Jardins > Ou est-tu Dame Nature?

Auteur : duduche
05/12/06 23h11 | 4 Aquan 3725

Ebahi, gai et envoûté par cette nature si belle et si fleuri, DuDuche ne pouvait que s’émerveiller et respecter les immenses parterres naturels de fleurs, très ordonnés et pourtant tellement réparti des jardins de la corporation galactique. Il se demandai si c’est jardin bien que comme beaucoup de ceux sur la planète qu’il habitait n’étaient pas magiques. Il aurait paru qu’ils étaient les seuls jardins non modifié génétiquement par nos mages afin qu’ils n’en soit que plus beau. De par nature et tel était le cas il arborait des couleurs divines, infalsifiable et que même les plus grands savants n’arrivaient pas à refaire. Tout ici était somptueux, rempli de bonheur et loin de toutes ces machines de guerres qui peuplé la galaxie et qui détruisait tous sur leur passage, habitant, bâtiments et nature. Pourquoi un tel acharnement, pourquoi vouloir vivre dans une galaxie remplie d’acier sur toutes les parois possibles, d’uranium enrichi laissant une traîné destructrice sur leurs passages ou encore la nourriture synthétique, qu’elle intérêt de manger quelque chose qui n’est que pure conception. Les pierres de mana pourtant si belle en petite quantité devenez une marchandise incontournable et indispensable dont peu de monde souhaité en laisser un gramme.

Il n’y avait de nos jours plus aucun respect, pour rien ! La nature se faisait envahir par des tours immensément hautes pour le développement… Mais qu’elle développement ? Qu’elle développement pouvait s’octroyer les droits de détruire pour récupérer tous dans la moindre micro-parcelle ? Dans qu’elle but faire du développement, l’attractivité première de l'état si l’on détruit plus de bourgeons, de coquelicot, d’arbre et même de foret que jamais on construira de tours célestes, de ports aérodynamiques, d’astrotèques. Pourquoi détruire si le résultat que l’on va avoir n’est pas celui que l’on souhaite réellement au font de soi ? Personnes n’avait-il jamais dit que l’avenir se trouve dans la nature ?

DuDuche batifolé dans les prairies de la corporation, émerveillé de toutes ces choses de son enfance perdue à jamais sur ça planète pourtant favorisant de plus en plus le développement naturel. DuDuche hippie ? Très bonne question, si aimer la nature est une caractéristique de l’hippisme alors oui il l’était peut être, mais il ne le regrettait nullement. Nul ne pourrait se laisser croire qu’aimer la nature nuie. Peu de monde son mort par la nature contrairement à ce qui on survécut grâce à elle. Combien s’on encore ici, car ils ont croisé un jour de leur existence une plante magique naturelle les ayant guéris d’une maladie donnée par nos meilleurs mages comme inguérissable ? Combien sont encore sous traitement « VERT » et non synthétique ? Combien de personnes se sont-elles remisent à la vraie nourriture ?! Toutes ces questions voguaient dans l’esprit impénétrable de DuDuche. Une solution existait-elle à ce carnage intolérable ? Encore une question sans réponse qui se baladait dans le cerveau encore chaud d’un amoureux né d’une nature en déperdition. Il se promenait sans rencontrer personnes, à croire que personnes ne s’intéressaient à cette nature qu’il chérissait tant.

Une larme coula le long de son visage.
Il était triste, un sentiment si rare dans notre galaxie ou ne régnait que le pouvoir, le KO et la désolation. Il essayait de se remémorer le moment de sa dernière larme coulant le long de sa peau toute douce de jeune adolescent. Sa mère lui revint à l’esprit instantanément, puis son père puis des flashs un par un, lui montrant ce qu’il essayait de dissimuler en s’essayant au pouvoir et au royalisme. Un sentiment de dégoût le heurta, non pas le dégoût d’avoir massacrer un peuple qui ne le méritait pas à cause d’un dirigeant trop irréfléchi mais le dégoût que l’on éprouve envers soi, suite à un sentiment de tristesse. Il n’arriverait à s’imaginer une explication, car son esprit n’aurait jamais pu suivre son cœur. Même si le pouvoir lui monter à la tête il savait que son cœur serait toujours loin de ses problèmes si, et que chaques sentiments sais s’exprimer de lui seul, aux moments opportuns.

Pourquoi encore et toujours réfléchir ? Combien de personnes sont mortes par augmentation constante de leur cerveau suite à une envie de sagesse d’esprit trop inconsciente pour être reconnu autrement que symboliquement ? Il souhaitait agir mais comment ? Encore une question qui ne laisserait pas en suspend.

Il se retourna et couru vers l’entrée des jardins ou il avait aperçu quelques demoiselles de très hautes lignés et certains damoiseaux leur faisant la cour tel une illustration par hologramme de la vie d’un tout autre siècle très lointain. Sa course très légère par son poids et par sa finesse n’était pas tel un techno-guerrier qui serai passé ici en courant est aurai tout dévasté, il courrait d’un pas céleste en ne faisant que frôler le sol.
Arrivé à l’entré, il demanda au futur couple toujours présent leurs avis sur la question.


Bonjour mesdemoiselles, messieurs j’aurai souhaité vous interpeller sur un sujet qui me tiens à cœur et qui j’espère vous passionnera autant que moi. Sachant votre présence en ces jardins je suppose en vous une importante amour pour la nature.


NON !


La réponse fut brutale les amoureux n’étaient en faits ici que pour se voir sans que personnes ne les dérangent. En étions arrivez là ? Les questions sans réponses fusèrent de plus belles dans ça tête. Il aurait pu croire que le surplus d’information l’aurait fait exploser. Le problème devenait bien plus important qu’il ne le pensait. Pour lui nous étions à une heure où nombres de gens travail et ne peuvent se permettre un déplacement dans les jardins, hors il venait de se rendre compte que malheureusement il avait mis beaucoup trop d’espoir et que la situation était beaucoup plus alarmiste que prévu. Personnes n’aimaient plus la nature ! Le résultat était navrant, il s’assit pour essayer d’assimiler la nouvelle mais rien n’y fit, il était traumatiser de voir que tant d’année passée à la recherche de couleur de nouvelles sortes de fleurs, l’embellissement croissant des jardins personnels n’était qu’inutile. Il commença à prendre une écorce de bois mort ou il grava avec une pointe de bois tailler au laguiole. A la vie, à la mort, et il signa « Nature ». Il souhaitai faire passer le message qu’il continuerait la survie de toute espèce sur ça planète dans de nombreuses serres aménagées afin qu’à jamais persiste la vit floral dans la galaxie.

Certains diront que tout partira à la prochaine attaque, mais il savait déjà ce qu’il leur répondrait :


le militaire est tiré du naturel et pourtant le naturel n’est pas militaire donc aucune attaque ne pourra lui nuire car seul les unités et bâtiments MILITAIRES peuvent être détruit.



Il était fier de lui, et arborai un sourire qui lui remontait presque jusqu’aux oreilles. Il se releva et annonça partout que le Hippie allait faire parler de sa nature et que qui conque souhaiterait l’aider serai le bienvenu. Le premier geste qu’il avait imaginé était simple, repopulation d’un milieu détruit par une attaque, et construction d’un autre lieu identique à celui-ci, afin qu’avec le temps la nature repeuple et s’accroisse pour dépasser le reste et qu’elle revienne plus fortes afin qu’elle finisse comme elle à commencer, seul.

Il placarda dans toutes les salles de la corporation qu’un petit pas pour soi et un grand pas pour la Nature. Il avait illustré sa phrase avec le morceau d’écorce qu’il avait gravé.

Beaucoup de monde commençait à s’interroger sur ce dirigeant qui se faisait appeler DuDuche et qui passait soudainement du stade de pilleur et destructeur à amoureux de la nature.


Il savait déjà ce qu’il répondrait à cela.


Je suis DuDuche tous simplement, je ne suis qu’un homme, désolé mesdemoiselles, je corrige, je ne suis qu’un humain, mes avis son comme pour beaucoup changeant et comme l’illustre le proverbe : « Y a que les idiots qui ne change pas d‘avis » mais aussi « Qui vivra verra ». Je vis, je vois et je change d’avis, ce qui ne veux pas dire que tous pillages cessera bien loin de là car au contraire si je souhaite repeupler ma planète selon mes idéaux je crains qu’il ne faille que je pille plus de personnes, je favoriserai sans doute d’ailleurs les déserticains ou volcaniens qui n’on que très peu de flore bien que la leur soit très difficile à reproduire car très rare à trouver. Ce que je sais c’est que une fleur plantée sera une nouvelle vie apportai et que je souhaite faire vivre des millions, des milliards et même plus d’être floral.



Il retourna sur sa planète ou il ordonna à tous ses drones de travailler à la reconstruction de parc floral gigantesque dans tout le pays. Les centres de recherches furent modifiés afin que certaines plantes soit recherché plutôt que des armes.
Le cœur de DuDuche avait choisi sa voie mais sa tête agirai toujours indépendamment