci...

Il s'était adressé à toute l'assemblée. Rien ne se passa, en apparence. Pourtant sur ses lèvres se lisait la sérénité et le témoin habituel de la joie, de la bonne humeur de la réussite, de tout ce qui s'attelait derrière la notion d'heureux : le sourire.
Il se retourna, se pencha au niveau des chevilles de Jin. Les deux hommes se parlèrent une langue que vous ne connaissez, et en admettant même que vous la connaissiez, le son intégralement contrôlé par les Wizards par l'intermédiaire de leur maîtrise de l'air leur avait permis de prononcer chacune de leur syllabes dans le bruissement d'air le plus inaudible qui soit. Mais pour votre plaisir nous allons vous les retranscrire.

-- Jin ?
-- Hum ?
-- Je vais aller réunir les derniers éléments. Il nous faudrait les dix sphères élémentaires au plus vite si tu vois où je veux en venir.
-- Tu es sûr qu'ils faille y aller maintenant ?
-- Oui. Les éléments dorment encore. L'hibernation hivernale, leur repos énergétique nous fournira le laps de temps nécessaire à leur subtilisations. Ensuite, IL est arrivé. Et prêt.
-- Revenu tu veux dire...
Très bien. Soyez prudents. Je tiens à vous. Tu le sais.
-- Tu peux oublier la crainte, frotte toi les mains, réchauffe les pour l'instant et prépare les pour tout à l'heure. Allez ! Bon courage ! A très bientôt, petit génie.
-- Va donc le savant.

Théran sortit par la porte de derrière. En effet cette salle était aménagée par des sorties de secours, deux par murs encadrant l'enceinte rectangulaire. Cependant, étant donné l'état de crise et la prise en charge de la Corporation par les forces hégémoniques chacune de ses ouvertures vers l'extérieur était une entrée ou bien une sortie tout à fait ordinaire.

Toujours était-il qu'un chasseur nucléaire, matriculé en " Affaires Etrangères de l'Oracle Maudit " venait de décoller avec Théran à son bord et l'inconnu...


La narrateur ? Plus un seul mot de travers, ou bien t'es viré... Maintena ta gueule, j'veux plus rien entendre avant demain claire ?

Lord Yu se trouvait toujours dans les sous-sols du siège de la corporation, quelque part, cherchant avec les autres conseillers un moyen de faire face à ces preneurs d'otages. Depuis quelques jours il ne bougeait plus du sous-sol, communiquait que très rarement pour éviter de ce faire repérer. En effet, il devenait de plus difficile de voyager entre états ces temps-ci. Les flottes ennemis prenaient toujours plus d'importance, ils ne cessaient de pilloner leurs ennemis à coup de missiles, ou d'écraser leurs flottes quand celle-ci étaient de sortit, si bien que chaque flottes qu'ils croisaient était contrôlé.

Il n'en pouvait plus de rester cacher dans ces sous-terrains sombres et morbides, à regarder ces multiples exécutions avoir lieu, mais il ne pouvait sortir maintenant, c'était bien trop tôt pour faire quoi que ce soit, il en avait parlé dernièrement avec les autres conseillers, et tous savaient que seul il ne pourrait rien, l'armée galactique ne faisant pas le poids, et qu'ils auraient besoin de la plus grande aide extérieur pour sortir... aide qu'il n'avait pas suffisamment pour le moment.

L'écran qui se trouvait dans la salle de la prise de contrôle s'alluma, tous (ou presque) se tournèrent vers lui. Lord Yu apparut, il avait décidé que l'heure était grave, et malgré les risques, il prit la parole.

Ne cherchez pas à me repérer, tout est sécurisé, vous n'avez aucun moyen de découvrir où je me trouve en ce moment. Cependant, pour ne pas prendre de risque, j'écourterais le plus possible cette conversation, ce qui ne vous empêchera pas de me répondre, d'où je suis je vous entend, peu importe comment je m'y prend, le principal est que je vous écoute.

Puis après tous peu importe où je suis, vous ne voulez créer vos lois, une utopie où vous aurez le pouvoir et où les guerres n'existeront plus? Non, que dis-je, je dois sûrement me tromper quand je vois ces milliers d'orphelins qui le sont pas votre faute. Je n'interviendrais pas par une autre moyen que la parole dans ce conflit, mon alliance ne me le permet pas, l'état de mon état non plus d'ailleur.

Je ne suis pas venu pour vous accabler et vous dire uniquement ceci, le risque était bien trop important pour me limiter à des paroles qui vont ont été mille fois répétées. Non, si j'ai pris ce risque c'est pour vous mettre en face de vos responsabilités. Comme vous le savez, nombre d'états ont été laissé à l'abandon ces derniers temps à cause du système que vous avez instauré. Celui-ci provoque la mort du système galacticain comme nous l'avons connu, bientôt il ne restera plus que vous! Cependant j'ai cru en vous, cru que, malgré que je n'accepte pas vos méthodes, vous feriez tous pour remettre d'aplomb le système, et lui permettre de vivre des jours heureux. Pourquoi est-ce que je parle au passé? Parce que je vois l'état Iwachika Sakazusa grandir de jour en jour, parce que je le vois monter en puissance, n'ayant rien à faire des autres, ne pensant qu'à son petit confort et à la destruction de tous ce système, recrutant des membres en masse afin de récolter le fruit de leur travail pour s'agrandir toujours plus. Peut être serait-il temps de réagir? Non, je ne m'adresse pas qu'aux membres de l'hégémonie, je m'adresse à tous. J'ai cependant un message pour l'hégémonie: il est peut être temps de vous poser les bonnes question, l'orbe maudit souhaite-t-il la même chose que vous? Une hégémonie avec ses alliers ou seul? Vivre dans ce système avec ces alliers, ses ennemis,... ou seul?

Réfléchissez à tous ça s'il vous plait. Il est temps pour moi de me retirer, je vous souhaite une bonne méditation.

L'écran s'emplit de noir, les enceintes se situant tout autour de la salle se tuent elles aussi. Lord Yu restait quand à lui derrière ses écrans, attendant, ou non une réponse de leur part, il souhaitait surtout les faire réfléchir sur la portée de leurs actes.

Oh, Lord Yu ! Vous m'entendez n'est-ce pas ? En tout cas, je le crie haut et fort, et si vous ne me persevez pas, les autres eux, le feront.

Lidhyle baissa la tête, plus en guise de symbôle que de repércussion sur l'écoute, mais elle s'en fichait. Pour elle tout allait. Il ne se passait rien de mieux que tout cela. Elle l'avait espéré. Certaine choses n'étaient pas comme ils l'avaient prévu, mais après, y a-t-il quelques dangers ?

Eh my Lord, enfin je vous domine, et vous me regardez d'en bas pas vrai ? Quel paradoxe infame pour un "grand" conseiller ! Enfin, nous ne sommes pas là pour rire pas vrai ? Alors écoutez-moi bien ? Vous savez des choses, que nous ne savons pas, j'en conviens, mais ne prenez par ce joli et sincère compliment une généralité. Vous ne savez pas... En fait, vous ne savez rien. Tout ceci n'est que le début, le commencement. Je ne dois pas en dire tro, car nous voulons rester secrets, mais je dois en dire tout de même assez pour rassasiez vitre curiosité, et éteindre votre espoir. Ou vos espoirs...

Le système est en fuite, pas vrai ? Il y a peu, nous rouspétions, légitimement, vous compris, de la lentesse, de l'ennui que celui-ci pouvais produire, et maintenant, il n'y plus rien à faire non plus ! La bataille fut courte, mais brutale, c'est ainsi. Mais ne craignez rien, car bientôt sûrement, ce système dotn vous parlez va changer, et ce sera pour nous, un espoir de nous amusez encore un peu plus, et pour vous un espoir de renverser cette balance rouillée qiu flâne de notre côté.

Je parle d'amusement pas vrai ? C'est un peu... violent comme terme, surtout contre vous. Parce que sérieusement, on ne s'amuse plus guère. Les ennemis existent parcimonieusement, et pourtant, ils m'ont tant fait mal. Mais vous, bien que je n'ai jamais ressenti de défaites morales et physiques depuis le début de l'hégémonie, vous luttez aussi pas vrai ? Alors, je me console lamentablement en pensez à vous tous. Je vous respecte en fait. Quand je dis vous, je parle ien sûr de tous ceux qui suivent votre mouvement, celui de la rébellion. Je vous respecte, car enfin, oui enfin, on s'use pour détruire, et on ne reste pas assis à déclarer vulgairement ce que l'on pense de l'autre comme beaucoup l'on fait il y a peu. L'action, enfin de l'action, c'est celle que l'on désirait. Enfin...

Enfin... Disont qu'elle reste tout de même aveugelement sourde devant nos tympans bien huillés ! Et que ces coup d'éclats sont trop maigres pour nous importuner comme nous l'avons parfos connu. Et je sais, que tout comme nous, vous attendez du changement. Eh bien, rassurez-vous, car dans nos jeux respectifs, du changement il y en aura. Je puis certainement vous l'assurer. C'est cela que vous dénoncez pas vrai ?

Toute cette horde sur laquelle vous vous défendez, bientôt elle sera... différente. Le Sanctuaire émane d'un aura que nous n'avions jamais ressenti, ça bouge et je m'en réjouis, car cela faisait longtemps que je n'avais pas vu mes frères, mes amis, mes collègues la mine réjouit passer les lourdes portes du QG de l'Oracle Maudit, nous nous préparons, et nous préparons bien. Pour quoi ? Même moi je ne sais pas tout, alors vous vous doutez que cela sera flagrant...

On avait ordonné à tous de se reposer. Elle le ferait. Enfin un peu de calme et de séreinité dans ce monde austère, où tous ralent tout le temps. Décontractée, Lidhyle était assise, et succulait son verre de liqueur ambroisée rafairchissante.

Allez, vous m'avez bien entendu Lord Yu. Enfin, si vous dédaigner ouvrir vos oreilles cloitrées à une douce paroles féminine, sans statu que le simple Wizard ayant pris par la force le Siège de notre Corporation... J'adore ces paradoxes !

Beaucoup d’hommes sont morts, nombres de femmes sont enterrées, trop d’enfants ont été déjà décimés.

Une phrase, un ensembles de mots, un assemblage de phrases composées de mots formant ainsi une histoire. Une histoire, formée de phrases permettant un ensemble d’histoires, trop d’histoires mais, une seule véritable et même entité. L’Homme. La race Humaine. Depuis des millénaires, elle n’a cessé d’évoluer, de grandir, de mûrir. Depuis des millénaires, il à répertorié, étudié, amélioré les techniques et évolutions du passé, depuis des millénaires, il a perdu ses racines…

Aux frontières galactiques mises en places par la corporation, un Chasseur noir marqué du signe de l’Etat de l’Iwachika Sakazusa, une faut et une tête de mort, apparut soudainement sortant de l’hyper espace. A son bord, un jeune Seigneur, un Seigneur qu’ici personne ne connaissait encor. Habillé tel les anciens Samouraï, il était équipé d’un Huriken Boken, ancien sabre traditionnel manié par les maîtres samouraïs et porté au dos raccroché par deux sangles ventrales.. et avait un sigle nouveau sur sa parure : un rond parcouru d’ un signe noir et blanc.

Il avait parcouru un long voyage pour venir jusqu’ici et l’on sentait son aura apaisante de loin dans le système. Arrivé au blocus stellaire, le chasseur s’immobilisa attendant une demande d’identification. Celle-ci ne tarda pas à arrivée, et le réponse fut à son tour aussi rapide :

Seigneur Noir, Nouveau Gatsu, Général des Armées de l’Orbe Maudite et Nouveaux Régent des Terres mortes de l’Iwachika Sakazusa.

Un signal sonore retentit alors et les barrières du blocus s’ouvrirent en un point définis par des balises spatiales couleurs ocre.

Le Chasseur de nouveaux réactiva les réacteurs arrières et enclencha ses ailes d’amorce à la descente.
La couche de stratosphères dépassée, le chasseur replia ses ailes faciales se laissant porté gracieusement par les réacteurs ventraux et arrières. Bientôt La Corporation apparut à l’œil nu des occupants de la cabine. Point lointain, celle-ci devint vite la Majestueuse et Grandiose Corporation. Sûrement l’un des plus beaux endroits de l’espace, tant de beauté réunis en un et même seul bâtiment central. Le silence ce fit quelques instant devant cet édifice quand sans prévenir, une voix se fit entendre dans les haut parleurs. La voix en question était celle des nouvelles armées des Wizards qui dirigeaient et contrôlaient l’espace aérien à leur guise. De toute part il était possible d’observer des patrouilles volantes scrutant le ciel ainsi que des Canons à particule pointés vers le ciel prêt a faire feux au moindre problème. Un arsenal impressionnant, un arsenal unique même. La Technologie mêlé à la magie, le mélange infernal était parfait.
La vois donna alors un numéro de quai sur lequel le chasseur alla sa posé attendu par un petit attroupements de soldats.
La porte ventrale déverrouillé et ouverte le Seigneur Gatsu descendit lentement en direction des Soldats armés. Derrière lui, trois Hommes armés jusqu’aux dents de couteaux et armes contendantes en tout genre. Le Seigneur lui ne semblait porter en dessus que son boken, mais en dessous il n’en était pareil. Telle une lame aiguisée il portait lui aussi des coutelas en tout genres.
Arrivé à l’escorte, le coutume voulu qu’il décline son nom et dépose ses armes. Lorsqu’il se déclina, les gardent explosèrent de rires ; quel abruti pourrait tenté de se faire passer pour le Seigneur Noir, l’Ombre Maudite, Celui dont la forme ne pouvait être défini, cette fontaine de magie, ce dieux des morts. Pourtant le jeune Seigneur semblait et restait sérieux. Les hommes eurent un léger doute puis, de nouveau explosèrent de rire. Soudain, Gatsu parut émettre une aura, une aura Noire. Ses yeux prirent une teinte rouge feu et ses cheveux tel des serpents s’enflammèrent. Il dégaina soudain son boken et se mettant lentement à sourire et baissant la tête tout en plissant les sourcils adressa un petit mot :

Le sentez vous, le vent suprême, le vent suprême du zéphyr ?

Les Soldats se mirent lentement à reculer, baissant tous leur armes ils se mirent soudain à genoux s’excusant du tord commis.

Gatsu n’était pas homme de pitié, cependant comment tuer de pauvres ignorants qui ne faisaient que leur travail. Il suffisait de leur faire comprendre par un peu de superflu en soit…
Les quatre hommes déposèrent leur armes, et déclinant leurs identités se mirent en marche au seins de la corporation.

Arrivés près d’une salle qu’il reconnaissait aisément, Le Seigneur Noir entra accompagné de ses quatre acolytes qui restèrent en retraits. Lentement, il s’avançait permettant à l’un des Seigneurs présent de finir ce qu’il avait à exprimer.

Une fois fait, L’Ombre Maudite s’avança sur l’estrade.
Personne ne reconnut ce petit bout d’homme. Mesurant un mètre quatre vingt dix pour à peine quatre vingt kilos, il avait un visage noble et une tenue souple mais dynamique dans sa gestuelle. L’on ne sentait que très peu d’émanation de lui et, lorsque sa voit se fit entendre dans les micros de la salle emplie de monde, Gatsu parut plus vieux que son physique. En effet, sa voix ressemblait vaguement à celle des sages, apaisante et douce et pourtant d’une force et d’une autorité inégalée.

Lorsqu’il vint à se décliné personne ne le crut sur le moment et le silence s’installa un cours moment laissant place à des rumeurs dans toute la salle.

Seigneurs, Eminents et puissants soldats que vous êtes, je voudrait tout d’abord vous apporter les changement ressens en Iwachika Sakazusa.

Moi, Seigneur Noir, je me permet de venir à vous sous cette forme humaine car ai désirer séparer et scinder à jamais mon corps en deux parties. En tout être, il réside toujours une partie humaine. Pour ma part cette seule partie qui me restait était l’âme. J’ai ainsi, grâce au potentiel que j’avais acquit, réussis à diviser mon corps et ma personnalité en deux. En effet, Le Seigneur Noir que vous connaissiez n’est plus dans le monde des vivants, son rôle n’est plus dans le monde d’en haut, il doit régner et imposer son autorité en terre des morts dans les profondeurs de l’enfer. Mais qui suis-je alors ?

Je me présente donc de nouveau plus clairement.

Je suis le Seigneur Gatsu, créé grâce à la magie me rendant un corps descend d’un dirigeant humain. Pourquoi humain ? L’homme n’est-il pas l’évolution terminale de la nature ?J e suis donc la partie du Seigneur Noire cachée, la partie humaine qui le retenait en ce monde. Je n’ai bien sur pas la puissance de mon autre moi mais ai cependant eu le temps d’apprendre de très beaux art ancestraux perfectionnant quelque peu mes déplacements.
Messieurs, Seigneurs présents, ne croyez pas que mon but soit aujourd’hui d’asservir l’Univers, L’Iwachika Doit reprendre sa splendeur d’entant, l’armée est toujours la, mine d’hommes et mages, le peuple en Iwachika a évolué, beaucoup le savent, il n’est plus une civilisation primaire, et par mon aide je le rendrait resplendissant.

Je viens ici pour contredire certains dires que je ne pouvait avoir entendu au vu des derniers évènements, cependant, j’ai fini par en avoir vent.
Je viens ici en paix, je viens ici pour de nouveau prêté allégeance aux wizards mais plus particulièrement à l’un d’entre eux. Un homme de bravoure, un homme d’honneur, de codes, un homme qui ma foie mérite bien son rang et sa place : le Seigneur Théran Azhar.

De plus, je tend à signaler à Lord Yu que si j’étais vraiment le monstre dont-il parle, son armée ne serait déjà plus. Bien cachée dans un hangar elle était pourtant pour l’Etat d’Iwachika Sakazusa facilement exterminable. Mais rien ne fait, que l’on parle ou l’on agisse, vous vous dites ouverts d’esprits mais restez fermés dans vos idées.

L’Hégémonie, oui, je pense pouvoir dire que j’ai été l’un des précurseurs de celle-ci, oui, Le Seigneur Noir à tué. Tué pour tuer. Tuer pour assouvir, mon optique n’est pas la même, peut être mon trop plein d’humanité, cependant même en tant qu’ancien tyran, je m’espère membre actif de l’hégémonie.

Aujourd’hui, l’Iwachika Sakazusa est devenue puissante, son armée recouvre le ciel d’une ombre mortelle pour les plantes. Son ronronnement résonne jusque dans les profondes mines des terres de volcano. Je dirige cette armée en effet, et il serait ici facile de me soumettre. Pourtant mon armée est toujours présente et celle-ci pèse. Je ne suis pas un dictateur fou, le temps change les hommes et voilà qu’il se met à influer sur des être supérieurs tel que l’Etait L’Ombre Maudite. Pourtant quelle pouvoir lorsque celui-ci ne peu servir. Tant de pouvoirs ne sont pas fait pour régner en maître sur les terres d’en haut. Un tel pouvoir ne peu servir que pour assouvir les Monstres des enfers….

Je resterais donc hostile car resterait membre actif de l’Hégémonie, cependant parmis vous certains encor ne semble pas comprendre la leçon que mon ancien moi à voulu vous transmettre : Dans un monde ou la guerre est monnaie courante, il faut toujours garder espoir, se réunir, d’ensemble ne former qu’un. Des valeurs simples, des valeurs qu’il ne faisaient pas ressortir par le meilleur des cotés cependant le Seigneur Noir à permis par sa venu le réveil de tant de Grand Seigneurs. Regardez les aujourd’hui ces puissants Seigneur Rebel, tous s’unifiant, la renaissance telle que promise ! Mais comme il l’avait prévenu le Seigneur Noir disparaîtrait laissant place au renouveau.

Il est temps que celui-ci arrive, déjà le jour se lève, ne restez pas de simple vampires ou il vous détruira, redevenez des hommes des Seigneurs.

Gatsu un moment se tu, de lui emmenait une douce chaleur apaisante, il semblait serin tel un aigle planant dans le ciel.

Une larme coula le long de son œil droit. Baissant quelque peu la tête de façon à cacher ses yeux se remit à parler.

Messieurs, Seigneurs, Cessez ainsi de proférer des paroles qui pour certains peuvent paraître anonymes et pourtant pour l’Etat qu’est celui de l’Iwachika Sakazusa celles-ci sont blessantes. L’Hégémonie s’est crée par l’amitié, par la volonté, par la confiance réciproque, la cohésion dans le combat.

Je ne suis pas un dieux, je ne suis qu’un homme qui comme vous crains les balles ou lames lorsque celles-ci le traversent. Cependant aujourd’hui, malgré la puissance que peu imposer l’armée de l’Iwachika, celle-ci est actuellement inoffensive. Loin d’être inactive, elle se renforce. Cependant celle-ci ne tueras plus jamais un homme seins ou neutre. Les Crimes de génocides ne sont plus autorisés en Terres d’Iwachika Sakazusa ! Seul la guerre reste un motif valable. Et j’espère avant de mourir pouvoir participer à l’une d’elle.

Je ne cesserais bien sur de surveiller les rebelles et ne laisserait pas la place à de nouvelles guerres !
L’Hégémonie à été instaurée en soit, pourquoi ne pas chercher à aller dans son sens. Le rêve d’un monde nouveau, il ‘est plus l’heur aux destructions. Il est l’heur de changer.

Le Seigneur Gatsu se retourna alors lentement et s’agenouillant salua de nouveaux les Seigneurs Wizards avant de se relever. Faisant face à la foule, Il exprima alors sa volonté de rentrer le plus vit possible en terre d’Iwachika ou un travail phénoménal l’attendait.

Descendant de l’estrade, Il reprit l’aller centrale franchissant les portes accompagnés de ses trois compères, il retourna directement récupérer ses armes pour remonter dans son vaisseaux. Le sas ventral verrouillé, celui-ci lentement décolla repartant en direction de la planète Volcano.

[HRP=""] Pour le acharné aller lire le Jardin de Maur sinon vous comprendrez pas tout Xd [/HRP]

Il se rapprochait avec sa Bourka, cachant son visage extrêmement pâle à tous et toutes. Il avançait, les yeux rouge d'Histugaya flamboyait de colère, il n'aimait pas les traitres car pour lui cette méthode de combat était indigne d'un Homme. Il savait qu'il ne re-rentrerait pas si facilement au siège, surtout que Cris avait du le porter mort depuis déjà deux lunes, il arrivait déjà au abords de la porte principale.

Veuillez décliner votre identité et la raison de votre venu ici. Et déposer vos arme si nécessaire.

Génie Histugaya Jin, je suis ici pour reprendre ces pleutres de Wizard en main, je me suis absenté trop longtemps.

Vous n'êtes pas le Génie, il est mort en mission, en voulant récupérer la sphère du Zéphyr pour Théran Azar.

Alors en plus de Cris lui aussi ma trahit... Eh bien mission accomplit messieurs.

Une bourrasque de vent se leva, les deux hommes allèrent s'écraser contre la porte. Et Jin se rappela les dernier mots de Fusion d'Aelia San ; " Je te confie cette sphère, accomplit Notre rêve, celui de l'amour et de la paix."Et a présent les Wizard restant serait soit détruit, soit ranimé par leur soif de paix.

Jin parcourait les couloirs, cachant sa présence, et celle de la sphère. Il passait par les sous sols, grâce a Fusion il savait exactement où aller, mais malheureusement ces mêmes sous sols étaient déjà détruit par la passage des armées Wizard. Il ne trouverais pas l'aide qu'il voulait.

En passant devant une cellule, il vît Mara. A demi morte. Il entra rapidement, Histugaya lui même semblait être mal dans sa pe*u face a ce spectacle. Il la libéra de ses liens, et la fît reposer sur lui. Elle était a l'agonie, depuis combien de temps était elle comme ça ? Il sentit les blessures, et les marques de tortures qu'on lui avait infligé en passant sa main sur ses bras pour prendre son pou.

Il sortit de la salle, envoya un message à ses gardes qui avaient investit une partie du bâtiment. Il arriva enfin sous la salle de conférence des Wizard, il posa la dose de C4 qu'on lui avait préconisé avec un peux plus de force que prévu, histoire d'être sur ... .

Votre hospitalité laisse a désirer mes chers frères,

Histugaya ....

Oui c'est moi Cris, tu semble surpris ? Mais est ce agréablement ?

Bien sur...

ASSEZ, les Wizard son une unité pour la paix, et a cause de la princesse Kourai, et de gens comme toi, nous avons eut nos discorde et notre unité n'existe plus. J'invoque ici tous les Wizard encore présent et fidèle a l'Ordre, nous sommes peux, mais notre lien n'en sera que plus fort.
J'en appel donc, a Soul of Alastor, Tsuribé Sandénoï, Lidhyle Nalashadd, Artha ; Nous sommes les dernier Wizard encore saint d'esprit et non rongé par la soif de pouvoirs.

Un homme approchait, tous le connaissait mais tous ne pouvais le voir, qui était ce ?