Siège de la Corporation Galactique > Ces coups bas sans nom
Auteur : Aelendil
11/11/07 15h28 | 45 Galan 3726
Un homme de cinq cent soixante quinze années, la barbe légèrement poivré, un oeil vif, des dents dune couleur nacrée, habillé dune façon quasiment banal, des habits de citoyen dAquablue de lEst, déambulé dans les couloirs, sans tourner la tête ni a gauche ni a droite, il remarqua seulement la porte dune salle défoncé par on ne sait qui ou on ne sait quoi, il arriva devant secrétaire chargée des réservations des salles elle semblait apeuré, prête a pleurer, il la dévisagea puis lui sourit
-Encore quelquun de pas content nai-ce pas? Il a lair de vous avoir fichu une sacré frousse...
- A qui le dite vous... Elle regarda autour delle et se rapprocha de lhomme puis lui chuchota a loreille, cest le Corégent du Mikanésia, Firuba Sendénoï, il nest pas quelquun de foncièrement mauvais, mais na aucune patience... Mais ne lui répétez pas ce que je viens de dire, il pourrait revenir me voir... elle avala sa salive ce qui montrait son état de choc après sa mésaventure.
Excusez-moi, mais, QUE puis-je pour vous ?
Ma fois cest assez simple en somme, je souhaiterais ouvrir une salle une grande salle, rien de bien sorcier en somme. Il se retourna et regarda les deux gardes puis, regarda a nouveau la jeune femme assise devant lui.
Je vois... Il me faudrait des renseignement quant a savoir qui louvre et pourquoi, déclinez votre État et votre Statut juridique dans celui ci.
Et bien rien de bien difficile en somme, je suis Ael Lindama, Président de lAelendil et du parti du peuple, sous la direction de notre Chef la Grande Magnificence Ilundaïs et de Meldonis, le Grand Maître, je suis mandaté par ce document que voici.
Il tendit une feuille de papier a la secrétaire qui la lu, et pu voir que toutes les autorisations des autorités de lAelendil était en bonne et dû forme, elle mit le document dans une machine, qui scanna la même feuille plusieurs fois, puis remis lune de ces feuilles a Ael Lindama.
Merci beaucoup, voici la clé magnétique de votre salle la n°124, au fond du couloir, prenez les escaliers sur votre gauche,puis remontez deux étages, vous y serez arrivé.
Merci beaucoup mademoiselle, jespère ne pas me perdre. Il ria sur cette petite plaisanterie quil venait de faire.
Il passa la porte enfoncée, puis alla vers le fond du couloir, en chemin il pu voir en tournant sa tête le Régent Firuba Sendénoï en pleine conférence, il lui fit un hochement de tête pour le saluer, puis continua sa route, il arriva aux escaliers, puis les monta en prenant tout sont temps, il nétait pas bien pressé, il savait que lAelendil ne courrait aucun danger pour le moment, il arriva a la salle, enfin ce disait il cette promenade dans les couloirs n'en finissait pas.
Nous y voici enfin... cest pas trop tôt faudrait quils fassent des plans ici, on sy perd vite avec tout ces couloirs, escalier et étages...
Bon alors si je me souvient bien...il faut activer ceci, et ... heu ... ah oui ca ... faut activer sa et sa...
Une voie féminine se fit alors entendre.
...........................................................RÉSEAU DE LA SALLE ACTIVE ... ÉCLAIRAGE ACTIVE ... SYSTÈME AUDIO ACTIVE .............................................................
................................................................Votre conférence peut commencer quand vous voulez ..................................................................................................
Bien Bien Bien cest parfait sa marche AU POIL
Ael Lindama se frotta dans les mains, puis sorti une bouteille quil avait apporté, une boisson incolore, mais qui dégageait une odeur forte dalcool, il pris un verre puis sen versa un verre, quasiment au bord du verre. Il but alors son verre cu-sec, puis grimaça un petit peu, tant la boisson était forte, il posa son verre sur une petite table non loin de lui.
Sa vaut pas ce quon fessaient y a cinq siècles... On voit quil y a du laissez aller... Faudra que jaille leur toucher deux mots... Enfin bref, on ai pas la pour parler biquette et picole.
Il monta sur lestrade, puis sorti un petit tas de feuille, quil avait préparé a lavance pour son discours. Il fit un test du micro puis commença enfin son discours.
Seigneurs, Seigneurs, despotes despotes et autres titres divers glorieux ou non,
Il regardait cette salle quasi vide, comme toujours quand un homme de lAelendil venait faire un discours dans ces lieux.
Je vous salue, je suis Ael Lindama Président de la République Fédéral de lAelendil ou RFA si vous préféré, je suis président du parti Mouvement des Travailleur un parti qui a réunit tout les continents de notre belle Planète, je vient ici au nom de ce parti et de notre magnificence qui na pu se déplacer aujourdhui... Pour des raisons que je nai pas a expliquer.
Je sais par expérience que les discours de personne venant de lAelendil ne valent pas le coups pour certain car nous sommes relativement faible militairement, étant donné que nous sommes pacifiste.
Enfin bref, je tourne autour du pot la.
Je suis ici pour exposer quelques points qui énerve énormément le peuple de lAelendil et pas mal dautre peuples.
Je vais commencer par le commerce, quelque chose qui nous tien a coeur sur lAelendil, étant grand vendeur dune ressources que certain semble si friand... Nous trouvons anormal que le commerce ne soit pas réglementer en effet, certains États que je nommerais ÉTAT VOYOU, Ael Lindama insista longtemps sur ce mot tant il lui semblait approprié, qui trouve tout a fait normal dacheter des ressources a un États puis de sinviter chez le même dirigeant en son absence pour lui voler la recette de la vente, évidemment sur ceux qui ont la puissance militaire ne sont jamais inquiéter sur ce point comme TOUJOURS...
On ne peux avoir le beurre, largent du beurre et la fermière sur les genoux pardi ! Trouvez vous normal que personne ne vendent plus ensuite?
Sagit-il de lâcheté? Sagit il simplement de cupidité?
A une époque ce genre de pratique nétait pas monnaie courante, cétait même plutôt rare ce genre de pratique... Et je déplore lagissement de nombre de chef dÉtat qui pratique cette technique lâche et ignoble... Vous voulez des ressources sans payer? et bien produisez les! Sa coûte juste du temps et rien dautre...
A oui, jallais oubliait, il sourit alors de son oublie, Le Nécrolia normalement dune alliance amis vu quil appartient a lAPR, nous a vraisemblablement acheter notre fameuse marchandise, et nous a ensuite bien évidemment attaqué malgré l'alliance en vigueur encore un exemple de ce système de rentabilité a lextrême... Et nous pensons dailleurs et nous le déplorons que ce genre dincident pourrait se réitérer... Ce qui nous fait penser a une chose a QUI pouvons nous faire vraiment confiance? la réponse est bien évidemment presque personne...
Il sapprocha de la petite table ou il avait posé son verre, versa le fameux liquide incolore, puis le bu dune traite, sans broncher, il inspira profondément, puis repris sa place sur lestrade, et continua son discours.
Second point de mon petit discours qui séternise a mes yeux...
Trouvez vous normal quun jeune État nouvellement créer qui tente de se développer, soit attaquer alors quil nexiste que depuis quelques jours? Je pourrais si je le souhaite donner des noms mais nous ne sommes pas dans un tribunal, néanmoins je trouve ce genre de personne de inhumain et digne du système économique de beaucoup dÉtat tourner vers la rentabilité a lextrême quel quen soit les conséquence, même si cela peux engendrer la destruction dun État qui ne demandait qua avoir sa place dans lunivers actuel.
Ael Lindama commença a descendre de lestrade se disant que sûrement tout le monde lui rirait au nez, mais il nen avait cure, il avait dit ce quil avait a dire.
A vous qui venait sûrement me traiter de menteur de Bolchevik de Rouge de lancien temps, oui je le suis, et nous ne nous en portons pas plus mal, mon discours comme je lai dis Meldonis le Grand Maître de lAelendil, que de toute façon ce discours ne servirait a rien et que rien ne pourra changer dans lunivers vu la façons de penser de bon nombre de chef dÉtat ce croyant tout permis même limpensable...
Mais bien sur, a vous de me prouver le contraire, si vous êtes de mon avis... Il eu un sourire en coin en essayant de dire mais comme je le sais déjà vous êtes sûrement tous pourris jusqu'à la moelle. Il ria a plein poumons, puis alla sasseoir dans un siège en bois, au couleur rouge, et jaune.
Auteur : Doxman
11/11/07 19h35 | 45 Galan 3726
Il, marchait. Il arpentait une terre qui désormais était la sienne, usant à volonté des mille et un portail mise à la disposition des Grands Conseillers, il visitait toutes les salles, même les vides. Dans sa poche intérieure, une petit voyant s'alluma. Tous en même temps les Grands Conseillers reçurent l'information, la salle numéro quelque chose, venait de reprendre du service. L'un d'eux est demandé sur les lieux. Théran approfondit la recherche. Ouverte par un envoyé de l'Aelendil... Un sourire mesquin et amusé vint animé un visage baffé par le travail. Il alla au bout du couloir, derrière un faux mur, dissimulateur d'ascenseur pour Conseillers.
Il arriva directement à quelques pas de la salle. Enfermé dans son petit appareil super space. Il percuta un homme, lui aussi pressé.
" Maître. Veuillez m'excuser. "
" Tien, Ouzine...
Quel bon vent t'amène mon Ami ? "
" Je file l'envoyé d'Aelendil depuis ce matin. Je me doutais qu'il viendrait se plaindre de nos méfaits du crépuscule... Ca faisait si longtemps, j'avais hâte d'en humilier un autre. "
" Et bien... Je te laissera la parole dans ce cas. "
" Maître. Je ne me permettrai de vous devancer. Ne vous privez pour moi. "
" Je suis envoyé par le Grand Conseil, tu ne me devances de rien. Au contraire, tu m'enlèves une épine du pied. "
Théran termina par un signe de tête, un aval. Sans la moindre réaction, Ouzine débuta la marche. Théran emboîta le pas. Ensemble ils entrèrent dans la grande salle.
Comme par hasard, ils arrivèrent au moment où le discours était encore en préparation. Il s'assirent, Théran prêt de l'estrade, d'une telle manière, qu'il toisait toute la salle. Ouzine, lui, dans un recoin, réservé aux ordinaires, avec un certain rang sociale tout de même. Se lever le démangea tout du long...
Pendant ce temps là, Théran se découvrait de nouvelles passions pour la bonne bouffe. Les plats mis à disposition des grands conseillers, loin d'être important en quantité, était d'une finesse rare. Habitué à ses lourds alcool, qui câle brièvement mais assurément l'estomac, il était émerveillé. Et ses oreilles s'éloignèrent bien vite du torrent d'allusions d'Ael Lindama.
La fin approcha à grands pas, Ouzine était déjà levé. Les yeux de Théran décollèrent enfin de son assiette...
" Serait-ce une attaque ?
Une offense envers notre personne ? Nous nécroliens ?
Oui, dans ma fougue, j'en éparpille mes manières. Ouzine Malamba. Ministre de la diplomatie Nécrolienne. "
Théran pouffa brièvement de rire... Tu parles d'une diplomatie. L'école des avocats oui, comment défendre les trois cent causes les plus indéfendables qu'il soit. Un jeux auquel Ouzine s'était imposé champion. C'était peut-être de là qu'il avait tiré son nouveau nom : ministre de j'saispasquoid'où.
Théran passa un coup sur sa table, une goutte d'eau était tombée, lorsqu'il rit.
" Oui, enfin. Passons Maître.
Je venais juste, étoffer votre pauvre gouverne, qui comme votre passé semble bien désert.
Le Nécrolia n'est plus Aurore. Cela depuis plusieurs semaines. Et... Dois-je aussi vous rappeler que le dernier vertanien en qui vous devriez avoir confiance, c'est assurément notre Général Ophausore. Responsable depuis quelques mois des pilages intensifs et en étroite collaboration avec Adam Norfolk, notre économe en chef.
Après, je ne serai apte à me défendre tant qu'il n'y a accusation. Alors, formulez autre chose que des vérités générales, si vous souhaitez du changement. Merci. "