Annonces officielles > Un corps nouveau une ame nouvelle

Il était seul, debout au milieu d’un champ, il laissait le vent lui fouetter le visage de sa douce chaleur. Se laissant bercer par les pales rayons du soleil levant et la frêle odeur de verdure, seul dans cette vaste étendu qu’étaient les anciens champs de Magie du Nécrolia, les anciens champs des combats passés et bel et bien révolus…

Alors qu’il se retournait pour faire face à la toute magnifique citadelle du centre, il entendit les appelles répétés d’une silhouette approchant à grands pas dans sa direction.

L’Homme qui s’approchait était battit comme un lion, il avait les cheveux noir et longs, des cheveux qui par le fait de la vitesse battaient l’air de plein fouet ! Son armure Noire laissait paraître des formes musculaires impressionnantes, et il se déplaçait avec une puissance titanesque laissant derrière lui une longue trace de fumée marquant son passage.

A quelque mètre de lui, l’homme s’arrêta presque instantanément jetant un genou à terre et saluant respectueusement le retour de son Seigneur !

La tête baissée et l’épée posé à même le sol à coté de son genou droit, il prix une grande inspiration afin de pouvoir parler clairement et à voix haute.

Seigneur Noir, c’est un immense honneur de vous revoir parmi nous, votre retour était attendu ardemment par votre peuple.

Toujours debout, Le Seigneur s’abaissa au niveau du soldat et calmement tendit une main sous son menton signe qu’il pouvait se redresser.

Tu sembles être un homme bon et loyal soldat, quel est ton nom ?

Je suis le première classe Malawan du régiment des Bersekers Mon Seigneur !

Est-ce un nouveau régiment que les Bersekers ?

Seigneur, ce régiment à été mis en place pendant votre absence afin de palier à celle-ci et de tenter de faire régner la même paix que celle que vous avez su inspirer au seins de tout l’état !
Nous sommes tous dévouer corps et âmes à votre cause mon Seigneur !

Et quelle est donc ma cause ?

Elle est votre juste loi mon seigneur !

… Ma juste loi….
Dis moi soldat, comment me voies-tu ?

Pardon Monseigneur ?

Quelle image de mon corps voies-tu ? Suis-je fait de fumée ? De chair ? …

De chair mon Seigneur !

De chair….
Le Seigneur releva ses mains à son visage et les observa….
…

Sentant enfin les sensations du monde extérieur, l’Ombre Maudite regarda de nouveau le soldat et, réapprenant à sourire, lui dis de s’en retourner au palais, il devait accomplir quelque chose avant de pouvoir revenir…

Le soldat faisant demi tour, le Seigneur disparu aussi tôt…

Vide et silencieuse…

Elle était morte, morte de tout et ne possédait rien… on appelle cela une planète morte ou un système mort tout simplement…

L’homme, était debout, seul dans cet immensité sans vie…

Regardant fixement l’horizon de ses grands yeux rouges et noirs (seuls restent de son ancien corps) il laissait ses cheveux blonds battre le vent et s’imprégner de cette senteur sans vie…

Sans crier garde, ses un mètre quatre vingt et soixante quinze kilos s’élancèrent à tout va droit devant accélérant la cadence et parcourant en un même temps de plus en plus de kilomètres.

Arrivé à une vitesse ou le corps ne se distingue que par une forme allongée, le Seigneur se stoppa net et élevant les bras au ciel se mit à inquanter quelques mots qui en un tour de secondes firent trembler le sol de toute part….

Quelques heures plus tard en Nécrolia….

Dites aux généraux de se réunir, nous devons faire un point….

…

Une heure passée, le Seigneur sortit un sourire aux lèvres…

Les Cendres Célestes …. Egalité …. MON CUL !!! J’ai ici assez de rapport pour si il le faut les ridiculiser devant tous ! Ils se croient puissants ? Ont-ils réellement regardé ce qui se passe dans la réalité…

L’ordre et le chaos, le jour et la nuit, la vie et la mort. Le monde c’est scinder en deux et c’est alors que le Seigneur Noir es apparu. Mais la rancœur de ceux qui avait quitter le droit chemin a grandit dans les ténèbres d’Avinicas ou les justes les avaient bannis. Les enfants du mal ont empoisonnez tout ce qu’ils ont toucher et apporter la solitude et la mort. Leurs victimes ne connaissait pas le repos jusqu’à ce que le Seigneur Noir leurs murmurent doucement: dormez car la fin est proches