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Auteur : Lienrag
03/02/07 03h01 | 64 Aquan 3725

C'était un si joli soir d'hiver, le temps était frais mais agréables. Qui aurait pu dire que les choses tourneraient comme ça. L'avenir semblaient si prometteur mais voila que tout basculait dans un chaos indicible

Voici donc venus la curée, maintenant que la puissante orbe n'est plus les chiens se ruent sur ce qu'ils en restent. Mais en vérité ce n'est que le juste retour du bâton. Les soldats de cette alliance ont bien profité de la situation mais maintenant que les choses sont inversées, on pourrait dire que la vie est injuste ou que la traîtrise de nos ennemies est grande.

Pour sa part Lienrag, assis dans son fauteuil, réfléchissait à la meilleure solution pour sauver son peuple et son alliance. Il ne quitterai pas l'orbe, de cela il en était sur. Mais valait-il mieux restait cacher ou combattre ses ennemies tel était son dilemme.

Comment blâmer ces troupes venues pour piller et détruire alors qu'elles avaient tant souffert du joug de l'hégémonie.

Tout cela n'est que traîtrise, les mots tels qu'amitié, sincérité, loyauté ne valait ils donc plus rien de notre époque. Notre univers était il à ce point pourris pour que des amis attaquent leurs alliés.

La nuit passait et Lienrag, l'esprit plein de doute, voyait sa vie basculer dans un ténèbres effrayant mais par certain coté si attirant.

Auteur : Henrietta
03/02/07 11h18 | 64 Aquan 3725

L'Imeratrice Henrietta était de passage et a entendu ce qui a été prononcé. Bizarrement elle senti ces paroles comme un peu exaspérant.

<<Vous dites que les mots tels que l'amité ou la loyauté n'esiste plus. Mais qui a attaqué les amis de ces amis ? Qui a déclaré la guerre a tout le monde?
J' ai rencontré quelque seigneur de l'Orbe maudit et j'étais consterné de leur réaction, des reactions du genre :

""- Oh mon Etat vient d'être détruit, quelle perte, j'abdique, je ne gouverne plus mon Etat""

Vous avez bien dit de nous bouger quand on était rasé, mais vos seigneurs ne sont pas moins valeureux que les croisés qui ont abdiqé devant les dificultés. Vous n'allez pas vivre ce qu'on a vecu car tout le monde sera pas sur vous. Et vous trouvé dejà ça dificile?>>


L'Impératrice se retourna pour repartir de la salle et commenca a avancer, peut être que la parole d'une autre persone pourrait l'arrêter de sortir.

Auteur : Lienrag
03/02/07 12h28 | 64 Aquan 3725

Perdus dans ses pensées Lienrag ne vit pas qu'une femme avait entendus ces paroles et s'était rapprochai de lui. La voix de cette inconnue le tira brusquement de sa rêverie, il reconnu l'impératrice Henrietta. Il comprit alors qu'elle avait entendu son monologue et qu'elle remettait en cause son état d'esprit.

A peine eut-elle finit de parler qu'elle tourna les talons et repartit d'un pas rapide vers la porte.

Attendez, dit-il en se levant de son fauteuil, je crois que vous avez mal compris mes paroles, bien qu'il ne soit pas très poli d'écouter au porte je ne vous en veut pas. Je ne m'adressais pas particulièrement à quelqu'un et ces mots étaient simplement ma vision général de la situation.

J'avoie que ça ma fait mal de voir mon état rasé et mon peuple massacré mais je me dit que c'est bien peu de choses par rapport à ce que certains des rebelles ont du subir. Sachez également que j'ai plus de respect pour ces personnes que pour certains de mes alliés.

Cette guerre nous l'avons nous même déclenché et maintenant il faut en payer le prix, je me battrai pour survivre au côté cette fois-ci des personnes de notre alliance en qui j'ai totalement confiance et se sont elles qui me permettent d'affirmer que les mots loyauté ou amitié existent encore.

Je vous remercie de m'avoir écouter et d'avoir pris le temps de me répondre cela ma permis d'éclaicir mon esprit impératrice. Je ne vous dérangerait pas plus longtemps.

Il s'éloigna lentement de l'impératrice et retourna s'assoire, il fallait maintenant qu'il attende son général en second avant de pouvoir repartir sur son état pour reprendre les choses en mains.

Auteur : endymion
04/02/07 18h40 | 65 Aquan 3725

Entra alors un homme voyant l'impératrice, il la connaissait mais lui était inconnu, il était habillé d'une grande cape à capuche qui recouvrait son visage d'une ombre impénétrable par la vue, il était vétu de marron et avancait d'un pas svelte mais sportif. Il décida d'enlever sa capuche. Chacun fut sidéré par l'apparition, c'était Endymion. Celui là même que l'on croyait avoir été tué dans l'explosion de sa flotte. Il n'avait ni le temps ni l'envie de racontait ce qu'il s'était réellement passé, un scribe consignait à l'écrit à l'heure même son histoire qui serait publié dans les archives du conseil d'ici peu.

Il avanca vers Henrietta qu'il serra dans ses bras d'une accolade franche et forte, effectivement celà faisait longtemps qu'il n'avait pas vu ses amis et Henrietta comptait parmis celle qu'il aimait le plus. Il avait écouté la conversation qu'Henrietta avait coupé. Il décida d'ajouter sa petite parole sur les évènements récents et de faire son retour parmi les orateurs de ce siège grandissime:

Bonsoir, j'ai entendu votre discussion, je voudrai juste rajouter que je n'approuve pas la réaction des rebelles qui viennent maintenant ce venger du sang qui a coulé chez eux. Ceci n'est que le pale reflet, l'imitation que dis-je le mimesis de l'hégémonie mais à l'envers. Ceux qui sont venu abattre nos chasseurs sont désormais retournés dans l'espace mourir en grands seigneurs qu'ils étaient. Ne perpétuons pas l'histoire en refaisant l'erreur des tyrans, il faut savoir vivre dans l'amour du prochain même si ce prochain et notre pire ennemi. Il faut savoir aimer. Aimons nous dans le plus grand silence et la paix entre les peuples de toute la galaxie. Mon alliance essayera de veiller sur cette paix et nous nous devons de ne pas cautionner le trop grand nombre de vengeances démesurée sur nos anciens ennemis qui sont aujourd'hui nos amis.

Endymion se capuchonna et partie rejoindre d'autres personnes qu'il voulait revoir depuis si longtemps et qui lui avaient tant manquer. Ses cheveux passèrent dans la grande arcanes de sa cape et se mut jusqu'à le vent cesse de souffler par la grande fenetre de la salle.