Annonces officielles > Un Rêve d'Avenir

Auteur : Aelendil
02/11/07 15h21 | 36 Galan 3726

Une jeune fille d’une beauté rare a son âge ayant des cheveux qui lui atteignait a la taille d‘une couleur brune, elle n’avait qu’une quinzaine de printemps ,elle était habillé d’un long pardessus qui allait jusqu'à ces jambes, elle se promené dans les couloirs du Siège de la Corporation Galactique, elle était entourée de deux jeune gens raffiné, et habillé élégamment, elle arriva au comptoir pour réserver une salle, l’homme a l’entrer lui demander les autorisations du a son jeune âge, elle souriait, en répondant a cette homme, en lui disant que bien qu’elle soit jeune, elle était chef d’un État qu’avait dirigé son père, il lui remit les clés d’une salle, elle parcourait les couloirs vitrée en tournant la tête vers les jardins, elle soupirait en les regardant, les deux jeunes gens la suivaient un peu en retrait.

Enfin, nous y voici! elle ouvrit la porte, et la poussa de ces deux bras d’une blancheur nacré, et semblé si frêle et si fragile, que les deux jeunes gens s’approchèrent mais elle l’ouvrit sans problème et se retourna en leur souriant.

Ne vous inquiétez pas pour moi, je sais que je parais fragile, mais je n’ai pas encore besoin de nounou pour ouvrir une simple porte. Elle riait légèrement, sans essayé de vexé ou offensé ces deux gardes du corps.

Elle entra dans cette pièce, une odeur persistante ce faisait sentir, elle n’avais jamais senti une odeur, qui lui semblait si douce a son nez, elle recherchait dans la pièce l’origine de l’odeur, elle ne voyait pas grand chose, du fait que les volets des fenêtres donnant sur les jardins était fermé, elle alla en direction des fenêtres et les ouvrit, puis remonta les volets, elle pris une grande inspiration et senti l’odeur qu’elle avait senti encore plus forte, si douce, si envoûtante, qu’elle chercha du regard d'où elle venait , elle vit alors les jardin en contrebas, elle sourit en voyant les fleurs si belle, elle demanda a l’un de ces gardes du corps d’aller lui en chercher en y faisant attention et de les mettre dans un vases et de les apporter près d’elle.

Mademoiselle, voici vos fleurs, ou dois-je les mettre? Le jeune homme semblait intimidée a prendre la parole, il rougissait, la jeune fille s’approcha de lui et pris les fleurs et déposa un baisé sur sa joue en lui souriant.

Merci beaucoup elles sentent si bon, que je crois que je vais en amené sur notre État pour en cultiver pour mon plaisir. Elle inspirait le parfum des fleurs, avec un bonheur qui la faisait rêver d’un monde aussi pur.

Mais j’en oublie ce que nous sommes venus faire ici! Pourriez vous l’un de vous deux vous occuper de la retransmission du hall du Siège de la Corporation Galactique ? Sa m’aiderais grandement. Elle les regardait avec un sourire léger, qui semblait les pousser a se porter volontaire, elle choisit celui a qui elle avait fait un baisé, elle fit un clin d’oeil au second qui quittait la pièce.

Quelques minutes passerent, et l'intercom de la salle retenti, le garde du corps envoyé, parla a travers celui ci.

Votre magnificence, tout est prêt, vous pouvez parler des que vous vous en sentirez prête. Il était toujours légèrement rouge, il était mal a l’aise face a la beauté de celle qu’il protégeait.

Je te remercie beaucoup, dépêche toi de revenir le plus vite possible, a tu vu passer Meldonis? il m’avait promis de venir...

Hélas non votre Magnificence je ne l’ai pas vu dans les couloirs.

Je me demande ce qu’il fait peut être a t’il était retenu sur notre État .. mais dépêche toi de revenir.

L’intercom ce coupit elle alla a l’estrade ou elle devait faire son premier discours, pour son peuple, et pour tout les seigneurs, président, impératrice, dictateur et autre titre de l’univers, elle était d’une pâleur a faire peur a un mort, elle était morte de peur.


Mesdames Messieurs, Mesdemoiselles, bonjour... elle tremblait de tout son corps
Je suis Ilundaïs fille caché de Sephiroth, une larme coulé sur sa joue, seigneur de l’Aelendil ancien grand Occultiste, race qui a quasiment disparut suite a la destruction du premier empire des adorateur de Loki, ai mort hier... Il m’avais confier lors d’une de ces expéditions sur les traces de sont passé sur l’ancien État lieu du grand Fléau des adorateur a Meldonis sont meilleurs amis, et guide vers ces origines.

Mon père... Une seconde larme perlé sur sa joue, elle l’essuya promptement, est mort hier soir tard dans la nuit enfin mort... quasiment si l'on puis dire, il a osé travers “le voile“ emmenant vers les Terres Obscures du fléau de jadis, bien que disait il, il était sans savoir pourquoi attiré vers lui, sans savoir qui, peut être Loki a t’il décidé qu’il devait laisser a son héritière a consolider son culte par quelqu’un ayant de bonne idées, différentes de sont prédécesseur, et mentor... Elle soupirait, regardant autour d’elle, elle ne pouvait s’empêcher de regarder les fleurs poser non loin d’elle.

Je ne suis pas comme mon feu père, je ne crois pas que c’est en annihilant des peuples que notre culte de l’Ase Loki grandira, mais par la paix, je pense, dans les valeurs militaires que m’a donner mon père que la force ne doit être utilisé que utilement, et de façon sensé, et en épargnant le plus possible de pauvre brebis égarés, les armes nucléaire comme il était fait sur l’alliance de l'armé Pourpre montre un belle exemple de barbarie, bien que cela est était peut être mérité... Mais n’ayant pas était chef de l'état Aelendil, je ne pouvais pas me permettre d’intervenir, et de rester dans l’ombre, jusqu'à ce jour...

Je condamne avec ferveur l’utilisation de système balistique a envoyé sur les états de type missiles, ces engins de morts sont pour moi et mon peuple une abomination créer par les humains, pour anéantir sans autres scrupules ces congénères ou autres races peuplant dans l’univers, c’est pourquoi le missiles ne serra pas une arme utilisée par les membres des Drakkars de Loki.

Plus elle parlait plus elle prenait confiance, assurance sa faculté de raisonnement, avec une facilitée déconcertante de parler lui donnait une sorte de grâce naturel, dans sa façon de parler envoûté les deux gardes du corps qu’elle avait emmené avec elle.

[color=darkred] Mes desseins sont extrêmement simple, Les Drakkars de Loki dont j’en devient chef par lien du sang direct, aura une politique tout autre que aujourd’hui, ce qui a était construit sur le principe de trois chef, les états : Sion dirigé par Mordrayde ,Defland dirigé par Gorok , et notre État l’Aelendil dirigé par moi même Ilundaïs, les bases de solidarité de l’alliance ne changerons pas.

Nous ne sommes pas une alliance offensive, ni militaire, nous ne voulant être en paix qu’avec ceux qui la désire cette paix, pour cela, il vous suffit de nous envoyé une missive proposant un pacte avec notre culte, que nous ratifierons avec plaisir.

Ce qui va changer c’est notre système de défense militaire, nous répondrons d’abord par voie diplomatique, mais si celle ci ne marche pas nous passerons a la seconde étape, nous attaquerons sans autre raison que la vengeance de civil tués lors de certains pillages brutaux orchestré par des gens sans scrupule, mais si jamais cela continuerais nous mettrions un terme a la “menace” d’une façons qu’il nous fiche la paix.


Elle se tourna vers l’un de ces deux gardes du corps en lui demandant un verre d’eau.

Vous savez, notre vie est tel une de ces petites fleurs, si jolie, et pourtant si fragile, pourquoi détruire cette petite fleur au lieu d’essayer de la préserver? pourquoi tuer des millions d’autres vie, pour une simple “vengeance” ne savez vous pas vous défendre par la parole? ou bien avez vous peur des puissantes de ce monde déjà présente?

Les forts attaques toujours les faibles, pourquoi? Car il ne peuvent se défendre correctement, et ont ne les aides pas a progresser, c’est l’inverse, on leur file tout en tas, et on leur demande de ce débrouiller sans notice... C’est pourquoi nous membres des Drakkars de Loki refusons cela, nous sommes au services des faibles et opprimé, refusons l’injustice...


Elle pris le verre d’eau, puis but lentement une petite gorgée, de ce liquide qui lui semblait si doux dans sa gorge elle aussi d’une blancheur nacré.

Mais je m’égare un peu, ne m’en voulais pas mais l’alliance dont je suis la chef aujourd’hui et la chef d’état de l’Aelendil, je ne réalise pas encore très bien ce statut, avec exactitude mais passons... Des la fin du jours, j’enverrais des missives a toute les alliances avec lesquels nous n’avons aucun accord politique, et tenté de négocier avec eux, autant que faire ce pourra bien que je ne m’attende a énormément de refus.

je remarque que peu de personne sont présente ici depuis quelques temps, j’espère que viendra un jours tel qu’il a était dans les archives ancienne de notre état, le retour d’ancien grand nom ici, et une foule de personne prête a discuter de chose sérieuse ici.


Elle était souriante, prête a verser une larme, mais elle se retenait, elle voulait faire honneur a son rang de chef d’État, elle retira son long pardessus et on pu voir qu’elle portait un pantalon de couleur rouge, et d’un haut de même couleur au armoiries des Drakkars de Loki et entremêlé de celle de l’Aelendil, elle portait une cape qui toucher presque le sol, d’une couleur elle aussi rouge.


J’espère recevoir des réponse aussi dans cette pièce, j’y serais jusqu a la tombé de la nuit, je serais a observer ces fleurs dans les jardins en contrebas de cette fenetre

Auteur : m4x
02/11/07 17h42 | 36 Galan 3726

Un rêve d'avenir... Utopie... Ce mot suffisait à définir tout le discours d'Ilundaïs. A quoi bon déclarer la naissance d'un nouvel espoir ici, si de toutes manières cet espoir terminera dans les tréfonds des ténèbres.

Ce monde est immuable...

En effet, ce monde ne changera jamais. Tant de choses se créent, mais toutes s'écroulent au fil du temps. La nature humaine le veut ainsi, tout est inscrit dans notre façon d'être. Ce n'est pas de la fatalité, c'est l'acceptation que l'avenir que nous désirons tous n'existera jamais. Pourquoi toutes ces personnes s'évertuent-elles à vouloir changer ce qui ne peut l'être ?

Rien ne changera jamais...

Il murmurait. Lui ? Un homme de quarante-deux ans, vêtu d'un costume noir à la fois élégant et dépassé. Sa tenue était impécable, sans aucun pli, et montrait la rigueur dont il faisait preuve. Ses chaussures étaient cirées, son noeud de cravate était soigneusement ajusté, ses cheveux étaient peignés, et sa canne d'ébène brillait sous les reflets des lumières de la salle. Sa canne ? Un appui de plus pour palier à la défaillance de sa jambe droite.

Ce monde est immuable !

Son entrée, jusque là, n'avait rien de théatrale, mais cette phrase qu'il avait hurlé à l'instant attira l'attention de tous, y compris celle d'Ilundaïs. Il marcha d'un pas chancelant, mais son regard d'un bleu ciel intense était assuré. Sa canne s'entrechoquait avec le sol régulièrement, provoquant un bruit sourd qui résonnait dans la salle.

Rien ne changera jamais !

A nouveau, il avait crié, couvrant les murmures à propos de sa propre personne. Il avait atteint l'estrade et s'affichait à la lumière des spots braqués sur lui. Tout compte fait, cette entrée était réellement théatrale... La lumière blanche qui l'entourait telle un halo permettait de détailler son visage. Une barbe naissante poivre et sel trahissait la rigueur de son accoutrement. Ses cheveux coupés court de couleur chatain grisonnaient eux aussi. Ses yeux d'un bleu puissant étaient enfoncés sous de lourdes arcades sourcilières. Des cernes montrant qu'il manquait cruellement de sommeil se démarquaient du reste de son visage. Son nez aquilin surmontait de petites lèvres roses. A nouveau, celles-ci s'ouvrirent pour laisser s'échapper le son rude de sa voix.

Pardonnez moi, ma dame, d'avoir omis la présentation singulière d'usage en ces lieux... On me nomme Leikastrasz. Veuillez me pardonner la prononciation, mais je n'ai pas vraiment eu le choix vis à vis de ce prénom.

Il souriait. L'auto-dérision et l'humour en général faisaient toujours bonne impression, utilisé à point nommé et non à tort et à travers. Il reprit son sérieux et d'une voix plus dure.

Ma dame. Je vous prie d'avance de m'excuser pour les paroles que je vais prononcer à votre égard, mais ce lieu étant celui de la discussion, j'ai l'autorisation de vous aggresser verbalement.

Pour commencer, je tiens à vous signaler que vous manquez cruellement de crédibilité dans vos paroles, de par votre âge et de par votre niaiserie apparente. Vous êtes physiquement jeune, et mentalement aussi. Croyez vous que l'on fonde une alliance avec de jolies fleurs ? Non, c'est en croisant le fer que les amitiés se forgent. C'est dans le sang que la camaraderie nait. Vous, vous arrivez ici, si j'ose dire " truffe en l'air, remuant la queue " tel un petit chiot qui découvre un nouveau terrain de jeu.


La métaphoère était peut-être un peu dure, mais il était trop tard, ce qui était dit était dit. Leikastrasz aurait du peser ses mots avant de parler. Il hésita un peu, avant de reprendre, moins confiant.

Euh... Ce n'est pas exactement ce que je voulais dire... Mh... Passons.

Croyez moi, Dame Ilundaïs, la beauté en ce monde n'est rien face à l'horreur. Vos rêves de jeunesse ne sont rien face à la fatalité de l'existence. Vos illusions ne sont rien face à l'expérience de beaucoup.

De plus, si vous aviez suivi l'histoire un tant soit peu dans votre court apprentissage de la vie, vous auriez sû que quelle qu'elle soit, chaque religion s'est vue persécutée ou a persécuté des gens, des peuples, des nations, des civilisations, et ce sans raison apparente. Les croyances ne sont pas discutables, ce qui fait que la guerre éclate régulièrement pour des questions de croyances, à fortiori quand celles-ci sont un prétexte pour le pillage. Soyez forts et aggressifs pour survivre, tel est mon conseil. N'ayez pas l'air faible.

Le monde ne se construit pas grâce à la beauté, mais grâce à la force. Souvenez vous en.


Il fit un pas en avant, s'appuyant sur sa jambe handicapée, manqua de s'écrouler à terre, se releva et s'installa dans l'une des alcôves disponibles pour attendre une réponse de la part de Dame Ilundaïs.

Auteur : Aelendil
02/11/07 19h28 | 36 Galan 3726

Le visage de Ilundaïs sembler grave, marquer par un instant de colère, puis sourit a cette homme, et de sa barbe poivre et sel, elle semblé fasciné par cette homme, elle regarda cette homme essayé péniblement de s‘assoire

Tout d’abord, ce n’est pas Ma dame, mais mademoiselle messire Leikastrasz, votre nom ne me derange que tres peu, je le trouve d’ailleurs fort jolie. Elle souriait a cette homme.

Elle arrangea les fleurs posé dans le vase,prit une fleur dans ces mains, puis se retourna vers son interlocuteur.

ma niaiserie disiez vous? en quoi suis-je niai? en quoi ma jeunesse, est elle un “fardeau” a ma crédibilité?

Vous pouvez m’agresser verbalement, sa ne me gène absolument pas. Elle senti sa fleur qu’elle tenait dans ces mains
Vous savez, quoi qu’on me dise quoi que vous ferez rien ne me fera changer d’avis, rien ne pourra vaincre ma détermination, oui nous voulons être une alliance une vrai, nous ne voulons pas de génocide, ni rasage d’État entier pour notre Ase, car ce n’est pas un dieu, mais un ASE, c’est pour cela que le fléau des dieux n’a toucher que les premiers Adorateurs de Loki, il y a dix milles ans... Elle se retourna a nouveau pris le verre posé non loin, et en bue une nouvelle gorgée.


Ilundaïs, s’approcha de Leikastrasz, assez près pour entendre la respiration de cette homme.

Vous semblez vieux? Votre visage semble en dire long sur ce que vous avez vécu, ne pensez vous pas que toute ces querelles idiotes, pour de l’uranium, pour certain, d’une marchandise ou encore pour d’autre raison idiote de déclarer la guerre?

Je sais que la guerre fait relancer le commerce mais tout de même, si c’est pour des broutilles...



Quand vous parler que chaque religions ou alliances et factions, sont hostile au monde qui l‘entour, dans ce cas vous rester dans l’extrémisme, pourquoi ne serait-il pas possible, qu’un culte ou un ordre, ne puisse propager un message de paix? De quel droit? Pouvez vous affirmer de tel chose?


Je suis peut-être en reprenant vos termes, comme une petite chiot, seulement la petite chiot ne regarde pas incrédule comme si de rien n’était les gros chiens passer et faire leur lois, sans ne rien dire..


Elle donna la fleur a l’un de ces gardes du corps qui resté muet. Elle lui sourit, puis se retourna a nouveau vers Leikastrasz.

Désolé je ne tien pas en place, j’aime bouger, m’amuser, vivre! oui Vivre, la jeunesse comme dirais les envieux qui aimerais retourner a cette âge.

L’agressivité qu’est-ce? seulement un moyen de faire empirer les choses quand elle vont déjà mal, la violence engendre la haine et la haine a la destruction, et la destruction a des génocides.

Vous aimez peut être cette façon d’agir mais pas moi, pour moi toute vie est importante, toute vie est unique, pourquoi faire perdre des millions de vies, pour le simple “honneur” d’une seul personne qui se rappellera de se pauvre soldats envoyé comme de la chair a canon au combat?

Auteur : m4x
03/11/07 13h08 | 37 Galan 3726

Il réfléchissait, impassible. Les paroles d'Ilundaïs résonnaient dans son esprit, et pour chaque nouvelle phrase s'inscrivant dans les méandres de sa mémoire, une réponse apparaissait immédiatement. Il ne lui restait plus qu'à souder cela en un discours clair et concis.

Il se releva, prêt à répondre à nouveau à la jeune femme qui s'était tenue en face de lui quelques instants auparavant. Il s'était d'ailleurs retenu de réagir face à cette apparition, car même si il la trouvait charmante, il aurait été déplacé de sa part, et malsain vu le jeune âge de son adversaire orale, de le montrer.

A nouveau, les spots lumineux le mettaient en valeur, lui qui surplombait l'assemblée, perché sur son estrade, s'appuyant sur sa canne. Et ses mots résonnèrent encore.


Oui, votre niaiserie... Oui, votre jeunesse est un fardeau pour vous, car vous ne pouvez profiter de la sagesse acquise grâce à l'expérience, mais seulement de vos a priori vis à vis des actes et paroles de feu votre père. Croyez moi, l'expérience est un des principaux atouts de ce monde.

Quand à votre niaiserie, elle s'affiche ici clairement. Quelle crédibilité pensez vous avoir en arrangeant des fleurs devant tous ? C'est beau, je vous l'accorde, mais encore une fois, la beauté n'a rien à faire en ces lieux. Pensez vous que l'on ai envie d'écouter quelqu'un pendant qu'il jardinne ? C'est bon pour vos servants, pour vos laquais, mais pas pendant un débat au sein du Siège de la Corporation Galactique.


Il s'essuya le front. Il était gêné de parler ainsi à quelqu'un de cet âge, même si cette personne était mature. Il ne désirait pas l'enfoncer, mais faire en sorte qu'elle se rende compte que quelqu'un de son influence politique ne doit pas s'afficher de la sorte. Elle n'avait pas la carrure pour le poste qu'elle tenait, c'était clair.

Sachez qu'en mon sens, toute guerre, toute querelle est stupide, mais pas inutile. Les gens se créent des différents, et ils doivent les résoudre. Cela fait partie d'un cycle incessant dont les rouages se sont actionnés dès la naissance de notre espèce et qui ne s'arrêtera qu'à son extinction. Je ne dis pas que c'est bien, je dis que les choses sont ainsi, et que toute action pour aller contre ceci est vouée à l'échec.

De plus, il se trouve toujours des personnes qui gagnent à ce que la guerre se propage, car en effet, elle fait vivre le commerce. Si vous voulez connaitre les coupables de tous les malheurs de ce monde, demandez vous toujours à qui profite le crime.


Des banalités... Après toute une vie à écumer cet endroit, il n'avait que des banalités pour apprendre les choses de la vie à cet enfant. C'était triste à dire, mais peut-être était-ce en ces banalités la que résidait la clé de ce monde.

Rien n'est hostile par nature, vous avez mal compris mes propos. En revanche, chaque religion, et spécifiquement les religions, s'attirent des ennuis. Elles paraissent faibles quand elles prônent la paix, elles sont dérangeantes quand elles prônent la guerre, elles sont toujours de parfaits boucs-émissaires pour les combats. De quel droit je me permets de dire ceci ? Grâce à ce qui vous manque cruellement, Dame Ilundaïs, l'expérience et le vécu.

Il soupira, l'heure du sermon était arrivé. Tel un père défendant à son enfant de manger une sucrerie, il prit la parole d'un ton à la fois doux et amer.

Vous aimez bouger, vivre, vous amuser... Mais que faites vous ici ? Croyez vous réellement que votre place actuelle pourra vous apporter ces joies ? Vous perdez maintenant l'une des plus importantes étapes de votre vie. Et vous n'apportez rien de bon avec vous. Personne n'a envie d'être dirigé par quelqu'un d'instable, personne n'a envie d'être dirigé par quelqu'un qui ne se montre pas fort et impitoyable. Vous n'avez pas la carrure pour diriger un état, et encore moins une alliance. Déléguez donc en attendant d'avoir acquis l'expérience nécessaire...

Encore une fois, les choses sont ainsi, Dame Ilundaïs.

Auteur : nico-x1
03/11/07 17h11 | 37 Galan 3726

Comme de nombreuses années déjà, il vagabondait dans les couloirs de la Corporation, personne ne savait vraiment qui il était, lui même ne savais pas ou il serait demain.
Mais cela n'avais nul importance ....
Il était arrivé dans cette salle, en suivant le garde qui avait ramasser les fleurs et il en avait était très intrigué.


Il venait d'écouter le discours d' Ilundaïs et de Leikastrasz, et ces espoirs de renouveau etait de nouveau aneantis, il aurait voulu croire Ilundais, mais il savait que Leikastraz, avait raison, il decida de prendre la parole lasse ...

Dame Ilundais, je ne doute pas que vos conviction soit mauvaise, mais vous comprendrait bien vite que vous ne pourrais les appliquer, que ferez vous lorsqu'une personne ne respectera pas vos regles d'utopie? Lorsque votre religion sera mise en doute?

Il reprenait sa respiration, ces poumons le brûlait, lui qui était pourtant si jeune, il remarqua que les projecteurs etait maintenant visé sur lui, lui qui etait le plus bas de tous, pour ne pas être vu il se posa dans un coin mort et haussa la voix .

Vous vous battrez madame, votre innocence vous la perdrait vite en ces lieux, les fleurs vous les ignorait bientôt, et vous ferez coulait du sang, pour votre utopie qui sera aussi sanglante que le rouge de vos
vêtements.