Divers > Le bruit cour

Auteur : Inquisiteur Baltashar
15/05/06 20h57 | 25 Volcan 3724

Un bruit se répandait en Galactica. Rien de plus qu’un murmure étouffer par les conférences, et les bruits du trafic. Un murmure, qui devint un souffle, il emplit et se souffle courait sur la planète. Laissant songeur quand aux événements avenirs.
Ce Souffle finit par arriver à vos oreilles, peut être un passant le disait un autre, peut être n’était-ce qu’un Vent solitaire ,mais il vient à vos oreilles puis resta dans votre mémoire, tel un souvenir cher à vos yeux.


"Ils arrivent, le Feu va venir, ils vont tous brûler…"

En vous retournant pour voir qui disait ses mots et pour, peut-être, en apprendre plus vous ne virent que la brume matinal se dissiper aux premiers rayons de l’aurore, elle semblait teintée de rouge, une Aurore Ensanglanté. Il n’y en avait plus eu depuis longtemps…

Sans plus vous attardez sur se sujet vous continuiez votre marche matinale.
Pourtant malgré vos efforts, le souvenir de ses paroles fugaces restèrent gravées dans votre esprit, comme si elles y avaient été gravées dans l’acier, avec l’aide de ce Feu.
Votre imagination s’emballa, comme un carrosse, personne ne savait là ou elles allaient. Un démon se glissa sournoisement dans votre esprit, les souvenirs de la prise d’otage, et de la démence, remontèrent aussi tôt. Ils avaient été refoulés dans votre mémoire, un choc.
Qui aurait pus croire qu’il était aussi aisé de prendre le conseil ? Personne car personne ne l’avait tenté.

Puis un autre Souffle parvint malgré votre inattention à votre oreille.


"Dans leurs armures d’acier gris, sans taches, ils vont purifier…"

Le démon s’en alla comme il était venu, mais une autre créature lui fit place, un homme de grande taille en armure grise, pure. Ses pensées vous tracassaient ne pas savoir d’où elle venait et souhaitant les oubliées. Mais elles restaient dans votre tête.
Pensant trouver de l’aide, et comme c’était votre destination, vous entrèrent dans le siège de la corporation galactique. Votre émerveillement habituel devant ce magnifique siège, mit de coté les Souffles.
La clé de vos questions concernant ses murmures s’emblait suivre le vent. Un journal s’envola et vint croisé votre regard. C’était une revue de presse sur les avancé technologiques, votre curiosité, poussé par se courant d’air, vous fit ouvrir la revue.
La première page était consacrée à une découverte de premier ordre, que vous parcourent sans en manquer un mots.


La journaliste Lucie Mc Angbell était l'auteur de cet article.

Il y a quelques semaine une scientifique, fut renvoyer de son lieu de travail et du partir en exil.

Son crime ?

Avoir prétendu décoder la génétique. Il avait, semble t’il, trouver une méthode pour augmenter les compétence du Soldat.

Mais avait t’il tort ?

Non.

Aujourd’hui il s’adressa à la presse de manière épistolaire. Il disait que ses travaux étaient justes, et que quelqu’un l’avait cru, ainsi avec de l’aide, et des cobayes, il put prouver se qu’il disait.
Des hommes furent modifiés, et testés au combats. Il s’avéraient que ses soldats, les Chevaliers Gris, étaient bien plus forts, résistants, intelligents. Tous les tests le prouvent. En donc il fut payer en conséquence pour que son nom ainsi que l’état dans lequel il travaillait restèrent cacher. Mais nos journaliste trouveron la source de cette histoire.


Puis en illustrations, il y avait des schémas, et tout un maelström technique. Vos connaissances en génétique restait du domaine de "l’à peu près". Par contre pour ce qui était des statistiques des combats, des rapports de santé, et des caractéristiques de ses nouvelles troupes, vous virent tout de suite l’intérêt. Plus lucrative, docile, et le rapport "qualité/prix" était excellents. Votre raison vous dicta de ne point faire attention à les dires et à se journal, qui n’était venu que grâce au Vent.

Votre journée continua et ses murmures ne restèrent point dans votre mémoire, le cour de votre journée les avaient effacer, comme le Vent efface et disperse.




edit Namaj : Pas de citation s'il te plait, j'en ai profiter pour corriger les fautes