Palais du Shadowsong > [Quête] A la Conquête de la Sixième

Auteur : Doxman
09/12/06 00h17 | 7 Aquan 3725

En Kilanie ; Capitale Nécrolienne. Théran et Théran, seuls dans leur esprit...


-- Non Non et Non. Il est hors de question que je nous déclare maintenant. Comprends moi. Le temps joue pour nous, chaque heures qui passent nous rend plus puissants, plus grands et plus sûrs. Chaque seconde renforcent nos liens, chaque secondes nous relient les un aux autres. Tout comme le Vent, le temps qui s'égraine va dans notre sens, chaque grain qui tombe du sablier ultime tombe dans notre camp. Nous gagnons. Et Il nous attendra...
-- Là tu te trompes... Tu sais, et nous savons que le Vent réfléchit... L'Ultime Vent pense, vie voit et lie encore mieux que toi ou moi, mieux que toi et moi, mieux que Warren lui-même. Le Vent tu ne pourras le tromper, ta fourberie, ton adresse et ta lâcheté ne t'y sauveront pas. Tu pourrais être le plus grand, le plus fort, le plus droit, le plus légitime et le plus honnête archimage qu'il soit... Il n'en aurai que faire, et continuerai de lire en toi, en nous comme dans un livre ouvert.
-- Justement... Il voit et comprend mieux que quiconque, car il est l'ombre, et il fait vibrer lumière, il sa cache au soleil et s'affiche dans les nuits les plus sombres. Il ressent ce que la nature lui dit, la nature a besoin de lui, elle lui dit tout. Il est l'unique chose qui depuis des siècles, qu'en sais-je des millénaires, maintient notre parfait système dans l'équilibre le plus juste, le plus saint et le plus propice qu'il soit. Propice à quoi... Propice à tout, propice à sa survie, comme à sa régénération, à sa mort comme à son assassinat. Il sait tout faire et fait tout. Il tue ceux qui doivent mourir et laisse transparaître ceux qu'il sait utiles. Il maintient équilibre et prolifération d'un système qui pourtant... Aura jusqu'à ce jour et pour toujours essuyé de lourds désagréments. Le voile...L'Edar...Nous, Eux... Uns par uns nous avons déposés sur ces terres notre pierre, plus ou moins saine, plus ou moins jolie, grande, grosse, importante, bien placée, encombrante... Toujours il a sût de par son savoir et sa bienveillance rendre chacun de nos gestes bons et utiles. Il maintient paix et ordre dans cet univers aux caricatures déchirées...
-- Huuuummm... Eventuellement. Mais alors. Pour oser prétendre gagner du temps et pour donner à notre Vent autant de gratification... Explique moi en quoi ce temps t'est favorable ? N'es-tu pas le méchant dans cette histoire ? N'es-tu pas celui dont tout le monde veut la peau, n'es-tu pas celui dont les rumeurs sont plus aimables que tes actes ? N'es-tu pas celui dont le passé mérite mort, mais que c'est toi qui rend cette mort qui te pend au nez comme une épée de damoclès ? Dis moi en quoi, d'un seul et unique coup tu aurais besoin de ce temps ? Alors que ce Vent ne te veut depuis longtemps ?
-- Ce vent comme tu dis... A besoin de moi de mon savoir faire de ma cruauté et de ma volonté jamais suffise. De mon sens inouïe de l'envie et de ma liaison si particulière avec notre mère. Il a un besoin, récent. La racaille galactique provient du trop grand nombre de "riches"; les cannibales résultent de la surpopulation ; les morts sont causés par les guerres trop nombreuses... Le Vent, il sait tout ça, il voit tout ça il pensait tout ça. Il y a même des guerres entres faiblards Templiers et paranos Manticore, il y a même des intervenants du Tork et leur vocabulaire très recherché à la Corporation Galactique, il y a même depuis peu des états entiers qui mendient auprès des autres nations...
-- Et alors ? N'est ce pas là la vie ?
-- Non... Pour retrouver cette vie, le système a besoin d'être... D'être... Nettoyé. D'être Purgé !
-- Le Vent ne te donnera pas l'honneur de "purger" gratuitement, il va falloir te montrer digne... Et tu sais ce qu'il te faut pour paraître digne...
-- N'ai nulles craintes, les Wizards sont là pour ça !

Auteur : Doxman
14/12/06 20h48 | 13 Aquan 3725

En Kilanie ; Capitale Nécrolienne. Théran Azhar, seul devant ses nouveaux devoirs.


Palais... Sanctuaire... Monolithe et église. Monastère et Temple... Innombrables sont les structures sacrées qui depuis la nuit des temps, la construction des empires, l'apparition des marais et les premières gouttelettes de l'indispensable Eau. Depuis toujours et jusqu'en apocalypse les esprits saints, malsains orphelins abandonnés familièrement comblés ou bien apeurés viendront en Nécrolia servir de Nourriture pour le retour du Génie ! Ces âmes minables, enfermant chacune de si grande réserve manaéliptyque... Théran a faim, le Nécrolia est un piège, tant de batailles de Mort que ce nom empeste le piège désormais... Pourtant toujours autant d'imbéciles viennent maladroitement nourrir la seule et unique cause de leur inévitable, chronique et douloureuse mort sans résurrection possible car c'est leur âme tout entière qui se perd et leur corps la moindre molécule de leur corps servira d'hôte pour les invincibles occlusphariens âmes errantes dont Théran donna une nouvelle chance, celle de se tuer, une seconde fois !

Théran était là, dans l'immense Aspharate temple roi du Nécrolia, s'élevant sur des milliers de pieds, des centaines de mètre, et pourtant invisible... Protégé par la seule volonté de notre génie adoré : Thé. Il était là, dedans à regarder ce que personne ne voyait. Seul à compter les secondes s'égrainer pourquoi ? Parce que...


Tiens messieurs... Enfin vous voilà.

Sept auras, infimes de puissance, indécelable fut leur arrivée. Mais il ne venait pas pour tuer, ni pour infiltrer, ils s'étaient agenouillé devant Théran. Ils échangeaient d'indéfinissable signes de mains, chacun semblait se voir attribuer une mission. Un devoir. Ils soufflaient chacun leur tour dans leur main. Les sept hommes semblaient utiliser de cours thermes comme un "oui" ou un "non". Théran expliquait, parlait, vite bizarrement, soufflait gesticulait...

Dispersion !

Tous partirent dans une direction différente, chaque homme partit en courant vers des destinations inconnues. Ce voyage durerai un quart d'heure tout au plus, ils ne voleraient pas, ne se téléporteraient pas, ils courraient au travers de la galaxie. De croiseurs en croiseurs de chasseurs en chasseur de bases lunaire en base lunaire, leur pas sont invisibles leur présence indécelable et leur rapidité sans aucun équivalent. Ils usent des vents spatiaux, des souffle des géantes créatures des accélérations des vaisseaux, l'Air est à eux les spécialistes du déplacement, les Sept membres de l'Etat-Major Nécrolien chargés du pillage intensif.

Simultanément chaque régents nécroliens arriva à sa destination. Tous dans un lieu bien précis. Le Lieutenant-Colonel Klidioni en Anyrian :

-- Dame Kourai ? Vous joindrez-vous à la quête de la sixième ?
Le Commandant Iflaia en Noldor.
-- Ô Fusion. Vous joindrez-vous à la quête de la sixième ?
Le Commandant Nikrile en Ülthwe.
-- Phi est absent... Je pars en jardin, il est là-bas Maître...
Le Commandant Léhucyte arriva en Asa
-- Sir Alastor. Vous joindrez-vous à la quête de la sixième ?
Le Commandant Lihétude arriva en The Old Republic
-- Génie Hitsugaya. Vous joindrez-vous à la quête de la sixième ?
Le Commandant Sojeran arriva en Arabiahne.
Dame Nalashaad. Vous joindrez-vous à la quête de la sixième ?
Le Capitaine Chaolyde arriva en Mikanésia.
-- Firuba le Jeune. Vous joindrez-vous à la quête de la sixième ?



En Nécrolia Théran se prépare.

-- Ils sont tous arrivés. Très bien. J'espère qu'ils seront au moins cinq, car je ne vais pas pouvoir les rejoindre tout de suite. Helbï ?!
- Oui Maître. Je me joindrais à eux s'il ne sont pas assez. Comptez sur moi, s'il le faut je mourrais.
-- Je ne préférerai pas.
Sur ce, je repars à un vieil ami. Bonne chance aux Nécroliens. Mon coeur vous porte ! Alors aujourd'hui, aidez moi à endurcir le miens. ce que je m'en vais faire se pourrait très désagréable.

* Terluan... Mon frère *

Auteur : Aurel
14/12/06 23h55 | 13 Aquan 3725

Les lumières de la ville se reflétaient sur le visage de l'Archimage Terluan. La lumière des pensées se reflétait sur son âme.

La nuit était tombée depuis plusieurs heures. Althor Terluan était dans son bureau, au sommet de la tour du conseil, face à une baie vitrée s'ouvrant sur l'immensité de la mégalopole Galacticaine. Ses yeux étaient perdus dans le vague, son esprit errait.

Les évènements des derniers mois le laissaient perplexe. Lui qui jamais n'avait hésité, éprouvait aujourd'hui certains doutes. Certaines pièces du puzzle ne rentraient plus dans la place qui avait toujours été la leur. Le Shadowsong... Mort... Les Lueurs... Mortes... Tout cela était absurde. Quelque chose s'était mal passé, quelque chose ne tournait pas rond.

Les dessins semblèrent prendre vie. Ils s'élevèrent de la terre sèche, s'enflammèrent, prirent mille et une teintes, et commencèrent à s'élever, de plus en plus haut.

Le temps avait passé. Les faits avaient changé. Rien de ce qui était vrai hier n'était plus. Certains de ses projets devaient être abandonnés. Mais d'autres les remplaçaient.

Terluan relut la missive qu'il avait reçu. Son écriture était banale, tout ce qu'il y avait de plus banal, et pourtant... Pourtant, il ne lui avait pas fallu une seule seconde pour en déterminer la provenance. On lui demandait de sortir de son immobilisme. On lui demandait de reprendre ses actions.

Jamais il n'avait été dans une meilleure situation. Le Conseil entre ses mains... Les troubles extérieurs pousseraient tous ces geignards à renforcer sans cesse les pouvoirs de la Corporation Galactique. Son pouvoir. Son oeuvre.

Alors, il fallait agir. Parfait. Tout concordait. Encore une fois, Il avait tout prévu. Tout calculé. Toutes les conditions étaient réunies pour accomplir ce qui devait être accompli. Le Shadowsong... Inutile devant la puissance de Terluan, de son maître, et de ceux avec qui ils allaient s'allier.

Sous peu, les Quinze seraient réunis. Et la magie chanterait...

Auteur : Narkia
16/12/06 16h26 | 15 Aquan 3725

Cela fait trois jours, trois nuits de peur et de désespoir. Trois nuits, où la tempête est maître, est reine en terres inconnues d’Arabiahne. Trois nuits que le vent à sa création bénin, maintenant violent claque les volets encore ruraux des habitants des soubassements de la vieille ville. Trois nuits que les autorités essayent tant bien que mal de garder le contrôle avec l’extérieur, de garder un soupçon d’espoir. Car eux ne savent rien. Mais ces trois jours, ces trois nuits, Lidhyle les avait prévu, elle avait anticipé comme elle avait pu, mais tout cela était si soudain. C’était la mort qui était arrivée, la vague de sang, du sang noir s’échouait de toute sa hauteur sur toutes les capitales, sur tous ceux qui n’ont déjà pas su ou pu résister à cette vague de l’enfer.

Ce n’est qu’une méthode, ce n’est qu’un moyen pour arriver à leurs fins. Pour qu’enfin le jour du grand jugement se fasse, que tous ceux qui ont osés les provoquer sans réponses pourrissent dans les vagues du brasier de l’Ombre, que tous ceux qui ont osé levé leur main sur leur face soient punis, ils l’ont mérités. Ils avaient bien fait de se plaindre, car maintenant c’est trop tard, ils n’auront plus le temps, ils ne verront pas passer cette onde qui ne faisant que s’échouer en terres maudites, raseront toute vie en pays ennemis ! Qu’ils tremblent, sa colère est inimitable, elle est sans vengeance possible… Pourtant, elle a peur. Elle a peur d’elle, cette colère, elle a peur de lui, Théran, ce grand maître que jamais elle n’avais pu apercevoir, ce grand maître qu’elle respecte comme jamais elle n’a jamais respecté quelqu’un, elle l’aime non par obligation, elle l’aime par ses idées, elle l’aime par ses choix par son projet. Cette amour n’est pas impossible, mais il n’est pas trivial, c’est un amour affectif. Son cœur est déjà envahi, il n’est plus à prendre. Théran, il est là et il les protège en attaquant, c’est la meilleur des défenses, c’est bien connue. Mais ils ne se battent pas pour rien, ils se battent pour la Dame, ils se battent pour eux . Elle se bat pour l’amour de la vie, car elle se la pète elle joue les belles et les invulnérables mais seuls peu d’entre eux ne mourront jamais. Et elle a envie de vivre, elle a envie de continuer à aimer. Elle a envie de continuer à la vénérer, celle qui nous dicte, celle qui sait nous faire plier sous sa coupelle, celle qui régit toues les lois, toutes les chaînes, toutes les vies. Sans elle ? Rien le néant. Ma Dame est capricieuse parfois, généreuse souvent. Elle est lunatique mais elle est tellement belle. Comme toujours, peu la comprennent, tous la voient pourtant. Il faut savoir la comprendre, il faut savoir la vivre, et tous ceux qui encore une fois ne réussiront pas cette épreuve du long fleuve de la vie payeront le prix de leur passage en enfer. La Nature est leur mère, et ils se battront toujours pour Elle. Du moins, elle, elle le fera !

Il faut savoir gérer pendant ces longues périodes de crises, où l’on ne sait plus quoi faire, son peuple. En blocus forcé, aucune menace externe, seule cette Madone qui parfois s’excite. Elle annonce l’Hégémonie, elle annonce cette quête qui les assemblera tous. C’est prévu effectivement. C’est le signal. Son signal. Il y a peu le Seigneur Noir nous l’avait annoncé, Thé est revenue maintenant et il envoie ces soldats partout pour nous prévenir. Il le doit.
Pourtant, cela fait trois jours. Sans nouvelles, sans un mot. Trois jours qu’elle s’éclate contre leurs murs… Elle est seule, et rien qu’un mot la réconforterais. C’est un instant fatidique. Que faire ? Prendre les décisions, s’auto ordonné ? Non, Il a été stricte, et tant que ces vagues noire continueront, tant que le vent du sud éclatera les vitro-céramique, tant que la mer se fâchent, tant que le ciel pleure le sang de tous ces amis tués par l’homme, tant que tout cela n’aura pas disparu, la quête des Wizards n’aura pas débuté.

Alors elle garde espoir. Elle reste dans une ignorance artificielle, essayant continuellement de lui trouver des excuses. Elle se dit qu’elle ne devrait être si critique avec lui. Après tout il n’a pas qu’eux. Mais en fait qu’en sait-elle ? Elle ne connaît rien de lui. D’ailleurs elle n’en a jamais demandé plus, tout cela lui convenait, sa confiance n’a pas de prix, n’a pas d’égal. Alors se silence ?


-Lidhyle ? Un homme désire te voir de toute urgence.

Un homme avec une cape de mort, une cape sombre, qui a vécu autrefois qui a subi aussi les colères de la Dame. Cette homme est assez sûr de lui, assez fier sans en faire trop pour pouvoir entrer sans bonjour, sans merci dans le bureau d’une prêtresse maudite marchant d’un pas ferme qu’un mur n’aurait pas pu arrêter. Ses mains apparemment vigoureuses étaient la seul teinte de peau apparentes, au bout de ses longues manches bleues. Son visage était ainsi caché. Aucune inspiration, aucune parole, pas un sentiment, Shoan Liris l’avait tout de siute compris quand elle l’avait reçu. Mais elle ne cherchait pas à chercher d’où il venait, qui il était et surtout comment était-il venu. Non toutes ces questions ne l’intéressaient pas. Elle ferma la porte et partit vers le centre du palais.

Lidhyle questionna du regard l’étranger qui filait toujours. Il marchait, ses yeux biens ouvert. Elle ne le voyait mais elle le sentait. Arrivé près d’elle, il enleva sa capuche tout en continuant sa lente marche presque processionnelle. Cet homme avait vécu, cela se voyait à ses mains, cela se sentait en son cœur. Sa capuche était tombé, l’anonymat avec lui. Elle le regarda, et ébahie, telle une révélation, elle l’embrassa, et pendant de longues minutes elle sentit son aura chaude qui la réconfortait.

-Thylieme…

Il était enfin revenu. Lui. Celui qu’elle allait oublié. Celui qu’elle a failli remplacer par un de ces imposteur qui ne valent rien dans on cœur. Lui il l’aimait, il la connaissait. Il en savait toues les plus petits secrets. Il aurait tout fait pour elle, pour sa vie.


-Je devais, autrefois, partir. On m’avait appelé. Je ne peux dire qui, tu le sauras bientôt. Mais on m’a délivré, on m’a lâché. Je suis là et plus jamais je ne te quitterais. Mon histoire est trop longue, et elle t’ennuierais.
J’ai un message.

-De …. ?
-Oui, il a envoyé ses généraux. Mais l’approche de l’Hégémonie est plus forte chez toi que chez d’autres. Personne n’a accès. C’est sûrement du à l’Orbe en Iwachika, Désertica est touché, et la Dame souffre, elle souffre comme un accouchement. Elle doit souffrir pour devenir heureuse. Il n’y a pas que vous à se sacrifier pour son bonheur, entre autre.
-Mais comment est-tu venu ?
-Nous repartirons pas là. Les vents. Le Zéphir est levé. Ses âpres produits sont violent, mais ils sont efficaces. Ils suffit de savoir s’en servir, il suffit de croire en Thé, il suffit de se donner au Wizards, et il te rendra se service. Le Zéphir est juste, il est stricte, mais il est juste. C’est ainsi. Les esprits purs à ses critères passent, les autres périssent.
Allons Thé attends. Nous devons y aller. Vient, éteint toi dans les bras du grand vent bénin. Que la Dame nous soulève, qu’elle nous protège de tous ses dangers qu’elle créent elle-même. Vide-toi, Thé est là il nous attends, et nous arriverons à lui. Grâce à toi grâce à eux, la sixième sera récupérée… La Quête des Wizards … enfin !

*Ma Dame, Thé, donnez-moi la force de la protéger et de toujours la garder autour de moi. Donnez-moi le courage de nous mener jusqu’au bout. Tout ne dépend pas d’elle, mais elle risque de jouer sur leur avenir, comme les autres. Il ne faudra pas faillir mon amour. La quête va commencer, les Wizards sont là pour ça…
*


Le vent, la magie d’un tel soldat les souleva et ils couraient dans l’hyperespace. Ils couraient, en harmonie. Bientôt l’Hégémonie les détruira tous, et il faudra profiter de cette pause économique et militaire pour partir. Les Wizards sont fort, de par leur connaissance de soi-même et leur entre-aide, à l’intérieur de la communauté même. Ils sont là ensemble pour un même destin pour une même idéologie, un même but. Ils se sont tous trouvés des buts à eux, qui ne sont que motivations, mais ils les mèneront loin…

*J’ai répondu à ton appel Théran, je suis prête…
*

Auteur : Soul Of Alastor
16/12/06 20h25 | 15 Aquan 3725

Toujours les mêmes personnes qui rient….
Toujours les mêmes personnes qui sourient….
Voir autant de gencives, de dents, de lèvres tendues, tout cela ne pouvait perdurer.

Lui qui avait depuis longtemps renié toute humanité, lui qui avait depuis un moment renié toute manifestation de bonheur ne pouvait que se réjouir du malheur des autres. Pour autant qu’il en connaisse, il y avait eu il y a peu beaucoup de tristesse, beaucoup de morts, et beaucoup de désarroi parmis les Grands Seigneurs de ce monde si futile. Mais cette grande zone de noirceur avait petit à petit laissé place à la lumière du jour.

Tout ceci cachait forcément quelque chose, et il s’avère que depuis peu en Asa on sentait de plus en plus la présence d’une force inconnue. Une force qui aurait effrayé plus d’un mais qui au final ne faisait que réconforter Soul. Cette force avait l’odeur du mal, cette force avait la couleur du mal, elle représentait tout bonnement le mal.
Enfin! !

Enfin il était de retour, sans nul doute Soul savait ce qu’il se tramait, son projet, le but de sa deuxième vie, le futur dessein de son âme. Enfin ! !
Depuis le temps qu’il attendait, il était revenu.

C’est pourquoi sans nulle prétention il partis en direction de son village natal, afin d’y retrouver ceux qui jadis lui avaient causé tant de torts, ceux qui jadis avaient osés le traité comme un moins que rien. Depuis le temps lui avait évolué, tel la force d’un cyclone au cours de son cycle destructeur , il avait réussi à se hisser en haut de son rôle. Le Grand Cagoulé comme on l’appelait actuellement avait la dent dure, et la vengeance était l’un de ses principal atout. Bien que ses devises ne consistait qu’a la destruction et le sang, il possédais cependant une façon de penser.
Et elle s’accordait typiquement avec ce qui se tramait depuis longtemps.
Soul regarda en l’air, tendant les bras


Enfin ! ! ! !
Il se manifeste enfin ! !

Ô vent !
Ô toi qui soulève les feuilles !
Ô toi qui possède la vie infinie !

Joins-toi à moi, depuis le temps que je t’attends, enfin je te perçois.


La mort ?
Qu’es ce que la mort ?
Si ce n’est une purification d’une âme en plein désarroi. Alastor ne se présentait pas comme le Purificateur, mais plutôt comme une âme noire, dotée d’un certain côté machiavélique.
Depuis peu il sentais son influence au sein de son état grandir. Il sentais qu’enfin il pouvais de nouveau s’exprimer librement sans être bridé par l’instinct de sauvegarde de son ancien Régent….

Tant d’années à attendre qu’il lui cède sa place… Enfin il était arrivé.
Heureusement ce fut au moment propice. Soul n’aurait pas supporté que cette force se manifeste alors qu’Erlinger soit encore là. Il aurait raté le coche.

Il réfléchissait à la façon dont il pourrais rentrer dans cette aventure, si toutefois il se joignait à eux pour la faire. Il avait l’habitude de toujours tout faire en solo, changerait-il sous prétexte qu’il se manifeste ?
Bien que cette « chose » soit l’espoir et la force brute, Alastor hésitait encore……

Il arriva enfin dans son village natal, et tout de suite, le peuple s’inclina devant lui, au grand jamais il ne supporterais que la politesse ne soit de rigueur.
Il ne mit pas longtemps avant de retrouver ses « amis » d’enfances…. Eux qui avaient grandis n’avaient pas changé pourtant, le même visage, la même expression de méfiance, la même façon de regarder les autres de haut. Tout ceci qui déplaisait tantôt à Soul lui plaisait actuellement, et ce n’est pas par pur hasard qu’il revenait sur ces lieux.

Aux premiers instants quand ils furent convoqués devant leur régent ils ne comprirent pas ce qu’il se passait. Lorsqu’enfin ils comprirent, Soul avait déjà échafaudé son plan, et il ne changerait pas de méthode en cours de route. La quête était lancée, il ne fallait faillir.

C’est pourquoi il avais besoin d’eux. Au nombre de neuf ils furent les tortionnaires de Soul dans son jeune temps. Les choses n’étaient plus….. Et ils le comprirent à son regard, le temps des plaisanteries, et de leur domination était révolu.

Il les regarda un par un, leur fit un signe pour leur dire de se rapprocher les dévisagea comme des demeurés . Et leur dit :


A votre regard, je crois que vous avez compris qui je suis et ce que je suis devenu. Vous venez de comprendre quels sont les liens qui nous unissent. Vous sentez les souvenirs remonter n’es-ce pas ?

Si ça ne tenait qu’a moi je vous aurais déjà putréfier par je ne sais quelle méthode de torture, mais vous ne seriez plus de ce monde. Vous pouvez lui dire merci


Il tendit son doigt en direction du ciel, et leva la tête comme pour verifier de sa présence

Oui, vous pouvez grâcement le remercier, il vous a sauvé la mise. Ne sentez-vous pas présence ? Son odeur ? Sa toute puissance ?
Il incarne le mal à lui tout seul, il incarne tout ce que je souhaite incarner.
Pourtant il à été clément avec vous, je ne sais pour quelle raison.

Quoi qu’il en soit, le temps m’est compté, je ne tarirais pas d’éloge sur vous, et ne le gaspillerais pas, lui qui m’est précieux. Il a voulu votre sauvegarde, et par respect pour son apparition divine je lui accorderais cette unique faveur.

Cependant je ne peux aller contre votre volonté pour le bien de la mission dont je suis acquitté. Je vous laisse alors le choix :

-Soit vous m’accompagnez dans ma quête

- Soit vous mourrez.


Bien que le choix ne paraissait pas si complexe en apparence, au final il s’agissait de choisir entre la mort ou la mort. Mort entre les mains d’Alastor ou mourir entre « ses mains ». Cette force les tuerait probablement à un moment où à un autre. Mais rien n’est sur encore…. C’est pourquoi ils décidèrent :

Oui, nous vous suivons. Avons-nous véritablement le choix de notre destin ? Il est voué à l’échec de toute façon. Autant ne pas vous donner le plaisir de vous venger.

Quelle erreur, ils avaient prononcé les mots de trop…..
Soul sortit une petite lame empoisonnée…..
Le flanc gauche du nouveau baptisé Hazy venait de se faire taquiner par cette lame. Soit le poison n’était en réalité qu’une bonne dose de Mercrilium : un liquide paralysant à faible teneur en Metacrylate de Tungstène ; ce qui ne lui conférait pas de grande propriété paralysante au final. Dans deux jours il aurait récupéré toutes ses fonctions motrices sans dégradation.


Ne vous amusez pas trop, nous alors être compagnons, mais je suis encore et resterais votre Régent. Je ne supporterais de nouveaux affronts de ce genre. Que l’on soit bien clair…..
En attendant la suite allez vous préparer, nous partons dans la nuit. Je viendrais vous chercher. En attendant j’ai à faire. Ne soyez pas en retard….


Soul fit demi-tour, un nouveau salut s’imposa comme naturellement. On aurait dit un champ de fleur se fanant à chaque enjambée….. Pathétique…..
Aucune envie de se rebeller. Ce village n’était pas parmis les plus attractifs de l’Asa.
Pour être sur de ne pas faillir à la tache qui l’incombait le Grand Cagoulé ne devait pas révéler ses intentions publiquement maintenant. Mais il ne contrôlait plus rien.

« Il » l’épuisait. Alastor essayait de résister mais il n’y arrivait pas. « Sa » puissance dépassait de loin ce que l’on pouvait imaginer. Il n’avait aucune apparence propre, mais il avait de quoi faire fléchir toutes les âmes qu’il rencontrait.

Jamais Alastor n’avait senti de chose aussi puissante. Il aimait ça, pourtant il ne pouvait s’empêcher de tenter de lui résister, peut-être parce qu’il refusait qu’on lui impose quoi que ce soit. Mais c’était peine perdue. « Il » était trop fort pour lui.

Il se dirigea vers son « antre » afin d’avertir le Théran de « son arrivée » . Il ne savait pas encore si le Seigneur Noir l’avais senti ou non. Mais à peine arrivé chez lui le Commandant Léhucyte était déjà là. Il était visiblement arrivé alors que Soul était absent, trop occupé à rameuter « ses larves ».

Léhucyte avait un message de la part du Thé…. Il lui demandait s’il répondrait présent…..

Ainsi le Seigneur Noir l’avait senti également ?
Ainsi lui aussi était déjà prêt ?
Il possédait déjà tout ce dont on avait besoin ?


Soit, que la fête commence.

Léhucyte avait bel et bien compris le signe que venais de lui faire Soul. Mais demanda s’il y avait un message particulier à faire passer

Ah ! Oui !
Vous direz au Seigneurs Noir qu’ils sont prêt. Les neuf sont ici, et sont prêts à partir. Il n’attendent que « lui ». Demandez lui de laisser les portes ouvertes, que nous puissions renter. Nous partons dans la nuit. Nous pourrons ainsi voir les choses directement.


Et Léhucyte partis pour son vaisseaux. En direction de la grande tour du Théran. Il fallait être prêt à temps car « il » n’attendrait pas.

Ainsi j’ai répondu à ton appel comme tu le vois.

Auteur : Firuba Sendénoï
17/12/06 22h37 | 16 Aquan 3725

Le vent souffle, il souffle a tel point que certans arbres sont déracinés, les portes et fenêtres entre ouvertes claquent d'une force rare, les feuilles mortes qui étaient étalés sur le sol s'envolent en formant une espèce de tourbillon. les habitants rentrent chez eux, ils ferment leur volet ainsi que leurs portes, ils se barricadent, comme si ils avaient peur de quelque chose.

Firuba était quant a lui dans son bureau, a remplir des paprasses come a son habitude. il entrevoit par la fenêtre les arbres couchés, déracinés, les poteau électrique déformés par les voitures qui s'écrasent conte eux.

Il appela son secrétaire:
- Rudaï, pouvez vous m'indiquer ce qui se passe dehors?
- Mon seigneur, le vent souffle, il souffle très fort. Il y a d'énorme dégats matériels, et il ne semble pas s'appaiser. C'est la première fois que ça arrive ici.

- Hmm je vois. il marmonna Ce vent ne peut pas être un vent ordinaire. Il y a une signification derrière celui-ci. Il faut que je me souvienne. Puis il appercut qu'il avait toujours son secrétaire devant lui a l'écouter, il lui demanda de retourner travailler, et repris son marmonnage. Que m'avait-il dit en me quittant, il faut que je m'en souvienne.

Il s'assit dans son fauteuill, toujours ancré dans ses pensées, voyant défiler dans sa tete des mots.

Wizards...destruction...morts...union...hégémonie...

Tous ces mots mélangés ne signifiait rien pour lui, il ne comprenait pas pourquoi ce phénomène arrivait a ce moment précis. Pendant près de deux heures, il fut perdu dans ses pensées, sans jamais réussir a trouver la faille lui permettant de se souvenir de la raison de ce phénomène.

Tout a coup, son oeil de verre disparu et devint un vrai oeil, il avait été modifié par on ne sait quel moyen, Firuba arrivait dès lors a voir normalement a laide de ses deux yeux, il cru d'abbord a un miracle, mais cela lui fit réfléchir sur la présence du vent; et compris alors que ce vent ne pouvait être que celui du Zephyr.
Il demanda alors a son secrétaire d'appeler le Commandant Gazénoy afin qu'il prépare une flotte pour un voyage a durée indéterminée.


Mais avant même que Firuba quitte son bureau, il appercut un homme sombre, habillé tout en noir, il se disait régent Nécrolien, cela fit rélféchir a nouveau Firuba, qui compris tout de suite que cet homme venait de la part de Théran.
Théran lui avait confié la tache de venir demander a Firuba si il allait répondre a son appel.


Sa réflexion ne fut que très courte; il n'avait pas l'intention de décevoir un être envers qui il avait la plus grande fierté, et le plus grand respect; Théran était celui que Firuba avait comme exemple.

Firuba rejoignit alors la flotte que son commandant avait préparé, et indiqua au pilote la direction a prendre.



Théran, je répond à ton appel...

Auteur : Fusion
17/12/06 23h39 | 16 Aquan 3725

Fusion se promenais en Noldor, observant avec pleinitude son oeuvre magique. Le Noldor était prospèrent, et l'avènement du terrible Jihad allait pouvoir commencer. Assit sur la grande table ronde du Conseil, Au sommet de la tour d'ivoire, Fusion observait se qu'il se déroulait, quelques centaines de mètres plus bas.

Les 13 Solars de l'armée, les 420 Gros porteurs, et les 1020 Croiseurs du Noldor stationnaient a l'entrée de la cité fortifiée, ou s'étaient regroupé l'armée magique de l'Imperium. ils revenaient de Salusa secondus, et de Arakis, les deux citée d'entrainement militaire, destinée pour l'une a la fabrication et a l'entrainement de l'armée Mécanique, et pour l'autre a la formation de l'armée magique.

Les 210 000 Mages de l'Imperium Noldorien, élémentaires, maitres, défensifs, offensifs, étaient là, brillamment rengé sous la direction de la Lieutenant Colonel Liruziel, dont l'aura magique était visible de si haut. Les unités mécaniques avaient été disposé par le Colonel Xana, qui effectuait son role dans un calme olympiens. Liruziel et Xana étaient tout deux respectivement dirigé par la pleinitude Stratégico-Magique de la Générale des Armée Aelita.

Du haut de sa tour, Fusion observait son Oeuvre. Bientôt, il recevrait la convocation de Théran, comme il le lui avait demander. Bientôt, les Wizards passeraient a l'offensive, et les années d'entrainement intensif dans l'ombre allaient servir. Fusion, le Mahaï de toute cette Stratégie, allait bientôt être contacté.

Derrière lui, quelque chose bougea. C'était Norari, la Mentat de l'état, celle dont l'esprit calculait toutes choses. Elle était aussi la zensunni, la Philosophe Impérial. L'imperium allait connaitre son avènement.

Eïko entra dans la pièce... La gola Tleilaxu, était aussi la révérende mère du Bene Gesserit, dans cette course a l'imperium. Elle était d'une importance crutialle dans l'hégémonie, mais ne devait pas être remarqué tout de suite. Elle amenait avec elle la douce mélodie du vent...


Mesdames et Messieurs, C’est une triste Histoire
Le mariage secret de la mer et du vent
Mesdames et messieurs prenez vous mouchoirs
Verser quelques larmes pour les pauvres amants.

Au début des temps, la mer été bleu
Elle se prélassait lisse comme un miroir
Arriva le vent, qui fut amoureux
D’une telle beauté, qui rougissait le soir

Il la caressa, d’abord en douceur,
Puis se déchaîna, d’une passion violente
La mère en émoi, lui donna son cœur
Les marins du monde, périrent dans la tourmente.

Le vent et la mer, pleurèrent beaucoup
De n’pouvoir s’aimer, sans provoquer la mort
Depuis ces temps là, le vent souffle doux
Et lui fait des vagues pour lui dire son amour

Mesdames et messieurs, si un jour, un soir
Votre bateau lute contre la mer et le vent
Mesdames et messieurs, prenez vos mouchoirs
Versez quelques larmes, pour les pauvres amants.

Des plus hautes montagnes, Du sommet du monde,
De la pluie sauvage, Des vagues aériennes
Arrivent tous droits des Hautes tourmentes
Le zéphyr violent, la tempête Bluterienne…

Cette douce mélancolie mélodique avait été implanté au creux de l'esprit de chacun des Wizards. Eïko, la fondatrice de se mouvement Idéaliste, qui se devait de rester dans l'ombre de Théran et de Fusion, était particulièrement fière de tout ce qui allait se passer avec les armées de L'imperium, et de ses allier. Fusion, le Mahaï, était plus compétant qu'il n'y paressait.

Se téléportant


Nous sommes là, Théran. Nous répondons a ton appelle. Bilal Kaï-fa

Auteur : Kourai
18/12/06 00h32 | 16 Aquan 3725

Anyrian, la sublime cité d'argent, dont les fondations mêmes ont été reprises selon les calculs des ingénieurs d'Asshiah, l'état géré par feu Adam Kadamon. Anyrian était une plate-forme spatiale géante, trônant fièrement en orbite autour de Galactica.

Tout comme en Noldor, il arrivait en Anyrian un évènement relativement rare. Toute l'armée avait été conviée sur la place centrale, en face même du palais de la Princesse Kourai. Les rangs s'ordonnaient peu à peu, au centre même de l'armée, la puissance magique était déployée. Sur les ailes est et ouest, des contingents égaux en taille de chars et de techno-guerriers s'étaient placés de manière ordonnée. Les pilotes des milliers d'unités aériennes étaient eux aussi déployés en rangs, alors qu'aux dessus de leurs têtes, au delà de la bulle transparente formant la frontière de la cité, quinze Solars, fleurons de la technologie, trônaient fièrement. Ils attendaient tous une seule chose, le discours de leur bien aimée princesse.

La sus-citée princesse, nommée Kourai, peaufinait une dernière fois son discours. Mais quelque chose l'envahit, une sensation étrange, à vous glacer le sang... Après réflexion, et cherchant dans sa mémoire, elle se souvint de cette sensation. C'était de la peur... Pas la peur de galvaniser l'armée par ses paroles, mais la peur des conséquences. Kourai avait déjà à son actif beaucoup de morts, et celles-ci pesaient sur sa conscience. Il y avait deux voix en elle... La première lui soufflait :
" Kourai, arrête cette folie, tu vas devant quelque chose qu'il t'es impossible de réaliser. Tu n'es pas faite pour tuer ! ". Quand à la seconde, elle hurlait : " Ma chérie, tu t'es engagée, pour tes idéaux, à suivre les Wizards. Tu es attachée à ton honneur, alors vas jusqu'au bout. Je t'aiderais, sois en sure... ".

Et c'est ainsi que pendant ce qui lui parut durer une heure, Kourai lutta intérieurement pour choisir laquelle de ces voix avait raison. Finalement, la pression de la seconde fut trop forte pour elle, et la princesse céda. S'ensuit un déferlement de chaleur... Une chaleur intense. Puis, le noir, le froid... Elle se sentait comme... morte. Morte ? MORTE ? Non ! Elle voyait à présent, ses yeux s'étaient ouverts sans qu'elle ne leur ordonne. Ses mains bougeaient, sans qu'elle ne le veuille. Elle voyait dans le miroir qui était en face d'elle son reflet, mais elle ne se reconnaissait pas. Son visage avait subitement changé. Ses joues s'étaient creusées, ses yeux étaient cernés de noir, et ses cheveux étaient devenus complètement blancs. Non, ce n'était plus elle... Alors, elle entendit une voix : " Merci, ma petite, de m'avoir laissé devenir la Princesse Kourai, Maîtresse d'Anyrian, Meneuse des Sombres Croisades, et l'une des plus influentes personnes de ce Système Solaire. "

Kourai avait compris... Trop tard ! Elle s'était fait duper par un démon, et à présent, son corps était possédé par celui-ci... Elle ne pouvait plus qu'observer. Quelle horreur...

...

Kourai, la nouvelle Kourai, était présente devant son armée. A présent, son discours :

" PEUPLE D'ANYRIAN ! Aujourd'hui est un grand jour ! Aujourd'hui est le jour de notre avènement !

A partir d'aujourd'hui, nous déferlerons sur ceux qui bafouent nos lois, et nous ferons respecter l'Ordre sur le Système Galacticain ! Car telle est notre devise ! Car nous servons l'Ordre Suprême, nous allons nous battre pour lui, ENSEMBLE !

Alors, mes frères, aujourd'hui, vous irez combattre tous ensemble, et l'ennemi sera écrasé sous vos foudres !
"

Un cri de masse se fit entendre, et le sol en trembla. La folie d'Anyrian était annoncée, et officielle...
Puis, quelqu'un apparu aux côtés de Kourai, et lui tint ces paroles :
" - Dame Kourai ? Vous joindrez-vous à la quête de la sixième ?
- Oui, je m'y joindrais. "

Auteur : Jin
18/12/06 01h03 | 17 Aquan 3725

Le vent, personne ne peut le contrôler, mais chacun le subit, quand il pleut sur Vertana, ce vent devient souvent fatale pour la personne qui n'est pas a l'abri, et depuis peux, ce vent ce déchaine, mais pas sans nom, ni pour rien. Le Zéphyr gronde, le vent de Kenthar, il pleur, il n'as pas eut sa ration de sang. Il regroupe ses fidèles. Bientôt ils seront ensemble, et pourrons se nourrir du chaos, celui qu'ils créeront chez leurs adversaires. Il sentit le vent, un message. Un homme entra, tout de suite arrêter par Mara avec un Kindjal sous la gorge, la lame transperça lentement le bouclier.

Ya Ya auwn messager du Vent, tu est ici en Eredeen quels nouvelles apporte tu ?

Demander a cette sorcière de me relâcher sinon vous ne saurez rien. HUMMMMM

Mara lui tordait un poignet pour lui faire comprendre qu'elle n'avait pas aimé l'expression de sorcière.

Je viens de la part de Théran, il me fait vous dire : -- Génie Hitsugaya. Vous joindrez-vous à la quête de la sixième ?

Ah ? Théran me fait quérir de cette manière ? Quel drôle d'idée, enfin je vais me plier a ses petites farces, je pense que les Wizard doivent être bien prit en main, afin que notre Ordre règne. Mara lâche le tu veux, nous partons immédiatement pour Kilanie.

Bien Histugaya.


Une deuxième personne était entré, mais cette fois personne ne l'avait vu, mis a part Jin qui était habitué a ca présence, une fois le messager partie elle se montra, la Révérende Mère Eiko d'Aelia-San. Elle venait le prévenir que tout avait commencer et qu'il était le dernier Wizard a aller la bas. Il ne devait pas tarder, Théran n'attendrait pas, il avait soif de pouvoir et de sang, Necrolia n'était pas repus du sang des morts de son Hégémonie.

Ils regardèrent le vent se déchainer, il le croyait surement mort, car depuis des jours il en donnait aucune nouvelle, mais ils semblait oublié les vieux dogmes ; "Ne compte point un humain au nombre des morts aussi longtemps que tu n'as pas vu son corps. Et même alors, ce pourrait encore être une erreur."

Il alla vers son vaisse*u, Mara sur son flanc droit Eiko sur le gauche, tandis que Kailliana dormait tranquillement le temps que Jin partait rejoindre son destin pour lui offrir un monde meilleur, pour elle, et leur futur fille.


Très jolie Théran Azhar, mais il semble que tes artifice ne soit que poussières, pourquoi réunir ainsi tous les Wizard ? Le temps est encore Jeune, et il pourrait ne pas être encore assez facilement contrôlable, tu aurais mieux fait d'attendre d'avoir l'archimage sous ton emprise. J'èspère pour toi qu'il sera bientôt des notre, sinon nous aurons un mal fou a Chanter comme Lui, et a contrôler Kenthar lui même.

Bilal Kaï-Fa Feydakin, Ya hya chouhada.


Le capuchon de Jin ne laissais voir que ses yeux, deux yeux bleus sur bleus qui d'habitude sont si insondable exprimait du méprit, il trouvait cette décision précipité et avait il vraiment tords ? Théran consultait il un Mentat pour l'aider ? Norari et Mara aurons be*ucoup a faire ici, malheureusement elles sont les deux dernières.

Jin eut un malaise, ses yeux passèrent de bleu a rouge, ceux d'Histugaya le démon, le présence de la princesse Kouraï avait déclencher ce changement, mais pourquoi ?

Auteur : Doxman
18/12/06 17h12 | 17 Aquan 3725

Helbï Cassime, général des forces de la Fleur. Jeune homme au passé inconnu, jeune homme aux traits spirituels et encore jamais illustrés, jeune homme au futur radieux, jeune homme au présent responsabilisé. Il marchait, paisiblement dans les longues avenues, ruelles que cachait l'immense Nécrolia, cette terre aux prédictions chaotiques, demeuraient, malgré les immenses combats qui ont souvent ébranlées ses portes, inviolées ! Helbï marchait; les yeux au ciel, les yeux admirant les Cieux. Il sentait une par une les auras les plus puissantes de ce système, enfin débridées par la volonté du Ciel, se regrouper.

La mine nostalgique, l'esprit en nostalgie. Il se remémorait Théran, cet homme qui devant ce sourire amicale, sa sérénité ultime et cette expression de sûreté, de bien cachait un être lourd de son passé. Cet homme, ce génie dont les faits et gestes, furent toujours maîtrisés. Helbï doutait encore de son Maître, il se demandait comment et pourquoi cet homme se serait tant sali. Pourquoi prendre ce visage si présomptueux, cette posture et cette fierté qui en fait n'était qu'une image ? Pourquoi l'avoir pris lui et pas un autre. Pourquoi avoir lancer tant de quête, avoir essuyer tant de défaites, alors que l'aboutissement n'arrive que maintenant ? Pourquoi ne s'être pas préservé tout ce temps ? La réponse, peu à peu se dessinait... En fait, une par une Théran avait placé les cartes, passer pour un abrutit, un peureux, un lâche... Tout était prévu pour qu'un jour il se passe ce qui se passe aujourd'hui. en fait, ce jour bénis ou Théran et sa simplicité inconnue avait porté à Helbï une lame, celle de le servir un jour. Prodige avait-il dit, général il était devenu, inestimable l'estimait Théran. Comment, pourquoi avoir si vite tout escalader... Un prodige est un prodige, mais ce prodige était là grâce à plus grand encore. Ce clin d'oeil, Helbï s'en rappelait et s'en rappellera. En fait, Théran avait prévu...

Helbï arriva aux Casernes. Caserne trois cents onze. Sous-sol huit cent neuf. Salle treize.


-- Salle à malédiction onze. Serveur neuf. Manaloïde neuf. Equipement neuf. La Hâche Olfactive, l'Aboreur d'occlumance, l'Adobe spirituel. Et tout l'équipement qui va avec. S'il vous plaît.
-- Monsieur. Cet équipement est inaccessible. Il appartient à Théran Azhar, et votre empreinte vocale n'est pas la sienne.
-- Votre voix est enivrante, votre ton sucré et vos mots bien enchaînés. Impressionnant pour une machine. Mais, et vous le savez, je dois prendre cet équipement. Théran lui-même le souhaite.
-- Helbï Cassime votre force a grandie, votre ton s'est rassuré et votre pouvoir de persuasion s'est au moins décuplé. Cependant, Théran ne programme pas ses machines avec des robots, mais des âmes, réelles et vivantes. Vous ne me duperez de la sorte. Maintenant sortez.
-- Mademoiselle, je ne saurai être plus claire. Donnez moi l'Anciptrote. Théran le veut. Je pars pour le Zephyr.
-- Alors Théran t'estime tant. Il m'a dit que le génie passerai et prononcerai ces mots. Très bien, allonge toi, je t'équipe.



Le prodige prit place sur la table d'opération. Un gaz, verdâtre se déversa dans la pièce. L'air s'alourdit, s'endormit et le Général aussi. Des bruissements, des bruits métalliques. Des bras articulés ? Non. Un robot ? Non. C'était plus petit plus fin, du matériel chirurgicale ? Oui c'est cela. Une âme allait manipuler, par des flux manaélyptiques des petits instruments coupant afin d'incorporer dans le Général le plus puissant matériel magique connut. Des appareils mis au point par Théran lui-même. Des engins magnétiques, électriques, nucléaires, électronique... Ou bien plus recherché encore. Doucement les vagues de Mana, servant de bras à l'Âme, coupait découpait, parcourait ce corps, cet esprit, cet être tout entier. Douze, treize, quatorze, il en fallait cent. Théran avait mis au point cent petits nano-objets, à placer partout dans un corps apte. Panoblie de bijoux, offrant à son porteur différentes facultés intra-spirituels, une concentration immuable et diffusant continuellement une drogue olfactive dans le système nerveux. Poussant les facultés physiques à leur extrême.

Au bout d'une bonne demi-heure d'opération, Helbï se leva, sans douleur, sans même engourdissement. Simplement une envie de tuer, une folle énergie, et une aura oppressante. Il avait faim faim de combat ! L'adrénaline, non bien bien plus ! Il referma le système étonnant et presque indescriptible de Théran. Lors de la fermeture il entendit une toute dernière phrase : " tu ressembles drôlement au Maître... ". Enfin, peut importe ce que pense une âme errante, Cassime voulait du sang, il sentait en lui couler un pouvoir immense et noir ! Il voulait, il dépendait, des litres de sang qu'il allait faire couler !

Il remonté à la surface, il regarda dehors. Aussitôt il croisa les regards de six auras. Elles l'avaient repérées. Quelle lourdeur, quelle force, incroyable, à des kilomètres d'ici, elle l'avait vu, cerné et presque exterminé, quand Lidhyle le reconnut. Merci à elle. Sérénité perdue il repartir en direction des Wizards. Il les compta, il les sentit. Il posa un genoux par terre. Un regard se posa sur lui, lourd mais sympathique, celui de Firuba.


-- Relève toi dont. Et expose cette pensée, qui je le sen te t'amène ici.
-- Merci. Tout d'abord, bonjour messieurs. Théran est partit, vous l'avez sûrement croisé. Je serais parmi vous pour cette quête. je ne sais qui prend les reines, Théran m'a dit que vous saviez quoi faire. Et que des êtres bien plus puissants que lui allait prendre en main la situation. Selon lui il a un devoir à accomplir. Il m'a seulement demandé d'apprendre auprès de vous.
Cependant, vous n'êtes que six, pour six réponses, Théran m'avait dit sept. Phi ne viendra donc pas. Que l'Orbe veille sur lui.


Des colonnes de Mana s'élevait au Ciel. Sept elles étaient. Les Wizards, pour leur première quête. Une puissance inimaginable, prétendant encore s'accroître... Bienvenue chez les Génies, génies dont l'ascension jamais ne s'arrêtera, si peu de temps tant de pouvoir, l'immortalité leur en donnera encore plus, bien plus qu'il ne l'imagine alors... Quand l'Archimage sera-t-il là ?

Auteur : Narkia
18/12/06 19h07 | 17 Aquan 3725

L’ambiance est morne…

L’ambiance est grise.

Sa sent la mort, sa sent l’effort…

Sa sent tout ce qui fait que l’on est pas en confiance. Tout ce qui fait que l’on doit croire pour espérer, tout ce qui fait que l’on doit voir pour croire, et donc pour avancer.

Oui… croire. Il suffit de croire en cette Dame, ou croire en ce maître. Vraiment ?

Non, ce serait simple. Et trop font mine d’espérer. Trop souffrent de toute cette envie que l’ont peut procréer lorsqu’on est bien, lorsqu’on est sain. Non, trop simple, pour un loi de la Dame qui ne peut échapper à personne. Il faut aimer, pour voir, et donc aimer pour croire, ainsi aimer pour avancer. Car l’amour, lui, est facile a démanteler. Ah les clés d’une telle philosophie sont dures à trouver, et une fois l’amertume passée, un fois qu’elles sont rangées dans ce trousseau de connaissances, il faut savoir les utiliser. Il faut savoir compléter ces lacunes, les compléter par soi-même. Un e auto-satisfaction… Il le faut, et si ils sont là aujourd’hui, tous les six, c’est qu’ils ont réussi au moins un période, une étape, de ce cercle ingénieux, de ce cercle guérisseur et fondateur de la vie !

Oui, il est encore temps de débattre par la pensée. Profitons-en, car demain ou dans quelques jours, elle partira. Elle partira pour une quête qu’elle a tant attendue, une quête, ou une requête qu’elle demande. Elle ne fait pas cela pour tuer, elle le fait car c’est la dernière solution. Elle fait cela car son égoïsme est mort, avec son passé, il est mort et elle veut faire profiteur à tous de cette liberté, seulement, il y en a qui ne comprennent rien, et pour cela, l’Orbe n’a pas d’autre choix…

La mort.

Les vents bénins qui les ont conduis jusqu’ici ont été rapides. Rapides comme le cheval autrefois, parcourant les forêts encore vierges de toute disparité humaine. Encore fraîche de la rosée, maintenant récoltée pour le bien des grandes cultures. Oui, ce Zéphir était sain, il était propre, et de voyager à son bord l’a nettoyée. Ce fut un voyage doux, qui les posta devant ses portes, devant celles d’une capitale où l’on inspire le sang, ou l’on expire la passion.
Un double sens, un double jeu, il ne fallait rien perdre de se spectacle, qui se pesait de tout humanité. Non, il fallait être plus qu’humain pour créer tout cela. Oui, le Nécrolia, caprice de tous leurs vices, réponses de toutes leurs questions, enfin elle retrouvera, là-abs, dans ce palais qu’elle aperçoit à peine.
Thylieme, reconnu, et devant la peur de souvenirs presque oubliés, elle fondit dans une détresse, qu’il avait aussi, apparemment oublié. Tout souvenir n’est qu’escapade en son esprit, mais il suffit de peu pour que sa cavalcade infinie qui torture l’âme recommence. C’est un étape, pour eux deux. Lui l’a quitté, laissant derrière lui tous son fardeau, son cœur et ses amis, elle découvre, les pratiques du Grand, les pratiques de celui qu’elle admire tant.

On aurait pu, les accueillir en hommes et femmes d’honneurs, on aurait ainsi célébré l’arrivée proéminente des premiers Wizards, peut-être. Mais le savait-il, elle qui la regardait, lui qui traversait, ou encore l’enfant qui jouait à la fenêtre ? Le savait-il ? Ce n’est pas un risque à courir. L’incognito ne tue pas, tout le monde le sait.

Là… devant un route sinueuse…verte des mousses d’acides acérés… se postait une cyber-taverne. Sa haute-porte, en acier trempée, marquait encore un semblant de bagarres frigides, qui avaient provoquées la mort… Pourtant, deux êtres, foulard devant, longue cape derrière, foulait de leur marche élancé, le pavé toujours vert… Ils frappent, et les deux compères entrent sans mégarde dans une nouvelle atmosphère…


Les vapeurs acerbes de la boîte, égosillaient leurs narines presque habituées à l’herbe fraîche des grands près. Tout cela leur rappelait cette jeunesse trop vite passée. Trop vite finie, en fait. Cette précocité qui les avaient déboussolés. C’est ça qui l’a perdu. Il a du partir, et ce départ lui aussi trop vite bouclé l’a meurtrie. C’est impensable mais c’est comme sa. Ils sont tous les deux des enfants blessés. Et cette ambiance les ramène très vite à ces souvenirs encore perdus, enfouis au plus profond de leurs songes, mais qui sous l’effet de la musique, ces basses, cette Charlé qui bougent, ce bar, ces bouteilles, comment ne pas se souvenir. Comment ne pas se rappeler ces nuits, celles qui, les liaient inexorablement les liaient tous les deux, leur corps, leur esprit. Non, tout cela il ne pouvait pas l’oublié. Mais lorsqu’on se rappelle les bons moments, ou se souvient également des mauvais, ceux qui font mal, ceux qui rendent triste, ceux emplis de colère. Tous, ils sont destructeurs.
Elle ne peut alors que fondre en larmes. Des larmes chaudes. Des larmes de nostalgie, lui donnant un impression d’avoir loupé quelque chose. Et pourtant elle a essayé, mais c’est si difficile. Alors elle tombe toujours et encore. Il ne voit rien, car lui aussi il souffre. Et puis finalement il se reprend, il fait abstraction de toutes ces horreurs. Et il la prend dans ses bras, dépose une petit bourse sur le bar, demande confirmation du regard au barman et s’en va, montant les escaliers, quatre à quatre. Il claqua la porte de la chambre, et il la posa sur le lit… dur. Là elle se réveilla. Là elle le regarda en essuyant ses larmes. Et il la serra contre ses bras puissants mais usés. Il la regarda une dernière fois, mais il se perdit dans ses yeux, et il plongea à même d’elle, les deux être se rencontrant, dans un long moment sensuel…

Ils s’aimaient, et rien ne pourrait plus les séparer.

Le lendemain, tout était calme. Il était tôt, aussi. Thylieme dormait encore. Elle vida son sac sur la chaise, et enleva son long voile, presque nue dans la chambre. Là, elle regarda attentivement les objets qui étaient placés devant elle. L’armure de Sholrack, le couteau d’Israhil, et surtout le collier de Scorpus… Un objet tout puissant, que personne n’avait jamais réussi à dompter,.. sauf elle. Elle plaça la maigre mais résistante armure sur son corps frêle, elle s’arma du couteau, le rangeant tout près de sa poitrine, et enfin, s’incrusta de son collier. Thylieme, réveillé par les éclats de lumières qui ruisselaient sur le métal pur, dévisagea Lidhyle, restant dans le lit, à l’apprécier du regard. Alors elle saisis un autre grand voile bleu et s’enroula dedans. Il cachait tout cet attrait militaire qu’elle n’aimait pas dévoilé, et comme toujours, elle était ravissante.

Les deux amants se dirigèrent alors de très bons matins vers le palais de Théran. Là, ils passèrent facilement. Ils avaient tous les droits, ils arrivèrent donc dans une petite cour. Là, Jin, Dame Kourai, Fusion, Firuba, Sir Soul, et un homme, dans une grande armure.

Quand, doucement, Firuba l’invita à se relever, Lidhyle ouvrit ses grands yeux ronds, intriguée. Elle regarda afin d’obtenir un signe de confirmation Thylieme, qui restait dans ses pensées.

*Cette hommes, c’est…*

Auteur : Larmes de Béryls
20/12/06 10h53 | 19 Aquan 3725

En Commoragh les choses s'agittaient, comme dans tous les Etats le Vent se faisait très violent. Mais malgrès ce problème de climat, les troupes se rassemblèrent sous une unique bannière. Les milliers de soldats embarquèrent dans les multiples vaisseaux prévu à cet effet. Et ainsi la force de frappe de la Cité de Marbre se mit en marche pour l'Hégémonie finale.

Du haut de la tour de la Cité, Wyrda surveillait ses hommes qui prenaient place. Wyrda savait que son role n'était pas de mener cette force au combat, mais il devait rejoindre les autres pour la quete de la sixième. Il n'attendait que l'arrivé de Phi pour prendre congé et changer de lieu.

Ce dernier ne se fit pas trop attendre, après s'etre excuser auprès Kyrhyle, il prit sa navette pour se rendre dans la Cité. Et ainsi mener les troupes à la victoire. Pendant que Phi motivait les troupes pour des assauts continu et une Hégémlonie totale, Wyrda suivi les Vents pour se rendre là ou les autres s'étaient déjà rejoins.

Les colonnes de lumières dégagées par la rencontre des Wizards fut si aveuglante et attirante que Wyrda ne mit pas longtemps avant d'arriver. Puis devant les regards curieux des personnes en préscence Wyrda dit avec un ton léger:


"Je remplacerait le Prescient durant cette quête, car dans sa ferveur il voulait mener les troupes au combat sans passer par quelqu'un pour donner ses ordres."

Wyrda n'était pas du genre discret deux mètres de hauts, trois cornes en travers du visage, de la peau rouge semblable à du cuir, et deux grandes ailes avec lesquels il pu parcourir la distance s'éparrant la Cité du lieu de rendez vous en peut de temps.

Puis le message laissé par Eiko lui vient à l'esprit, cette mélodie magnifique lui rendait la vue car enfin il sentait que le Vent pourrait peut etre l'aider à retrouver Nemessos et ainsi completer sa mémoire défaillante, vu que d'après Phi c'est Nemessos qui sait qui il est réellement. Ainsi Wyrda avait deux objectifs durant cette quête d'abord aider à trouver la sixième puis retrouver Nemessos qui est quelque part dans le Voile.

Auteur : Fusion
23/12/06 12h10 | 22 Aquan 3725

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En Noldor

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Fusion revenais de son rendez-vous avec les autres Wizards. Ils avaient une mission, mais le grand Conseillé avait les mains Liée. Il ne pouvait trahir les wizards, qu'il avait pour la plupart formé, mais il ne pouvait pas non plus se résoudre a lutter contre le Grand Conseil. Il se trouvait au sommet de la tours d'ivoire de l'Isshadik, Capitale de l'Imperium Noldorien, construite sur le même schéma que l'ancienne Osghilitah. Les terres, devant le sité fortifiée qui avait, quelques heurs plus tôt, étés occupé par des milliers d'unités de combats, étaient désormais désertes. Ses armées étaient partie renforcé l'hégémonie, et Shalaïl-Hulud lui même n'aurait put arrêter les armées du Zéphyr.

Assit au chente de la table ronde du conseil du Laansrad du Noldor, il observait les terres qui se trouvait visible, dans l'Imperium. Tout était désert, et un silence oppressent se faisait sentir. La ville attendait les premières nouvelles des armées, sur les 2 divisions Noldorienne... 27% des armées Wizards, Merde!

Assit au centre de la table ronde du conseil du Laansrad Noldorien, a la commende de son esprit, tout les volet magnétique de la salle s'obscurcirent. Il faisait sombre, maintenant, dans la pièce parfaitement ronde, et fusion méditait, seul. Au bout de quelque temps, il appela la demoiselle d'une pensée. Nivaria Kenthar entra dans la pièce.


"-Vous m'avez demander, Maître?
-Tu n'es plus obligé de me nommer ainsi, Nivaria. mais oui, je t'aide demander. Tu es désormais chef de l'Imperium, et Mahaï du Zephyr. Ils t'attendent au palais Shadowsong. Des Questions?
-oui... Que vas tu faire?
-Se que tout bania ferais.
-L'exile.
-Tu peux sortir? j'aimerais rester encor un peut seul.
-Oui, Bilal Kaï-fa, Mahaï
."

Elle était parfaite, songea fusion en voyant la nouvelle Impératrice du Noldor quitté la pièce. Elle remplirais son rôle a la perfection. Les Wizards seraient forcé de faire confiance a la dernière décendante Kenthar, que même le Shadowsong avait craint. Sevoh~Thar et Exictix avait eut raison de faire naitre l'enfant. Mais Nivaria dépassait infiniment la puissance que ces deux là avaient obtenue...

Le Grand Conseil allait avoir du fil a retordre avec les Wizards d'Eïko, Grand Conseil auquel Fusion avait prêté serment. Il ne pouvait trahir Terluan, mais ne pouvait pas non plus trahir Théran. (hrp: vous avez bien choisie vos nom de persos vous deux ><) il avait les mains liée.

Elle serait parfaite, Dame Nivaria, la Kenthar Slivoïde, Mahaï du Zéphyr Bulterien, Dirrigente de l'imperium Noldorien, et Meneuse des sombres Croisades. Elle serait parfaite avec ses nouveaux titre, qui écrasaient les enceins. Il fondrais simplement que la Noble dame arrive a s'imposer, mais Aucun doute n'était permis sur ce dernier point, elle réussirait.

Le Grand Conseillé se devait d'aller préparer ses affaires. Un exile se déroule sur les 5 planètes. la première escale serait sur Desertica, et le chasseur monoplace qui était destiné a son trajet était déjà prêt, il le savait.

Il se leva, alors que le volet de la pièce s'ouvrit, alors qu'il sortait. Il jeta un dernier regard sur la salle du Conseil, qu'il ne reverrait probablement pas. Les escaliers Imperial qui conduisait jusqu'à l'assenceur lui paraissaient inexorablement long, la dernière fois qu'il les empruntais. Le chasseur était prêt, décollage.

Alors que le vaisseau s'élevait dans le ciel, il observait pour la dernière fois l'Isshadik, et le Noldor.


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Direction le Palais Shadowsong.

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Ils s'étaient réuni a quelques Kilomètres du Palais du Shadowsong. Les rats Puants et infectes qui arrivaient a entré dans le palais, et surtout a en ressortirent vivant, avaient révélé la présence d'une pièce dans le palais. Enfin, il y avais plein de pièce dans le palais, mais une seul intéréssaient les Wizards. Dans les sous sols du palais, non loin de l'une des salles de méditation du Shadowsong.

Jin avait mis les wizards en Garde concernant les sous sols. le voile était en proie a d'intense déchirure au niveau du palais, et des démons mineurs risquaient de pouvoir surgirent a tout moment. Cette nouvelle avait beaucoup excité Nivaria, qui n'avait nullement besoin d'artéfacts pour être extrêmement puissante.

Un rapide conseil se fit. A eux 7, aucune barrières, même celle des Shadowsong, et aucun démon ne pourraient les repoussés, surtout en contant les 2 démons présent dans le groupe, qui d'ailleurs n'avaient toujours pas été dévoilé. Ils avensèrent donc vers les jardins du palais, en direction de l'entrée, dans le but de trouvée la 6eme.


-On arrive bientot? nan parsque j'ai faim, et envie de faire pipi...

Le chemin allait être long et la tache compliqué.

Auteur : Doxman
24/12/06 12h59 | 23 Aquan 3725

On arrive bientot? nan parsque j'ai faim, et envie de faire pipi...

Les sept marchaient. Chacun son allure, Dame Khentar prenant juste le pas d'Hitsugaya. Les cinq autres suivaient le pas, suivaient la direction imposée par le guide, le génie. Déjà les premières barrières se sentaient trépassées sans le moindre mal. Kourai se souvenait-elle d'Adam ? Le Sanctuaire des Anges ? Il était aussi venu ici. Les Wizards marchaient. Faisant souvent quelques détours pour en éviter les inutiles pièges. Pièges qui empestaient le Mana à des kilomètres à la ronde. Ils pénétrèrent dans une forêt, une forêt épineuse, au fruits sucrés une forêt de tendresse et de sacrilèges.

Les sept marchaient désormais dans un silence de mort. Ils escaladaient lentement les quelques branches qui étaient en travers de leur route. Chacun un chemin différent, chacun une zone une grande surface, nulle peur du milieu, nulle peur ne se justifiait. Une odeur mielleuse commençait à s'emparer des odorats Wizards. Cette odeur empestait le piège, Jin pris à sa droite, vers un immense arbre, une tronc de quelques mètres de diamètres, et des fleurs de l'envergure d'un aigle. Tout le monde le suivit, la moitié du groupe longea le côté gauche de l'arbre, l'autre moitié le côté droit. Mais une fois les sept mètres de l'arbre parcourus, les scissions ne se retrouvèrent.

Laxisme... Erreur Une.


Retourne à eux. Fais demi-tour ne t'écarte jamais de leur décision, montre toi obéissant et dorénavant évite de réfléchir. Pour l'instant, Jin est le meilleur et le seul à pouvoir vous guider, bientôt vous aurez à combattre, alors contente toi de le suivre et concentre toi pour les échéances futures.
Allez Helbï.

Oui...


Helbï, Lydhyle et Firuba firent demi-tour, en vingt secondes ils se retrouvèrent aux talons du reste de l'équipe. Jin avait sentit et les avait attendus. Les voilà réunis. La forêt se terminait souvent par un pseudo-démon plus créature enchanteresse que terrifiant assassin. Les sept arrivèrent, le danger commençait à tendre les muscles, les gouttes de sueur de certains s'arrêtaient sous la pression de l'air, qui de pas en pas augmentait. L'objectif et adversaire était en vue. Helbï lança un regard à Lidhyle et Firuba, tous trois se comprirent immédiatement. Ce serai la Nuée Divine. Offense céleste donnée par les démons Azhar aux rares révolutionnaires des enfers. Formation trio, la puissance esseulée de ses trois guerriers ne suffiraient à invoquer le Vent démoniaque. Helbï courra vers la cible, Firuba appela quelques milliers de lianes, lianes de lierre. Lidhyle restait derrière et se concentrait. Helbï esquiva une frappe du démon. C'était un combat au corps à corps, Helbï se contentait d'esquiver les coups, son agilité décuplée, son instinct surdéveloppé, merci aux ingrédients magique de thé.

Trois Wizards en action, une créature du Shadowsong incapable de les toucher, et quatre Wizards, assis là jugeant les nouvelles recrues. Méprisable et minable pseudo-démon de papier. Ca y est, Lidhyle se leva, en même temps Helbî stoppa une double frappe du Démons, d'une seule main avec une facilité déconcertante, il était la tête en bas, les pieds dans les airs. Il s'accrocha au bras du monstre, entoura ses jambes autour de son coup, il se redressa sur sa tête, avant de se balancer en arrière et rattraper deux jambes qui se préparaient à courir. Un bras bougea, Firuba lança deux lianes et les coupa sans le moindre soucis. L'ossature de ce monstre démoniaque avait l'air aussi tendre qu'un bon beurre doux. Pour plus de sécurité Firuba immobilisa les bras au sol. Lidhyle frappa la terre avec ses paumes, un nuage noire s'en évapora des feuilles de lierre complétant cette opaque Nuée. En une fraction de seconde le sortilège se précipita sur sa cible, elle la transperça. Le démon n'était plus qu'une multitude de lambeaux qui dés demain nourriraient les quelques carnivores de la forêt. Helbï atterrit entre Lydhyle et Firuba qui déjà avaient repris leur place à l'arrière des meneurs. Ce dernier se grattait l'épaule, une feuille l'avait touchée...

Auteur : Fusion
24/12/06 15h37 | 23 Aquan 3725

3 des Wizards avaient fait leur oeuvre, un des pions de la sécurité décadente venait de se faire haché menu. Pas plus mal, en effet, sa fera un bon engrais, cette saleté. Bref, Jin ouvrit prudemment la marche, et les sortis tout les 7 de la forêt. Ils approchaient maintenant du palais, au moment où Nivaria commença a se questionner, sur un évènement s'étant passer longtemps avent.

"Qui a dit ça?

De quoi?

"j'ai envie de faire pipi"."


Pas de réponse. Un peut tard la compréhension. Derrière eux, ils entendirent un petit rire malfamé, se fit entendre. Les anciens du Groupe pouvaient tous le reconnaitre, car il ressemblait machiaveliquement a celui du Shadowsong, possédé par le démon. Nivaria se retourna la première, dévisagent le vide, de ses yeux bleu sur bleu. Rien.

Tous comprenaient maintenant, alors que des taches d'ombres se réunissaient pour ne former plus qu'un cors, Un Ombre. Il avait les cheveux cours, foncé, et des yeux bordeaux, les trait rabougrit et ridé. L'un des sbires du Maitre des Ombres, du Shadowsong. Alors que Jin faisait un pas en arrière, Nivaria, elle s'avança.


Celui si est a moi.
Allons petite Kenthar, Laissez moi la sixieme, et vous aurez la vie sauve.
Depuis Quand la parole d'un Ombre vaut elle quelque chose?


Un vent se fit soudainement sentir, renforcent la puissance de Nivaria, et diminuant l'Ombre. Les Wizards se reculèrent, Connaissant la puissance des Pions du Shadowsong, ils auraient l'occasion de tester cette nouvelle recrue. Lydhyle sentait d'ailleurs un peut de peur, au fond de son coeur. Mais peut-il y avoir du courage, sans peur?

L'ombre Siffla


Erbadéra regnéta

dans des gerbes d'ombres, Nivaria et L'Ombre au nom inconnu disparurent.

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Dans un Lieu Inconnu

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-Et bien alors, Nivaria, tu te doutais bien que je ne pouvais te laisser me trahir ainsi?!
-A pars toi, qui parles de Trahison?
-C'est ainsi que tu travailles au retour du Shadowsong?!
-Je t'ai promis qu'il reviendrais, Artha. Il reviendra.
-Et c'est Gignoles avec qui tu fais équipes, ils font partie de la décoration?
-Fusion et moi sommes d'accord. Face au Wizards, le Shadowsong ne tiendrais pas. Mieux vaux les avoir avec nous que contre nous. Ils sont digne de confiance.
-C'est a moi de choisir qui est digne de confiance!
-Oui, mais ce n'est pas a toi de me donner d'ordre! Allons, Artha. Le Shadowsong reviendra.
-C'est toi qui le dit petite Sotte
!

C'était la phrase en trop. Une boule de feu brillait maintenant dans la main de Nivaria, a la lumière de laquelle on distinguait la salle de méditation du Shadowsong. Nivaria fut sous le choc. L'Ombre avait put l'envoyer ici, sans y être lui même.

-Oui, c'est moi qui le dit. Et sans moi, tu n'iras pas loin, alors fait moi confiance.


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Palais Shadowsong

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Pendant ce temps, les 6 Wizards restant se questionnaient. Personne ne savait si Nivaria était encor en vie, ni si l'ombre avait été tué... Le temps jouait contre l'équipe, mais Helbï, et Jin cherchaient a retrouvé la trace de la Kenthar, jusqu'à présent en vain.

Quelques minutes plus tard, elle réapparue, de là ou elle était partie, a califourchon sur Jin.Le groupe explosa de rire, mais Nivaria retrouva rapidement son sérieux, se relevant de son fougueux destrié.

Elle leur expliqua qu'elle n'avais pas put tuée l'ombre, car ce dernier aurait prit la fuite. mais...

Auteur : Narkia
28/12/06 00h39 | 26 Aquan 3725

Elle suivait. Ils étaient tous devant. Elle commme la jeunesse intégré, elle regardait Firuba, qui le précédait dans le calendrier galacticain. La forêt était vierge. Elle n'en avait jamais vu de si belle. Si belle te pourtant dangereuse. A chaque pas, elle risque sa vie, ils risquent leur fierté. Ils peuvent à tout moment tombé dans l'amertume d'avoir échoué cette quête. Ils suivent leurs pensées, car seules elles peuvent les mener loin, les mener au bout.

Là où ces pirates modernes auraient tranchées, auraient dégouté cette terre puérile de leur produit vets, elle savourait, elle épinglait de ses mains douces les jeunes pousses, les jeunes feuilles et les vieux troncs. Elle dansait en harmonie, autour de ceux-là. Et ils ouvraient leur bras, pour l'acceuillir dans leur monde de joie, leur monde de dignité, celui où tous sont égaux, tous sont libres. Personne ne commande, personne ne dirige, toute action est récompensée, car elles sont bonnes. Elle comprenait ces êtres, qui souffraient d'une présence restée trop longtemps à torturer, trop longtemps à tourmenter des âmes innocentes. Des créatures démoniaques, partout les messagers de la Dame les trouvaient. Ils les épiaient. Ah ! Belle personnification du monde naturel, celui qui autrefois regnait. Maintenant tout cela est fini, une large époque du monde infinie comme une page tournée. Elle, la petite fleur Lidhyle ferait tout en son pouvoir pour, non pas ramener cette société quelque peu anarchiste, mais pour redonner cette place si importante qu'elle avait. Pour ramener une utopie que beaucoup ont tenter de réaliser.

Un vent fébrile... Le Zéphyr ? Trop court, sans émotion, il n'était pas celui qui les avait tous conduit. C'était un autre souffle... Plus brutal, plus animalier, presque bestial. Quelques feuilles plissent sous son maigre travail, les racines crépitent en entendant cette note fausse. Des petits nuages de poussières, à peine détectable, signe d'une force, qu soulevait des fragment de la terre sous son pas cadencé, son pas terrifiant, son pas injustifié.. ce pas inconnue.
Les Wizards marchaient. Pas de sûreté, de la prudence certes, mais de la seirénité tout de même. Lidhyle, intirgué par cette présence qu'elle seule avait apparement décelé se retourna. Elle plongea ses yeux fins dans l'immense jungles. Et là, plus rien. Ce souffle, ce son, cette note, ce pas... Tout avait disparu. Que faire contre un rêve, une hallucination, une image de l'esprit... Elle continua sa route, du moins celle que les pieds des ses frères traçaient à l'improviste. Et en regardant Helbï, qui s'écartait du groupe, dans des songes que lui seul comprenait, elle remarqua trois tâches noires à ses pieds. Trois tâches, longues, qui se dessinaient le long des hautes herbes, se faufilant entre les branches et les poussée naturelles, trois tâches qui malformaient la silhouette forte d'Helbï. Trois ? Oui ! Trois ! C'est impossible. Elle leva les yeux au ciel, confirmant la présence lumineuse d'un seul soleil, et ses rayons assiègeant la forêt qui bloquait de ses ramures épaisses. Elle se projeta alors vers Jin, vers Firuba, eu aussi. Alors, affolée, elle baissa la tête, doucement, de peur de découvrir une vérité pourtant bien réelle... Trois, trois ombres. Deux de trop. Elle se retourna vivement, car le souffle n'avai pas repris sa cadence infernale. Et entre deux buissons, deux yeux jaunes. Deux yeux globuleux qui émanaient une lumière plus dense que celle du soleil ! Et le soleil ne dégage pas de mana... L'ombre si !
Elle ne prévint personne, mais elle sentait cette présence magique, puissante et violente. Elle vait peur, mais il est bien connu qu'une peur surmontée amène le courage. Là, c'était de la folie. Elle dégaina un petit bolter, et en une fraction de seconde, elle pointa. Les yeux avaient disparus, mais la violente aura non. Et elle sentait qu'elle se rapprochait, elle sentait qu'elle l'atteindrait sous peu. Peur, car jamais le feu et le fer ne peu touché la magie, jamais. L'esprit, sous sa forme psychique l'attaqua, elle ne pouvait rien faire, elle était désemparée. Elle se laissa bercée dans la danse qu'il lui imposait. Et il s'en empara. Pourtant, dans ce noir intense, un petit message de soutient : une interrogation d'Helbï lui suffit à se réveiller, réveiller sa haine et sa colère, cette colère magique qu'elle avait oubliée. Elle cria. Le collier de Scorpus réagit à cet appel si juste, mais pas comme elle l'avait espérée... Mieux ! La surface en contact avec la nuque de la jeune fille s'élargit afin de marquer un petit disque, puis des pointes se scindèrent de cette base nouvelle. Enfin au maximum de leur expension, le petit disque se planta en pleine nuque. Et au contact du Scorpus, la marque, la relique de Lidhyle se révela. Ce tatouage gravé à même la peau, à même le sang dès sa naissance, par son père, rougit, et Lidhyle se réveilla...

Elle cria d'autant plus fort, d'une douleur qu'elle n'avait pu exprimer. Cette douleur cloîtrée, conservée toutes ces années durant, années de soufrance retenu était enfin exprimée, la llibérant de toute sa tourmente. Elle puisait au fond d'elle même, et dévoilait sa vraie nature. Les barrières de son esprit se serrérent et repoussèrent l'être. Mis à mal, il reculait. Elle ne le voyait pas, elle le sentait. Elle lâcha son bolter, et couru en contre-bas, là où elle vait pour la dernière fois ses deux yeux amèrement jaunes. De son bras poussa une longue lame fine d'un acier inconnu, même par là plus avide des créatures. Et d'un seul geste, cruel mais juste, sanglant mais harmonieux, elle trancha ce qui servait de tête à la créature, et tomba, seule dans ce combat contre elle-même, sur l'herbe humide, mouillée de son sang.

A genoux, son poignet d'acier redevenu humain, elle regarda lentement Helbï, et se releva.

On approchait du palais, les vents s'étaient arrêtés. Les Wizards gagnaient...



Auteur : Jin
28/12/06 22h38 | 27 Aquan 3725

Jin traversait la forêt comme la première fois, sans jugement d'orientation, il suivait son instinct, et pour le moment tous ce qu'il lui disait était d'être sur ses garde, le démon qui l'avait marquer et Tuer Ogonek lors de son dernier passage était très proche, mais cette fois il le tuerait.

Deux heures de marche et ils quittaient la forêt vierge de Vertana, et comme Jin l'avait prévu le démon était en face de lui. Une seconde, le temps de faire voler son équipement du désert et passer a un équipement moins encombrant pour le combat et il courait vers le démon. Celui ci ne bougeait pas, Jin le frappa avec Beni Hoshi, le coups traversa une image résiduel du démon qui attaquait déjà Jin. Il se retourna et une gerbe de Feu s'écrasa contre le démon, puis il eut deux coup d'épée, les bras du démon tombèrent a terre, le feu entourant la main gauche de Jin se fit plus intense, et une boule de feu énorme fut projetée sur le démon.

Un petit tas de cendres se dispersa au vent frais qui tomba après le combat, Jin avait gagner avec une plaisante facilité, personne ici ne l'avait jamais vu combattre, et encore moins avec Beni Hoshi, a présent personne n'avait le droit de douter de sa puissance.

Il continua a avancé, perdu dans ses pensées, seul deux personnes ici savait a quoi il pensais, Nivaria, et Eiko savait qu'en ce moment il se préparait, la prise de contrôle du sénat l'amènerais a combattre de vieux amis, a tuer des personnes innocentes, mais a présent que Fusion le premier des Feydakin Rouge était en exil il devait veiller sur Dame Eiko d'Aelia-San et sur la dernière descendante Kenthar.

Un enfant-Dieu, la puissance de Kenthar, et de L'Edar Warren Shadowsong, il aurait pu a l'age de 16ans se mouvoir ou il voulais, une nouve*u Chapelier, mais a la puissance monstrueuse. Mais a cause de se soif de pouvoir le Warren était mort, et avait rompu notre chaine de naissance pur, par cet acte il venait d'empêcher la venu de notre Dieu.

Enfin ce temps était révolu, il devait prendre le pouvoir pour que le Zéphyr purifie la galaxie, et ainsi restaure le voile, et empêche la venu du centre.

Jin dit pour lui même :
"Fusion où est tu quand on a besoin de toi"

Auteur : Narkia
17/07/07 18h21 | 3 Desertan 3725


Je ne savais ni les conséquences de nos actes, ni les effets que cela produirait. Quoiqu'il en soit, après une longue marche de peine, de tristesse, de colère, ou d'amertAume, nous arrivâmes tous à la destination voulue...
Ce fut de nombreux mois plus tard, des heures d'attente, crispée, sur un lit, une chaise, un bureau, à regarder seule le temps qui variati au fil du vent sur Désertica. Inutile de narrer comment nous avions fait, ce que nous avons endurer. Rien que de penser l'Arabiahne seule pendant d'interminables semaines de recherches me mettait un dégout profond pour cette quête, qui a bien failli tous nous tuer sur le coup. Et si ce ne fut pas nette, comme je l'aurais imaginer, il ne fallut guère plus de temps pour que nous soyons tous séparé, au profit d'un combat, d'une défaite, de quelques paroles et trahisons habilement placées par-ci et par-là. Mais très vit, je me rendais compte, soutenue des yeux par Helbi, que cela n'avait pas ou plus d'importance. Il suffisait de marcher, de tuer, d'espérer, de craindre, et tout irait bien, on nous avait dit. C'est cette confiance aveugle qui nous a perdu, il me semble. Pas lorsque Thé tenais dans ses mains soyeuses la boule, la sixième qui nous liait tous, cette sphère, remplie d'un vide intellectuellement incompréhensible pour nous... Mais nous l'avions. J'osais presque me retourner vers la joie, l'espoir, la confiance. Mais le voyage du retour fut tout aussi désastreux que les multiples jours coincés dans les dédales du château du Shadowsong... Dans le noir, l'humidité, pis ! la moisissure. Il avait laissé après sa chute un immense bordel, qui devait nous empêcher d'entrer. Mais nous n'étions ni n'importe quoi ni n'importe qui. Au delà de toute espérance donc, nous ramenièrent la sixième sphère, objet de notre convoitise, sans blessures quelconques, avec le même nombre de Wizards que nous étions partis... Je parle bien évidemment de blessure physiques. Il en existe toute autre, qui me touchèrent bien plus que les simples griffes des monstres de la jungle maléfique.

Elle étaitl à, sous nos yeux redevenus enfant. Là, se créerèent divers sentiments, qui amenèrent la suite des évènements, et surtout leur directoin, c'est à dire mauvaise, pour nous.


C'est la fin d'une longue épopée qui marqua l'Histoire de Galactica. Tout ce dont je puis espérer, c'est que chacun conserve à jamais ce souvenir, cette terrible épreuve que nous avions infligé à tous. Sauf à moi... Je ne puis vivre avec cette histoire dans ma petite tête, tant d'éléments y sont déjà entassés de ma propre vie. VOila donc le pourquoi du comment. Mettre un terme, une fin, bonne ou mauvaise, chacun choisira sa voix, mais je ne pouvais laisser un deuil rester en suspens comme celui-ci. Ce fut une aventure heureuse et périlleuse. Si je dois tourner cette page chargée d'encre rouge pourpre comme le sang, jamais je n'oublierais, ces amis les Wizards qui m'ont accepter parmi eux, et avec qui nous avons fait tant de chemin jusqu'au but ultime. Je ne jugerais ni ne critiquerais personne, chacun a fait ce qu'il a fait, et maintenant, le passé restera à tout jamais le passé, afin qu'il n'encombre plus ce présent qui a tant à jouer. Pour ma part, je partirais heureuse, de tant de chose vécues, malheureuses devant toutes ces blessures que nous avons provoqué, chez moi comme chez d'autres. La sixième.. fut la dernière des neuf, voila pourquoi, elle clos un chapitre violent mais impressionant de notre histoire à tous.

Je n'oublierais jamais Thé.
Je n'oublierais jamais Soul of Alastor.
Je n'oublierais jamais Firuba.
Je n'oublierais jamais les autres, qui ont décidé de faire une croix, à un endroit précis mais personnel de leur vie.
Je clos, je réouvre peut-être, mais personne n'avait l'intention de le faire. C'est fait, aujourd'hui, je n'ens suis pas plus fière.

Surtout, n'oubliez jamais pourquoi vous êtes ce que vous êtes et ce pour quoi vous vivez aujourd'hui, le passé importe peu, maintenant.

Lidhyle Nalashadd