Siège de la Corporation Galactique > L'Enfer des plus Faibles

Auteur : Firuba Sendénoï
10/11/07 21h31 | 44 Galan 3726

Un bruit assourdissant se fit entendre dans le magnifique Siège de la Corporation. Une sorte de gigantesque claquement de porte.

- Que se passe-t-il? questionna un garde.

- Ca vient de la-bas, lui répondit-on.

Le garde accouru a l'origine du bruit. il pouvait y appercevoir un chef d'Etat et apparemment en colère et qui venait de défoncer une porte pour entrer dans une salle de conférence. Pourquoi? Le garde n'osa pas le lui demander de peur de se faire incendier d'injures.

- Qu'est-qu'y'a ? T'veux ma photo?

Le chef d'Etat venait de s'en prendre à la secrétaire chargée des réservations des salles de conférence, elle était effrayée par les mouvements de bras de son agresseur. Le garde, paralysé au moment des faits, fut indigné de voir ce que faisait cet homme et accouru protèger la jeune femme. De peur qu'il ne s'en prenne à nouveau a elle, il s'interposa entre les deux personnes. On pouvait appercevoir des gouttes de sueurs couler le long de la joue du militaire, il se trouvait a cinq centimètres du visage de l'homme mystérieux.

- Je veux cette salle! Tout de suite! s'exclama l'homme.

- B... bi... bien, M... Mon... Monsieur, balbutia l'assistante.

- Réunissez le maximum de Dirigeant de cette pauvre galaxie. J'ai d'importantes choses à leur expliquer, sur la situation actuelle.

- Oui, Monsieur, répondit-elle.

- Indiquez que c'est Firuba Sendénoï, Co-régent du Mikanésia et Grand Auror, qui demande leur venu. Ils n'ont pas d'autre choix.

Firuba dût attendre quelques heures, avant de voir arriver un petit groupe de personnes. Il ne les reconnaissait pas ou bien il ne les connaissait peut-etre pas du tout. Et pourtant quasimment toute la galaxie le connaissait et pas qu'en bien.

La patience n'étant pas son point fort, il décida de prendre la parole devant ces inconnus espérant faire venir plus de monde.


- Mes chers amis, ici présent, ou bien alors ennemis, je ne sais pas.
Je vous ai invité en ces lieux pour parler de choses graves. En effet dans ce monde, il existe deux genre de personnes: Les Bons et les moins Bons.

Je veux dire par là, qu'il y a de bons, voire de très bons dirigeants qui arrivent a se faire respecter assez facilement et rapidement dans cette triste galaxie qu'est la notre. Des tensions sont a venir qui plus est parmis les "grands" de ce monde. Des tensions qui pourraient facilement être évitées. Mais celles-ci ne se ressentent que lors des discours, car ils n'osent plus avoir de conflits avec les autres puissances de peur de perdre le peu de fierté qu'ils acquierent suite aux forfaits perpertrés envers les plus faibles. Et c'est de ceci qu'il sera question aujourd'hui dans cette salle.

Le pacifisme. Quel jolie mot. Respecté par près de soixante-quinze pourcent des dirigeants, ou plutot utilisé mais rarement mit en acte dans leurs faits et gestes. Ils se disent pacifistes quand cela les arrange ou lorsque ca leur permet de résoudre un problème qui pourrait se règler sur un champ de bataille.
Il est rapidement oublié lorsqu'il faut s'attaquer à plus faible pour montrer sa supériorité fictive. S'en prendre a plus faible, c'est se rendre plus fort virtuellement mais réellement, cela n'est rien. On peut, après ça, se dire que l'on est un être doué d'une grande autorité, puissant et l'on peut être fier de soi mais s'en prendre à ceux qui n'ont pas même les moyens de détruire une sonde montre un certain signe de lacheté.

Vous devez vous dire que c'est amusant d'ouïr de telles paroles de la bouche d'un des plus gros pilleurs de cet univers qui ne respecte même pas ses dires mais j'ai pu en faire l'expérience et je sais qu'aujourd'hui les pillages de mes Généraux ne sont plus ce qu'ils étaient auparavant.

Je retourne donc à ce que je disais avant ce petit apostrophe. On peut toujours se dire que l'on est capable de rivaliser avec n'importe qui mais une fois que l'on en vient à perdre sa flotte, fauché en un souffle, par plus fort, si rapidement qu'on a pas le temps de s'imaginer la défaite, on vient crier au scandale devant l'agresseur afin d'avoir un remboursement ou autre chose dans le même genre en mettant en avant leur pacifisme inexistant.

Telle est la mentalité d'aujourd'hui qui est triste a voir et qui n'était pas il y a de cela quelques mois.

Je vous laisse méditer sur ce que je viens de vous expliquer et, pourquoi pas, m'éclairer sur la raison de ce changement de comportement.


Firuba s'en retourna s'asseoir dans son siège qui le mettait en évidence afin de pouvoir écouter les nouveau participant du débat.

Auteur : Kétanolan
11/11/07 14h29 | 45 Galan 3726

Firuba Sendénoï. Ce personnage était devenu totalement inconnu du grand public. Qui savait qui il était à part les Wizards et quelques dirigeants de vieux états. Pourtant, il faisait parti des plus anciens. Certains pourrait même dire des plus fou.

Aujourd'hui, le co-régent du Mikanésia venait à la corporation pour dénoncer un fait qu'il a lui même provoquer. Ironie du sort se disait l'atlante Fillmore. Il était venu pour une fois mais jamais il n'avait daigner participé à la vie de la corporation. Fillmore quitta la salle après avoir murmurer à l'oreille de son second le capitaine Gordon. Quelques instants plus tard, le capitaine se leva et pris sa respiration. Sa première mission diplomatique était semble t-il peu importante aux yeux du chef diplomate Atlante. Cela le confortait malgré tout afin que ses erreurs ne coûterait rien à la cité galacticaine.


Bonjour Seigneur Mikanésien. Rare sont vos apparitions n'est ce pas?

Dommage que cela soit pour dire de telles sottises.
Je tiens tout d'abord à me présenter. Capitaine Gary Gordon, membre du conseil suprême atlante et commandant d'une flotte de l'Atlantica.
Afin de situer un peu les choses, selon vous, qu'êtes vous?
Un bon ou un moins bon?


Gary scrutant les yeux du Mikanésien, il reprit :

Ce que je veux dire c'est que chaque jour, on entend dire que vous avez envoyer vos flottes piller des états tentant de grandir et de prospérer. Ces états vous voient utiliser la lâcheté de les attaquer pendant le sommeil de toutes leurs populations. Ces états ne pouvant rivaliser vous vous sentez fort. Votre fierté et votre ego sans aucune limite. J'en prend pour exemple votre départ de l'Armée Pourpre. Pour une fois, on vous tenais tête et vous avez fuit et éviter le combat que vous aviez provoquer. Vous prétendiez pourtant que les attaques subies n'était que minime et sans intérêt. Comme quoi le ridicule n'émane que de celui qui le produit et non de ceux qui le montre du doigt et le mette en scène.
Mais j'observe que vous en prenez conscience malgré tout.

Maintenant, le pacifisme est réel chez certains. Il faut savoir le revendiquer. Mais le pacifisme n'est pas de rester les bras croiser à attendre qu'on subisse. Il faut savoir anticiper l'agresseur. Vous en êtes la preuve vivante. Ce que j'entend par là c'est que lorsque l'on perd sa seule ligne de défense en voulant pacifier les opresseurs comme vous, il est naturelle de sentir la perte d'une force comme injuste. Maintenant votre discours excusez moi du peu ne montre pas tant d'intérêt que ce que vous pourriez penser. Cela explique d'ailleurs que seuls les seconds soient encore là pour de nombreux états. Votre dédain s'observe dans le sens contraire aujourd'hui. Tirez en leçon je vous le conseille.

Bonne journée.


Gary Gordon venait de faire son premier discour public et en était déjà fier bien qu'un peu étonné du peu de chose à développer dans les affirmations du régent Firuba. Il attendit la réponse suivante afin de prendre sa décision de quitter la salle ou d'y rester plus longtemps.

Auteur : Firuba Sendénoï
11/11/07 15h45 | 45 Galan 3726

Un lèger sourrire se dessinait au bord des lèvres de Firuba, un pouffement étouffé par sa main se laissait entrevoir, il riait des absurdité que ce Capitaine faisait allusion.

Comment pouvait-il faire référence aux actes du Mikanésia, lorsque lui-même entreprend exactement la même chose.

Des attaques nocturnes? Peut-être était par la volonté de ses soldats.

La fuite de l'Armée Pourpre? Des raisons définies et précises qui font qu'il devait la quitter.

Le calme était revenu dans l'esprit de Firuba, qui avait écouté sereinement ce gentil Capitaine.

Il savait ce qu'il avait a dire, et ses arguements allait réfuter les siens.

Il ne restait plus qu'a les lui faire part.


Mon cher ami,

Tout d'abbord, je voudrais vous faire part de mon entouthiasme et de ma bonne humeur que de vous voir en ces lieux, en effet vous devez vous sentir un peu seul ici.

Ensuite, je suis désolé de mon absence exercée jusqu'a présent, certes je n'ai pas fait beaucoup de discours dans cette magnifique Corporation, mais j'ai toujours été attentif a ce qui se disait, différents rapports me parvenaient jour après jour. Et j'en prenais note a chaque fois.

Puis je reviens a ce que vous m'avez dit. Je vous cite : "Ces états vous voient utiliser la lâcheté de les attaquer pendant le sommeil de toutes leurs populations."
Je vous l'accorde, mes attaques se passent principalement la nuit, mais que voulez-vous ce n'est pas de ma faute si la journée mes soldats préfèrent se reposer, se divertir ou encore pire : boire.
Je ne suis pas un dictateur dans mon peuple, donc je les laisse faire, tout en leur faisant part de mes futures attaques, ils prennent donc leur disposition et ne sont jamais trop saoul, ou trop fatigué pour combattre et piller, lors du sommeil des autres.

A la date du missilage, et rasage effectué par les Cendreux sur mes terres, je ne ma rappelle plus vraiment de la date, mais n'était-ce pas non plus en pleine nuit?

Certes vous me décrivez en détail, mes faits et gestes nocturnes, et vous mettez bien en avant ce que j'avais dis lors de mon arrivée, c'est a dire que je me sentais concerné dans ce que je disais.

Vous me le remontrez en insinuant que je me sens fort, peut-etre est-ce car je le suis réellement ?

Mais je vous prie de revenir sur vos paroles qui concerne ma lacheté envers l'Armée Pourpre.
Jamais, je ne tolèrerais de telles sornettes. Vous dites que j'ai fuis cette grande et forte alliance, mais peut-etre était-ce car j'en étais le sujet de la perte de celle-ci? Je l'ai quitté physiquement, certes.
Mais mentalement et psychologiquement, je suis toujours bien présent parmis eux. Is ont besoin de moi, comme j'ai besoin d'eux. Nous sommes en quelques sorte complémentaire.
Comme je le suis avec mon ami Endymion, qui m'accompagne depuis maintenant huit mois dans mes fonction au sein du Mikanésia.

A vos dires, je vous rétorquerais que vous n'etes pas moins lache que moi.
Lors de la défaite d'une partie du Showland, qu'avez-vous fait le lendemain?
N'avez-vous pas demandé la protection de la Corporation afin d'éviter tout affront contre votre peuple? Me trompe-je?

Non je ne suis en aucun cas énervé, juste que mon caractère est un peu fort a l'entente de certaines paroles déplacés ou mal décrites. Je vous laisse réfléchir a ce que vous m'avez dit. Je pense que vous en avez besoin.


L'air décontracté, Firuba défit sa veste avant de la posé sur le dossier du siège ou il était assis, il se doutait que la réaction de ce cher capitaine n'alait pas se faire attendre, et était impatient de l'entendre.

Auteur : Kétanolan
12/11/07 23h17 | 46 Galan 3726

Seul? moi? Je ne suis pas votre miroir mon cher. Je ne vois personne ici ayant eu l'intérêt envers vous pour répondre. Je suis ici en apprentissage. Cela montre encore à quel point cette intervention de votre part montre l'intérêt qu'on vous porte en ces lieux.

Gordon commença les cent pas en répondant à Firuba Sendenoï.

Je dois néanmoins rectifier vos erreurs. Vous dites que nous avons été lâche comme vous? Mais nous vous avons attaquer en pleine nuit espérant trouver vos soldats assez réveillé pour les affronter. Lorsque votre état a été attaqué, nous n'avons constater aucune résistance. Nous avons donc chercher à réveiller vos troupes avec nos missiles. Le résultat n'a pas été fameux mais nous avons fait avec. Quand la lâcheté vous tiens n'est ce pas?

Ensuite sachez le. Vous vous donner l'air d'être fort. Mais lorsque vos leurres attaquerons les flottes qui vous feront face, je doute qu'il réussissent à inventer de quoi gagner. Votre force fictive est la seule force réelle que vous ayez à vanter. Mais je vous laisse comme vos amis dans l'idée que vous êtes surpuissant. Le jour, où la défaite vous frappera vraiment, vous comprendrez, je l'espère pour vous, que vous ne valiez pas un clou et que votre façon d'être vous aura mis dans la tombe. Enfin j'ose espérer qu'il est toujours temps de changer.

Enfin, je doit rectifier le fait que la lâcheté n'est pas le bon mot pour qualifier ce que nous avons fait après la défaite du showland. Courage est le meilleur terme. Courage d'avoir dénoncer ce que personne n'a jamais voulu admettre. Et vous croyez que c'était une guerre qui s'annonçait? sûrement pas. Cet avertissement ne pouvait pas nous forcer à nous geler de crainte d'être vaincu. Nous avons toujours su nous défendre même perdre quand il le fallait. Admettre nos erreurs aussi. Ce que vous faites très mal laissez moi vous le signifier. Mais je sais qu'en aucun cas vous n'écouterez les paroles d'un soldat bien loin de la compétence politique de mon supérieur. C'est pourquoi je vais me retirer et vous laisser vous croire supérieur aux autres comme souvent. Je vous laisse ...... SEUL.


Gordon regardant firuba une dernière fois quitta la salle. Une vérité venait d'éclater. Ce dirigeant pour son retour avait le droit de se faire sermonner par un simple capitaine. Bien ironique comme situation. Pourtant, Gordon serait sûrement rattraper dans le hall. Mais en tout cas, il avait bien quitter la salle.

Auteur : endymion
13/11/07 00h08 | 46 Galan 3726

Une luminescence fugace, un instant de soupir avant la ténébreuse tempête. L'oeil du cyclone, l'éventail macabre des morts futurs.

L'air refroidit sitôt que l'ombre du Mikanésia poussa les portes de la salle, grandeur insipide. Le souffle jaillissant soupira et le joug oppressant des senteurs lourdes poursuivit quiconque s'y opposa. L'aura blanche comme l'amour et noir comme la mort, Endymion apparut dans l'embrasure de la porte.

Etait ce un mirage ou bien l'odeur surannée des âges chancelant? Personne ne le sait, l'existence même d'Endymion était un mythe. Malgré ses apparitions fréquentes aux sièges, son corps de lumière faisait planer le doute quant à sa consistance.

La fureur passait dans ses yeux comme l'amour d'un peuple qu'il dirigeait depuis maintenant beaucoup plus qu'une demi année. 8 mois comme Firuba l'avait précisé.

Il aimait son peuple comme son ami Firuba, il l'aimait parce qu'il avait fait de lui un dirigeant puissant et craint mais aussi aimé et apprécié.

Les égards égarés, les yeux vitrioles de son adversaire d'aujourd'hui rendait malade Endymion. Comment un être qui présente toutes les caractéristiques de l'Homme, semble n'avoir pas le discernement nécessaire à l'effort de différentiation entre son ennemi et ceux qui ne veulent rien de mal, seulement la même chose qu'eux?


<<Bonsoir cher ami,

Je ne sais pas ce qui vous rend aussi agressif mais je ne pense pas que votre réaction mérite qu'on s'y intéresse plus que ca.

Car comme à votre habitude, ce n'est pas le hors sujet qui vous effrait.
Est ce que la question était: le Mikanesia est il lache ou non? Mais bel et bien: les dirigeants du Mikanesia vous font part de leur constatation et vous posent une question. Qu'en pensez vous?

Bien que votre intervention semble dénuée de sens dans le débat, je vais me permettre de vous répondre à la place de mon très cher Firuba qui est actuellement occupé à jouer un rôle dans la galaxie à votre nette différence.

Quelles accusations vous nous faites, comme vous y allez!!

Notre lâcheté tout d'abord...parce qu'il me semble que c'est ce qui m'amusa la plus. D'où tenez vous vos informations? Nous attaquons la nuit parce que d'une part nous organisons nos attaques le jour et donc les mettons en pratique la nuit et d'une part car si nous attaquions la journée, le pillage ne serait pas rentable et nous devrions utiliser de plus grosses flottes. Désirez vous que nous rasions en pillant? Car c'est possible et le risque de la perte d'une flotte est amoindrie.

De plus, comme déjà souligné ici et ceci malgré votre réponse vaseuse, vous avez utilisé une méthode bien peu courageuse lors de votre lancement des missiles. D'une vous avez utilisés des missiles et de deux vous l'avez fait de nuit. Comme par hasard, là, c'est du courage. Vous espériez trouver des troupes réveillées alors que vous avez pu vérifié que notre état avait complètement cessé d'emettre et que chacune de ces lumières étaient éteintes dans le registre des signaux reçus. Mais bien entendu, c'était courageux...humm...

Quant à votre seconde accusation, soit la présence de leurre dans notre flotte, je croyais que vous aviez compris l'intérêt de ces petites bêtes mécaniques dans la composition d'une flotte?

En effet, chacun d'entre eux absorbent les dégâts pour les soldats postés en attaque aérienne ou terrestre, en tant que pilotes ou bien que Techno-guerriers et pilotes de chars ainsi que nos mages.

Donc c'est plus que nécessaire que d'utiliser ces unités misent à notre disposition. Sachez aussi que leur utilisation coute cher car chaque bataille représente un lourd cout en perte/reconstruction des bêtes mécaniques.

Pour vous prouvez notre bonne foi et notre utilisation non scandaleuse des leurres, nous avons formé deux nouveaux Généraux au cours des batailles qui ont précédé, ramenant notre état major à un total symbolique de trois généraux.

Enfin, je voulais revenir à votre "dénonciation-de-ce-que-personne-ne-voulais-dire-avant", et bien laissez moi en rire car vous n'avez pas même été suivit par les votre et en plus vous avez perdu toute crédibilité envers le monde de la corporation.

Vous n'êtes rien très cher, pas plus que ce que vos paroles ont comme valeur. De simples broutilles.

Toujours est il qu'il n'est pas le lieu d'en parler. Ici, le débat est tout autre mais votre jalousie envers la réussite vous oblige à tenter de nous abattre par vos si peu jolies mots.>>


Endymion s'assit pourtant, attendant que d'autres viennent à chercher la signification de la pensée de Firuba. Peut-être en vain mais qui sait ce que la conversation peu apporter?

Le souffle glacé souffla de nouveau...