Divers > Martos le bouley
Auteur : Iwachika Sakazusa
21/12/07 23h20 | 10 Aquan 3726
Magnifiques
Tant de Seigneurs, tant de beauté, de Grandeur, de prestance, tant de grands mots, de belles paroles, didéaux inoubliables,
, magnifiques était la scène.
Cette scène, régente de lunivers, régente de son coeur, cette estrade dictatrice sans foie ni loi, despote de tout une Galaxie, cette estrade, signe de tous les bonheurs, signe de tous les malheurs
.
Que de grands noms, que de grands hommes, dancien guerriers, danciens ministres, danciens paysans, et pourtant aujourdhui tous de grands et Magnifiques Seigneurs.
La beauté de tout un univers, les plus grandes puissances, les plus belles femmes, les plus beaux états, tous étaient là, à argumenter, parlementer, crier, se calmer, suer, se crisper, tous étaient la pour voir, entendre, écouter, rejeter, cracher, tous étaient réunis dans cette immense salle lumineuse à souhaits et dont les murs couverts de tapis et gravures en tout genre donnaient une impression de vivant, donnaient une impression que tout ici vivait, que tout ici écoutait, regardait
les murs nont pas de Dieux mais ont dis parfois quils ont des yeux et des oreilles
.
Dans la nuit froide dun hiver déjà bien installé, un homme tentait désespérément déchapper au froid ambiant et de rejoindre au plus vit cette fameuse Corporation Galactique.
Il avançait à contre vent et ne cessait de senfoncer dans la neige ayant recouvert le sol dun tapis épais de plusieurs mètres.
Lhomme était habillé dune épaisse cape recouvrant et protégeant un épais manteau de fourrure dOrnolda, un tigre très rare et dont la fourrure, très prisée, pouvais se vendre plusieurs millions de Crédits.
Couvert dun bonnet de laine de chamiostes, il tentait désespérément de ne pas sarrêter, de toujours continuer, marcher, encore marcher, toujours marcher. Ne pas sendormir, ne pas se laisser aller, lutter. Chaque seconde, chaque minute, chaque heures passées dehors étaient autant de supplices, autant de courage, de volonté.
Simple Commerçant, il ne connaissait que très peu les grande épopées sauvages. Seuls quelques comptes anciens lui apprirent comment vécu son ancien père Dechet déchu de cet Univers, prisonnier à jamais de sa tombe, mort tout puissant. Quelques récits de Guerres, de conquêtes
Si peu comparées à lenseignement dun père
Martos, Fils de Kubiki, petit fils des Maltostar, Descendant direct du Seigneur Poir, gérant de létat suprême de larbre de commerce
Commerçant frêle et en pleine galère épique.
Non de Djiou de Neige de jdirais pas le nom !
Il faut dire que Martos nétait pas un nain aidé de nature.
Non dêtre petit, il étais frêle et supportais mal le cuir des bottes de nanie la Grande.
Animé dune force sous-humaine il étais pourtant dis doué de la parole grand public. Ainsi était sa tache.
Mais pourquoi jsuis allée my fourrer dans cette galère ?
Perdu dans lune de haute forets en Galactica, il supportait mal de se tromper.
Nan mais jen reviens pas ! QUAND JE RENTRE je demande à faire
..
Comment décrire la visage de Martos lorsque celui-ci sécrasa face contre terre après avoir dit ces quelques mots et marcher par la même de travers entraînant irrémédiablement le déséquilibre, le point ultime menant au final, à la chute stéréotypée du gourdin bien intentionné mais toujours mal barré.
Bref, Martos se relavant déclara dans un élan de sagesse :
De Djieu mais qui qsest qui ma de Djieu possible foutu ste saleté de pierre de mort à cet endroit !!
Y en à qui veulent ma mort hein ! Ben je men fou jai un perso lvl 56 skill] pouilleux [qui vous own avec le sort ]PET[ niveau 4 et le premier qui bouge jlui pulvérise sa tête !
Fier de lui, Martos fièrement fini de se relver et, se frottant lentement, tout en observant les alentours, fini par reprendre sa route si fastidieuse.
Enfin, après maintes et maintes chutes :
Non de Djieu ! Enfin salope ! jte tiends ! Jvais te own les portes skill] CRI DE PEUR [vont pas comprendre !
Se mettant ainsi à courir, Martos fini cette course de tigre la tête dans le poteau de bienvenue de la corporation, sétant emmêlé les pieds dans les majestueuses racines des chiainnes arborant lallée centrale.
Enfin, après quelques mots doux, se releva.
Arrivant devant les portes de la majestueuse Corporation, il se mit à crier à la porte :
Bonyour ! yé mé présenté ! yé suis la hombré qui viens por la état de la Grandée Naaani !!
Restant tel un piquet sur place, il finit par entrer honteusement après avoir compris que la porte pour les simple passant était en bas à droite et que la poignée était devant lui
.
Allant comme convenu dans lune des salles ouvertes de la corporation, il se décida pour lune de celle qui paraissait la plus chaleureuse.
Malheur à celui qui dans sa malchance se trompe de salle et fini dans le placard à balaye
..