Archives du Conseil > Scipion Thorgrin et la Nomad Corporation

Auteur : scipion
17/06/06 15h40 | 58 Volcan 3724

I°) L’enfance

--Papa ! Pourquoi on est les seuls à encore utiliser les chameaux ?
--Qui t’a donc dit que nous étions les seuls ?…
--J’ai vu dans les livres nouveaux que les autres galaxies possédaient des machines volantes très rapide !
--Et comment voudrais-tu faire traverser tous ces déserts à des objets qu’il faut ravitailler toutes les demi-lunes ?? Nos chameaux tiennent deux lunes à eux seuls et ne boivent que de l’eau ! Pourtant ne crois pas fils que nous sommes les moins avancés ! Tout l’acier qui permet de construire les immenses palais des princes galacticiens vient de chez nous ! Et tu peux en être fier !! Notre pays produisaient une grosse part de cette consommation.
--Il produisait… ?
--Oui depuis que la guerre intra-civile a débité avec nos voisins, les ventes ont tellement baissé que la bourse déserticienne a explosé. Notre pays craint la ruine…
--La bourse ?
--Tu es trop jeune fils, tu apprendras bien plus tard que le monde n’est pas comme tu le pensais…

La caravane de chameaux venait de rentrer dans les combles du palais d’Islahamind....



Scipion Mistios était le nouveau Roi. A cinq ans, il venait de recevoir l’héritage de son père, Ilmouhr Thorgrios, mort à l'ouest dans l'un des pillages réguliers des pays voisins. Il était chef de l’Arabiah, pays déserticien au passé relativement ancien.


--Ali ! Alors que fais-tu ?
--Ma mère avait besoin de moi ! Père est parti ravitailler Vertana en Acier.
--Ah….Tu as l’hyxos ?
--Oui !! Mais où est Jania ?…

Un skynomad arriva et se stoppa devant les deux jeunes garçons. Le conducteur de la même taille descendit et enleva son casque laissant tomber ses magnifiques cheveux longs sur sa poitrine et sur son dos. Elle retira la carte du skynomad et celui s’éteint laissant la place au silence de son moteur. La jeune fille, un peu plus âgée que les deux autres plongea sa main dans une de ses poches et sortit un cube d’isophère, ce métal excessivement dur, particulier à Désertica.

--Ouuf !!
--J’ai bien cru que tu nous laisserais tomber.
--Moi ? Jamais ! Je n’ai qu’une parole et tu le sais Scipion fils de roi !
--Oui oui sa va ! Et arrête de m’appeler comme sa !
--Pourquoi tu ne veux pas ! Tu as tout le pays pour toi tout seul et tu…
--Jania laisse le…Et puis il serait pas là on pourrait pas mettre un terme à notre projet !

Les deux jeunes arabianhs mirent leur casque et montèrent sur leur skynomad. Insérant la carte, le moteur s’enclencha et sur un bruit sourd, les trois scooters volants partirent vers le troisième étage, l’étage commerçant…

Une foule importante se rangeait dans les centaines de magasins, tous regroupés dans le troisième édifice d’Islahamind. Affairés, les passants n’avaient que faire des centaines d’étudiants qui séchaient leurs cours de biologie ou d’aciérie et se promenaient dans les ruelles commerçantes. Toutes les structures étaient car elles le devaient, étaient apte à recevoir tout visiteur, qu’il soit Arabianh ou externe à la ville ou même au pays. Pourtant l’afflue démographique perpétuel d’une population corrompu par le capitalisme et le libéralisme, était très quotidien au commerce, en raison des guerres-civiles et externes qui régnaient sur le pays, instaurant un régime de peur de terreur et de crimes.

Si bien que le pays ne recevait plus aucun étranger, plongeant l’économie financière en chute libre dans une impossibilité à répondre à la demande en acier toujours plus grande dans toute la galaxie.

Dans la rue marchande numéro 3, celle qui partait du commerce synthétique au commerce automobile, un secteur en croissance toujours plus importante, trois jeunes gens marchaient d’un pas sévère mais sûr se confondaient dans la masse souvent jeune des attirés de la technologie novatrice de la mécanique. Là, des vitrines toujours plus alléchantes les une que les autres offraient leur prix pour des skynomad en constantes modifications, ajoutant de nombreuses options pour le confort du conducteur.

Puis ils se stoppèrent enfin devant une de ces vitrines, ayant sûrement trouvé leur bonheur.

Là, les trois jeunes rentrèrent dans le bâtiment…

Scipion regarda Jania tranquillement, mais dans un regard plein d’inquiétude, que Jania comprenait et lui répondait d’un sourire qui lui faisait comprendre qu’elle était prête.
Ali, toujours plus curieux et émotionnel que les autres traversa le magasin et s’arrêta devant un immense poster où un jeune Arabianh naviguait avec son Skynomad, un véritable bolide, sur une course folle avec derrière lui d’autres coureurs qui le poursuivait.

On pouvait lire :

« Le treize Volcan de ce mois, le plus grande course de tout Désertica aura lieu, réunissant tous les plus grands joueurs de notre galaxie ! »

Ali, en pleine admiration, s’arrête devant l’affiche et se mit à rêver d’un tel spectacle…

--Ali ! Tu veux y aller oui ou non !

Sortant de son mirage Ali se rendit compter qu’il pourrait un jour voir cette superbe course, mais se dit qu’il était en train de tout gâcher !

Jania se rapprocha de Scipion et murmura:

--Tu es sûr? Tu pourrais toi par ton pouvoir avoir toutes places en claquant des doigts!
--Oui mais ces choix ne m'intéressent. Il nous faut à tous un but dans la vie, et le mien ne sera jamais de vivre avec tout à ma portée! Les palais les piscines ne sont pas à mon gots..
--Bien, alors on y va!

Scipion s'avança vers le comptoir et un grand noir se retourna pour servir son nouveau client.

S'il avait su que c'était Scipion Alahraskar, il aurait donner tout pour la volonté de son jeune roi! Mais à douze ans, peu connaissaient la tête de leur chef suprème.


--Je voudrais trois places pour Le Grand Tournoi, s'il vous plaît.
--Bien, mais vous êtes bien petit pour y aller seuls...
--T'ais je demander autre chose que de me servir trois places!
--Bien bien je ne faisais que te prévenir, et puis ma foi ta copine et toi n'êtes pas vilains faites attention aux vendeurs d'esclaves et aux exploitants...Tiens pour toi! Ca fera...
--Attends j'ai une seconde chose à te demander, mais en tant que mécanicien confirmée.

La marchand, comblée par ce compliment s'arrêta et écoute Scipion.

Scipion sortit le cube d'isophère.


--J'ai récupéré une chute d'isophère dans une mine d'acier. Pourrais-tu me la reprendre? Je sais bien mes places valent six foix plus même plus que ce cube d'acier mais je n'en aurais jamais l'utilité!--Mais as-tu vraiment de quoi me payer tes places?....

Scipion fouilla dans ses poches et conforta le marchand dans son aspiration à voir une quantité de billets sortir de sa poche.
Mais Scipion sortit un objet de couleur vert émeraude.


--Que...Eh! Non arrète...!

Scipion pris un masque qu'il avait sortit de son sac, à l'image de ses deux amis, et enfonça le morceau d'hyxos dans l'acier.

Et dans une réaction scientifiquement normale, l'acier fonda avec la chaleur de fragment, dégageant une fumée verdâtre...

Le marchand tomba, évanouie. Scipion attendit que le métal fonde de lui même et retira le fragment d'hyxos et ils sortirent en courant du magasin enfumé.

Le marchand en tombant pu appuyer sur le bouton prévenant la sécurité, très présente dans les quartiers commerçants. Il eu le temps de voir passé les trois skynomad des enfants et d'entendre le bruit des girophares de la police arabianhe puis il tomba raide...





Au Palais royal:

--Scipion chéri, où étais-tu pendant toute la journée?
--Regarde m'man!
--Trois places pour le Grand Tournoi? Mais où les as-tu eu?
--Maman...--Chéri, tu peux tout avoir tout le temps pourquoi vas-tu donc t'entêter à faire comme ces enfants de la ville!--T'aurais vu la tête du marchand!
--Que lui as-tu fait!
--Réaction de l'hyxos m'man! Il est tomber raide le bonhomme!!
--Oh! Mon Dieu!
--Mais non il s'est juste endormi quelques minutes, et moi en attendant je vais aller voir la plus grande course de la planête avec Ali et Jania!
--Ne veux-tu donc pas un garde et une chambre d'un de tes palais pour...
--Maman....c'est bon on va se débrouiller!

Scipion sortit de la chambre de sa mère et en passant dans l'anti-chambre, il regarda le domestique de salon d'un regard vainqueur, car celui-ci répuganait d'endurer toutes les bêtises de l'enfant et s'attendant à ce que sa mère le gronde ou pire, l'empêche d'aller assisté au Grand Tournoi.






Wooooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn

"Skyturbo n°3 toujours en tête de la course avec derrière lui le n°6 et le n°1! Voila un podium qui n'a pas bougé depuis dix minutes! Mais la course est longue et on espère voir un changement dans ce week-end!"

--Punaise! J'avais tout parié sur le 8....dégouté!
--OoOoOoO le 6 a faillit le gruger!!!

Les trois enfants assis ou du moins théoriquement assis sur les gradins étaient complêtement enthousiasmé d'un tel spectacle!

Cela faisait deux jours maintenant qu'ils étaient arrivés et ils avaient été frappés par la sécurité importante tout autour du lieu. Mais Scipion se rappela que les rebelles externes n'étaient pas encore vaincu. Ainsi il passa le plus discret possible, c'était la meilleur solution pour ne pas prendre un attentat en plein milieu de la foule!

Mais tout d'un coup, la voix du speaker changea et l'on entendit...

"--Chers habitants d'Arabiah, les Tribuneaux de l'Aciérie Moderne vient de renverser le pouvoir royal de sa majesté! Le chaos a finalement triomphé et régnerat pour l'éternité....
--Arrétez!
--Tais-toi sale chien de..."

Pan!

Sous le coup de bolter le speaker officiel venait de tomber, alors que la sécurité courrait vers le salle AUdio...

Auteur : scipion
23/06/06 14h29 | 64 Volcan 3724

II°) La Guerre Civile:

Tous les jeunes gens fuyaient dans tous les sens, laissant les personnes d'une plus grande sagesse seules, dans leurs incapacités physiques à se défendre.

Une ligne de soldats jaunes parcourut le millieu de la course et s'arrêta.

Là, les soldats prirent leur bolter et tirèrent, puis il le rangèrent et avançèrent. Ils s'arrêterent une nouvelle fois, firent feu, et recommencèrent tous les vingts mêtres, suivant le chemin de course....Un tour faisait deux kilomêtres et deux-cent-cinquante mêtres.....et ils en firent deux...




--Où est mon fils! Mais où est mon fils?
--Madame, il n'y a plus personne là-bas: ils ont tous fuit ou sont tous mort..

Effectivement, le champ de bataille était vide. Des milliers de corps gisaient à terre.

Les pillards jaunes avançaient vers la capitale...Et les résistants se faisaient décier quand ils essayaient de les repousser par dela les frontières d'où ils étaient venus.

Le 63 Volcano 3717, Islahamind tombait aux mains d'Eristome, un tyran des pays voisins, qui en 4 années avaient regroupé sous sa coupe les dix pays de la péninsule Sud de Désertica.

Mais Arabiah avait coupé toutes relations avec le reste de la péninsule, et le peuple, horrifié venait d'apprendre d'un coup fatal que tous leurs voisins avaient subis le même sort qu'eux...

Auteur : scipion
02/08/06 19h19 | 29 Desertan 3724

III°)Le Retour de la magie Jaune:


Scipion courrait sur les caillous de la vieille Abidle. Il enjambait les rochers jetés à ras le sol, sautait pour éviter les murs de sables...
Le Nomade le suivait de quelques pas. Les deux Pillards, dans une agilité propret à une vitesse invisible à l'oeil nu tellement la rapidité combiné à l'habile désertification était indiçociable. Pourtant, derrière eux, un groupe d'une vingtaine d'homme ne perdait pas de terrain. Devant, les cliquetis des armes et l'indiscrête parole humaine se rapprochait.
Plus le bruit avançait, plus Scipion Thorgrin redoublait de vigilence et de rapidité. Lui, infatigable, franchissait les sentiers qu'il se traçaot lui même dans un désert qu'il connaissait depuis sa plus petite enfance et qui, à son aura naturelle, lui cédait le passage, écartant de son chemin les falaises et les crevasses...

Le Nomade avait du mal à le suivre, pourtant sa détermination ne manquait pas et à chaque fois qu'il voyait son chef courrir, son courage redoublait...

Scpion s'arrêta net. Il respirait normalement et ne portait aucunes marques de cette marche forcée qu'ils menaient depuis des heures. Il marcha, le couteau à la main et le bolter chargé, Le Nomade à sa hauteur, et se cachèrent dans des buisson brûlés par le soleil, qui entouraient une oasis..



--Mofosse!
--Oui Lieutenant?
--Un café! Vite! Et vous m'apporterez le rapport de la journée.
--Bien mon Lieutenant.

Mofosse prit une casserole, la remplie d'eau au robinet de camp et se dirigea vers le feu.

Depuis hier soir, la 3e compagnie de l'infanterie Arabianhe stagnait dans une oasis d'Abidle, le plus grand calvaire d'Arabiah. Ils l'avaient traversés depuis le mont Areinte au Nord. Là-bas, ils avaient détruits plusieurs villages résistants et revenaient vers le centre du pays.
Ils n'avaient rencontré aucun problêmes pendant la traversée du désert. Ainsi, Mofosse était serein.


Aucun problême n'était survenu lors de la traversée du désert, et ils n'avaient rencontré aucune résistance.
Il s'approcha du feu et entendit face à lui un bruit...une branché avait cassé sous un poids inconnu...Toujours méfiant dans ce lieu ou les pillards et la nature règnent en maîtres, Mofosse posa la casserole à terre et attrapa un des fusils posés contre le tronc d'un palmier. Il s'avança alors vers le buisson trop bruyant, le fusil chargé. A pas lents, sans faire le moindre bruit, il dévorait du regard sa proie. Et là, il baissa les yeux, attirés pas une lumière aveugle qui luisat à ses pieds, et terrifié, il recula d'un pas!
Il était pris de peur, non pas parce qu'une gigantesque créature maléfique pourrait sortir à tous moments du buisson, mais parce qu'à ces pieds une flaque, témoignant des caprices de la nature, renfermait une eau jaune! Il regagrda de nouveau, vérifia, se croyant fou, mais l'eau ne changeait pôurtant pas de couleur! Puis, dans une bataille morale intense, Mofosse reprit le dessus sur lui-même et comprit très vite que ce n'était que le reflet du ciel! Il leva les tête précipitamment...


Un gaz jaune venait d'imploser dans le ciel au dessus de la clairière....jaune....couleur du désert....

Scipion se retourna: derrière lui le groupe d'homme s'était stoppé et se cachait dans la verdure faible de l'oasis. Tout était parfait. Il prit une branche dans ses mains, en repérnt un homme qui marchait vers le feu et la cassa d'un coup net. L'homme se redressa d'un bon et posa un objet à terre. Scipion n'avait pas même besoin de regarder le soldat, simplement d'écouter pour savoir que l'homme s'avançait vers lui, croyant prendre toutes ses précautions.
Le Nomade planta une fusée au sol et rentrant le code pass, elle partit dans les airs...

Scipion vit l'homme surpris, lever la tête au ciel...
Il se leva et à son seul geste, Le Nomade et les autres mages jaunes courrèrent...


Dans son regard d'inquiétude et de surprise envers le ciel, Mofosse vit seulement un haut de capuche noir et deux yeux jaunes se dresser devant lui.
Il tomba, un couteau coicé dans sa gorge...

Auteur : scipion
13/08/06 11h29 | 40 Desertan 3724

IV°)La découvert du Thorium


--Scipion! Viens vite, il y a quelque chose de bizarre dans la mine 18, celle au Nord d'Islahamind!
--Eh bien dis-moi Ali!
--C'est....c'est incompréhensible! Tu ne me croiras pas tant que tu ne l'auras pas vu!
--Bien j'arrive..

Scipion enfila une tunique noire habituelle, souhaita une bonne journée à sa fille Jaïna et sortit en précipitation du Palais d'Islahamind.

Là il déboula dans la rue, et se précipita dans une file d'attente de sky nomad.

--Ep monsieur vous pouvez faire la queue comme tout le monde non?

Scipion se retourna pour dévisager l'homme qui veniat de l'interpeller et lui lança un regard des plus coléreux.

Ses deux yeux jaunes refétant le désespoir d'un tel empereur calmèrent le citadins et il se rassit sur son siège d'attente.


--Vite! Au nord!
--Bien..

La route était calme.
Les arabianhs étaient maintenant tous au travail et personne ne fréquentaient les rues principales du troisième étage, mis à part les jeunes étudiants qui séchaient leur cour de formation moléculaire de l'Acier ou de sponsoring communaire pour l'échange Crédit/Acier...

Le Pilote, comme tous les autres, avait appris à se taire et à ne pas poser de question, toujours sources de mauvaises connaissances.
Il conduisait donc sereinement, sans penser à rien, mis à part qu'un feu les attendaient au bout de la rue te qu'il faudrait tourner à droite.


--Où allez exactement mon bon monsieur?
--A la mine 18 !
--A la mine....

Scipion regarda le pilote et lit dans son regard un sentiment de peur, ou de méfiance, il ne savait pas!

--Que savez-vous de la mine 18?
--Je sais que ce matin tous les ouvriers sont repartis précipémment de la mine. Je le sais car c'est moi qui en ai ramené. Et en revenant deux cars de mages jaunes venaient d'arriver...Alors vous vous doutez bien qu'il est préférable de ne pas y all...
--Vous ferez ce que je vous dis!
--Bien, bien, pour ce que j'en dis moi....

Scipion descendit de l'appareil paya le pilote et courra vers la mine. Deux mages jaunes firent leur salut en voyant leur chef sûprème s'avancer.

--Ali!
--Tu as fait vite c'est bien!
--Alors que se passe-t-il donc!
--Ce matin les ouvriers ont repris leur travail. Et en creusant, ils ont trouvé ceci..
Ali sortit de sa poche un morceau de métal très brillant. Scipion le prit et..

--Mais c'est extrèmement léger!
--Oui.
--L'as-t-on recensé?
--Non ce métal est nouveau, personne ne le connais!

Scipion rèfléchit car il était sûr de l'avoir déja vu...

Et là il remonta sa manche, et sortit sa montre. Il appuya sur un bouton et la page des nouvelles annonces officiellles
:
..."A la recherche du Thorium.... La confrérie du Thorium a pour but de récupérer un maximum de Thorium afin de pouvoir s’en servir comme d’une énergie non polluante."


--Retrouve l'auteur de cet article et recontacte le! Vite! Je veux ton rapport ce soir sur mon bureau...
C'est du Thorium Ali....du Thorium!