Divers > A la vue d'un Grand Changement, regard porté vers l'Horizon.

Auteur : Fusion
09/02/07 21h04 | 70 Aquan 3725

« - Et voilà. Tout a été fait comme nous le souhaitions, et jamais aucune flotte de taille n’aura pénétré l’espace du Noldor, sous notre régence. Nos travaux se finissent aujourd’hui, nous avons achevé tout ce pourquoi nous contrôlions cet état. Il est peut-être venu le temps de mettre un terme a cette régence, et de laisser le contrôle de ces lieux Vertaniens a quelqu’un qui en est natif, l’un de ceux de l’Ibab.

- Ma douce Aelita, ta logique a toujours était imprenable, et tu auras conduit les Armées de ce pays jusque là où aucun autre n’aurait réussit a fouler la terre. Une fois de plus j’adhère. Notre marque est apposé a jamais au sommet de la tour blanche, et dans la mémoire des gens de cet Etat, mais il est venu le temps où il est a quelqu’un d’autre de régir ce monde.

- Je pense connaître la personne Adéquate. Aelita, Beliãl, je vous présenterais sous peut quelqu’un que vous connaissez toutes les deux. Il s’agit de Assan Tariq. Ne vous fihez pas a son jeune age, peut-être n’a-t-il que 15 ans, mais les effets de l’épices du THC on sur lui un effet encor bien plus puissant que sur vous ou moi.

- Quand a nous trois, repris enfin Aelita, il nous faudra disparaître, jusqu’en des temps plus propices. Assan est un fin tacticien, et je ne doute pas qu’il arrive a dirigé le Noldor d’une main de maître. Cependant, je pense qu’il ferait bien de transformer le nom de l’état… Avec un peut de chance, les Ennemis du Noldor verront là notre motivation au changement de politique…

- Le Chef du Lénupio est aussi stupide qu’inefficace. Je doute que toutes tentative de Assan pour le résonné puisse changé quelque chose. Et puis, je doute que se jeune homme est vraiment envie de raisonner la débilité suprême, maîtresse du Lénupio. Quand a nous… Nous allons faire quoi ?

-Je crois que le retour de fusion dans les rangs du Grand Conseil, en temps qu’indépendant, ne sera pas une mauvaise chose. Quand à l’Areia, je pense qu’ils accepteront avec joie la venue de Assan. Il a été Sénateur pour moi, là bas, il y est très populaire. Cependant, laïla, j’aime toujours autant avec quelle grâce et quel tact, mais avec quelle vérité tu parles des Chefs des autres états. Et bien, mesdames… je pense qu’il est temps pour nous trois de nous rendre dans les Jardins.

- Tu as déjà laissé une lettre à l’Adresse d’Assan Tariq et de la population, j’imagine, Beliãl ?

-Oui. Alors, en route. »


En Isshadik, Capitale du Noldor, venait de ce terminer la dernière réunion du Conseil. Pour une Ultime fois, et en regardant derrière elles, Laïla, Aelita et Beliãl regardèrent en direction de la tour Blanche, avant de se rendre vers Galactica, où l’âme de Fusion devait déjà les attendre. Toutes les trois savaient que, cette fois si, elles n’arriveraient pas à trouver l’Union, et qu’elles mourraient dans leur tentative. Mais rien n’était perdu.

Assan Tariq était un jeune homme, aux yeux vert, un vert émeraude, de la couleur de l’épice. Il avait aussi les yeux bleu de l’Ibab, se qui le rendait particulièrement énigmatique. Le vert de l’Iris, sur le bleu de sa corné lui donnaient un aire constamment songeur, ou abrutit, selon les observateur. Ses yeux magnifiques étaient enfoncés dans deux puits sombres, sur un visage cristallin. Le Cristal, que voilà un autre fournisseur de transe magnifiquement bien dosé, qui, bien administrait, provoquais bien des effets palliatifs.

Assan avait reçut une lettre d’Aelita, Ancienne Mahaï du Noldor, qui avait été une surprise totale pour le jeune homme au regard flamboyant de dévouement. Il n’avait que 15 ans, mais il ne fallait pas faire l’erreur de le considérer comme un enfant. Il était debout, à l’extrémité de la terrasse géante de la tour blanche, et faisait ainsi face a l’Isshadik. Son image était retransmise sur la totalité des hollopanaux de l’Ancien Noldor. Un illustre inconnu, pour certain, un beau gosse, pour d’autre. Oui, il fallait avouer qu’il avait un air magnifique, avec ses cheveux noirs de jet, qui lui retombaient parfois sur le visage, en temps de paix. Il avait un air magnifique avec son doux visage aux couleurs cristalline de l’eau de pluie, qui perle sur les grandes feuilles de canabis, dans des prairies verdoyante de l’état.

Seul, ainsi, debout face a son peuple, il observait droit à l’horizon, qui révélait un avenir fugace et tremblant. L’Horizon, celui vers qui l’on a beau marché, jamais ont ne l’atteint. Quel curieux phénomène que celui du Trioxygène, a l’état de Sublimation qu’est encor aujourd’hui l’ozone, qui provoque une ligne continue et infinie, aux yeux de ceux qui le regarde. Source d’inspiration de beaucoup de poète, et principal sempiternelle chute des nuages, Assan Tariq regardait cette ligne imaginaire, au confins de sa vision, et admirait avec quel grâce la vie rendait la mal qu’on lui faisait. Jamais il n’avait demander a être là, Dirigent de l’Ancien Noldor, Mahaï de la plus belle des alliances. Mais la vie l’avait emmener là, aussi, il emmènerait la vie vers là-bas. Regardant à présent son peuple, il dit, de la plue claire voix qu’il le pouvait :


« Laïla, Beliãl, Aelita. Fusion. Que voilà de Grand Maîtres du Noldor, qui l’ont amener là où il en est, a présent. Que voilà de Grands visionnaires qui ont regardé droit devant eux, et ont guider nos pas vers les infinis sommets de leurs visions communes. Nous, peuple Noldorien, avons eut l’honneur d’être guider par eux. Des étrangers a nos terres, mais les plus intègres des amis qu’il me fut donner d’avoir.

Aujourd’hui, pour des raisons qui n’incombent qu’elles, les Trois plus grandes matriarches du monde civilisé viennent de nous quittés. Je vous pense, et vous crois aussi déçut que moi. Après tout, je vous met au défie de trouver en quoi leurs régence aura été néfaste a la vie en Noldor. Mais je pense que ce défie est inutile. Dans tout les cas, ces trois Dames, qui ont été comme des mères pour moi, s’en sont aller vivre de l’autre côté du monde, dans celui des morts.

Leur disparition laissera un grand vide dans mon cœur et dans mon âme, et je pense que dans la plupart des vautres, aussi. Mais elles ne nous ont pas laissé sans dernière volonté. Je vais vous expliquer.

J’ai 15 courtes années d’existences, et j’ai déjà les marques du Haaj, de l’Ibab, dans les yeux. Je n’ai jamais eut a géré plus qu’un Sénat, a l’Areia. Aujourd’hui, je suis chef d’un état qui compte parmi les plus grandes populations du monde. Je n’ai rien demander, ni même souhaité de ce qu’il m’arrive, je donnerais tout pour revoir les trois en Noldor, et pourtant, je suis là, face a plusieurs millions de citoyens respectables, pour sûrement une grande partie d’entre vous, qui méritez peut-être plus cette noble place que la mienne, mais la vie en a décidé autrement.

Dans l’ancien langage du Noldor, il y a un mot que j’aime beaucoup. Il signifie beaucoup, pour moi, vis-à-vis de la politique que je vais adopter pour la suite du Noldor. Il Signifie Horizon, vers l’endroit où je vous emmène. Je suis jeune, serte, et la vie m’a réserver une surprise, plus ou moins bonne aujourd’hui, mais il me faut l’accepter. Aussi, je suivrais la tache des trois femmes, et vous emmènerais vers l’Horizon. Aussi, le Noldor n’existera plus sous se nom. »

Comme dans un chuchotement, il dit :

« Obyeme ».

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Bien plus tard, dans la tour blanche.

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Assan Tariq regardait à travers les fenêtres de la salle du Conseil de la tour blanche, qui était plutôt une salle de méditation. Il était affaissé sur le rebord de la grande table ronde, face a l’immensité visible depuis cette altitude a laquelle il se trouvait. Les territoires du Noldor s’étendaient à perte de vue, mais déjà la couleur rouge flamboyante de l’état, présente sur les étendards, disparaissaient, au profit de bannière a la couleur Verte et Noire, sur laquelle on pouvait voire un faucon aux yeux rouges, Nouvel étendards de l’Obyeme, nom qui serait bientôt celui de l’état. Cela faisait a présent deux jours que Assan avait fait son discourt devant la population, qui semblait l’accepter.

Le jeune homme s’assit à l’une des chaises de la grande table ronde, et commença a pianoté sur le clavier d’un ordinateur. Apparemment, c’était une lettre officielle adresser au Grand Conseil, et aux archives.


« Chers Grand Conseillé, Amis dirigeants de terres lointaines.

Nous n’avons malheureusement pas le plaisir de nous connaître, aussi, je me prénomme Assan, de la maison Tariq. Je suis le Dirigent Mahaï du Noldor…

Ce nom sonne faux, à la plupart des oreilles, aujourd’hui. Peut de personnes se souviennent du temps glorieux ou l’état Noldorien dirigeait la Confrérie du Thorium, du temps où il militait pour la paix, et la propreté a travers la galaxie. Peut de gens se souviennent du Noldor, du temps où il cherchait a rendre se monde plus sur…

Il y a peut, Nivaria Kenthar, la parjure, a pris le contrôle du Noldor, et a souillé son nom, le rendant impropre et impure, imperméable a toutes tentatives de rédemption. Les peuples de l’état que je dirigent ont voté. C’est vers l’avenir que nous avons décidé de porté notre regard, vers l’horizon.

Nous vous demandons l’acceptation du passage du Noldor vers l’Obyeme, du passer vers l’Horizon.

Cordialement

Assan Tariq, Mahaï de l’Obyeme. »


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edit Namaj : Je savais bien qu'il y avait des fautes ^^ étendard et parmi (mots corrigés)