Siège de la Corporation Galactique > Les Cendres Célestes et leurs microbes

Auteur : Azath, Seigneur d'Antioch
22/03/07 16h25 | 36 Vertan 3725

Cela faisait pas mal de temps qu'Azath n'avait pas foulé le sol de la corporation galactique. S'il n'y avait pas eu ces attaques depuis qu'il était indépendant, il aurait passé ses journées à se pavanner et à boire du bérichampagne.

Mais il a fallu que des microbes viennent parasiter sa belle forêt. Et ça, c'était quelque chose qu'il ne pouvait accepter.

Ayant tronqué sa bure noire pour une robe blanche immaculée, chose inédite pour un ancien maudit, Azath ouvrit une salle pour déclarer à quel point certains dirigeants pouvaient être faibles d'esprit.

Enfin, le principal était qu'il soit resté vivant. Sinon que serait le monde sans lui ?

Une foule curieuse s'était amassée. Azath se mit à parler :


"Bonjour,

Les cieux sont un exemple pour nous. Jadis, les hommes et les femmes chérissaient le ciel et vénéraient les créatures angéliques comme des êtres de bonté. Mais les cieux peuvent être très trompeurs. C'est peut-être car ces êtres de lumières sont tombés en cendre d'où une explication de la déliquescence de leur mentalité.

Je parle des Cendres Célestes, alliance qui a peu apporté dans cette galaxie, crée pourtant par un être de raison et délaissée par des êtres misérables.

Ils sont tellement courageux qu'il s'en prennent à trois contre un indépendant. C'est peut-être au cas où ils n'y arriveraient pas. C'est vrai que niveau destruction j'ai vu mieux. Pourtant, les bombardiers étaient là et ils pillonaient comme un paysan qui sème ses graines.

Et bien sûr, aucune raison n'est venue illustrer leurs actes de barbarie.

Comme tout ancien maudit qui se respecte, l'Etat d'Antioch a défié l'un des plus puissant états des Cendres Célestes : Evoila. Les dégâts sont sans précédents. Toutes les structures ont été rasés afin de laver leurs affront. J'ai ensuite passé l'éponge malgré une riposte rapide d'Evoila et une volonté à m'écraser.

Ce message s'adresse à vous Régent de l'Evoilà. Je ne veux pas de votre guerre. Je me fiche de vous et de votre peuple. Vous me laissez indifférent. Et si vous ne comprenez pas et bien tant pis pour vous. Je déploierai toutes les ressources nécessaires pour infliger de plus grands torts sur votre Etat."


Azath se rassit et attendit une réponse de son éventuel ennemi. [/i]

Auteur : jp
22/03/07 16h55 | 36 Vertan 3725

tous comme le seigneur Azath le dit ; c'est aussi l'une des rares occasion que le regent foule se sol pavé de luxurieuse fresques magnifiquement peintes par des artistes admirables
De somptueux lustres ornés le couloir menant jusque la salle ou le seigneur se tenai.
A de grande enjambées, il se pressa d'aller à sa rencontre !! son regard était vide , son visage ,les traits tirés par se qu'il venait de se produire , était noir

il ouvrit la porte avec poignent , et dit


Tous d'abord ,je n'ai agis qu'en mon nom ! et non en celui de mon alliance , les plusieurs courriers que mes coursiers vous on transmit vous l'ont répeter plus d'une fois ! et en aucun cas je ne vous permet d'insulter mon alliance de la sorte , le petit microbe comme vous osez m'appelé ne vous a pas manqué de respect de la sorte , vous faite parti des personnes qui prennent les gens de haut , mais vous n'etes qu'un vulgaire cafard ; vous et votre égo vous pouvez vous le coller ou je pense .

Le regent essaya de se calmer pour pouvoir d'exprimé de sorte a se que tous le monde le comprenne

Si j'ai agis de la sorte , c'est que dans cette galaxie tous me semble morose , mon armés s'ennuis ! ils sont las des entrainement intensif que je leur fait subir ! il veulent de la chair , du sang ! et la , apres votre passage , ils demandes vengeances .
Certe je n'ai pas hésité a attaquer votre état , mais !!! vous avez largement compensé vos pertes et c'est ainsi pour sa que je déclare haut et fort dans cette salle ! que cette altercation ne s'arretera pas la


le regent reparti en lancant un regard noir au seigneur Azath en lui faisant comprendre que ce n'est que le debut d'une lutte acharner entre son etat et le sien

Auteur : Narkia
22/03/07 18h05 | 36 Vertan 3725

Cercla flanait dans les couloirs inactifs du palais. Les secrétaires étaient en vacances, et la salle vidéo en travaux. Alors qu'il s'était assis sur un petit banc d'aluminium, on annonça dans un haut-parleur, qui avait perdu tout de son éternel teint, qu'une nouvelle salle était ouverte, et que divers camps et partis y disputaient quelques discordes.
Il s'y rendit à grand pas, croisant les restes du fonctionnariat galacticain, et pénétra doucement dans la salle, sans éveiller les sieste des uns, et les ardeurs des autres.

En face, le seigneur Azath lui fut facilement reconnaissable, il buvait toujorus son thé au café avec quelques céréales immergées dans la boisson rafraichissante.
A son côté, .... un homme ... finissait sa phrase.
<<vulgaire cafard>>
Cercla sourit devant le ton que prenait lea dispute, et s'asseya, écoutant d'une oreille fine les mots que .... qu'il... que l'homme plaçait les uns derrière les autres, sans grande réussite..


- C'est bon ? Oui, je vous demande si vous avez fini ? Vous allez me dire, enfin ! Parce que j'allais m'assoupir.

Il regarda Azath, qui lui tombait sur son dossier. Ses paroles le réveillèrent.

- Non, parce que, je voudrais pas m'imposer, moi j'ai plein d'autres trucs à faire !
Bon, d'accord, je reste alors !


Il souriait, montrant toute ses dents, et une lueur noire commença à briller dans ses yeux...


- Monsieur, puisque vous n'avez pas de nom, et comme statut une bassesse de régence (...); sachez que je représente ici l'Arabiahne, ancienne terre maudite, et donc allliée et amie de l'Antioch, et pour des temps à venir, encore ! Je représente donc le camps des cafards ! Vous auriez pu choisir le nom un peu mieux tout de même, parce que là, vous m'obligez presque à réagir. Face à nous, ce n'est pas ces mots qu'il faut employer, parce qu'en utilisant toute la réthorique présente dans la comparaison, que vous cachez fort bien entre vos lignes, d'ailleurs, eh bien j'en déduis inexorablement que vous êtes et restez un microbe, et nous des cafards. Pour ma part, je m'en sort à toute aise et en franchise, je suis bien heureux d'être visible à l'oeil nu, alors qu'il vous faut dénicher des heures durant dans des lunettes de taille astronomique, encore que la technologie fait des siennes par ses temps immémoriaux...

Il fronça les sourcils.


- Vous voyez comme vous êtes ! Vous êtes tellement violencé par la violence de nos gestes violents, que vous oubliez de réfuter la position que l'on vous à proposer, et vous en balancez une autre s'en prendre compte des éléments antécédents. Il ne faut pas s'emporter mon cher ! Si vous voulez bien faire, inversez la vulgarité dans votre sens, et annoncez que si nous sommes des éléphants, vous êtes des mammouths ! Et là nous pourrons pleurer sur l'immense détresse de notre situation impensable.
Je vous prierais donc, pour demain, 10 heure dans ma salle de classe, de me ramener votre dissertation sur l'inversion temporale de la vulgarité dans une défense de paroles. Sans quoi je ne pourrais accepter vos requêtes, et refusez votre passage dans les 400 meilleurs places de notre établissement. Me suis-je bien fait comprendre ?


Ses lèvres se plissaient, ironiquement.

- Non, rassurez-vous, les erreurs sont faites pour avancer, et je ne fais cela que pour votre bien !
La prochaine fois, vous reflechirez plus à vos mots, tout simplement, et vu votre potentiel d'énonciation, vous devrez facilement y arrivez.


Il salua le... enfin la.... bref l'homme de régence et s'asseya sur une chaise de bois. Refoulant ses cheveux violets, et la jeunesse encore fougueuse sur son visage, il demanda la recette de la boisson d'Azath, qui semblait ... je ne trouve même plus mes mots !

Auteur : Azath, Seigneur d'Antioch
22/03/07 18h17 | 36 Vertan 3725

Très très amusant, mais puis je vous rappeler que nos deux alliances sont alliés ? Vous êtes sur d'être avec nous ?

Le Seigneur des Ténèbres sentit son démon se tortiller sous l'effet de l'excitation. Mais d'une simple pensée, la créature se tut. Reprenant sa respiration, il continua :

"Cher régent, je suis désolé de vous avoir traité de microbe, vous et votre alliance. Je vous ais sous-estimé." Dit il d'un ton plus calme.

"En vérité, vous êtes d'énormes microbes. Votre caractère sonne le glas de la stupidité la plus extrême. Votre parasite qui est dans mes hangars en est la preuve.

Parlons justement de ce chasseur qui se situe chez moi, vous avez jusqu'à 23H00 de ce jour pour le retirer ou j'accomplirai une action pernicieuse.

De plus, je demande aux chefs de nos alliances de s'exprimer sur ce problème. Si le régent d'Evoilà sème la mort sur mon peuple à grande échelle, je reviendrai sur ma décision. Un membre des Cendres Célestes subira le même sort. Il se peut que l'Etat Narvalot ou Snowland, Etats qui m'ont bravement attaqué avec l'Etat Evoila afin de constituer un semblant de cerveau soient des cibles privilégiées.

Après tout, si vous voulez du sang, pourquoi pas ? Je ne suis pas un saint, je le reconnais. Mais ce sera le sang de votre alliance que je répandrai. Plus le votre car je vous trouve désormais insignifiant et je ne souhaite pas chercher votre flotte dans l'un de vos états gelés, bien au froid dans des hangars comme vous l'aviez fait du temps où l'Oracle Maudit vous avait rossés.

Non en fait l'idée d'un conflit m'enchanterait. Mais j'ai prêté serment à mon nouveau chef, le dirigeant d'Ucatsu avec ce que cela implique.

Alors ? Toujours décidé à me faire la guerre ? A moins qu'un sage prenne la parole et conteste ce conflit..."


Azath s'installa à nouveau sur son siège et attendit. Il s'empressa de donner la recette de son café aux céréales avec la dirigeante Cercla.

Auteur : jp
22/03/07 18h20 | 36 Vertan 3725

Se que venait de marmonai Cercla le faisait bien rire

Vous osez dire que je vous insulte de cafard ; alors que je ne parlé qu'a Azath , vous vous sentez touché ? vous vous prennai pour son garde du corps ! ou bien pire ! sa mère !!

Bref comme je l'ai dit ceci ne regarde que moi et le seigneur d'antioch , et si MONSIEUR ne sait pas se debrouiller seul comme un grand , il ferait mieux de rester là ou il est , car personnellement , votre arrivé en ses lieu me laisse perplexe ...

Vouloir sortir votre science infuse ! Blablabla .. vous n'avez que sa a faire ! votre tribu de zoulou vous apel il me semble ! alors remballez votre sachet de cacahuette et retourner d'ou vous venez ! vous n'avez pas de place en cette salle , mise a part passer une coup de balai


il faisait des va et vient dans la pièce , en ce demandant qui sera le prochain blaireau qui pourrai venir lui chercher des noises , comment peut ont rentré ici s'en vouloir prendre peine de bien comprendre les probleme et sortir des tas d 'inopsis de ce genre la

il prit quan même la peine de saluer la salle et de dire un petit message avant de retourner à ses occupation

Tous ceci n'est que le debut de se que vous avez provoquer !

Meutri dans l'ames par se qui venait de se passer , il s'en alla

Auteur : jp
22/03/07 18h30 | 36 Vertan 3725

A peine avait-il fini sa phrase que le seigneur Azath resorti sa langue de plus belle

Vous me dite que nous alliées ? pourquoi somme nous alliées oui dite le !!

Après votre attaques vous vous etes refugier dans cette alliance et ne croyais pas que vous y etes couvert !!

Je vois que nous avez toujours la même arrogance que lorsque vous etiez chez les om et malgrés l'acharnement qu'ils ont pu avoir sur nous , nous sommes toujours en vie , contrairement a vous qui avait fuit dans d'autre alliance , car l'alliance om n'es plus et ne sera plus

Alors trève de baliverne , et reglons se conflit entre nous et non en y melant nos alliance respectif , qui, je sais non rien demander de tous cela


il attendit la reponse de se "soit disant" seigneur en allant se poser contre le mur les bras croisés

Auteur : Narkia
23/03/07 19h23 | 37 Vertan 3725

L'âme détendue, le corps reposé, Cercal s'alongeait sur un petit siège de bois. Il buvait des nectars tous différents, et s'adonnaient à écouter le... enfin l'... bref l'homme en face de lui. Il s'était rapproché d'Azath, de sort que tous deux, vu sous un angle précis, ne faisaient qu'un. Les paroles, il les buvait comme le contenu de son verre. Vite et facilement, elle sonnaient claires dans sa tête, qui tournait, et tournait encore.
Quand il vit, enfin, la... le... l'homme s'essoufler dans une colère rouge, qui aurait virer rapidement au noir s'il n'avait pas atteint les limites de son "soi".
Il aligna alors un large sourire, et regarda son homologue, même s'il pensait que le mot n'était pas réellement bien choisi...


- Ma science infuse... D'après-vous, ici, en ce lieu même, est-ce ma tête astucieuse et judiscieuse ou vos muscles beau-parleurs et votre langue fourchue et vile qui remporterait une victoire morale ? Dans un autre sens, vous n'auriez pas tort. Effectivement, c'est bien arrogant de ma part de déballer tout cela sans que je fasse preuve et arguments, mais je n'ai pas eu la véhémence de me citer plus intelligent que quiconque. Cela, c'est vous qui le dîtes et qui l'affirmait de toute votre volonté, je serais donc, bien obligé de vous croire !
De plus qu'il ne m'ait pas très ardu de courtiser avec quelqu'un qui écorne tous ses mots, qu'il ne sait pas choisir d'ailleurs, et qui pour se défendre ne connait que la vulgarité de la langue et l'artifice qu'est la présnece militaire.


Il s'assombrit. Ses yeux se plissèrent, et il prit sa mine sévère des premiers jours de souffrances.

- Non, je ne suis pas un débutant de tout nouveau jour. Vous ne me connaissez pas, et pourtant vous feriez mieux de prendre attention à ceux qui n'ont pas peur de vous prendre tête. L'ignorance doit être mêler à la méfiance, sans quoi c'est s'enfoncer naïvement et trop surement dans la bataille sans issue. Je ne continuerais pas, ma biographie ne vous intéresse certainement pas, et je n'ai aucune envie de la partager avec vous. Mais sachez que vous auriez tort de sous-estimer tout le monde autour de vous. Même lors de notre plus grande opulence, jamais nous n'avions arrétez de vous craindre, et comme vous vous en vanter si bien , si l'on vous regarde aujourd'hui et si l'on vous regardait hier, alors on pourrait noter évidemment une évolution. Mais sachez que votre situation n'est pas plus commode qu'à l'habitude. Vous vous pensez fort, mais vous êtes parmis ceux qui n'ont pas progressé. J'arrête. Je n'ai pas à faire votre procés, je me pencherais sur vos vomissements précédents.

Il regarda Azath.

- Cet homme ne m'est pas inconnu. Vous n'êtes pas non plus la sagesse personnifiée. Vous ne connaissez pas tout en ce monde, et les amis que nous avions autrefois, nous les garderons toujours. Il fait parti de ceux-là, et même des meilleurs, avec qui nous avions un passé, nous avons un présent, et nous aurons un avenir. Vous ne pouvez vous douter de tout ce qui bouge dans les entrailles du Lievanta et de tout le reste d'une galaxie souillée par vos croyances.

De quel droit pourrais-je rentrer ici et disputer ?


Il sourit.

- Le droit que tous ont ici. L'Hégémonie est terminé, et ce n'est pas vous qui la remettrait en place. La parole est à qui veut, et chacun en profite comme il peux. Ici, je m'intéresse, et je soutiens un ami, un frère, qui plus est, un collègue. Et si vous l'insutlez lui, alors vous m'insultez moi, et encore beaucopu d'autres qui n'ont pas que cela à faire que de repousser vos assauts ambigüs.
Votre perplexité ne m'interesse pas, et je l'a prendrais moi, à parti. Le sujet lancé, vous l'avez presque déjà oublié, et vous devez être heureux de mon intervention, pour déballer votre cours, que vous récitez faux.
Si mon discours vous a paru arrogant, c'est bien que j'aime m'amuser avec les mots et avec ceux qui ne savent pas comprendre les petits jeux que je propose. Je ne sais rien de la puissance ni de la sagesse. Je me souviens juste que certains mentent et que jamais quelqu'un ne saurait dire la vérité parfaite. Vous n'êtes pas mieux que les autres, tout comme moi, mais je ne me rabaisserais pas devant vous parce que vous avez un nombre plus important de soulis dans vos hangars de militaire.


Il avala une nouvelle gorgée, et reprit sa parade, la mine sérieuse et tendue.

- Vous n'apportez rien. Vos actes sont immondes et peu respectueux. Vous n'avez rien à proposer à cela. Vos arguments sont ceux que nous avions autrefois. L'ennui. Mais à ce stade précis, vous nous insultiez comme de vulgaire chien, ce que je ne ferais pas (vous l'aurez bien noté).
Vengeance ou mauvaise foi ? La vengeance vous l'avez déjà eu, nombre des notres sont tombé devant vous. Alors mauvaise foi. Vous ne valez que cela, d'une manière ou d'une autre.
La fuite que vous nous présentez, c'es celle que vous aviez faites également, au début de l'air maudite que nous avions annoncé. Mais ne vous inquiétez pas, il nous faudra moins de temps que vous pour réagir. Jamais nous n'avons été désorganiseés, et nous ne le serons pas par le passé. En ce moment même, l'amitié et la complicité nous lient une nouvelle fois, et mes frères se rassemblent. Je n'annonce rien. Je ne prédis rien. Je dis tout simplement que nous ne tomberons jamais, et même si vous au néant total, nous resterons à jamais graver dans la mémoire de Galactica et de ses chroniques ancestrales. Vous ne pourrez jamais morceler le devoir de mémoire que beaucoup entreprendrons.

Vous êtes nous, mais ignobles et sans reflexion. Vous ne valez la peine que d'être réfuter, et laissez donc vos insultes à la porte de cette salle. Car les seuls contact que j'ai eu en privé ne m'ont guère impressionnez, et je me doutez même de votre réponse. Mais j'aime bien provoquer et voir la haine et la déshumanisation de notre système, par l'homme et contre l'homme, bafouer les valeurs de l'homme...


Il se rassit, essouflé lui aussi...