Siège de la Corporation Galactique > Le Cercle Accusé

« Depuis trop longtemps maintenant nous nous sommes laisser manipuler, depuis trop longtemps maintenant nous avons subit…. L’heure n’est plus à la soumission… »

Aujourd’hui, l’Ennemi est la ! Il se cache et se tapis derrière cette colline ! Il se cachent car oh combien il sait ! Il sait que jamais, Il ne vaincra ! Alors il est temps! Il est temps, il est l’heure, l’heure de se reveiller, il est l’heure de les briser, de se révolter, de tous ensemble ne former qu’un, un seul et même groupe pourfendant l’ennemi ! Car lui, tremble, il tremble car il sait, il sait qu’aujourd’hui, IL NE VAINCRA PAS et nous, serons sans pitié !!


SECTION !! EN AAAVAAAANNNTTT !!!


La guerre, toujours et encore la guerre…

Depuis quelque temps, une nouvelle ère s’était levée sur l’Univers. Une ère de paix, une ère de commerce, une ère de renouveau.
Depuis peu, les hommes avaient réussis à changer, dans un mouvement collectif, ils avaient mûrit. Un bref instant… ils avaient sut, ensemble communiquer.

Paysans, hommes, Seigneur, …, Aurax en avait rêvé de ce jour. Ce jour ou un commerce équitable enfin serait établi. Ce jour, … ou, ensemble …. Tous ensemble …
Il s’était longtemps battu sur les prix, faisant la course au rabais, il n’avait de cesse que de réussir pacifiquement à tous, leur faire utiliser des valeurs équitables des échanges honnêtes permettant le développement de tous ! Ses armes, les chiffres et la parole.

Pourtant, tel un rêve, la réalité le rattrapa.

Du sang, encor et encore du sang. Ce sang signe de vie, et pourtant signe de tant de morts….

Ainsi, tout avait commencé en Aldébaran.

Ce jour funèbre où, rouge de ce sang, un envoyé revint mourir aux pieds de son Seigneur afin de lui porter les derniers exploits, les dernières paroles d’un état détruit, un état ouvert à vif, saignant et gisant à terre après cette terrible foudre que fut l’armée envoyée par le Cercle.

De survivants, ils n’y en eu pas ce jour là. De la pitié non plus…


L’Armée du Tewen était entraînée, elle savait ce pourquoi elle venait. Nul but de piller… Nul but honorable de Guerre pour la gloire, de Guerre pour l’honneur, l’honneur de faire vivre un idéal, de lui donner son propre souffle, sa propre vie pour que cet idéal puisse s’envoler !

Non ! L’Armée du Tewen n’avait qu’un but ce jour là! Un seul et unique but… La destruction totale, la mort de tout un état ! La mort de milliers, de millions d’êtres vivants. Nul but honorable… Seule la mort, Seule la destruction ….

Mais là ne fût rien encore comparé à la suite… Ces nuits de sangs, ces matins assassins.

Le Cercle en avait décidé ainsi ! La Société du Commerce devait payer ! Elle devait payer pour sa traîtrise ! Pactiser avec l’ennemi, commercer avec la Fédéralis. Ils devaient subir pour cela le châtiment suprême ! La mort, la destruction totale de cette alliance de commerce ! Cette Alliance qui avait osée rompre avec le traditionnel commerce ! Rompre avec ces pactes commerciaux honteux !

Ce fût dès lors un bain de sang, une orgie …. La Société du Commerce n’était pas prête ! Elle qui se voulait pacifiste ne savait comment réagir…

« C’est de la mort que naît le sens de la vie ! »

Section halte !

Dans un mouvement commun, le ras de marré humain envahissant la colline et surplombant la vallée fit halte.

Une halte, …

Le silence envahissait à présent la plaine… une pause, le temps qui s’arrête, le vent qui souffle, frais de sa brise légère il caresse les visages, allège les armures, fait danser la prairie.

De l’autre coté, la mort, l’ennemi…

Mes amis !

Parcourant à cheval son armée de long en large, un Seigneur meneur tentait d’inspirer à ses hommes le courage de combattre, le courage de faire face et de faire vivre cette idéale…

Mes amis !

Aujourd’hui est notre jour ! Ce jour où ensemble nous allons vaincre ! Ce jour tant redouté! Et face à nous est l’armée du Démon ! Cette bête sans cœur ayant égorgée nos amis, violer leur enfants, détruits leurs maisons !

N’oubliez pas ! N’oubliez pas notre Charte à tous ! N’oubliez pas ce pourquoi vous êtes tous ici réunis !

N’oubliez Jamais !


Aurax … ce petit homme, cet insignifiant Seigneur…

Il était enflammé, il faisait face… face à son armée, face à ces centaines de milliers de soldats réunis dans un même et unique but, il était face à ces milliers de vaisseaux en tout genre, face à ces mages, ces hommes, face à cet ennemi, brandissant cet idéal….

Magnifique avec son amure, il portait haut l’étendard de L’Iwachika Skazusa, L’étendard de la Société du commerce, l’idéal dans un étendard…


Mes amis ! N’oubliez pas !

La Société de Commerce n’a pas de but militaire, elle se veut pour la paix et les échanges simples et seins, de ressources.
Pour autant, elle est constituée d’anciens Seigneurs de Guerres. En ce sens, elle sera capable de riposter à toute attaque hostile de la part d’un état ou d’une alliance.
Afin de satisfaire à la protection de ses clients, elle mettra un minime pourcentage de ses ressources acquises dans l’armement de ses membres afin d’être en mesure de riposter à toutes atteintes à l’encontre de la Société de Commerce ou de l’un de ses fidèles client.

Aujourd’hui est le jour ou nous feront respecter notre volonté, notre idéal !

Ce fut des hurlements, des rugissements, des lions enragés, qui se mirent tous d’un ensemble à crier au et fort le nom de leur Seigneur !

Lorsque enfin, dans un élan magnifique, le Seigneur Aurax, de toute sa puissance sortie l’épée de légende du fourreau et la brandit tel l’ultime pourfendeur du mal, et dans un galop effréné parti, l’armée de toute une nation se lança à sa suite.

Le Noir de l’Iwachika se répandait sur la plaine telle une vague s’étend sur le sable ! Tel le vent souffle sur les hautes voiles des navires ! En un éclair, le vert se transforma en une mer noir d’hommes aguerris prêt a tout pour défendre leur idéal, leur vie, leur famille…


Ceci n’est plus tolérable !

Quelques jours plus tard, à la Corporation.

Il n’est pas tolérable que mon Alliance, une alliance créée dans le but de commercer, se laisse détruire, piétiner, raser !

Les Armées de L’Iwachika se sont levées une fois déjà afin de protéger ses intérêts ! Oui ! Je le clame au et fort ! Mon peuple s’est battu fièrement pour survivre et vivre ! Vivre dans un univers de paix, un univers ou le commerce serait le maître mot, ou l’équité serait un droit fondamental !

Jamais il ne sera tolérer par la Société du Commerce de se laisser détruire !


Je demande des explications sur ces actes barbares commis par l’Alliance le Cercle ! Je demande à ce qu’il soit expliqué pourquoi ils tuent et détruisent sans vergogne des hommes et Seigneurs de paix !

N’ont-ils que la guerre à la bouche pour ne savoir parlementer !
N’ont-ils pas de cœur pour si facilement tuer, ôter une vie et le faire dans la honte !
Sommes nous pour l’univers une si grande menace que nul mot ne nous soit exprimé afin de trouver ensemble des solutions ?

Pourquoi ne pas avoir chercher à parlementer tout simplement ?
Pourquoi ne pas avoir daigner écrire, prévenir, envoyer un messager afin de nous tenir informer de notre propre barbare !

Car en effet ! Il faut que notre crime soit universel et surtout sanguinaire et sans pitié pour que ainsi l’on nous punisse !

Déjà beaucoup ont péris par ces guerres folles ! Ces guerres insensées ! Meurtrières !

L’Ord Cestus à payer de son armée pour avoir tenter dans le plan de son alliance de tuer et piller sans relâche mes membres, mes amis, mes frères…

Son armée s’est battue vaillamment et ce tout à son honneur ! Car des milliers qu’ils représentaient ils ont suent tenir tête à des millions ! Jusqu’à la fin ils se sont battus ! Mais pourquoi ? Dite moi pour quelle cause ? Serait-ce simplement car la société du Commerce se veut de commercer avec toute personne sans que discrimination ne soit faite ?

Est ici le mobile de tant de morts ? De tant de haine ?


Donner je vous en prie Membres du Cercle une explication rationnel à ces meurtres infâmes que vous perpétrez !
Pourquoi tuer ? Pourquoi ne pas simplement parler ! Résoudre le problème et se sans mort, sans effusion de sang ! Jamais la Société du Commerce ne s’est voulu violente !
Alors de grâce ! Expliquez vous ! Expliquez nous ! Expliquez moi ….


Le Seigneur Aurax portait encor au bras droit une attelle ! Car lors de ce dernier combat, tout n’avait pas été comme prévu !

Seigneur !
Une section tient tête à nos hommes sur la colline sud ! Elle bloque l’avancée des troupes les obligeant à reculer !

Occupe toi de rassembler les chars et ordonne le repli de l’infanterie ! Je m’en vais moi-même régler le problème !

Alors qu’il arrivait au galop, tranchant têtes et bras aux passages, Aurax fut projeté au loin par la décharge reçue d’un mage kamikaze. Le souffle avait pulvérisé son canasson qui par chance lui avait servi de bouclier.

Se retrouvant au sol, Aurax se relevait seul au milieu d’une armée d’hommes farouchement entraînés.
Tentant par tous les moyens de rejoindre la section avancée, il réussi par chance à ne pas mourir pour y parvenir…mais, il perdu quelques bout de chairs…

La Section tenant tête à ses hommes n’était autre que la garde de l’émissaire de L’Ord Cestus. Et, ils ne semblaient pas se lasser d’embrocher vague après vague les armées noires de l’Iwachika.

S’était ici un carnage. L’horreur à son comble, l’homme devenant animal !
La fin…

Une boucherie…

Les solars et chars nucléaires firent leur role….

L’Armée de L’Ord Cestus Etait tombée… Aurax, grièvement blessé…




Aujourd’hui, dans cette salle, C’était des réponses qu’ils demandaient….

-C'est très... noble... comme discours. Oui, très noble.

D'une des nombreuses loges destinées à tout seigneur de fait d'une nation, la voix était douce. Elle provenait d'un jeune homme qui, d'un âge indéterminé mais visiblement adolescent, se présentait entièrement habillé de blanc et portant chevelure d'identique teinte. Son teint était pâle... mais peu importait.

Il était là, au côté d'un militaire vêtu de gris et d'acier, récitant avec une douce voix où était totalement absente la passion.
Sans vie.
Sans existence.

-Mais tout est guerre... L'économie est guerre et toute guerre évolue. Ainsi, il est dans la nature des choses que la paix succède à la guerre pour ensuite mener à la famine et à l'absence de moyen.
La guerre est le but, non le moyen.

Vous présenter votre force de par vos armes, qu'elles soient au fourreau ou non. Et présenter armes mêne à défier et à annoncer sa volonté à combattre.

Ainsi, pour cesser le combat, ne reste que l'état de désarmement, car ainsi viendra la fin de votre raçe et, donc, de ses combats.
En sois, nous pouvons dire que vivre oblige à combattre car la paix est en la mort... et il n'est que, diront certain, futile de ressasser ces faits.
Futile... bien que moralement et géopolitiquement nécéssaire.

Le jeune homme hoche la tête pour lui-même, ses yeux observant l'absolu, tourné vers l'irréelle fracture... Tourné vers l'invisible, usant de ces yeux sans teinte...
Usant de ces yeux morts.

Du fin fond de la salle, posé sur son trône, président l'assemblé, une âme se leva. Comme émergent des ténèbres, plus poétiquement : dégorgeant de l'ombre, Lord Théran Azhar se leva. Levé, il toisait presque la totalité de l'assemblée.
Gigantesque, comme rarement on en voyait dans le siège de la Corporation. Souvent, de tels rassemblements avaient lieux, mais toujours, toujours et encore toujours, dans le quartier des Amphithéâtres des Annonces.
Théran se sentait à sa place, c'était la première fois qu'il était posé sur son trône, sans se sentir mal à l'aise, sans profiter avec la sensation que cette chance était éphémère. Il avait l'esprit en adéquation avec la réalité, sa robe caressant tendrement le marbre sur lequel claquait ses talons. Son petit écusson, sur le gauche de sa poitrine, voletait au rythme de ses pas souples et sourds. Ses bras, prolongés par ses mains, étaient plongés dans ses nocturnes poches. Profondes et remplies, les poches de la toge des Grands Conseillers sont chaudes, douces...

Le visage souple, les traits ondulant, rien de rêche et fort. Son visage semblait sourire, comme toujours, mais sans cette once de mépris et cet ouragan d'ego. Sûrement cela était-il dû au fait que le débat ne le concerne en aucun point. Et qu'encore personne n'était venu le sortir de son état de satisfaction nouveau. Il progressa, jusqu'à l'estrade du Grand Conseil. Quelques marches à gravirent, ses pieds claquèrent alors un petit peu plus forts ; puis il abaissa le micro à sa bouche. Il ouvrit légèrement son gilet blanc, pour laisser transparaître ce coup nouveau, troué. Il rassembla ses mains, les frotta intensément, pour les réchauffer. En ce jour de 9 Aquan, Galactica semblait légèrement refroidie, et puis Théran était de nature frisquet.

Jeune homme...

Votre analyse, poussée ; me semble ternie par une éloge bien maigre des vertus de la guerre. Certes il existe des milliards de façons d'aboutir à un affrontement quelconque. Tout est d'ailleurs affrontement. Dans l'esprit d'un couple, autant que dans celui de deux joueurs d'échecs.

Il baissa la tête. Comme pour plonger dans un couvent de souvenirs. Pour s'immerger dans une marre de pensives. Il en ressortit, le teint grave et les lèvres horizontales. Plus de sourire apparent. Mais une voix toujours souple et saine, comme celle d'un sage, sans la gravité qui rend ses propos riches ; simplement la voix d'un savant, que beaucoup ont le droit, et ont intérêt à remettre en question. Comme on tend une fleure, sachant pertinemment qu'elle finira fanée. Un ton fin et raffiné pour outrepasser les préjugés douteux ; mais une pureté ultime pour laisser la réflexion dominer toutes pensées. Ce n'était plus de la politique, il ne chercherait que brièvement à convaincre ; il pensait incarner la vérité, sa vérité.

" Lorsque deux personnes, dites amoureuses, se trouvent seuls. Elles s'échangent des séries de défis. Jamais pour aboutir à un dominant ni même à un dominé. Simplement pour éclaircir, ensemble des zones d'ombres. Une quête est une guerre ; contre soit, ses partenaires et les embûches qui nous seront imposées.
On lutte pour survivre, et les promesses qu'on est coupable de s'être formulées, nous obligent à lutter pour celle des autres ; il y a alors guerre affrontement entre deux entités idéologiques pour subvenir à des besoins sensiblement différents. C'est la guerre, et on la retrouve partout... Que vais-je manger ce soir ? Qui vais-je piller demain ?

La paix, n'existe qu'au travers des temps morts de la guerre, les quelques intervalles de repos, pendant lesquels les humains, sont les plus proches de leur utopie. Ils parlent, aiment, donnent et reçoivent... Et cela ne dure que jusqu'au moment où ils vont compter.

Et comme tu le dis, jeune homme ; l'économie est une forme de guerre. Mais la guerre, ne mérite pas d'avoir comme successeur la guerre. I y a perpétuellement d'ouverte l'alternative de la paix. Il n'y a pas de clef à cette porte là, ni même de serrure ; je me demande encore si la porte y est. Le seul soucis, c'est qu'il faut la traverser mains dans la mains. Sinon elle vous refuse.

Alors, même toutes armes dehors. Même la langue pendante et le souffle coupé. Même enragé de colère, si vous êtes motivés pour passer cette porte en couple. La paix ne saura vous refuser. A vous d'être assez forts pour poursuivre jusqu'à la prochaine, maudite guerre. " Il traça un sourire furtif ; comprendra qui pourra... " Faire demi-tour, c'est offrir au temps le moyen d'aggraver, de recommencer, les tortures dont il vous a déjà lacéré.

Je m'arrêterai ici, tout du moins je n'embrayerai pas sur les méfaits / bienfaits de notre ami le Temps...

Si nous pouvions recentrer le débat désormais messieurs du Cercle. Nous vous en serions reconnaissant.

Théran fit un signe au jeune homme, en retournant s'asseoir. Il commanda quelques plateaux de fruits... Et autres saveurs "condimentées" qui font des Grands Conseillers des personnes aisées.

Mark Landers, officier de l'Ayreon, s'était déplacé à la corporation. Il avait eu vent du discours du dirigeant de l'Etat.
Quel pleurnichard, quel poltron se disait-il.
Il était arrivé lorsque Theran azhar avait pris la parole.

Après avoir parlé pour ne rien dire Monsieur Azhar, ... hein!? Ah d'accord LLLOORRDDD!
Je me présente Mark Landers, officier dans l'Etat Ayreon, je ne suis pas le chef, je ne suis pas le représentant, je ne suis qu'un homme avec ses opinions. Mais pas n'importe quel homme.

Il sourit. Cet homme, imbu de lui-même, était execrable avec tout le monde, ces messieurs n'allaient pas y échapper.

Vous savez ces actes proviennent d'un seul fait : Une alliance avec les Fédéralis est acte d'ignorance, de démence ou même de stupidité. Et je pense que la stupidité fait parti de votre quotidien. Aider l'ennemi numéro un ... et vous croyez qu'ils vous retourneront le compliment? Ahaha quelle naïveté! Vous vous mangerez les doigts quand vous vous rendrez compte.

Le brouhaha augmenta dans la salle. En effet, peu de gens étaient habitués.
Son sourire moqueur en faisait rager plus d'un.

« Tuer est barbarie. Vivre est barbarie. »

Elle marchait lentement vers le centre de la discussion. Son bassin pendulait hargneusement.

« Vous voulez des explications. Elle sont simples. Vous !
« Nous avons vaguement discuté entre nous, ou plutôt dans notre cercle, et nous avons admis que vous étiez un, comment dire, spéculateur. »

Elle n'était pas très calme ces temps-ci. Peut-être était-ce dû à l'ancestrale cycle lunaire ? Peut-être était-ce dû à ceux-là même qui détruisaient impunément les réserves d'acier du Système et qui les vendait de plus en plus bon marché, à tel point que bon ne voulait plus que dire trop bas pour que les planètes suivent. Elle était gênée, elle aimait bien les gens maintenant. Les regarder, les observer agir étaient d'un burlesque qui la faisait rire, assez rire pour que, dès fois, elle s'écroulât par terre, sur le sable, de rire. Elle les aimait maintenant.

« Meurtre. J'ai l'impression que vous n'avez qu'un vocabulaire limité aux synonymes de sang versé. qu'est-ce qu'un meurtre ? Une personne qu'on regrettera ou non, une araignée écrasée parce qu'elle tissait sa toile dans un coin du plafond des toilettes ? Il y a peu de différence...
« Vous ne voulez pas tuer, mourir et vous êtes le premier à le dire. Mais que faîtes-vous ? Vous tuez. Je ne comprend plus rien. Peut-être est-ce la simplicité de l'esprit humain ?
« Comprenez aussi que le mot guerre veut dire beaucoup plus de chose que vous ne le croyez. Ce ne sont pas les réponses à une spéculation pseudo-commerciale qui auront le statut de ce que M. Azhar connaît très bien.
« Vous contredites vos actes. Alors de grâce ! Expliquez vous ! Expliquez nous ! Expliquez moi... »

Ces mots avaient résonnaient de nouveau.

Une demoiselle, une femme même, peut être plus seule, bref, un être humain parmi temps d'autre. Un esprit, une âme, et pourtant si peu d'intelligence, ne pas comprendre une réponse si détaillée, c'est pourtant simple..

Smart, créateur d'Iwachika Sakazusa, cheveux couvrant son visage si pâle, une maladie ? Sa maladie, malade de ce monde, de voir l'ignorance et l'arrogance nuit dans la tête de chacun..

Le Cercle, une alliance autrefois reconnue, aujourd'hui déchue pour ne pas dire ridicule.

Bravo messieux, mademoiselle..

Smart regarda d’un œil apaisant la jeune demoiselle, son sourire laissa passer un soupçon de hargne.
Cercle, ô cercle, ou est passé ta puissance autrefois crainte, faisant à présent rire les plus petits de cette galaxie ?

J’ai entendu parlé d’une dites "fusion", rassemblant deux alliances, es ce un acte digne du cercle ? Attaquer une alliance commerçante sans même en discuter, est-ce un acte digne du cercle ? Vous connaissez la réponse.

Alors garder vos beaux discours, montrez-nous plutôt votre vrai visage, se cacher n’est plus utile croyez moi.

Rejoignant Aurax..

Oui nous allons tuer, nous allons saccager, je vais même vous violer si l’occasion ce présente, car avec tout le respect que je vous dois, salope, vos petites fesses me font envie.

Nous, Seigneurs d'Iwachika Sakazusa, Etat de paix, protecteur de la nature, commerçant des matières biodégradables, construisant des unités nucléaires aussi sainement que possible et utilisant des carburants non polluant, allons ruiner votre alliance.

Se dirigeant vers la sortie

Parler était votre seule issue, nous nous reverrons gueule d’ange..

L'Iwachika Sakazusa se leve seul contre le Cercle. Seul, ses membres de paix et de commerce n'ont jamais rien demander si ce n'est le calme et la tranquilité commercial..

Commercer, un objecti… ou plutôt un rêve..
Il faut donc croire que le pacifisme n’a pas ça place dans ce monde de guerre.

L’Ediloria avait ce même passé, et connue les foudres d’une alliance ayant suivie le parcourt du cercle.. Pourquoi changer le destin, cette alliance à été détruite, elle protégeait là nature, cette dernière à été débarrassé de belles ordures..

Ange. D'un seul coup elle se rappela de tout. Elle se souvînt particulièrement de la raison pour laquelle elle avait été là, en vie. Elle se souvînt qu'elle avait choisi son corps. Elle avait choisi d'être la tâche blanche sur le drap noir que sont les hommes.
Elle chercha son vrai visage dans ses pensées. Elle essaya de visualiser un miroir dans lequel elle se contemplait. Elle ne trouva qu'une flaque d'eau croupie et un reflet verdâtre. Elle alla plus loin. Elle tomba sur ses larmes vertes et brillantes. On lui avait dit une fois qu'elle ressemblait à une mante religieuse. Elle s'imagina avec deux gros bras et un ventre bedonnant. Elle chassa cette idée de son esprit. Mais elle revînt aussi tôt.

“ Venez donc abuser de moi, dit-elle avec véhémence. Mais avant, aller dans une bonne librairie et acheter une encyclopédie. Paix est un mot très usité de nos jours mais je crois que vous le confondez avec éradication massive et systématique, ce qui pourrait se traduire par génocide. Montrer l'exemple avant de cracher sur les autres comme s'ils étaient des pestiférés. ”

Elle en avait marre d'elle-même. Elle en avait assez de tout le monde. Pourquoi diable était-elle revenue ? Pourquoi l'avait-on remis sur pieds ?
Le Chant. Voilà. Voilà la clef. Faire rugir Vertana pour que le sable et l'eau de Desertica et d'Aquablue résonnent jusqu'à la mort de tous pour que tous ne soient plus et pour que tous arrêtent de dire " sauvons le monde ", leur monde, leurs idées, leur dictature. La Nature contre tous ceux qui la renient, ceux qui font des croix quand ils pensent faire des cercles.

“ Le Cercle n'est pas le même Cercle. Le temps s'est écoulé depuis. Le seul point commun avec l'ancien est qu'il était rond et comme tout cercle, il ne n'emboîte dans rien. Donc vos ouï-dires, s'il vous plaît, laissez les sous votre langue, arrêtez de vous faire mal. ”

Bientôt. Bientôt. Elle se répétait sans cesse ce mot. Elle le devait.

Eradication massive et systématique ?
Le résultat même d'un objectif inachevé.
Quand la haine et la violence s'entre mêle à la paix et au bon sens..
Plus rien, plus rien ne retient un fléau pour bondir, être prit pour une facette, un autre aspect de ce que l'on est, pour t'en d'ignorance ?

Nous étions pacifiste.

Il avait une poche, étroite, mais tellement pleine..
Il fit tomber quelques morceaux de papiers en tombèrent, des broutilles et autres déchets représentants ce 'nouveau' Cercle.

Là voilà.

Un lettre, tous du moins un écrit chiffonnée, quelques peu encrassé, et pourtant, d'une telle importance.

La charte, ou plutôt ce qu'il en reste de la charte de ma Société de Commerce, je vous en lit un bon, un peu d'instruction ne fait jamais de mal.

aruhmm

"La Société de Commerce n’a pas de but militaire, elle se veut pour la paix et les échanges simples et seins, de ressources.
Pour autant, elle est constituée d’anciens Seigneurs de Guerres. En ce sens, elle sera capable de riposter à toute attaque hostile de la part d’un état ou d’une alliance."

Voila, vous vous êtes attaquer a une alliance ayant des principes plus que juste.

Triste..

Un problème ? Pardon ? La Fédéralis ?
Mademoiselle, nous commerçons, pourquoi épargner une alliance ? Nous sommes pour l'égalité et nous n'excluons personne.

Maintenant, nous prendre à la légère est tout a votre malheur, nous n'avons pas attaquer le Cercle, mon alliance est seine à la chartre, aucune entorse n'a été signalé.
Et pourtant, des flottes de l'Ayreon, du Lénupio, pour ne citer que ces ordures sont venues souiller nos terres, souiller mes terres.

Vous attendiez vous à recevoir des fleurs jeunes demoiselle.
Les utopies n'existent pas, vous devriez le savoir..
Maintenant, il est trop tard.

Lalalallallaa..
La simplicité, c’est la clef de la réussite, attendre, sa approche et on cueille.
Bien à toi, Tewen..

Hihihiii ! Vous êtes plutôt amusant tous.
Cela doit bien faire .. Hof .. Depuis le début que je suis votre joute verbale. Certaines interventions plaisantes, mais beaucoup n'ont finalement eut que pour but de me distraire.

Hihi !

Noter déjà que le pleureur originel n'est pas intervenu alors qu'il demandait des explications.

Hihi !

Peut-être a-t'il eut ce qu'il voulait ? Ou bien souhaitait-il juste mettre une confusion certaine ? En tout cas, il a réussit. Et c'est amusant !

Hihiiii !

Tout d'abord, donc, remercions notre piètre orateur !

Lex se mit à applaudir bruyamment. Les individus présents ne comprenaient pas la situation. Une voix se faisait entendre, mais impossible de voir l'interlocuteur. Seule une partie des personnes pouvait apercevoir le bruyant énergumène. Il était allongé, par terre, en toute simplicité & sans complexe, plein de désinvolture, les yeux fixant le plafond.

J'vous rassure tout de suite, je ne prend le parti de personne. Pas qu'cela à faire non plus. Mais j'aime jouer, alors jouons !

Héhé !

Déjà, le pleureur muet et tous ses compagnons qui s'en prennent au Cercle. C'est quoi cette idée d'absolument vouloir discuter ? Les flots de paroles ne sauveront pas vos fesses, pensez un peu, idiots !
Vous vouliez qu'ils vous annoncent votre mort peut-être ? C'est vrai, ça aurait été très malin de la pert du Cercle de vous avertir de leurs attaques, puis vous laisser le temps de vous préparer. Après tout ..

Ridicule ! Hihi !

Il s'interrompt un instant afin de se masser l'épaule droite.

Aaaaah ! Je sais ce que je veux, j'voudrais bien un bon massage par une belle femme ! Ensuite, j'pourrais ..

Oups !

Sentant le silence peser, il se dit qu'il allait peut-être attaquer des détails .. pas forcément utile. Lex ria à cette pensée.

Hihii !

Je m'égare, non ? Bref.

Votre diplomatie, c'est bien, mais c'est gavant. Si vous faites des conneries, assumez les ou réfléchissez avant. L'échange de ressources, c'est bien, mais avec un ennemi universel, faut pas vous étonner d'être devenu une cible.

Couillons qu'ils sont ! Héhé !

J'ai pas envie de faire de la philosophie de comptoir comme les précédents interlocuteurs, ça plombe l'ambiance.

Rien ne vaut un peu d'agitation !!

Il finit sa phrase en s'étirant à même le sol

Aller. J'vous laisse continuer, j'ai déjà trop parlé

Sortez de là, et retournez dans votre zoo, l'animal. Votre rire m'agace.

Si chaque présence est la bienvenue, la sienne était pitoresque, il n'en teint compte que par cette phrase éphémère.
Il était peut-être intelligent, sûrement même. Mais il ne servait à rien.
Faust le laissa.

Il regarda :

Une dame.
Plusieurs monsieurs.
Aurax n'est pas là. A sa place, Smart.

Ignorance ? Stratège.
Démence ? Opportunisme et foi noire.
Stupidité ? Intelligence.

Voila, ce que je changerais dans votre discours, dirigeant de l'Ayeron.

Il lui sourit volontiers.
Ils ne savent donc rien. Ils sont donc si peu en avance ? Ou faut-il tout leur expliquer ? Soit. Allons-y.

Faust s'était posté derrière Smart et Aurax, comme un fidèle second. Il était resté dans son ombre, et n'apparaissait que maintenant.

Je doute que vous me connaissiez, je suis Lord Faust, un représentant parmi tant d'autres.

Il n'y a pas de mauvaises ou de bonnes actions : il suffit simplement de savoir les comprendre, de pouvoir les tourner en notre faveur.
Aujourd'hui, Fédéralis est la plus grande puissance... la plus riche. Pourquoi ne pas en profiter ? Nous sommes arrogants, et ambitieux, alors nous plongeons dans le piège qu'ils nous tiennent. Logique. Seul l'imbécile refuserait l'argent qu'on lui proposerait grâcement.

Seules les remerciements de ce commerce compteront...

Trahison ? Corruption ? Tout était possible, mais Faust n'en dit pas mot. Il n'avait pas à le faire, il fallait laisser leur imagination se persuader d'elle-même.

Si vous avez violé ne serait-ce qu'une ligne de notre charte, vous deviez avoir vos raisons. C'est pour cela que nous sommes ici. Mais vos paroles fortes de sens, sont vides d'arguments. J'en conclus ainsi, que seule cette alliance vous chagrine.


Il n'y a pas deux chemins : aujourd'hui Aurax est en guerre, par les principes dont il est le créateur. Je ne vois guère où se situerait notre problème... le votre par contre.

Lord Faust les regarda un à un, sans hausser ni les yeux, ni le ton de sa voix, ni son sens.

Vous... Vous êtes tous du cercle. Vous êtes L'Ayeron, vous êtes Tewen, vous êtes Minas Ithil. Vous êtes, ou étiez des grands de ce monde. Je me souviens encore de ces guerres que nous nous menions lorsque le Nécrolia trônait encore par sa noirceur et sa présence ; les Arcanes, le Cercle. Vous êtes ceux qui ont forgés ma culture, notre histoire pour beaucoup.
Je suis désolé de voir qu'aujourd'hui ces gesn-là ne peuvent pas voir plus loin que la simple signification du terme "alliance", et ses conséquences..

... Ou ce que l'Homme est capable de faire, tyrant et manipulateur...

Si vous avez changé, vous l'avez vous-même dit, vous restez le Cercle, rond et impénétrable. Et c'est dans ces vertues-là que je croyais en vous, du moins que je vous voyais : grands, fier, blancs, et beaux. Vous voila terni...


Faust rabattit sa capuche un peu plus.
Ternir ? Sombre ? Un Cercle qui s'enlise.

Il se tourna vers l'autre rigolo, qui jouissait toujours de ses blagues passées.

Aurax est en guerre. Vous n'êtes rien et ne connaissez donc pas sa fureur. Vous demanderez au Cercle où sont ses fières armées, à l'heure où je vous parle.

Maintenant, allez rire ailleurs, de ces choses qui vous importent peu.


Un signe ? Non ? Cela faisait plus d'un jour entier qu'Aurax n'avait donné aucune nouvelle.

Je ne donne pas de gagnant. Le Cercle reste le Cercle, il me fait peur. Il est seul, car nous ne sommes pas de ces plans, membres de la société, vous êtes trente. L'issue m'importe peu.

Je suis seulement triste de vous voir ainsi...

« Une légende veut que du fin fond de la terre, que des entrailles de l’enfer, il revivrait, reprendrait son trône, sa place, son ultime pouvoir…qu’avec lui, … le vent reviendrait … »

Aurax …

Tu es un faible !

Ta place n’est plus !...

………………………………………………………………………………………………………


La mort, le sang, les guerres, l’enfer, …, moi …

Déjà … Pourquoi si tôt ? …

Dans l’immense salle du Siège de la Corporation, Aurax n’était plus.
Parti soudainement sans se faire remarquer durant l’un des discours, il s’était dirigé avec précipitation dans l’un des recoins les plus sombres des jardins de la Corporation en tenant sous pression son bras blessé, comme si celui-ci allait exploser…

Ce bras, révélateur de toute une supercherie… ce bras, honteusement blessé face à cette armée de faible, cette armée de lache, cette armée défaite du Cercle, qu’Aurax lui, avait décrit comme héroïques….

Il en était trop…

Je veux sortir !

Aurax, caché derrière des bosquets de guindrilles, se mit à gémir sous la douleur.
Cette douleur qui le prenait maintenant de toute part. Son crâne tambourinait, comme martelé de l’intérieur. En lui, deux voix ! La sienne, et lui…
Son bras ne cessait d’enfler comme parcouru par une mer de peau, il semblait fluctuer… Tout son corps ainsi se mit à fluctuer… ce corps de toute part créé…

………………………………………………………………………………………………………….

Dans la salle, le silence après le passage du Seigneur Faust…
Ce silence lourd, ce silence révélateur, ce silence …

Soudain, les portes explosent, derrière elles, une ombre… Un Ombre… cette odeur, cette … couleur …

La mort, la haine, le messager du Chaos… lui…

Dans la fumée opaque dégagée par son arrivée, l’Ombre avança.

Peur ?
Ai-je bien entendu ?

Cette voix … Caverneuse… Froide, mortelle.
Cette voix …

Marchant dans ce brouillard ambiant, s’arrêtant devant un clown allongé sur le sol, lui crachant dessus de sa bave putride, il continue.

S’arrête un mètre plus loin, se retourne lentement, lui sourit avec des dents sorties tout droit d’un cauchemar, puis se retourne et reprend sa route.

Sur son passage, l’Ombre envahie la salle, de son retour, la malheur …

Le brouillard, par un artifice de la sécurité est absorbé.
Il apparaît …

Seigneurs, Le bonjour de l’Enfer.

Le Seigneur Noir, L’Ombre Maudit, la pire espèce de ce monde, lui meneur du chaos, Seigneur de sang, Seigneur sans parole, Seigneur assassin …

Il semblait comme rajeunis, Noir, toujours aussi noir, noir de corps, noir de cœur, noir d’esprit, noir dessin…
Ces yeux rouges feu, rouges sang, rouges mortel…

Cette magie putride dégoulinant de son corps, ces dents aiguisées, noires comme le charbon…

J’entends le mot peur ? Pleurer ?

Cette voix caverneuse, cette voix destructrice …

L’Iwachika se plaindre ?

L’Iwachika n’avait que trop de bâtiments ! Ils gênaient plus qu’autre chose. Aujourd’hui la place est à l’Armée. Mon Armée ! Qui enfin grâce à un pleutre, à enfin récupérer l’espace nécessaire pour entraîner une armée digne de ce nom !

Le Cercle ? Qu’est-ce donc ? Une poignée de fils de pute mal renfrognés par leurs parents ?

Ah cette heure, vous qui avez cru utiles de jouer du mot « mort » en demandant d’expliquer la valeur d’une vie, je vais vous prouver qu’à mes yeux, vos vies n’en ont pas.

Le Seigneur Noir était heureux … libre de ravager et détruire a volonté, libre d’exterminer ces misérables, libre de déchaîner sa folie, libre… enfin libre…

Vous ! Cercle ! Avez permis ma libération. Je vous en remercie.

Dans l’Ombre, un Seigneur parti en Guerre…

Lex compris que son intervention et surtout sa présence dérangeait les individus ici présents. Il souriait à cette idée. Déranger la morale. Lex, pleins d'idées & de pensées différentes, dérivées.

Parce que je suis capable de me détacher de toutes choses, vous allez me le reprocher ? Qui êtes vous, Grands ? Oui, j'admets que vous êtes les Grands de cette galaxie, vous avez fait son histoire avant mon apparition parmi vous. Mais qui êtes vous pour juger de l'importance de ma personne. Aussi Grands qu'ignorants !

Hiihiii hihihii !

Parce que je ne suis d'aucun parti, parce que vous ne savez pas qui je suis, parce que vous ne m'estimez pas, vous croyez avoir le droit de m'effacer en ignorant ma présence ? ..

Lex se leva, dédaignant ces idiots encombrants. Il se dirigea vers l'estrade pronant devant la salle quelques intervenants, tous plus ou moins beaux parleurs, se retourna vers le fond de la salle, tournant ainsi le dos à ces même intervenants. Il s'assit sur l'estrade et ..

Voyez populaces, voyez comme ils sont avec les gens qu'ils n'estiment pas de leur monde. Ils vous ignorent, ils vous rejètent. Et parce que vous ne partagez pas leurs intérêts quand ils vous portent de l'attention, ce n'est que pour essayer de vous humilier.

Se retournant, toujours assis, en tailleur, et levant la tête vers ses cibles, il reprit :

Messieurs, Madame .. Enfin je crois .. Sachez une chose, j'ai connu un être sûrement bien plus grand que vous, même que certains d'entre vous réunis.

Je vous connais presque tous.

Il ponctua sa phrase par un silence avant de reprendre.

Minable. Cela caractérise assez bien votre comportement, votre attitude, votre mentalité. Je suis déçu, je pensais pouvoir m'attendre à mieux de votre part.

Jetant un oeil à Faust, il dit :

Toi, le zoophile, si je me mettais à ton niveau, je n'aurais qu'une réponse à te donner qui illustre bien ce que tu montres valoir. "C'est celui qui dit, qui est". Ca veut tout dire ..

Héhééé !

Passons.

Les regardant tous un à un, il prononça à l'adresse de l'assemblée.

Mais cessons ces futilités qui ne doivent pas être de vos préoccupations Ô Grands ..

Hiihiiii !

Nous ne sommes pas là pour faire votre procès - que vous méritez soit dit en passant - mais pour faire celui du Cercle, en admettant qu'il y ait des raisons.

Avant de passer à autre chose, il est drôle l'affreux qui vient de passer, vous trouvez pas ?

Hihiii !

J'connais un bon ortho-dentiste, c'est presque un magicien. 'fin Bref ..

Prenant le temps de rassembler ses idées, Lex prenait la température de l'ambiance. Toujours aussi tendue quand il prenait la parole .. Décidément .. Il sourit.

Je pense qu'il y a une chose qui serait intéressante de savoir. Vous pourriez m'expliquer à quoi sert votre discussion ? J'veux dire par là, pourquoi vous voulez des explications ? Ca vous donnera quoi ? Vous croyez que vous pourrez récupérer ce que vous avez perdu ? Vous êtes encore à pleurer sur votre sort. Vous voulez des excuses ? Vous voulez quoi ?!

Il savait bien que d'autre n'aurait d'autre idée que de le rabaisser, et il les attendait vivement de pied ferme.

"Pleutres pleureurs", pensa-t-il ..

Faust se tourna vers Lex, le sourire ravageur, le regard perçant sa propre capuche acre mais propre.

Vous qui parlez si bien, vous qui n'avez ni objectif, ni prétention dans ce sujet, vous qui jouez si bien tant avec vos mots qu'avec nos émotions, je vous le demande, pourquoi êtes-vous là ?

Je ne vous connais pas, vous ne me connaissez pas. Pourtant, vous me jugez, vous nous jugez, sur des faits virtuels, des idées que vous ressortez de nos phrases que nous lançons vous et moi comme des épées.
Vous me traitez de grands, mais il vous faudrait l'être plus encore pour pouvoir me juger. Sans quoi votre argumentation n'est que subjective et donc inerte, car jugez plus haut que soit n'est pas un critère, mais bien une attaque.

Il ricana doucement, regardant par moment son petit portail qu'il avait dans sa poche pour suivre les dernières nouvelles.

M'avez-vous déjà vu en ce lieu ? Certainement, car je suis toujours derrière quelqu'un, dans son ombre, prêt à m'avancer et parler, comme m'ont appris à le faire les années pendant lesquelles j'était coupé de toute civilisation. M'avez-vous alors entendu ? Je ne pense pas. Si vous ne vous renseignez pas, vous ne trouverez même pas ma terre mère.

Alors je suis un grand ?

Mais combien de grands compte cette galaxie ! Combien de personnes vont venir ici, vous faire rire, et parce qu'elles parlent sérieusement sans prétention, sans fierté, sans hypocrisie, et que vous traiterez alors de grands ! Les seuls grands sont ceux qui ont le pouvoir physique, mais qui n'ont pas reflexion morale pour tenir leur rang. Eux ! Eux ils sont grands, dignes d'être des imbéciles que l'on insulte.

Parce que grand est une insulte. Parce que grand est une éphémère métaphore de l'arrogance et de tous les défauts de l'Homme. Le pauvre qui doit voler pour vivre est qualifié de mauvais, le petit. L'homme riche et puissant est tout aussi mauvais, le grand… Il faudra que nous soyons tous moyens pour que jamais l'on ne me parle encore de grands !

Je n'ai rien contre ces messieurs qui se la pètent. Je n'ai rien contre ceux qui volent ou qui pillent. J'ai tout contre le système. Je ne suis pas un juge d'instruction ou un larbin qui critique sans même savoir, je suis un philosophe de l'amour qui relie les choses de notre monde dans son grand ensemble. L'homme est ridicule face à la puissance du Voile, face la prestance du système. Eux sont grands ! Eux sont beaux ! Ils sont l'harmonie, ils sont ce pourquoi nous vivons, et le riche patron n'est qu'un microble à ses côtés.


Il baissa légèrement la tête puis la tourna à nouveau vers Lex.


Je ne défends que ma propre personne ; je ne compte pas communiquer ma vision de ce monde aux autres. Ils se défendront s'ils en ont envie, et peut-être n'ont-ils pas les mêmes conceptions. Mais vous, Lex, je vous ne juge pas, ni de grands, ni de petits, seulement d'un animal qui n'a à faire ici que ce qu'il a envie de faire.


Je ne vous en veux pas, mais vous qui ne vous sentez pas concernés, ne touchez pas à la soif de pouvoir que certains déballent, vous deviendrez grand alors, vous aussi. Et là, je vous attendrais.


Son visage terne s'éclaircit un peu plus. Son discours grave venait de se terminer.


Nous ne demandons pas des explications, nous en apportons. Parce que beaucoup ne comprennent pas ou ne veulent pas comprendre que dans chaque acte considérés mauvais, on peut y trouver du bon ; que beaucoup ne voit pas beaucoup plus loin que le bout de leur nez et qu'il ferait mieux de s'interroger au lieu de foncer.

Je ne qualifie ni ne défends pas Smart, Aurax, l'Iwachika, j'aimerais juste que l'on comprenne que ne nous sommes pas idiots pour autant, et que pour le moment, la Fédéralis a droit comme toute autre alliance, à sa part du commerce. Et qu'aujourd'hui, personne n'est officiellement guerre contre eux.
Nous en reparlerons le jour où cela se passera.


Encore une fois je parle pour moi. Répugnez-vous de la présence de mes amis si le coeur vous en dit. La mienne... je ne pense pas que cela en vaile vraiment le coup. Je ne suis rien, moi.

Lex commençait à apprécier ce drôle de bonhomme avec ses grandes phrases & ses idées fraîches.

Hihii !

Vous ne dîtes pas que des bétises comme je l'avait précédemment remarqué, et vous m'intéressez. Cela dit, il va vous falloir cesser de me considérer comme un animal si vous ne voulez pas que je me renseigne sur votre terre mère ..

L'oeil luisant, le sourire amusé mais vengeur ..

D'autant que vous dîtes ne pas juger ..


Bref. Héhé !

La notion de `Grand' est subjective, je sais ce que j'entend avec ce mot, maintenant, je sais ce que vous même entendez. Et je suis bien assez ouvert pour accepter votre idée.

Passons.

Pour vous appuyer, j'ajouterais que j'ai fait mon temps ici. Les gens ne m'amusent plus. Je vais aller voir ailleurs si je ne trouve pas autre amusement. Surtout que les cibles de votre débat semblent plus se cacher ..

Lex posa un temps d'arrêt. Il semblait écouter. Mais écouter quoi ? .. Les personnes les plus intriguées tentèrent d'écouter elle-même ce qui occupait Lex. Seulement, à part une brise légère mais sifflante, rien ne troublait le calme qui venait de se créer.

Lex se leva de manière nonchalante. Et prit de nouveau la parole.

Ahah !

En plus on me prévient que j'ai reçu les épreuves lancées par le Cercle. Ca tombe à point ! J'vais pouvoir m'amuser sans prendre le temps de m'ennuyer !

Héhé !

Lex leva la tête en arrière, ferma les yeux & fit alors deux tours sur lui même avec grâce & élégance, tel un danseur. Commença dès lors à se former autour de sa taille et à ses pieds des cercles blancs. Cela ressemblait vaguement à des nuages, mais n'en était pas.

Lex commença alors à quitter le sol délicatement et se dirigea vers la première ouverture donnant sur l'extérieur.

Mais avant de quitter la salle, il s'arrêta & dit à l'adresse de Lord Faust.

Je vous cite : "Seulement un animal qui n'a à faire ici que ce qu'il a envie de faire."
Vous êtes peut-être plus malin que je ne le pensais. Vous avez déjà bien compris certaines choses. Et je vous répondrais que je suis fort aise de ce que je suis.

Et Lex disparu dans l'enveloppe d'un tourbillon en laissant la marque d'un rire joyeux résonner dans la salle.

Un homme accouru vers la femme et l'a pris par le bras.
« Qu'est-ce que t'as fait encore ? J't'ai dit mille fois de pas sortir de ma chambre. (Il se tourna vers l'assemblée.) Veuillez m'excuser. Elle est pas encore au point. Ou peut-être trop, rajouta-t-il tout bas. P'tain, tu leur as dit quoi ? murmura-t-il à l'oreille de la femme, trop haut. Encore tes conneries que tu me sors à chaque fois. Après tu te plains que je t'la met toujours dans la bouche. »

Il se frotta sa barbe de trois jours, se tourna de nouveau vers l'audience et s'exprima d'un ton voulu hautain mais l'effet était plus que lamentable.

« Veuillez encore m's'cuser. Je ne sais si vous connaissez les robots d'sa catégorie. Elle est très réussite, vous pouvez le constater, mais fichtre, qu'est ce qu'elle veut être humaine et bavardé autant qu'eux. »

Un homme de grande taille s'approcha du robot et l'emmena hors de la pièce. Son propriétaire la regarda s'en aller.

« Pardonnez moi, j'ai oublié de vous donner le privilège de me connaître. Je suis Trévor Hephato. Il y longtemps de cela, j'étais sous les ordres de la dame ou plutôt de la vraie, pas de cette réplique à cent mille crédits. (Il fit une pause.) Si le coeur vous en dit, vous pouvez venir prier avec moi chaque premier jour de chaque saison. J'organise une grande messe qui suit une grande or... un grand buffet »

Il remit sa chemise noire en place.

Le vent souffla fort ce jour là. Cela ne dura pas très longtemps, un instant seulement. Le sable s'était infiltré partout. Les maisons n'étaient plus reconnaissables, il n'y avait plus qu'un tas de bosses sableuses.
Tous les habitants restaient chez eux. Il avaient déjà vécu une telle situation. Dès le plus jeune âges, les enfants devaient apprendre ces premiers gestes de survies. Aller dans la cave et fermer la porte. S'il n'y avait pas de cave, tout calfeutrer. Il ne fallait pas que l'air rentre. Il ne fallait pas que les particules radioactives aillent partout.
Le sable arrêtait pas mal de chose. C'était la deuxième raison que les habitants avaient trouvé pour rester ici. La première était encore plus simple : la tranquillité.

Trévor Hepatho à peine revenu de Galactica prépara son vaisseau finement profilé, offert par une vieille connaissance qu'il avait fait copier, robotiser pour son usage personnel.
Il grimpa dedans à toute vitesse et ne prit pas la peine de s'attacher. Il mit pleins gaz direction le Siège.

Il n'était pas vraiment énervé, plutôt désappointé. Quelques heures plutôt, on lui avait dit qu'il était un blaireau qui envoie au suicide ses fonctionnaires. Que perdre une bataille était honteux. Il était remonté.

Il claqua les portes, s'installa en sueur et reprit son souffle.

« Messieurs, je voudrais savoir une chose. Quel est le plus important à vos yeux, combattre avec honneur et comprendre ses erreurs stratégiques ou encore faire croire que ce sont des erreurs, ou bien railler de son adversaires car il a perdu un combat qui était perdu d'avance ?
« Pourquoi cette question ? L'Iwa-machin-truc, je ne sais pas quelle est cette langue mais j'ai vraiment du mal, mais passons, ... Aurax disait qu'il ne voulait pas de guerre, qu'il voulait une longue paix et voilà qu'il fait appel à ses alliés pour envoyer le jack pot. (Il claqua ses doigts après s'être trémoussé.) Et oui, j'ai gagné le gros lot. Pas vraiment moi, d'ailleurs, le Tewen. Il a pu voir deux rayons assez colorés pour faire un soirée disco à l'extérieur, funky Aurax, il aurait pu me prévenir, j'aurais préparé un bon petit rhum. Bref. Boum ! Bouuuuummmmmm ! Joli feu d'artifesse, euh d'artifice.
« Voilà. Je voulais rajouter que le Tewen n'est plus du Cercle, mon robot favori que vous connaissiez est dans un état de dysfonctionnement total et donc voilà. »

Ses yeux étaient à demi clos. Trevor essayait de les laisser grand ouvert pour montrer la brillance de ses yeux signe de joie. Et oui, il aimait les feux d'artifices.

Le monde change, l’Univers tout entier se métamorphose. Les hommes, les animaux, les Seigneurs, les technologies, tout évolue. Cette évolution perpétuelle, cette évolution sans fin, la course contre le temps…



Il y a peu, à la Grande et Magnifique Corporation, un Seigneur, un Etat, une Nation, une Alliance partait en Guerre.

La Guerre … toujours cette Guerre, omniprésente, omnipotente….

Dans la salle, après la tempête, la calme …

Dans la salle, après un départ, une venue, le retour d’un Seigneur de Guerre.

Aux portes de bois magique refaites il y à de cela un jour, un Ombre se présenta. Poussant les battants pas un petit artifice magique presque inaperçu, Le Seigneur Noir était enfin de retour de sa … Sombre Croisade …

La Guerre, le Cercle, La Société de Commerce, les Fédéralis, ce melting-pot avait bel et bien débordé…

Au final, il y a toujours un perdant, un Gagnant, et souvent, un Neutre…

L’Iwachika s’est levé, dans une Guerre sans pitié il s’est lancé. Détruisant, ravageant, exterminant, il avait acquis assez d’expérience pour ne trop savoir comment, comment tuer… comment anihiler…

Fasse à lui, une Alliance puissante, un nom ayant fait frémir plus d’un état. Le Cercle.

Constitué principalement par de Grands Seigneurs, le Cercle, Ombre de la Galaxie avait aujourd’hui faillit.

C’est avec les honneurs de ses membres, de ses amis, que l’Ombre Maudit venait aujourd’hui.

Franchissant le seuil des portes, s’avançant en direction de l’estrade, il finit par se décapucher afin de mieux laissé mon paraître cette horreur qui lui servait de visage. L’horreur de l’enfer, l’horreur du mal incarné, un visage de mort, de magie, des yeux rouges, des dents noires et acérées, le teint noir, des pustules de magie envahissants…

Sombre Seigneurs de La Galaxie.


Je suis parti il y a peu en Guerre.
Aujourd’hui, je viens en demander officiellement la fin à la Faction du Cercle.
Après s’être vaillamment défendus, j’ai appris leur résiliation dans cette aventure…

Je demande donc à ce qu’ils viennent ici s’en expliquer, ici et eux même l’annoncer.


Discours sobre et pour cause. Une victoire en effet. Cependant il n’en était pas de même pour l’ombre …
Une défaite cuisante ! Une défaite de n’avoir sur rester dans le chemin de la paix, une défaite d’en être venu à cette guerre…

Sans mots dire, il se retira, un ami l’appelait … un très très vieille ami, une très vieille légende…

Un tas de ruines… c’est tout ce que nous avons obtenu… Un évènement en entraîne un autre, une guerre débute, les dégâts s’amplifient jusqu'à ce qu’un vainqueur apparaisse. Dans notre univers, il existe 2 types de victoire : La victoire par abandon, l’ennemi abandonne la guerre car elle est allée trop loin, il ne sers plus a rien de continuer sauf augmenter le nombre de morts et les pertes. Aussi il existe la victoire totale, l’ennemi est vaincu bien qu’ayant tenté de résister jusqu’au bout, le nombre, la puissance et la stratégie sont les clés de la guerre, les réunir amène souvent a la victoire. Une dernière clé pour la guerre est le moral, l’envie de gagner, le courage de continuer : la moindre unité est capable de faire des dégâts donc tant que les 2 fronts d’une guerre ont ce courage, la guerre ne se termine pas, bien que les résultats soient donnés, la persévérance amène toujours une fierté. Dans le cas présent, une guerre a été déclenchée entre 2 grandes alliances, pas forcément pour leur puissance qui est peut être limitée vis-à-vis d’autres alliances mais par leur aptitude à réunir tous les autres facteurs permettant de participer activement à une guerre. Les motifs de cette guerre ? hum, dur de s’y attarder, il n’y en a pas qu’un mais aucun ne tient réellement la route…
Toutes les guerres dignes de ce nom se déroulent en 2 parties, une première est la destruction des structures, peu de sang coule mais beaucoup de dégâts, cette étape est utile pour décourager l’ennemi et affaiblir la structure économique l’alliance. L’étape suivante consiste en une destruction de la moindre unité de l’ennemi croisée, le moindre habitant est tué, cette étape n’est réalisée que si elle repose sur de grandes raisons… une grande guerre mérite un nom et notre guerre n’a été au nom de rien ni personne.
Quelques fois, il faut savoir s’arrêter avant d’aller trop loin, il faut savoir reconnaître l’inutilité de la guerre avant de tout perdre puis ensuite réaliser…
Les 2 camps ont combattu, les 2 camps ont fait des dégâts, mais a quoi bon ?

Cela faisait déjà quelques semaines que Sima Yi, dirigeant du Lénupio n’était pas intervenu au siège de la corporation, il se contentait d’écouter, réagir, mais n’intervenait pas. Il considérait qu’il lui fallait quelque chose a dire, pour le dire. Aujourd’hui, il se devait d’intervenir, pour s’expliquer et expliquer. Il rejoint la salle concernant la guerre entre le Cercle et la Société de Commerce.

Bonjour, je suis Sima Yi pour ceux qui ne me connaissent pas, chef de l’état Lénupio. Vous m’avez sûrement peu vu intervenir a la corporation ces derniers temps car j’ai beaucoup a faire et je ne pense pas avoir beaucoup de choses a apporter. Je suis ici pour vous expliquer la situation : Il y a quelques temps, une guerre a éclaté entre le Cercle et la Société de Commerce, les raisons ont déjà été expliquées. Mon état a agi et a rasé quelques états de cette alliance, la réaction a été dure, nous avons tous subi attaques et rasages, nos 2 alliances se sont retrouvées rétrogradées à l’état de Faction, il ne nous restait plus que nos flottes. Peu après, la Federalis a bombardé le Lénupio, nos hangars ont subi de lourdes pertes et ont été vidés, il ne nous reste que très peu… a quoi bon continuer la guerre ? Un intérêt ? Celui d’augmenter les pertes, seulement.
C’est à ce moment que j’ai contacté l’Iwachika Sakazusa, nous nous sommes arrangés pour que la situation ne dégénère pas. La guerre ne méritait pas de continuer, quelques fois, il faut savoir déclarer défaite et sauver des vies. Aucun honneur n’est touché par cette défaite, nous ne faisons que stopper la guerre avant de regretter de trop.
Aujourd’hui, je déclare que la guerre se Termine, le Lénupio a perdu mais a perdu pour de bonnes raisons. Le cercle souhaite autant que la Société de Commerce en finir, c’est pourquoi il propose un Pacte de Non Agression à la Société de Commerce.
Quand à moi et mon état, je déclare que le Lénupio quitte le Cercle pour reprendre un chemin plus correct, le Cercle était une très bonne alliance peux peu active, elle ne nous convenait pas. Rien n’est encore décidé mais nous allons changer. Nous nous retirons de la vie militaire de la galaxie pour une durée indéterminée, prendre exemple sur la société est la meilleur chose : Nous ne ferons que nous défendre, si nous sommes attaqués, nos flottes serviront, sinon elles ne bougeront plus.
Je tiens aussi à faire toutes mes excuses aux membres de la Federalis pour le mal que j’ai pu leur causer, j’ai agi sans justifications, j’ai certes arrêté mais cela ne répare pas. J’ai été prévenu et j’ai Mérité l’attaque nucléaire que vous avez lancée. (hrp :mais 18 canons c’est quand même beaucoup^^). Voila, je ne pense pas avoir d’autres informations a donner, si vous avez des questions, je suis la, je suis peu occupé en ce moment…

Sima Yi prit place dans la salle, attendit une intervention pour ensuite rejoindre son état, état dévasté par les erreurs qu’il a causé dans le passé. Pour le moment, l’état du Lénupio n’est qu’un désert vert ruiné par un nuage nucléaire. La décontamination prendra plusieurs semaines, puis il sera temps de fonder une économie stable, si le reste de la galaxie le permet.

Clap Clap Clap..

Face à des paroles censés, peu de mots sortir, de simple frappement de main..
Cette guerre, si, par définition, pouvons nous l'appeler ainsi, n'a pas eu grand mérite..

Non !

D'un ton sec, puis un sourire apparu.

Et bien non, la guerre n'était pas face à la Société de Commerce, mais bien face à l'Iwachika Sakazusa, nos membres ne répondaient en rien aux agressions du Cercle, en tenu à la charte, ils ont respecté leurs devoirs avec grandiose et je les félicite.

Un pacte de non attaque..
L’utilité ne se faisait sentir, mais s'il s'en faisait nécessaire pour la protection de nous frères associés, il était bon à prendre..

Après une longue discussion avec mon frère Maudit, ce pacte fut accepté, mais sera sans limite, le moindre affront signera une fin proche de l'attaquant.

La fin d'une guerre.. n’engendre que le début d’une prochaine, ce monde de haine n'en donnera pas moins, la jalousie, l'envie d'être meilleur, de monter.. ressurgira, et de nouveau le sang coulera.
Le cycle de la vie, personne ne le changera..

Le cycle de la vie est fait ainsi, une guerre en engendre une autre, et nous n'y pouvons rien, mais nous la retarderons par la parole, pour un avenir meilleur, sans rancune.

Quitta la salle,
Smart, dirigeant de l'Iwachika Sakazusa, Général de Guerre, Directeur Commercial, un mètre soixante-seize, soixante trois kilos..

Hihiiiii hihihiii !!


Un rire éclatait dans toute la salle. Il ne venait pas d'un point en particulier, il résonnait juste dans toute la salle de discussion. Impossible de connaître son origine. Et pourtant .. Ce rire plein de sarcasme commençait à être connu par beaucoup. En effet, son auteur avait déjà réussit à agacer beaucoup de monde depuis sa récente arrivée. Et ce rire ne laissait pas présager que cela allait changer de si tôt.
Pourtant, l'individu en question etait sensé être parti. Alors pourquoi être revenu ?

Contrairement à son départ, cette fois-ci, Lex décida de réapparaître comme n'importe quel autre personne. Il entra, d'un pas nonchalant, dans la salle par la porte prévue à cet effet.


Juste au moment où je reviens dans cette salle, mon pleureur préféré refait également surface. Si ce n'est pas merveilleux ça alors ! Héhé !


Lex s'arrêta sur le seuil de la porte, adressa un signe de tête en guise de salut à toute l'assemblée et prit la parole.


Vous ne devinerez jamais ce que je viens d'apprendre ! J'ai mené ma petite enquête sur ce conflit, car j'aime bien tout savoir. Je vous avoue que j'ai beaucoup rit.

Hihi !

Et ce, sans compter que mon pleureur adoré a même visité mon état. Mais je ne pense pas, qu'à ce moment là, il le savait.

Hihi !

Je pense que vous tous avez beaucoup à apprendre sur cet individu peut-être bien plus malsain que vous ne l'imaginez, bien moins honorable qu'il se défend de l'être, il est également beaucoup plus idiot. Héhé !


Lex s'approcha de l'estrade, et reprit la même position qu'avant son départ. Il s'assit, en direction de l'assemblée.


Je vais vous conter une histoire. J'espère qu'elle vous distraira, qu'elle vous amusera et qu'elle vous instruira.


Toujours le sourire aux lêvres, il se racla la gorge dans un râle légé et commença.


Un jour que je flanais agréablement, je tombais tout à fait par hasard sur une propagande du Cercle dans laquelle était faite la promotion du recrutement de cette faction. Il y était dit qu'il y avait des épreuves à passer pour pouvoir envisager être digne d'être des leurs.
Pensez donc qu'à la connaissance d'épreuves, ma curiosité ne fut qu'agréablement excitée. Je décidais donc de les contacter afin de leur faire savoir mon envie de participer auxdites épreuves.

Je reçu une réponse affirmative et eut connaissance de ce qu'il m'était demandé de faire.

Il y avait plusieurs choses à faire qui ne sont pas toutes des épreuves finalement.


Lex cessa un moment. Il semblait réfléchir sur ce qu'il allait dire. Sa conclusion fut simple et rapide : "Mouarf, après tout, je ne suis pas tenu au secret, je ne leur doit rien - ou presque, et puis pour ce que cela vaut comme information. Hihi !"
Finalement, il reprit sur la même lancée.

Celles que vous avez besoin de connaître sont simples. Il fallait faire une demande officielle de candidature d'entrée, obtenir une quantité conséquente d'acier, à savoir environ 1.000.000 d'unités d'acier, et une épreuve de combat.

Je fit donc cette demande officielle, je demandais de l'aide aux membres du Cercle, demande d'aide à laquelle je reçu une réponse et une aide conséquente de la part du dirigeant du Tewen. Il envoya chez moi plusieurs troupes que j'allais diriger pour mes opérations.

La suite devient plus intéressante, rassurez vous.

Hihi !

Faîtes moi confiance.
Vous comprendrez donc que je portais le blason du Cercle, mais de manière réellement provisoire car il me fallait encore réussir ces épreuves si j'avais souhaité aller plus loin avec le Cercle.

Quand tout à coup, l'émissaire du Tewen, un commandant d'une des flottes, m'alerta d'une nouvelle entrée sur les radars. Nos informations étaient formelles, l'état Iwachika Sakazusa nous envoyait de la compagnie. Deux flottes pour être précis, et je peux vous assurer qu'elles n'étaient pas insignifiantes. En clair, il ne s'agissait surtout pas d'une visite de courtoisie.

C'est alors qu'eut lieu la discution suivante entre les envoyés de mon pleureur chouchou et moi même.

Vous allez pouvoir juger du niveau intellectuel de notre ami à tous.


Lex sortit une boite de laquelle apparu un hologramme. Une liste de message commença à défiler. On pouvait lire ceci :

LexLxUs :

Salutations dirigeant de l'Iwachika Sakazusa. On m'alerte à l'instant d'une armée. Qui plus est, l'ennemi de l'alliance à laquelle j'appartient tout récemment et seulement provisoirement en l'état actuel des choses. Mais le plus drôle est le nom de cette flotte. Comme il est étrange que ce nom me dise quelque chose .. Je peux savoir ce que vous desirez ?

L'hologramme se figea. Lex intervint.


Ouch ! Hihi !
Pardonnez certaines tournures drôlement lourdes en adverbes. Voilà qui est bien maladroit de ma part.

Hihihi !
Continuons, voulez vous.


Le défilement reprit.

Iwahika Sakazusa :

Mon désir. Tewen viens de le réaliser avec succès. Bonne soirée à vous.

A nouveau, Lex interrompit la diffusion.


Pour vous mettre en situation, il faut savoir que le commandant du Tewen avait envoyé une flotte combattre celle qui menaçait mon espace spatial.
Mais le dirigeant de l'Iwachika Sakazusa plutôt idiot dans son genre, convenons-en, n'a rien compris à la manoeuvre.
Mais voyez plutôt comme il a fallu que je lui explique tout à notre ami ..

Hehe !

LexLxUs :

Certes, mais encore ? Pourriez-vous être plus explicite ? Après avoir violé l'espace de mon état, je pense encore que c'est une chose que vous pouvez m'accorder ? N'est-il pas ?

Iwachika Sakazusa :

Seigneur, ne me demandez pas des explications ! Demandez les au TEWEN qui vient honteusement de perdre en tentant de détruire l'une de mes flottes ! Et pour savoir ce que je venais faire, cherchez les deux états qui se trouvaient en dessous de vous au classement et qui appartiennent au Cercle. Leur situation vous en dira plus ! Sur ce, cessez de m'inportuner pour vos futilités! Seigneur noir

Lex marqua une nouvelle pause.


Je ne peux pas vous cacher que sa réponse m'a fait rire au plus haut point. Heureusement que notre idiot est accompagné d'une puissante armée, sans quoi, il ne vaudrait réellement rien avec de telles réflexions.

Hihihiiiiii hihi !

Uh ..


Lex réalisa dès lors une chose. Si cet idiot plus puissant que la majorité ici avait été capable de ne rien comprendre alors .. Noooon. Ce n'est pas possible !


Heu ..

Y a-t-il beaucoup d'idiots dans cette pièce qui n'ont pas compris la brillante manoeuvre aussi simple soit-elle du commandant du Tewen ?

Dans l'hypothèse, .. Non, lisez plutôt la suite, là, vous comprendrez, comme mon seul pleureur[1].

LexLxUs :

Bien heureux de vous entendre parler ainsi, mon ami. Voila les choses, je connais votre apparition en publique. Vous, ou un autre de votre compagnie semble désapprouver ce qu'il se passe. Et pourtant, j'entend dire que vous rôdez autour de tous les membres du Cercle. Sachez ce que vous voulez à la fin. De plus, sachez également pour votre gouverne que le dirigeant de Tewen, que vous devez connaître assez bien, n'a pas honteusement perdu contre vous en tentant de détruire votre flotte. Si vous preniez quelque peu le temps de réfléchir, vous comprendriez qu'il a plutôt habilement joué votre jeu. Il a simplement attaqué vôtre flotte en présence afin de vous handicaper pour une prochaine attaque. Ainsi, vous êtes dans l'obligation d'attendre avant d'attaquer mon état. Mais cela doit depasser votre niveau intellectuel. Vous m'en voyez désolé. La suite de ce que j'ai à dire est d'autant plus intéressante - pour moi - et insultante - pour vous. Vous seriez donc venu afin de procéder à quelqu'anéantissement en mon Etat ? Ainsi, vous n'avez guère plus de courage que ceux que vous osez considérer comme des couards ? Ridicule que votre action, mais elle en dit long sur votre honneur propre. Et cela m'amuse au plus haut point. Voilà. J'ai fini de vous importuner avec mesdites futilités. Ludiquement vôtre.

* extinction de l'hologramme *

La suite n'a aucun intérêt.

J'espère maintenant que vous prendrez conscience du niveau de respectabilité de ce dernier.


Lex se leva afin d'aller s'asseoir, ou peut-être même s'allonger, dans un coin des fois que quelqu'un voudrait réagir. Mais cela risque de manquer d'intérêt.


Oh !

Et avant que j'oublie. Mon ami est donc effectivement revenu et a rasé totalement mon état. Voila bien une prouesse contre un état qui n'était pas son ennemi et sans aucun moyen de défense.

Allez dire ceci aux morts qu'il a causé.

Je vous laisse apprécier.


Lex alla s'installer, aussi décontracté qu'il était possible de l'être.


"Hiiii hihihihiiiiii"

Le silence .. Non ! On entend le vent qui commence à siffler. C'est étrange, ici, tout est clos. Et Lex qui porte toujours cette même attention sans que l'on sache à quoi. Puis rien quand ..

Mouaahaahaaaaa !!

Seigneur Noir ! Mais laissez moi rire !!

Hihiiii hiiihiii !

Lex décide de se ressaisir. Ce n'est pas possible qu'un être aussi stupide existe. Cela devient une affaire drôlement sérieuse. Il prit un air faussement désolé.

Dites moi mon grand, êtes vous si idiot ou jouez vous un rôle ? J'avoue que j'commence à m'inquiéter pour vous.

S'adressant à la foule :

Mesdames, Messieurs, j'apprend à l'instant que ce pleutre vient encore d'envoyer des troupes à mon état. Et devinez quoi ? Il a à nouveau décimé toute structure & présence en mon état.

Que je l'aime notre soit disant Seigneur Noir. Il ne se prétend noir que parce qu'il ne prend aucun risque dans un conflit militaire contre moi. Enfin .. C'est ce qu'il croit.

Hihihi !!

Vous croyez que ma personne va être intimidé par vos agissements pitoyables de sens ? Je vous invite vous même à rire avec moi !

Hiihiii hahaaaa !!

Aaaaaah .... Laissez moi reprendre mon souffle. Voilà bien longtemps que je n'avais plus rit ainsi. Héhé !

Vous êtes drôlement courageux .. Je vous avoue que de voir ce genre d'actions, cela aurait une plus forte tendance à ne pas craindre votre ténébreuse personne. Avouez au moins que vous faîtes rire !
Héhé !

Rahlala ..

Et sachez que je suis très informé. Attendez un instant.

Il ferma les yeux. Pendant un court instant, rien ne se passa jusqu'à l'arrivée plus qu'étrange d'un document. Celui ci flottait dans les airs ..

Voyons .. Qu'avons nous là ?

Lex parcouru le document.

Oooooh .. Mais voilà qui est intéressant !

Hihi !

Mesdames, messieurs, je vous présente la Charte Commerciale !

Je vous avoue qu'à sa lecture & aux agissements de mon pleurnicheur, il y a de quoi avoir du mal à rire !

Je lis : "Politique externe:

La Société de Commerce est une société et en ce sens n’aura qu’une politique de commercialisation de ses produits dans ses relations.
Elle se veut juste et droite."

Avouez que le prétendant noir est un modèle de droiture et de justice. Hihihiiii !

"La déclaration de guerre ne sera autorisée que si celle-ci est justifiée par de fortes pertes du a un élément perturbateur, une alliance."

Je crains fort ne pas avoir le niveau de terrorisme nécessaire pour atteindre ce niveau d'alerte malheureusement.
Hihii !
De plus, je ne fais parti d'aucune alliance depuis déjà quelques temps. Ignare, tenez vous au courant.

* sourit *

Je vois également un paragraphe intitulé Politique de fidélisation.
Ah làààààà ! J'vous promet que vous avez assuré ! J'suis très fidèle ! Je suis un vrai fanatique de vos conneries ! J'en suis tellement friand que j'ai déjà exprimé ma passion au seigneur dirigeant le Tewen lors de notre - courte .. - collaboration.

Passons la suite, ce n'est pas intéressant.

...

Aaah ! Excellentissime que voilà !

Je lis à la fin de la même charte : "Politique Militaire :

La Société de Commerce n’a pas de but militaire, elle se veut pour la paix et les échanges simples et seins, de ressources."

...

C'est un fait .. Réellement pour la paix .. Par contre, je ne peux pas nier le fait qu'il y ait des échanges .. Ah ça non alors !
Par contre, de là à dire qu'ils sont sains .. J'émettrait tout de même une réserve si vous ne m'en voulez pas.

Lex survola la salle du regard en souriant et reprit.

Dites moi, le dirigeant de la Société de Commerce est-il exempt de la charte qu'il publie ? .. Que peut faire la Société de Commerce contre les agissements qui vont à l'encontre de cette Charte ? Ne devrait-il pas être rasé pour avoir enfreind la charte ?

Que de questions ..

Vous êtes venu faire le procès d'une alliance qui ne faisait même plus de bruit. Par dessus cela, vous en faîte encore plus qu'elle à vous seul. Et pour finir, vous étendez cela outre votre conflit avec le Cercle.

Seigneur Noir, dit-il d'un air condescendant, qu'elle sera votre prochaine invention ?

Avant de se rallonger, il conclut son discours ainsi :

Sachez mécréant, que la violence est l'argument des faibles.

Il se releva, l'air embêté.

Oh ! Vous m'en voyez vraiment confus, mais j'ai oublié de vous donner un conseil. Comme je pense qu'étant donné votre facilité à attaquer quand on vous parle, vous devriez peut-être penser à laisser vos troupes chez moi.

D'abord, cela vous coûtera moins cher.
Ensuite, vous irez plus vite de cette manière.
Et enfin, vous pourrez toujours me redonner les ressources que vous me pillez, afin que je me reconstruise quelques structures, histoire que vous soyez sûr d'avoir quelque chose à détruire.

Vous ne pensez pas ? En voilà une idée qu'elle est bonne !

Quelque chose à ajouter ?

Lex lui fit un clin d'oeil, même pas en se moquant. Non ! C'pas vrai !

Martos le boulet…

Enfin sortit de son placard, il vit de la lumière dans une salle pourtant déserte et, passant devant, pu y voir un gigolo danser, s’exclafer…

S’interrogeant, il entra.

De Djieu mais qui qu’tu es toi ? Ti é pas donc fou de chanter seul ?

Tu chantais quoi de Djiou possible ?
Se retournant, il réussis à lire le titre de la comédie : Le Cercle …cu..é

Je ne sais pas trop quoi t’dire possible Mon grand …
D’ailleurs dis, je cherchais mon Seigneur, un grand méchant noir de Djiou ! J’y devais annoncer un truc mais jme suis pris dans cette saleté de placard… Mauvaise organisation sa…

Bref, jt’y dis mon grand t’embête donc point à chanter raaa tu tête … y à personne …

Oh fait bourrico, dans ta chtite chansounette, tu parles de choses, j’y comprend de Djiou rien, mais, sa doit dddrrrolement te tenir à cœur hein ! Vu comment qut’en parles !

Bref Je vous y laisse M’sieur, j’dois y aller l’chercher dans sti saleté de couloirs sans fin.

Bonne chantage hein !