Archives du Conseil > La découverte de Gracchiosa

Auteur : Seïdu Torké
24/05/06 19h02 | 34 Volcan 3724

Rikennes Bjorg était assis dans son bureau. Il fixait la porte d’un regard vide. Sa veste grise bien repassé contrastait avec des cheveux bruns en batailles. La pièce, très sobre, contenait peu d’ameublement : deux étagères pleines de livres, un bureau en bois, plein de dossiers, et une chaise solide. Rikennes était seul et il réfléchissait. Partir. Il devait partir. Le plus tôt possible. Trois coups retentirent à la porte, trois coups rapides et puissants. Rikennes articula un « Entrez » sans aucune motivation. Son fils entra alors. Il était vêtu comme son père, et ils se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. Comme un père et son fils.

« - Que se passe-t-il ? Il paraît que nous devons quitter cette planète ? Mais…
- Oui…, répondit son père toujours sans aucune motivation. C’est suffisamment difficile alors n’en rajoutes pas je t’en pries…
- Mais…papa…je suis né ici ! Presque tous les gens qui vivent ici se sont battu pour que cette Terre reste notre, et tu voudrais que…tu voudrais qu’on parte !!
- Je ne veux rien. Mais nous allons être obligé. Nous nous sommes développé pendant toutes ces années sans se préoccuper de la planète. Trop de gens sont morts ici. Depuis que je suis devenu chef des hérétiques, j’ai peur. Peur d’engager ce peuple dans une guerre. Peur qu’une simple décision puisse tuer des milliers de personnes.
- Je…je ne vois pas le rapport.
- Si nous changeons de planète, nous pourrons prospérer quelques temps. Nous pourrons attendre et voir. Ici c’est trop dangereux.
- Je…je vois.
- Et il y a aussi la curiosité. Depuis que je suis ici j’attend de voyager, de découvrir d’autres terres, d’autres personnes, d’autres conditions de vie. »

A cet instant précis, trois coups retentirent à nouveau à la porte. Rikennes répéta son « Entrez », mais de façon plus dynamique cette fois. Un militaire entra, le visage sévère.

« - Sir, c’est bon. Les gens ont été prévenus. Ils se déplacent actuellement vers les hangars. Une émeute a eu lieu car certains voulaient rester mais c’est bon, nous avons réussi à la réprimer. Dans quelques heures tout sera fin près. »

Rikennes se leva, tourna autour de son bureau, sans prononcer un mot, et s’arrêta devant une étagère.

« - Merci. J’arrive.»

L’officier sortit sans rien dire, et referma la porte calmement. Le fils de Rikennes se leva dès que la porte se fût refermée et sortit à son tour, sans se retourner. Rikennes était un peu déboussolé. Au nom de la curiosité, il obligeait tout un groupe de personnes à changer de planète. Une attitude très égoïste, mais il sentait que cela était nécessaire. Trois coups retentirent à nouveau mais personne n’entra, une fois féminine déclara « Tout est près. Vous venez sir ? » 
Sans rien dire, Rikennes se leva, ouvrit la porte, puis se retourna. Il regarda une dernière fois ce bureau, ces étagères, cette chaise. Une goutte d’eau tomba sous l’endroit ou se trouvait sa tête. Une seule. Il ferma la porte et marcha jusqu’au hangar, protégé par d’anonymes gardes. Arrivé là-bas, toujours sans un mot, il entra dans un grand vaisseau et s’assit entre sa femme et son fils, sans les regarder. Il avait un peu honte, mais il espérait que sa famille et son peuple penseraient que c’était nécessaire.
Il donna l’ordre de décoller. Aussitôt, de nombreux vaisseaux s’envolèrent. Ils contenaient toute la population de ce qui avait été l’Etat Rikennes. Ils contenaient un peuple nouveau. Après deux heures de voyages que Rikennes passa à réfléchir, une voix retentit :

« - Sir ! Une terre droit devant ! Elle paraît inoccupée !
Envoyez deux chasseurs survoler la zone. Qu’ils me fassent un rapport sur les conditions de vie, et sur la possible présence de vie.
Bien seigneur. »


Les conditions de vie semblaient bonnes. Quelques animaux semblaient vivre paisiblement, mais aucune trace d’humain n’était à déplorer. Rikennes choisit que son peuple s’installerait ici. Il posa le pied sur le sol quand un grand cri retentit derrière son dos :
« - Assassin ! Rikennes Bjorg vous êtes un assassin ! »

La personne qui venait de prononcer ces mots étaient une femme d’une cinquantaine d’années. Elle pleurait à chaudes larmes. Aussitôt, cinq soldats l’entourèrent et l’immobilisèrent. Rikennes s’approcha et lui demanda la raison de cette haine soudaine. La femme lui dit avec rage que son mari était mort pendant le voyage, et que cela ne serait pas arrivé s’ils étaient resté.

« - Comment s’appelait votre mari ? demanda Rikennes
- Il s’appelait Gracchiosa. Déclara la femme avant d’éclater en sanglots.
- Bien. Cette nouvelle terre s’appellera donc ainsi. Gracchiosa. »

Auteur : Seïdu Torké
27/08/06 22h17 | 54 Desertan 3724

C'était un beau matin d'hiver comme il y en a rarement a Gracchiosa.
Rikennes Bjorg venait de se lever. Il toussait.Son fils, Seïdu, l'entendait d'en haut des escaliers. Il lui disait sans cesse. "Vas voir un médecin, il va t'aider" Mais Rikennes ne l'écoutait pas, il restait enfermé dans son palais. Restait dans son fauteuil a observé ce qui se passait dehors. Il se disait qu'il allait bientot devoir céder sa place a son fils. Lui qui n'était agé que de 17 ans. Qui ne connaissait aucunes bases de chef d'Etat. Tout a coup, le commandant Walker, frappa a la porte, il entra, il était essouflé, il avait du courrir pour le rejoindre dans son bureau.
"Monsieur, on vient de recevoir un rappport, c'est celui de la flotte Filatéli.
- Montrez-le moi."
Un petit robot arriva a coté du Commandant. Il fit apparait un écran analogique:
"Nous sommes en train de nous faire attaquer, Monsieur, nous n'allons pas tenir longtemps, les forces ennemis nous dépace, aidez nous........", puis plus rien, l'écran était blanc. Plus aucunes paroles n'étaient lisible sur l'écran, plus personne n'avait parlé. C'était la fin de la flotte Filatéli. cette nouvelle fit Rikennes s'attrister. Il eut une crise cardiaque. Les médecins arrivèrent en retard. Ils ne purent le sauvé. Ainsi est décédé Rikennes Bjorg.
Son fils, Seïdu, dut prendre le pouvoir a sa place, il décida de ne pas garder le nom de son père étant donné que sa réputation n'était plus au beau fixe. Il décidé alors de s'appeler Seïdu Torké.

Auteur : Seïdu Torké
27/08/06 22h39 | 54 Desertan 3724

Des jours passèrent depuis la mort de son père. Il essayait de l'oublier, de ne plus penser a lui. Afin de pouvoir viser haut, encore plus haut qu'il ne l'était déja. Son père avait réussit a atteindre un tel niveau économique qu'il pensait ne jamais franchir. Son manque d'expérience, lui jouait souvent des tours.
Sa mauvaise gestion des choses, son manque de confiance en lui, son caractère trop fort. Il avait besoin d'aide, a tout moment, il en avait besoin. Il avait a ses cotés, le Lieutenant-colonel Walker, son chef des armées, suivi du Capitaine Torus. Mais ce n'était qu'une minime aide. Tout ce qu'il voulait c'est avoir des amis... des amis sur qui compter, avec qui pouvoir sortir de son palais, pour oublier... oublier son passé, ses gestes.
A son entrée dans la Coalition hérétique Universelle, il était encore jeune, quinze ans tout au plus.
Le Gracchisoa était encore sous le règne de son père.
Il commencait déja, a apprendre le métier de dirigeant.
Mais la difficulté le dépassait. Il ne voulait jamais, Ô Grand jamais succèder a son père avant ses cinq années en internat.
Mais le destin de son père, n'en voulait pas.Et fut obliger de prendre le flambeau.
Devenir chef d'Etat, était déja difficile, mais lorsqu'il fut nommé aussi chef de la Coalition.
Il eut beaucoup de mal. c'est a cette époque, qu'il rencontra Scipion Thorgrin.Mais sous un autre nom.
Mais lorsque Scipion partit de la Coalition avec les restes de la caisse.
Sa confiance en lui s'effondra, et il ne voulut plus lui parler.
Lors de sa réapparition, il fut surpris, car il pensait qu'il ne reviendrait jamais.

Avec l'ascension de la Nomad Corporation, il redonna sa chance a Scipion, qui devint l'un de ses plus grand ami, qu'il aida après sa dette versée.
Il lui avait offert l'hospitalité, ainsi qu'une puissance militaire enfin digne de son nom et qui pourra etre développé dans l'avenir. il fit même venir la Nomad dans la COnfrèrie du Thorium co-fondé par Seïdu, et lui offra une place en tant que Ministre de la Diplomatie.
Lorsque Scipion annonca son départ de la Confrèrie, des larmes apparurents aux yeux de Seïdu, des larmes de tristesse. Il ne comprenait pas... ne comprenait aps pourquoi sa décision de partir. Ne voulait pas qu'il parte... qu'il parte vers d'autres cieux. Comment retrouverait-il un membre, un diplomate, que dis-je, un ami, voir un frère. Il avait offert son coeur a Scipion.
Et ne pensait pas qu'on jour il partirait. Et pourtant il fallait qu'il se fasse a l'idée.
Il devait se séparer un jour... et ce jour est arrivé....

Auteur : Firuba Sendénoï
27/11/06 23h39 | 71 Galan 3725

I- La Quête

Extrait du livre de bord du dirigeant du Gracchiosa, Seïdu Torké

16h00 - Aujourd'hui n'est pas un jour comme les autres. Aujourd'hui, mon destin va parler, ma principale quête va être achevée. Nos flotte remplies de mes meilleurs hommes et machines de guerre sont en direction du point de rendez-vous du groupe qui ira détruire le Shadowsong. Elles paraissent ridicules à coté de celles des flottes des géants de ce monde. elles ne font même pas un centième des leurs, mais malgré cela je continue à croire que nous aurons un rôle décisif dans cette bataille.

16h30 - Notre armée est arrivée, le groupe est vraiment très impressionant. Le rapport des espions, nous indiquent qu'un groupe mené par le Shadowsong lui-même est en blokus devant chez lui, mais il n'est pas seul. Heyoka, Wanby, et Skarogne aident dans sa dure tache de résister aux assauts des flottes des états de la galaxie.

17h00 - Départ vers le Shadowsong, le groupe est envoyé à l'aide d'un portail spatio-temporel. sa vitesse est innégalable et miraculeuse, il se déplace a la vitesse de la lumière; Une telle technologie nest pas permise a tout le monde.

17h01 - Le groupe est arrivé tel une flèche qui rentre et ressors d'une pomme à toute vitesse. des escadrons de chasseurs, de croiseurs, de cuirassier et de solars se forment. Les unités terrestres restent en soute afin d'être protègées, la bataille est immenente.

17h02 - L'officier dirigeant le groupe envoi les ordres aux escadrons de chasseurs et autresunités aériennes, lançant les premiers leurs missiles. la bataille dura un peu moins de deux heures. Les troupes ennemies vaincues, le Shadowsong, Wanby, Heyoka, skarogne, et Strynierr détruits. Ma quete touche a sa fin, et je peux enfin retourner dans mon palais pour me reposer et savourer cette victoire.

Auteur : Firuba Sendénoï
27/11/06 23h56 | 71 Galan 3725

II - La fuite

La nuit était froide, le vent soufflait fort, jusqu'a arracher les arbres qui se trouvaient aux abbords du palais. Les transports des flottes du Gracchiosa n'avait pas arreté de tourner dans la galaxie en quête de trouvailles de mines d'uranium. les stocks étaients de plusieurs centaines de milliers de tonnes, et étaient rapidement utilisées dans la construction de chasseurs nucléaires.
L'armée du Gracchiosa ne faisaient qu'augmenter, elle avait preques doublée en moins de deux semaines, et cela grâce à une techonologie inconnue de tous qui permettait de se déplacer sans temps de voyage. cette technologie avait une faille à sa découverte.
Au sein du Gracchiosa, on la connaissait, c'était le possibilité de l'utiliser sans limite et à n'importe quel moment. Une seconde faille fut trouvée, lorsque quelqu'un l'utilisait on ne recevait aucun rapport d'arrivée de la flotte. Le conseil galacticain fut au courant des faits et gestes du Gracchiosa, et d'autres dirigeants ayant découverts eux aussi cette techonologie.
Ils furent alors tous sans exception trainés en justice. A la fin du procès, le verdict fut que le Gracchiosa devait restituer 50% de sa flotte au Conseil Galactique. A la suite de ces évènements Seïdu Torké décida de quitter le pouvoir du Gracchiosa et de partir en exil.
Durant celui-ci, sa soeur eut un enfant prénommé Firuba Sendénoï; a l'age de vingt ans, Firuba décidé de suivre le chemin de son oncle, il alla prendre le pouvoir du Gracchiosa, encore vacant depuis la fuite de son oncle.
Mais Firuba n'arrivait pas a se débrouiller a la tête d'un tel empire, et dû mener son peuple sur d'autres contrées pour enfin leur trouver un endroit digne d'eux;